Bonjour tout le monde. En voici un second. vous le savez je ne suis pas une posteuse régulière, donc je tiens à remercier tout ceux qui continue de me suivre sans perdre espoir.

Et je remercie de nouveau ma correctrice pour son travail.


Chapitre 11

P.D.V. Lily Potter

Nous étions dans la salle commune de Poufsouffle et le chaos était total. La porte glacée de la pièce venait de voler en éclats, projetant le directeur Dumbledore contre un mur. De plus, une grande partie des élèves fut blessée par les débris de glace. Et au milieu du trou béant, qui se trouvait à la place de l'entrée de la pièce, se tenait Millésisse. Le bras droit tendu à l'horizontal, et un sourire dangereux sur ses lèvres, les yeux glacés. J'avais vraiment du mal à me dire qu'il s'agissait de ma fille.

Elle baissa son bras et enjamba le peu de glace qui marquait l'entrée, avant de se diriger vers le garçon sous le dôme. Elle tendit la main pour le toucher et je me précipitais sur elle pour l'en empêcher. Cependant je stoppai ma course en voyant sa main traverser le dôme sans aucun problème. C'était impossible ! Le professeur Dumbledore n'avait pas pu le passer alors comment pouvait-elle le faire ?

Elle prit finalement le petit garçon dans ses bras et se mit à lui parler dans une langue que je ne connaissais pas. Une langue rauque, pleine de sonorités graves. Cela ressemblait à une voix rocailleuse qui n'avait pas été utilisée depuis bien longtemps. Le jeune poufsouffle lui répondait dans la même langue, mais il semblait chanter. Il finit finalement par s'endormir et Millésisse releva ses yeux vers le reste de la salle. Des yeux gelés, plus froid et dangereux que tout ce que je n'avais jamais vu.

Qu'était devenu mon enfant ?

P.D.V. Millésisse

Je rentrai dans la salle commune avant de rejoindre rapidement Jay. Je vis Lily Potter se précipiter vers moi quand je fis un mouvement pour toucher le dôme. Quelqu'un avait dû le faire et voler dans le décor. Cependant la magie de Jay me connaissait et savait qu'il n'avait rien à craindre de moi. Je pris mon petit poussin dans les bras et me mis à lui parler en slave.

« Bébé, regarde moi, dis-je doucement d'une voix roque qui le rassurait. Montre-moi tes jolis yeux.

- Ils me l'ont prit, pleura-t-il.

- Qu'est-ce qu'ils t'ont pris ? demandai-je surprise.

- Le carnet, ils m'ont pris le carnet, dit-il en se blottissant dans mes bras.

- Ne t'inquiète pas mon poussin, je suis avec toi maintenant, ils ne te prendrons plus jamais rien, lui dis-je.

- Je ne veux pas que l'on soit séparés, me dit-il en me montrant enfin ses yeux remplis de larmes.

- Et on le sera pas, je t'en fais le serment. Maintenant dors mon poussin, il faut que tu te repose. Ne t'inquiète pas, je veille sur toi, fis-je en passant ma main pour fermer ses yeux, en embrassant son front. »

Une fois sur que Jay se fut endormit, je relevai mon regard sur le reste de la salle. Dumbledore se relevait avec l'aide de James Potter. Les membres de la maison s'aidaient les uns les autres, ceux venant de Victoria s'étaient rassemblés derrière moi, et enfin les professeurs étaient tous arrivés devant l'entrée de la salle commune, qui n'était plus qu'un trou béant. Tous étaient surpris, choqués et la plupart étaient effrayés. Voir une telle quantité de magie sortir d'un corps, puis que j'arrive en partie à la maîtriser avait de quoi effrayer. Ce fut l'un des membres du pensionnat qui pris la parole en premier.

« On est désolés de ne pas avoir empêché cela, commença-t-il. On ne pensait pas que…

- Je m'en fiche, dis-je en tournant mes yeux vers lui. Je me fiche de vos excuses, tout comme de vos justifications. Vous ne l'avez pas protégé et les résultats sont sous nos yeux.

