Un Problème, Miss Granger ?


Disclaimer, rating et genre : voir le premier chapitre de cette histoire.

Relectrices : Morgane et Gwendoline — Un grand merci à elles !

Attention : Lemon-Citron


Leledurand : j'espère que la suite te plaira :). Berenice : elle arrive ! Merci :) M : voilà le dernier ;). Allersia, bibidibabidibou, Fantomette34, Chloay , Miss-Snape-69, LuneSensei, AlwaySpero, Aesalys, Eileen1976, Mrs Elizabeth Darcy31et jeanneo patronum : Merci à vous toutes pour vos reviews !

Nous avions laissé Snape et Hermione dans un état pas possible. Il est grand temps de savoir comment va se conclure tout ça... Vous l'avez compris, il y a du citron par ici ! J'espère que ça vous plaira :).

Bonne lecture !


3

La Confession des Amants

Il allait lui montrer à quel point il était frigide, à quel point il était insensible. D'un mouvement preste, il prit sa main et la colla contre son pantalon, là où la bosse de son sexe raidi pointait.

Oui, vous avez oublié une chose, Granger..., il s'arrêta, le temps de la fixer du regard.

Elle semblait stupéfaite.

Je ne suis pas de bois et je crois que... vous avez un sérieux problème, Miss Granger !

...

Hermione était en train de rêver. Elle ne pouvait décemment pas vivre ce genre de choses, réellement, avec le professeur Snape.

Et pourtant, elle était là, sa petite main caressant timidement le renflement durci de son pantalon, là où se trouvait son sexe.

Je caresse mon professeur de potions et j'aime ça, songea-t-elle avec effarement.

— Alors, Miss Granger, pensez-vous encore que je sois frigide ? lui murmura Snape de sa voix la plus soyeuse.

La jeune femme haleta soudainement avant de secouer la tête, ses yeux semblaient comme hypnotisés par la preuve flagrante de son désir pour elle.

Elle allait se mordre violemment la lèvre quand il se jeta sur elle pour l'embrasser férocement. Sa langue pénétra sa bouche et réclama son dû comme si elle n'avait jamais attendu que ça depuis des années. Leur baiser se fit bien plus sauvage que passionné, et quelques secondes plus tard, il l'interrompit pour l'observer d'un regard lourd de sens.

— J'attends toujours votre réponse, grogna-t-il presque contre sa bouche.

Hermione haleta doucement avant de tenter de reprendre une certaine contenance.

— Non, vous ne l'êtes pas, répondit difficilement la jeune femme. Vous êtes loin d'être frigide.

Un sourire torve se profila sur le visage du maître des potions qui récupéra sa baguette magique de sous ses robes noires avant de lancer un sort pour faire apparaître une grande couverture moelleuse sur laquelle il la poussa gentiment. Hermione, folle de désir encore inassouvi, se laissa tomber dessus, non sans trembler d'anticipation.

L'homme de ses fantasmes l'observait, debout, démesurément grand, tandis qu'elle attendait sagement son bon vouloir, ses cuisses continuant à se frotter inlassablement l'une contre l'autre. Elle poussa un gémissement de frustration.

Severus quant à lui, bataillait avec ce qu'il voulait lui faire. La garder habillée ou au contraire, la priver de tous ses vêtements ? Il fallait avouer qu'il n'était pas particulièrement friand des robes du collège de Poudlard, et puis... il voulait voir les trésors qu'elle cachait en-dessus. C'est donc sans remords, ni regrets qu'il pointa sa baguette vers elle et formula un « evanesco » qui la laissa aussitôt en tenue d'Eve. Elle poussa un cri de protestation mais il n'y fit pas attention. Elle était encore plus plantureuse qu'il ne se l'était imaginé. Des seins lourds, un ventre qui semblait particulièrement moelleux et des hanches pleines. Une femme, il avait devant ses yeux non pas une adolescente, mais belle et bien une femme.

