Harry Potter de Baker Street

Auteur : Dayja

Titre original : Harry Potter of Baker Street

Traduction: Freyja6

Notes de l'auteur :

Summary: Sherlock Holmes discovers family he never knew he had, and John Watson finds a child living in the cupboard.

Rating: PG13

Genre: AU, crossover between Harry Potter and BBC Sherlock

Warnings: references to child abuse, quite likely references to dead bodies and body parts as might be expected with a pair of men who solve crimes. If anything worse comes up, I'll let you know. This is a WIP. I cannot promise quick updates (My attention span can be intense when I start a project, but also short. If it helps, each chapter could almost be considered a stand alone, but I do intend to continue it.)

Spoilers: For the Harry Potter books…only the first one really in this chapter, but references to all seven might come up as I go along. With Sherlock, no real spoilers yet, again, but as I go along there will likely be references to the tv series. I can promise that I won't be spoiling for anything that hasn't already been shown on TV in the UK.

Disclaimer: I do not own/am not associated with Harry Potter or Sherlock. I make no money from this. Now, if you haven't been scared away by the above, on to the story.

AN: Now helpfully betaed and brit-picked by Kulfold! Anything you still find wrong is probably me being stubborn about my bad grammar or tendency to make up words that I think should exist but don't. Or it's a chapter Kulfold hasn't gotten to yet. But this first chapter at last should be improved.

Note de la traductrice: Bonjour, voici ma toute première fanfiction, j'ai décidé de me lancer dans les traductions histoire de travailler un peu mon anglais. Il y a donc peut-être des petites erreurs de traductions, si c'est le cas n'hésitez pas à me les signaler ça m'aiderait beaucoup. Je dois avouer que mon principes français vient dans la manière de tourner les phrases pour que cela soient fluides en français. Je ne vous donne pas de date précise pour la publication des différents chapitres cela dépendra de mon travaille qui a des horaires des plus aléatoires mais j'essaierai de les publier rapidement. De plus j'ai choisi une histoire complète pour être sure d'avoir une histoire finie pour que vous ne restiez pas sur votre faim. Sur ce, bonne lecture.

Ah au fait, les personnages d'Harry Potter appartiennent à J. et ceux de Sherlock Holmes à sir Arthur Conan Doyle, ainsi qu'à Mark Gatiss et Steven Moffat, pour son adaptation moderne.


Chapitre 1

John Watson était habitué à trouver des choses inhabituelles quand il arrivait à la maison. Des morceaux de corps dans le frigo, des poisons glissés dans les boites de nourritures, des expériences de chimie bouillonnants et fumants sur la table de la cuisine… c'était normal et pas inattendu, même si non encouragés. Arriver à la maison pour trouver un enfant assis en alerte mais silencieux, blotti dans le placard où John avait espéré trouver le thé qu'il avait caché, espérant que Sherlock ne le prenne pas pour le contaminer avec des expériences… C'était nouveau.

La soirée avait commencé normalement, et John était à mi-chemin de son salut habituel à Sherlock. John demandait à Sherlock comme c'était passée sa journée, surtout préventivement, pour savoir de petites choses comme : est-ce que cette boite nommée 'sucre' contenait maintenant de l'arsenic, ou quoi que ce soit d'autre que Sherlock pouvait décider être une substance appropriée dans une cuisine. Et alors Sherlock racontait à John sa propre journée. Ils étaient a mi-chemin de leur salutation, quand John voulu du thé et vit l'enfant.

C'était un garçon, probablement, vu le dragon sur son t-shirt, qui devait avoir autour de trois ou quatre ans. Si ce n'était pas suffisant, il avait des cheveux noirs qui partaient dans tous les sens et de grands yeux verts qui les fixaient solennellement tout les deux avec une grande intensité. John pouvait difficilement être blâmé, toutefois, quand sa première pensée fut quelque chose comme 'oh dieu, il a acquis un fils'. Ce qu'il dit à voix haute fut, « Sherlock… pourquoi y a-t-il un petit garçon assis dans le placard ? ».