- Miss Pryce, dit le directeur Dumbledore.

- Directeur, fis-je d'un ton glaçant.

- Je vous prie de lâcher ce jeune homme pour qu'il soit conduit à l'infirmerie et que Mme Pomfresh puisse l'examiner, dit le vieil homme.

- Jay n'ira nulle part et je ne suis pas prête de le laisser partir, claquais-je. Il n'a pas besoin d'être examiné il s'est simplement épuisé à utiliser autant de magie d'un coup.

- Il doit voir l'infirmière ! Lâche le, sale, commença à hurler une fille avant de se faire bâillonner par un des élèves de Victoria.

- Je suppose que tu es la responsable de tout ceci, lui dis-je en tournant mes yeux vers elle. Toi et les préjugés qui t'habitent. C'est à cause de toi qu'il est dans cet état, à cause de toi que tous tes camarades sont blessés et à cause de toi que plus jamais vous ne pourrez venir ici sans vous souvenir.

- Non c'est de ta faute !, hurla-t-elle. Tout est à cause de toi ! On ne peut pas vous faire confiance !

- Nous faire confiance ?, demandais-je en souriant méchamment. Je me fiche d'avoir ta confiance. Mais toi tu aurais dû avoir confiance en les membres de ta maison.

- Certes certes, cette jeune fille a une part de responsabilité dans les évènements, dit le directeur. Cependant, vous et ce jeune homme avez détruit la salle commune de Poufsouffle, je vais donc devoir sévir.

- Je vous en prie, quelle va être votre sanction ?, demandais-je en le regardant droit dans les yeux.

- Et bien je ne pense pas que vous enlever des points soit la meilleure solution, dit Dumbledore. Mais je suppose que nous allons trouver une punition appropriée. Vous exclure quelques semaines pourrait calmer les esprits, ainsi que des retenues jusqu'à la fin de l'année avec Rusard.

-Si telle est votre décision, directeur, fis-je avec un grand sourire. Nous partirons dès demain matin. »

Je contournai le directeur et toutes les personnes sur mon chemin, Jay toujours dans les bras, et pris le chemin de ma salle commune. J'étais presque arrivée quand je croisais Eden, qui avait un grand sourire aux lèvres et semblait très fier de lui.

« Alors tu as récupéré ton poussin ?, m'interrogea mon jumeau.

- Jay et moi sommes aussi exclus pour quelques semaines et en retenue jusqu'à la fin de l'année, dis-je.

- Et tu vas te laisser faire ?, me demanda-t-il surpris.

- Bien sur que non. J'ai dit à Dumbledore que nous partirions demain matin, mais je ne doute pas qu'il reviendra sur sa décision, fis-je en souriant doucement.

- Qu'est-ce que tu vas faire ?, demanda Eden.

- As-tu déjà lu la charte des lois de Poudlard ?, interrogeai-je à mon tour.

- Non, me dit-il.

- Tu devrais. Peu importe, tu verras demain, fis-je. Et toi qu'est-ce que tu as fait ?

- J'ai visité le château. » me dit-il avant de commencer à raconter son expédition nocturne.

P.D.V. Eden

Je sortis discrètement de la salle commune avant de remonter les étages pour aller au troisième. Millésisse m'avait vaguement parlé des différentes protections qui étaient en place autour de la pierre, donc je ne devrais pas avoir trop de mal à la récupérer. Arrivé devant la porte interdite, je sortis de mon sac une harpe miniature, à laquelle je rendis sa taille normale. Je pointai ensuite ma baguette sur la porte pour la déverrouiller. Derrière celle-ci se trouvait un énorme cerbère. L'énorme chien à trois têtes dormait sur le sol, bavant à tout va. Je refermai silencieusement la porte avant de poser la harpe sur le sol et de la faire jouer en activant une rune gravée dans le bois de l'instrument, merci aux cinquièmes années ! Je localisai ensuite rapidement la trappe qui heureusement n'était pas recouverte par les énormes pattes poilues. La soulevant, je me laissai tomber dans le vide.

