Alors salut! Je reviens avec une autre fanfic barrée... Je préviens tout de suite c'est un énorme délire et j'ai eu envie de vous le partager. J'ai pas le courage d'écrire des trucs tristes en ce moment... Pourtant j'en ai un sacré bagage hein mais bon, on ne choisit pas ses états d'esprits et trop peu souvent les actes qui les provoquent.

Ce sont des chapitres courts, rien de bien extravagant. On passera du PDV Stiles au PDV Derek.

Warning: Connerie profonde ; Situations honteusement vécues ; Grossièretés ; Jeux de mots suspects à l'occasion.

Rating : M, clairement.

Disqueclameur: Teen Wolf n'est pas à moi. *Grosse surprise générale* Ouais moi aussi je m'y attendais pas. Mais j'ai vérifié, sept fois, Teen Wolf ne m'appartient pas. D'ailleurs c'est tant mieux parce que sinon le Nogitsune serait toujours là. Et Scott serait encore plus fort (ceci dit il l'est déjà pas mal). Bref, que du bonheur xD


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Chapitre 1 : Course contre la sonnette

PDV Stiles

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On sonna à sa porte et s'il avait été un tant soit peu honnête, Stiles aurait avoué qu'il avait sursauté comme s'il avait des choses à se reprocher.

Bon en l'occurrence c'était le cas mais s'il était sérieux, ce ne serait pas le cas.

Bref.

La personne derrière la porte d'entrée continuait de titiller ardemment sa sonnette de manière frénétique.

- C'est bon j'arrive deux secondes!

Me fait pas chier ducon on n'est pas H24 à côté de sa porte d'entrée quoi, j'ai une vie moi mine de rien!

Stiles commençait de chercher ses clefs quand il avisa son pantalon.

Merde pesta-t-il mentalement, je suis toujours en pyjama! La honte! Je vais pas sortir en pyjama alors qu'il est...

Il regarda sa montre.

Oh putain c'est 15h 54... Ouais nan clairement, je peux pas ouvrir cette porte comme ça.

- Erhm. Attendez trente secondes, j'ai oublié un truc!

Le jeune homme se hâta de se changer, enfilant à la vas-vite un jean et un t-shirt pris au pifomètre dans son armoire. Il passa devant un miroir, se recoiffa à la va-vite. Il avait même réussit à coincé cette saleté de mèche rebelle sur le haut de sa tête à l'aide d'une noisette de bave et d'une barrette.

Il pensa un instant à se coiffer correctement mais se ravisa, il n'avait plus le temps, ce n'est pas comme si la personne n'attendait pas depuis déjà bien 5 minutes tiens...

Pourvu que ce soit pas les calendriers... Ou une œuvre de charité... Surtout pas une œuvre de charité! Si c'est pour des orphelins je pourrais pas résister...

Il priait intérieurement en ouvrant sa porte à quatre serrures. C'était de la faute à son père s'il y avait autant de serrures aussi... et toutes différentes! "On est jamais trop prudent" qu'il disait... en attendant c'est lui qui avait casqué pour les payer ces foutus verrous! Et ça coûte une blinde ces machins!

La porte ouverte, Stiles se sentit con.

Ouais.

Parce que le mec lui renvoyait en pleine tronche qu'il n'était pas aussi grand qu'il le voudrait. Bon il devait avoir quelques petits centimètres en plus mais "merde quoi! C'est important! Quelques centimètres ça peut faire toute la différence".

En tout cas il est pas laid le coquin!

Stiles ne s'était pas vraiment géné pour le détailler de haut en bas et de bas en haut comme un scanner. Ou un vieux papy de 86 ans devant une belle jeune femme. Mais bon, mater n'était pas un crime dans ce pays.