« Quoi. » Sherlock regarda le garçon semblant surpris, comme s'il venait de réaliser qu'il était là. « Oh c'est vrai. Un homme l'a amené quand tu étais sorti. Je suis son nouveau gardien. »

John cligna des yeux. Il regarda Sherlock. Sherlock le regarda. John regarda le garçon. Le garçon les regarda tous les deux, toujours silencieux et apparemment par perturbé d'être laissé seul avec un étranger. John ouvrit la bouche et la referma encore. La réponse la plus évidente était, bien-sur, quelle personne saine d'esprit te laisserait à toi un petit enfant ? Ou peut-être, pourquoi diable penses-tu qu'il soit approprié de le coller dans le placard. ? Ce qui sortit fut en fait, « Et donc quel est son nom ? » Sherlock plissa le front comme s'il le recherchait.

« Horton ? » suggéra-t-il, « Henry ? » vu le regard non-amusé de John, Sherlock fit un geste dédaigneux de la main vers son manteau. « Il est venu avec une lettre. Tu peux la lire si tu veux. »

« Je croyais que tu avais dis qu'un homme l'avait amené. N'as-tu pas posé de questions ? »

« J'étais occupé », répondit défensivement Sherlock, « et il était un peu distrait lui-même. » Ce que John pris comme un 'non, je n'ai posé aucune question' alors que Sherlock expliquait quelle expérimentation importante il conduisait. Quand Sherlock était arrivé au moment où le vieil homme était entre train de vagabonder dans l'appartement en pointant son bâton tout en chatonnant, John arrêta d'écouter. Au lieu de cela, il se résigna à la démence de sa vie et jeta un œil sur la lettre. Elle était étrangement épaisse, par pace qu'elle était longue mais elle était écrite sur une sorte de papier médiéval ressemblant à du parchemin. Même l'écriture était un peu stylisée, calligraphiée avec une encre vert émeraude.

« M. Sherlock Holmes », lu-t-il « Je ne sais pas si vous êtes au courant, mais votre tante Lily Potter née Evans et son mari, James Potter, sont morts il y a trois ans à la veille d'Halloween, assassiné par un homme particulièrement maléfique. Leur fils, Harry Potter, fut confié à sa tante Pétunia Dursley née Evans pour qu'elle l'élève dans sa famille comme son propre fils. Il a été porté à notre attention que la famille Dursley était un environnement inapproprié pour l'y laisser. Comme c'est une situation délicate, vu la nature de la mort de ses parents et qu'un groupe de personne veut du mal à cet enfant, nous vous avons recherché dans la mesure où vous êtes sa seule famille vivante. Il est très important que le jeune Harry soit placé dans sa famille, vu qu'une protection est active grâce à votre sang et que ceux qui lui veulent du mal sont toujours présents.

Nous savons que prendre en charge soudainement un enfant peut être un peu une charge. Ainsi, une petite somme s'élevant à cinq cents livres vous sera envoyée mensuellement pour aider à son éducation. Vous devriez aussi vous attendre à ce que les services sociaux vous contrôlent comme vous vous installez dans votre nouveau rôle familial. Si vous avez besoin de plus d'assistance, votre frère Mycroft Holmes sera comme nous contacter.

Bien à vous,

Albus Dumbledore »

John leva les yeux de la lettre. Il fronça les sourcils. Cela n'avait aucun sens. Ce n'était pas comme ça que les services sociaux fonctionnaient ils ne pouvaient pas juste prendre l'enfant et le déposer, même avec la vague menace de venir les contrôler. De plus, Sherlock ne pouvait pas être son seul parent vivant. Même si les parents de Sherlock étaient morts, ce que John était hésitant à demander, Sherlock avait un grand frère, qu'ils connaissaient évidemment vu qu'il était nommément mentionné. Peut-être qu'ils étaient allés voir Mycroft en premier et que Mycroft s'était arrangé pour qu'Harry Potter vienne ici. Cela expliquerait l'étrange procédure, s'il n'y avait pas les références au sang et aux gens dehors qui souhaiteraient la mort du garçon. Où alors c'était une sorte de protection des témoins ?