Pour atterrir sur un genre de tapis tressé. Tapis qui d'après les informations que j'avais était une plante. Plante qui s'écarta gentiment de mon chemin après quelques câlins. Je n'avais jamais compris pourquoi mais j'avais un rapport particulier avec les plantes et les animaux en règle générale. Mais je préférais parler avec les plantes et les animaux plutôt que, comme ma sœur, geler tous ce qui se trouvait à porter. Mon don était beaucoup plus discret.

Je pris donc le couloir qui se trouvait sous le filet du diable pour arriver devant une porte. De l'autre côté de celle-ci, je pouvais percevoir une sorte de sifflement ou de bruissement. Je poussai donc la porte, pour tomber sur une petite centaine de clés volantes. Ces dernières étaient de toutes les tailles, de toutes les formes et de toutes les couleurs. Elles se baladaient tranquillement dans la pièce, voletant de ci de là et ne semblaient pas avoir remarqué mon arrivée. Mon regard balaya la pièce pour trouver deux balais et une porte. Je m'avançai rapidement vers cette dernière pour la trouver, bien évidement, verrouillée. Bon, visiblement, il fallait attraper la bonne clé à l'aide des balais pour pouvoir ouvrir cette foutue porte. Trop long. J'essayai d'abord de l'ouvrir avec le sort d'ouverture, mais cela resta sans résultat. Plan B, parce qu'il faut toujours en avoir un, faire sauter la porte. Je fermai donc les yeux pour me concentrer et tendis une main devant moi. Petit à petit, une lumière est émise depuis l'intérieur de ma main refermée en poing. J'ouvris finalement les yeux et ouvris la main pour admirer le résultat. Au cœur de ma paume se tenait une petite boule de lumière blanche et dorée qui émettait un halo et semblait pulser. Et ceci était ce que ma sœur et moi avions baptisé nova. Pourquoi donc ? Tout simplement parce qu'une fois la petite boule en place dans la serrure, elle la faisait sauter. Un claquement de doigts et boum, une serrure en moins. Ça, c'était fait !

Je traversai un nouveau couloir, pour arriver dans une pièce sombre. J'avançai un peu et les torches aux murs s'allumèrent au fur et à mesure de ma progression. Quand j'arrivai à ce que je pensais être le milieu de la salle, toutes les torches s'allumèrent. Je me retrouvai donc au milieu d'un plateau en marbre, avec des espèces de grandes tours placées devant et derrière moi. Je m'avançai vers la porte de sortie que je voyais derrière les tours, je n'étais pas sûr que ce soit des tours d'ailleurs, blanches. J'allais quitter le plateau quand deux des pièces, définitivement pas des tours, mais qui ressemblaient plutôt à des tortues, sortirent des sabres de leur dos pour me barrer le chemin. D'accord… Je revins donc sur mes pas, et ce fut ainsi que je percutai ! J'étais sur une saleté d'échéquier ! Géant en plus ! Non mais qui avait eu l'idée de construire un truc pareil ? Pas que je ne fusse pas bon aux échecs hein, c'était même l'un des domaines où je surclassais totalement ma sœur, mais quand même. J'imaginais qu'il fallait que je joue une partie pour passer. Je retournai donc vers les pièces noires pour choisir qui j'allais être. Evidement, égaux obligent, j'allai me placer sur la tête du roi, posé sur sa tête et en appui sur sa couronne. La partie pouvait commencer !

Que ce soit dit, soit celui ou celle qui avait conçu cet échéquier était nul, soit il voulait que n'importe qui veule puisse aller récupérer le caillou, au choix. Non parce que dix minutes pour gagner une partie c'était vraiment trop facile. Je me retins de soupirer, sinon j'allais devenir aussi blasé que ma jumelle, et pris la direction de la porte, que je franchis sans problème.