Merci Merlin !

Se mettant à genoux devant elle, il lui écarta, sans préavis, les jambes et approcha son visage de son pubis.

Hermione était tiraillée entre un regain de timidité et l'excitation qui ne cessait d'augmenter. Entre les effets de la potion et son professeur, elle sentit une nouvelle fois le liquide de son excitation ruisseler librement entre ses cuisses ouvertes à sa vue.

— J'ai honte, murmura-t-elle.

— Vous ne devriez pas. Ce que vous éprouvez-là est tout à fait naturel et je dois vous avouer, terriblement tentant.

Sans plus attendre, il sortit sa langue et lécha une première fois le sexe humide d'Hermione qui sursauta brusquement contre cet organe mouillé qui savait si bien distribuer blâmes et retenues quand il ne la faisait pas hurler de plaisir.

C'est trop bon ce qu'il me fait !

— Oh ! ne put-elle s'empêcher de dire tout haut, tandis qu'il faisait la connaissance de la partie la plus mystérieuse de son corps.

Par réflexe, elle voulut serrer les cuisses mais il la retint d'une main ferme et continua à lécher et laper le moindre de ses replis avant de suçoter avec douceur son clitoris déjà rouge et gorgé de désir. Une gerbe de plaisir à l'état brute déferla en elle. Elle se cambra contre lui tout en écarquillant les yeux sous le choc de ce qu'elle ressentait. C'était tellement fort, tellement bon.

Heureux des sensations qu'il faisait naître en elle, il poursuivit sa douce torture, mélangeant avec gourmandise sa salive avec la cyprine de la jeune femme qui ne cessait de dégouliner abondamment. Un dernier coup de langue l'envoya vers le septième ciel et c'est dans un cri extatique qu'elle se laissa porter par un orgasme aussi fulgurant que dévastateur qui la laissa cependant plus excitée que repue. Elle le voulait en elle. Elle le voulait tellement fort que les spasmes de son vagin devinrent vite douloureux. Il lui manquait quelque chose.

Se redressant vers elle, il eut un sourire en coin, presque moqueur avant de se pencher vers sa bouche.

— Goûte-toi, exigea-t-il d'une voix si soyeuse qu'elle ne put que lui obéir en tendant ses lèvres pour qu'il l'embrasse sans retenue.

Folle de lui, elle empoigna ses cheveux noirs de jais entre ses doigts pour le rapprocher encore plus d'elle. Hermione avait tellement envie qu'ils se fondent l'un dans l'autre. Son odeur mélangée à sa propre saveur faillit avoir raison d'elle. Elle aimait tellement ça, c'était tellement agréable, encore mieux que dans ses fantasmes les plus torrides quand elle se caressait la nuit dans sa chambre ou pendant les cours.

Avant qu'il ne puisse faire quoique ce soit d'autre, Hermione le repoussa presque sans ménagement avant de défaire avec précipitation les boutons de son pantalon. Comprenant ce qu'elle voulait, il décida de la laisser faire.

Après tout, pourquoi pas, pensa-t-il. Voyons jusqu'où cette Miss Granger est capable d'aller.

Hermione, une fois qu'elle eut déboutonné son amant, baissa son pantalon avec son caleçon et poussa une petite exclamation de surprise quand elle découvrit le sexe tendu vers elle de son professeur de potions.

Comme il est beau, songea-t-elle tout en se pourléchant les lèvres de gourmandise.

Snape, lui, ne l'avait pas quitté des yeux. Elle ne pouvait pas s'en rendre compte mais à cet instant, elle était la chose la plus désirable qu'il eut jamais vu de sa vie. Sa manière de fixer sa queue comme si c'était là un trésor fabuleux qu'elle venait de découvrir, faillit le mettre au supplice, bien plus que n'importe quelle potion de luxure.