« Donc c'est ton cousin ? » Fini par demander John, espérant au moins confirmer cela.

« C'est ce que le vieil homme a dit,» convenu Sherlock. « Intéressante allégation vu qu'il a accusé apparemment ma mère d'infidélité et, de ce que j'ai pu conclure, mon grand père aussi. Apparemment il y avait un fils que personne ne connaissait. Je dois encore vérifier cela bien-sur. »

« Penses-tu que Mycroft saurait ? demanda John, regardant attentivement Sherlock. Sherlock paraissait complètement indifférent au fait qu'il puisse être le fils de quelqu'un d'autre que M. Holmes et, en fait, il ne semblait pas particulièrement se rendre compte qu'il était soudainement en charge d'un petit enfant. Il semblait trop indifférent.

« Tu vas vraiment faire quelque chose au sujet d'Harry, n'est-ce pas ? » demanda John, fronçant légèrement les sourcils, « Tu sais que tu ne peux pas le laisser assis dans le placard le reste de sa vie ? »

« Bien sur que non », répondit Sherlock, « J'ai déjà envoyé un texto à Mycroft » Sherlock ne regardait toujours pas l'un ou l'autre et pour la première fois il apparu à John que, peut-être, Sherlock était un peu effrayé par ça après tout. Il était tellement hors de son domaine qu'il ne savait comment réagir. Donc étant Sherlock, il ignorait la question et prétendait qu'il n'était pas là. Se sentant toujours un peu sous le choc lui-même, John décida qu'il était temps de prendre les choses en main. Il approcha l'enfant, s'agenouillant maladroitement sur le sol pour être à son niveau. Le garçon le regardait fixement, immobile.

« Bonjour, » dit John. Le garçon le regarda. « Je suis John. Quel est ton nom ? » Le garçon le regarda. Alors sa bouche bougea et un son en sortit, presque trop bas pour être comprit. Si John n'avait pas déjà lu quel était son nom, il aurait pu penser que le garçon disait quelque chose comme 'Ry Pot'.

« Bonjour Harry », Dit John en offrant gentiment sa main pour la serrer. Harry la prit avec hésitation et sourit timidement. John se trouva à sourire en retour.

« Sais-tu où tu es Harry ? » demanda John. Le garçon devait être un peu confus d'être lâché dans son nouvel environnement et laissé au soin d'un homme qui l'a apparemment ignoré depuis on ne sait combien de temps. Prudemment, Harry hocha la tête.

« M. Sherlock est mon nouvel oncle », déclara-t-il. Alors, glissant lentement vers John, il demanda, « Etes-vous mon nouvel oncle aussi ? »

« Si tu veux », répondit John, un peu prudemment lui-même, parce que il n'était pas entièrement sûr qu'ils allaient vraiment garder le petit garçon qui avait été plus ou moins lâché sur leur palier. John ne pouvait honnêtement pas croire que Sherlock soit assez responsable pour prendre soin d'un petit garçon quelqu'un allait surement le réaliser assez tôt et l'emporterait. Toujours est-il qu'il ne pouvait pas dire non à un Harry le regardant avec tant d'espoir. Soudain, l'estomac d'Harry gronda.

« As-tu faim, Harry ? » demanda John lui souriant. A sa surprise, les yeux du petit garçon s'embuèrent.

« Je suis désolé », murmura-t-il, se blottissant lui-même dans l'espace dont il venait de ramper.

« Ce n'est pas du tout un problème », lui dit John, « J'ai moi-même une peu faim. Pourquoi allons nous pas… » Commençant à dire quelque chose comme « faire des sandwiches » jusqu'à s'apercevoir du désastre qu'était la cuisine, et changea brusquement en « sortir », Harry ouvrit de grands yeux.

« Aller dehors pour manger », demanda-t-il. « Dans un vrai endroit extérieur pour manger ? »

« Euh… dans un vrai restaurant, oui », acquiesça John. Harry lui fit un grand sourire. « Bien alors, nous avons juste besoin de ton manteau… » Il regarda encore vers Sherlock et demanda « A-t-il un manteau ? »

« Je crois » répondit Sherlock, regardant les deux avec une expression que John ne pouvait pas déchiffrer. « Il y a un sac par ici ». John regarda et trouva un sac de vêtement, dans lequel était fourré non seulement le manteau d'Harry mais aussi ses gants, bonnet et écharpe.