En fait, j'aurais bien aimé retourner en arrière, l'odeur était horrible . Impossible de respirer correctement dans cette pièce. Mais qu'est-ce qui pouvait bien sentir comme ça ? J'obtins rapidement ma réponse lorsque j'entendis un « Ggggrrrrrrr » sur ma gauche. Un troll, un p***** de troll. Non mais sérieusement ?! Ces créatures faisaient sans doute partie des plus stupides de l'univers. D'ailleurs la dite stupide créature étaient en train de me foncer dessus. Mauvais ! Mauvais, mauvais ça. Alors qu'elle me fonçait dessus et qu'elle était sur le point de me faire voler, je bondis hors de sa trajectoire et il se prit le mur, s'assommant au passage. Ok… J'avais vraiment du mal à voir l'intérêt de mettre un tel idiot en tant que gardien. Quoique la plupart des sorciers étaient des idiots eux aussi alors… A moins que la protection ne soit pas le troll mais son odeur, c'était également une possibilité.

Je me dépêchai donc de quitter la pièce pour arriver dans une salle beaucoup plus petite. Dès que la porte se referma derrière mois, des flammes apparurent bloquant la porte d'entrée, mais aussi celle de sortie. Au centre de la petite salle se trouvait une table qui supportait plusieurs bouteilles et un parchemin. Parchemin sur lequel était écrit une devinette. Test de logique donc. Mauvais. La logique c'est plutôt le domaine de ma moitié féminine. Donc j'allais ressortir mon fameux plan B. Je débouchai chacune des bouteilles pour sentir leurs contenus. Eh oui, j'étais une calamité pour faire des potions, mais un expert pour les reconnaitre. Bon, en même temps il fallait bien trouver une utilité à la matière. Je me décidai finalement à boire le plus petit flacon. J'avalai cul sec. Bon déjà je ne tombais pas raide mort empoisonné et ce n'était pas du vin. Hallélujah pour moi ! Je me dirigeai donc vers les flammes que je traversai sans problème pour me retrouver dans une pièce circulaire formée de deux cercles. L'un tout petit fait d'une sorte de couloir tout autour du cercle qui formait la pièce, les deux étant séparés par des piliers de style antique. Je m'avançai vers le centre de la pièce pour trouver sur un socle une grosse pierre rouge. Millésisse était vraiment douée pour faire des copies. D'après les descriptions que j'avais pu trouver de la pierre philosophale elle ressemblerait vraiment à celle-ci. Je scrutais minutieusement la salle, à la recherche de quelque chose de bien particulier. Je finis par le trouver, dans l'ombre au sommet d'une des colonnes. Un papillon aux ailes violet foncé recouvertes d'arabesques de différentes teintes de bleu, du plus clair que le ciel au plus foncé se confondant avec le noir. Celui-ci vint me rejoindre rapidement après que j'aie sifflé quelques courtes notes. Je m'apprêtais à repartir vers la salle où se trouvaient les potions, lorsque le papillon prit une autre direction. Il était parti de l'autre côté de la salle et s'était posé sur un mur. Je m'avançai donc vers celui-ci tout en le scannant avec ma magie pour voir s'il ne contenait pas un passage secret. Eh bien si, le mur contenait un mécanisme qui s'ouvrait sur un tunnel où des torches étaient accrochées aux murs illuminant tout le chemin. Le papillon avait dû emprunter ce chemin pour venir. La petite bestiole se posa d'ailleurs sur mon épaule alors que je commençai à m'avancer dans le passage, le mur se refermant derrière moi.