Hermione, toute à sa découverte, s'approcha dangereusement de lui avant de le surprendre en le prenant entier dans sa bouche. Sa saveur était indescriptible. Un peu salée et l'odeur qui se dégageait de lui était exquise et incroyablement excitante.

Elle se mit donc à le lécher tout en l'avalant, le rendant ainsi toujours un peu plus fou de désir pour elle. Incapable de se retenir, il empoigna une masse de cheveux brun avant de lui montrer les mouvements qui lui plaisait.

Il la laissa faire quelques minutes et quand il comprit qu'il n'allait plus pouvoir tenir très longtemps, il sortit de sa bouche avant de récupérer sa baguette pour lui-même se dévêtir. Une fois totalement nu, il la plaqua de son corps sur la couverture et récupéra sa bouche pour un long baiser enthousiaste. Elle gémit sourdement contre lui tandis qu'il frottait son sexe dur contre sa vulve, touchant aussi son clitoris dans le même mouvement.

— Vous me rendez fou, grogna-t-il tout contre elle quand il eut quitté sa bouche pour tracer une ligne de feu sur son cou, près de son oreille.

— Je vous en prie ! geignit-elle, incapable de se retenir plus longtemps tout en se déhanchant furieusement contre lui, leurs pubis se frictionnant l'un contre l'autre encore et encore.

—Que voulez-vous, dites-le-moi ! haleta-t-il sous l'effort.

— Vous, je vous veux vous, le supplia-t-elle. Prenez-moi, je vais mourir si vous ne me baisez pas tout de suite.

Entendre la « Je-sais-tout » de Poudlard l'implorer avec une telle vulgarité lui fit lâcher totalement prise. D'un mouvement, il se souleva pour se positionner entre ses cuisses ouvertes et la pénétra d'un coup d'estoc assez brutal. Elle cria sous le plaisir que lui causait cette brusque intrusion.

— Oh oui, professeur !

— Appelez-moi par mon prénom bon sang, souffla-t-il sous le plaisir. Je ne suis ici, non pas votre professeur mais votre amant.

— Mais, objecta Hermione, vous...

— Taisez-vous !

Severus, comprenant que, même sous l'emprise du désir elle était encore capable de tergiverser, se mit à la pilonner sans relâche, espérant ainsi qu'elle ne dise plus rien qui ne soit pas des cris de jouissance. Elle était diablement étroite et incroyablement mouillée. Jamais il n'aurait pu imaginer se sentir aussi bien en elle. Il était capable de ne jamais pouvoir se lasser d'une telle sensation.

— Exquise, grogna-t-il en fermant les paupières quelques secondes avant de les relever pour ne plus la lâcher des yeux.

C'était une erreur car à la voir aussi belle dans l'abandon, prisonnière de ses sens avec sa peau rougie et ses yeux... Bon sang... Ses yeux étaient deux pépites brillantes de mille éclats qui le regardaient lui comme s'il était... Il secoua la tête. C'était impossible, elle ne pouvait pas le voir ainsi, personne ne le pouvait. Il l'aurait souhaité que jamais ça ne lui serait arrivé. Il ferma une nouvelle fois les paupières pour s'obliger à ne retenir de cet instant que le plaisir qu'ils se donnaient mutuellement.

Hermione était à bout. Elle sentit les prémices d'un orgasme dévastateur déferler en elle, partant du point névralgique de son ravissement pour venir brûler au centre de son ventre. Le sexe de son amant continuait ses impitoyables va-et-vient, frottant inlassablement son clitoris ultra-sensible. Une nouvelle poussée lui fit rendre les armes et c'est dans un bonheur presque indicible qu'elle se contracta furieusement contre lui, heureuse de le sentir aussi gros en elle. Elle s'arc-bouta dans un dernier effort et se laissa submerger, hurlant son plaisir qu'il aspira de sa bouche en l'embrassant passionnément.

Severus ne fut pas long à la rejoindre et c'est dans un grognement sourd qu'il se rependit en elle, à longs jets de sa semence, son sexe continuant à frotter les parois internes de son vagin.