Des cheveux sombres en batailles dans lesquels il voulait glisser ses doigts, de très beau yeux verts qui semblaient ne demander qu'un peu d'amour, une bouche qu'il avait envie de mordiller, lécher, taquiner et un physique assez... Intéressant vu que le t-shirt moulant noir et le jean sombre serré que portait l'inconnu ne laissaient pas trop de place à l'imagination quant à ce qui se cachait sous le tissu.

Le tout était en train de faire démarrer la capacité spéciale de Stiles: l'imagination et plus particulièrement la partie fantasme. Il commençait d'ailleurs à se dire que le sol serait une parfaite surface pour un coït brutale avant de secouer la tête.

Calmos Ramos, si ce mec viens d'une secte, il serait capable de me casser les noix avec son Dieu pendant l'acte. Une fois c'était suffisant. On a tous les deux envie mon pote mais on s'est promis de plus refaire la même erreur.

Il frissonna au souvenir peu glorieux qui s'imposa dans sa tête.

- Bonjour. Vous êtes là pour... ?

Son vis à vis fronça les sourcils.

- Vous êtes bien monsieur Stilinski?

Stiles hocha la tête. Mais c'est qui ce mec qui sonne chez lui et lui demande s'il est bien lui-même? Comme si c'était pas marqué sur la sonnette tiens ! Fallait être con ou ne pas savoir lire.

En tout cas il a une voix grave qui est… À tomber !

- Vous avez fait appel à nos services.

Le jeune homme le scruta, dubitatif. Il n'avait pas vraiment souvenir d'avoir fait appel à quelque services que ce soit et vu l'apollon qui se tenait sur son paillasson, il n'avait pas du tout commandé un tel service. Sauf si...

- Si c'est Lydia qui vous a appelé, je suis vraiment désolé mais je ne suis pas intéressé. Merci d'être passé et navré que vous vous soyez déplacé pour rien mais j'ai des choses plus importantes sur le feu.

Stiles ferma la porte. Enfin voulut fermer la porte. Mais un pied mal placé voir déplacé l'en avait empêché. Il voulut alors expliquer au petit-grand forcené qu'il n'avait pas envie de s'envoyer en l'air moyennant finance et qu'il était bien gentil mais qu'il fallait partir.

- Écoutez, vous êtes mignon et tout, commença-t-il un tantinet agacé. Mais je n'ai pas le temps pour ce genre de frivo-

Sauf que le gars tenait une carte de visite.

- Entreprise Clean Up & Co. Derek Hale, Homme à tout faire, lut le jeune homme en se sentant rougir. Vous… Enfin… Je…

Putain je me sens con là…

Sa tête allait et venait entre la carte et le visage de l'homme.

- Je… euh… Vous… Vous êtes la nouvelle fem- Euh pardon le nouvel homme de ménage ? interrogea Stiles qui n'était pas vraiment sûr de lui.

- De toutes évidences. Puis-je ? demanda l'homme en montrant du doigt l'entrée.

Oh mon Dieu « Homme à tout faire » !

- O-oui bien sûr, fit Stiles en s'écartant.

Il regardait son employé poser ses chaussures alors qu'il refermait la porte. Nom de non mais pourquoi l'entreprise ne l'avait-elle pas prévenu que ce serait un homme ?!

Pas qu'il soit sexiste ou quoique ce soit mais il n'avait eu que des femmes de ménage tout au long de sa vie. Alors c'était étrange de se dire que ce gaillard musculeux au cul d'enfer allait astiquer -mauvais verbe-... Allait nettoyer -c'est déjà mieux- son chez lui. Et le nourrir aussi, accessoirement. Est-ce qu'il aura le droit à la béquée ?

Ça va pas être simple…

Il ne savait même pas à quel point il avait raison.

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Oui, les calendriers en pyjama c'est checké, mon postier me fait le coup tout les ans. quand c'est pas les pompiers, quand c'est pas une oeuvre de charité. Chaque année! Un complot je vous dis!

Bref! N'oubliez pas! Le Bonheur d'un auteur c'est simple comme une review '3'