J'avançai donc rapidement et débouchai finalement sur une porte dérobée qui se trouvait au troisième étage, juste à côté de la porte où reposait le cerbère. Il ne me restait plus qu'à aller récupérer l'instrument de musique et le tour serait joué. J'ouvris donc la porte de la pièce où se trouvait le chien et fis léviter mon instrument, qui était toujours en train de jouer, vers moi. Je le fis s'arrêter au moment où je refermais la porte pour que personne ne me remarque. Je rétrécis l'instrument pour qu'il tienne dans ma poche et reprit tranquillement la direction de mon dortoir. Au passage je jetai un coup d'œil vers l'extérieur. Aïe, toute la partie du parc qui se trouvait vers les serres était prise dans la glace. Ça avait du mal se passer avec les Poufsouffles. Enfin tant qu'il n'y avait pas de mort. J'accélérai mon allure pour retourner le plus rapidement possible dans la chambre et alors que j'allais bientôt atteindre la salle commune je croisai le chemin de ma sœur.

P.D.V. Millésisse

« Tu t'es bien amusée à ce que je vois, dis-je un sourire aux lèvres.

- Moins que toi à mon avis, répondit-il. Tu as gelé toute une partie du parc et sans doute des couloirs également.

- Il n'y a pas eu de mort, fis-je en haussant les épaules.

- Tu ne veux vraiment pas me dire ce que tu as prévu contre le directeur ?, me demanda-t-il en me faisant des yeux de chat tout mouillé et abandonné.

- Tu n'es as pas une petite idée ?, l'interrogeai-je en entrant dans la salle commune vide à cette heure et en prenant la direction de notre chambre.

- Je me doute bien qu'il doit y avoir une loi qui l'empêche de te renvoyer mais je ne vois pas plus loin, me dit-il en se retenant de soupirer alors que nous entrions dans la notre salon.

- Il n'y a pas qu'une seule loi qui empêche le directeur de me renvoyer, commençais-je en posant Jay sur un canapé et en prenant place dans un fauteuil. Poudlard fut fondée à une époque où la magie était bien plus présente qu'aujourd'hui, et en conséquence les élèves y réagissaient plus. La charte des lois de l'école fut rédigée pour assurer la sécurité des élèves mais aussi des personnes qui ne maîtrisaient pas la magie mais était à porté des sorciers. Ma capacité à geler tout ce qui m'entoure est l'expression de mon aura magique, et tu le sais elle peut-être très dangereuse puisque je ne la contrôle absolument pas car elle réagit à mes sentiments ainsi qu'à la magie ambiante.

- C'est vrai que tu n'avais jamais gelé une aussi grande surface, dit mon frère en s'affalant sur un canapé. Donc si je comprends bien, les lois de Poudlard interdisent qu'un élève avec une aura magique telle que la tienne, et qui ne la maîtrise pas, se retrouve livré à lui-même et que, si jamais il perde le contrôle, blesse des gens.

- En effet, Dumbledore ne peut pas me renvoyer ou renvoyer Jay, dis-je doucement.

- Jay aussi a une aura ?

- Oui, moins agressive que la mienne puisqu'elle se montre sous la forme d'un dôme protecteur, mais elle peut-être dangereuse si on essaie de l'approcher quand il est sous elle. Si Jay ne me vouait pas une confiance absolue sa magie ne m'aurait jamais laissée l'approcher.

- Que va-t-il se passer désormais ?

- Je t'en ai déjà dit beaucoup, fis-je en souriant doucement devant sa moue boudeuse. Tu m'excuseras mais je suis fatiguée et j'ai encore du travail qui m'attend.

- Je peux faire quelque chose ?, me demanda-t-il.

- Tiens, dis-je en lui lançant l'un des livres qui étaient dans mon sac, page 71 le cercle runique d'impartialité. Amuse-toi bien. »

Sur ces paroles je repris Jay et montais dans ma chambre. Déposant mon précieux fardeau dans le lit, je me dirigeai vers le bureau. J'avais encore de nombreuses lettres à écrire.


Voilà j'espère que tout cela vous à plut! La prohaine fois ici il y aura les réponses à vos gentils, ou pas gentils du moment qu'ils sont constructifs, commentaires!

Bisous Bisous