Que c'était bon, pensa-t-il grisé. Il n'y avait rien de meilleur que le sexe de Granger.

Une fois qu'il eut retrouvé sa respiration et que les battements de son cœur se furent calmés, il s'allongea aux côtés de la jeune femme encore frissonnante. L'avisant, il constata que tout comme lui, elle était en sueur, des mèches de ses cheveux étaient collées contre ses tempes. Ses joues rougies par le plaisir qu'il lui avait donné la rendait encore plus désirable. Il fronça les sourcils, pensant vraiment qu'il ne pourrait plus jamais la laisser partir.

Hermione, quant à elle, réalisa enfin ce qu'elle venait de faire. En faisant attention, elle l'observa et se tritura la lèvre inférieure de ses dents. Certes, on ne pouvait pas dire que Snape soit beau avec son gros nez crochu, mais ses yeux... Elle sentit alors son envie de lui revenir au galop, plus forte que jamais et posa une main tremblante sur son pubis, le pressant férocement. Son amant n'avait rien raté du geste de la jeune femme et la questionna du regard, un sourire sardonique aux coins des lèvres.

— Auriez-vous de nouveau un problème, Miss Granger ?

Elle gémit avant de rouler sur lui pour se frotter sans vergogne contre son corps long et mince.

— Oh oui, soupira-t-elle. J'ai même un énorme problème et j'espère bien que vous pourrez... me donner un coup de main.

— Même beaucoup plus, Hermione, murmura-t-il avant de la plaquer à nouveau contre la couverture.

oO§Oo

Les mois avaient défilé à une vitesse vertigineuse. Hermione avait amassé tellement d'heures de colles avec le professeur de potions que Harry et Ron avaient soupçonnés Snape d'avoir une dent contre leur amie. Ils étaient bien sûr loin de la vérité. Les retenues avec Severus Snape s'étaient avérées aussi excitantes que terriblement sensuelles. Bien sûr, ça, ils ne le sauraient jamais.

Cependant, ce qui avait commencé comme un jeu, s'était transformé en quelque chose de beaucoup plus profond au fur et à mesure de leurs rencontres. Évidemment, aucun des deux amants n'auraient osés avouer ce qu'ils ressentaient vraiment. Hermione avait peur plus que tout d'être rejetée, Severus, quant à lui, bataillait avec le souvenir de son premier amour, Lily Potter.

Finalement, ce fut le dernier jour d'Hermione à Poudlard qui finit par les décider à sauter dans le vide. Après tout, que risquaient-ils ?

Après la remise de leurs A.S.P.I.C, Hermione avisa son professeur de potions qui ne l'avait pas lâché des yeux durant toute la cérémonie. Ensuite, avait suivi un très grand banquet qui avait régalé tous les habitants de Poudlard. Rassasiée, Hermione s'était levée, non sans avoir salué tous ses amis présents, puis était partie faire un tour dehors avant de terminer ses bagages.

Elle se sentait heureuse et triste à la fois. Heureuse, parce qu'elle allait enfin pouvoir aider le monde sorcier à sa manière et triste, parce qu'elle allait quitter le confort d'un foyer, et qu'elle ne reverrait certainement plus jamais celui qu'elle aimait. Toutefois, elle n'arrivait toujours pas à se décider si elle devait lui parler de ses sentiments. Était-ce seulement raisonnable ?

— Je crois que vous avez un énorme problème, Miss Granger, susurra Snape à l'oreille de la jeune femme qui ne put s'empêcher de sourire.

Elle ne l'avait pas entendu arriver. Il était si silencieux.

Ils marchèrent un moment dans le parc surplombant le château de Poudlard avant qu'elle ne décide à lui répondre :

— Je ne pense pas cher professeur... Bien au contraire, je crois que c'est vous qui avez un problème maintenant.

Il arqua un sourcil, l'air étonné.

— Ah oui ? Et quel est-il ?

Elle éclata d'un rire frais, presque insouciant. Ses yeux avaient cet éclat qu'il lui avait vu si souvent quand elle le regardait, lui.

— Moi, cher Severus, vous m'avez-moi.

Elle pencha sa tête, ses joues rougirent sous l'aveu qu'elle venait de lui faire. Elle allait lui dire après tout.

Severus avait toujours cru que tout ceci n'était pas pour lui, qu'il n'était pas fait pour les fins heureuses et à observer cette belle jeune femme, il se prit à rêver que... Mais c'était impossible n'est-ce pas ?

— Et pourquoi serait-ce un problème, Miss Granger ?

Elle se passa la langue sur sa lèvre inférieure.

— Parce que je vous aime Severus. Je vous aime et je n'ai plus envie de vous quitter.

Le temps sembla se suspendre sous cette confession qu'il n'avait osé espérer, pas même dans ses rêves les plus fous.

— Vous ne cesserez jamais de me surprendre Hermione.

Mais il ne lui dit pas les mots qu'elle voulait entendre. Elle aurait dû s'en douter, après tout, elle n'était rien pour lui et ce n'était pas en lui avouant ses sentiments d'une manière presque réjouie que ça la toucherait moins. Bien au contraire.

Il fallait qu'elle s'en aille.

Elle lui sourit avant de retourner vers le bâtiment, mais il la retint par le bras. L'air se chargea d'électricité. Elle se retourna vers lui en fronçant les sourcils. Severus la fixait, le regard assombrit. Que se passait-il ? Allait-il lui dire qu'il n'avait jamais rien ressenti pour elle, hormis ce désir qui avait su l'éveiller à un millier de possibilité ?

— Severus... murmura-t-elle.

— Moi aussi Hermione, commença-t-il d'une voix douce et soyeuse, moi aussi je vous aime et je n'ai pas envie que vous me quittiez mais...

— Mais quoi ?

Il l'attira dans ses bras, se fichant bien que les étudiants les voient ainsi.

— Vous êtes jeune et moi si vieux, je ne suis décemment pas fait pour vous, ce serait égoïste de ma part.

Elle secoua la tête.

— Là..., c'est là que tu es égoïste Severus, répondit Hermione le tutoyant pour la première fois. Je sais ce que je veux et c'est toi que je désire plus que tout. Oui, je suis au début de ma vie d'adulte, j'en ai conscience mais, j'ai envie que ce soit toi qui puisses m'accompagner et me soutenir. Tu comprends ?

Elle le dévisagea, faisant passer dans son regard tout l'amour qu'il lui inspirait.

— Hermione, soupira-t-il en caressant son visage. Je le souhaite moi aussi, mais je ne pourrais pas changer pour toi. Je peux éventuellement faire quelques efforts mais n'essaie pas de me transformer en quelqu'un d'autre.

— Jamais Severus. J'espère que tu resteras l'être le plus sarcastique que j'ai eu la chance de connaître... Et que tu continueras à me combler comme seul toi sais le faire, termina-t-elle son visage se fendant d'une large sourire rêveur.

— Toujours, ma Miss-je-sais-tout, déclara-t-il.

— Toujours, murmura-t-elle à son tour.

Ils s'enlacèrent avant de s'embrasser à pleine bouche se moquant éperdument de provoquer une attaque cardiaque chez la directrice Minerva McGonagall qui passait par là.

Après tout, ils avaient la vie devant eux...

Pour toujours.

FIN


Voilà, voilà, concernant cette petite ficlette citronnée. Je ne pensais pas avoir autant de retours au premier chapitre. J'espère vraiment que le tout vous a plus, n'hésitez pas à me laisser une review, j'avoue, j'y ai pris goût, alors si vous voulez me faire plaisir ;) ... Si vraiment ce genre vous plaît, j'ai quelques histoires du même acabit à retravailler. Vous en pensez quoi ?