«Bien alors, Harry, allons t'habiller » annonça John, et commençant à l'aider à l'emmitoufler. Sherlock le regardait. John alla prendre son propre manteau et s'arrêta, se retournant vers Sherlock.

« Tu viens, » dis John, ce n'était pas une question, cependant Sherlock lui répondit « Bien sur, John. J'ai un peu faim moi aussi. »

Le fait de diner dehors fut un peu irréel, la soirée entière fut irréelle. Il s'attendait à moitié à se réveiller et de découvrir qu'il venait de faire un rêve bizarre dans lequel on avait confié le bien-être d'un petit enfant.

Au grand dégoût de Sherlock et la joie rayonnante d'Harry, John les emmena dans un McDonalds. Sherlock refusa de commander quoique-ce-soit, malgré sa déclaration précédente comme quoi il avait faim.

« Tu dois savoir que cette chaine particulière garde son bétail dans des champs engendrant la destruction de la forêt tropicale, » murmura-t-il, comme s'il se sentait réellement concerné par cela, quand John eu la certitude qu'il ne connaissait cette chose triviale que parce que Molly lui avait raconté dans une tentative maladroite de conversation à la morgue. Puis Sherlock en vint à parler de la maladie de la vache folle, gagnant plus d'une mauvaise œillade des autres clients dans la file. Harry paru préoccupé.

« Nous te prendrons des nuggets de poulet », lui dit John, et alors fusilla du regard Sherlock avant qu'il ne puisse expliquer ce qui n'allait pas avec eux. Sherlock, heureusement, resta silencieux sur le sujet. Toutefois il refusait toujours de commander.

John emmena Harry vers l'aire de jeu à l'arrière du restaurant, acceptant de tenir ses chaussures parce qu'Harry évidement semblait nerveux de les laisser derrière sans surveillance. Il semblait réticent malgré tout à jouer dedans, un peu impressionné par les tubes et les balles, mais John réussi finalement à le convaincre d'essayer. Heureusement. Parce qu'une partie de l'idée d'emmener Harry ici était de pouvoir parler à Sherlock sans qu'Harry écoute.

« Sherlock,» dit John, « Qu'est-ce que tu vas faire avec lui ?»

« Je ne vois pas où tu veux en venir,» répondit Sherlock et ce qui était triste était qu'il semblait réellement ne pas comprendre. John soupira.

« Les jeunes enfants demandent du travail », lui dit-il « ils ont besoin d'amour, et d'attention et de discipline. Et il sera le tien, pas le mien ou celui de Mme Hudson, même si nous allons aider. Vas-tu être capable de gérer ça ? »

« Le vieil homme semblait plus que convaincu que je le pourrais, » dis Sherlock. « Il semblait penser qu'il n'y avait aucun endroit où il pourrait aller. » Ce qui ne répondait pas à la question du tout, mais rappela à John qu'il en avait d'autres.

« Tu reconnais que c'est bizarre » demanda John « les vieux hommes n'ont pas pour habitude de laisser des petits garçons sans aucune information, même si tu es de la famille. D'autant plus si le foyer où il était avant était inacceptable. »

« C'est pourquoi j'ai envoyé un texto à Mycroft », répondit Sherlock, fixant pensivement là où Harry se trouvait assis dans le parc à balle, tenant une seule balle et la regardant fixement tandis que d'autres enfants sautaient et riaient et criaient autour de lui. « Penses-tu que je dois lui trouver un nom ? »

« Il a un nom » lui rappela John, un peu prudemment.

« Mais tu as dit qu'il était à moi. Le vieil homme a dit qu'il était à moi. Et Harry est un nom ennuyeux. De plus ne seras-tu pas un peu embrouillé ? »

Je pense que je peux me débrouiller en connaissant deux personnes s'appelant 'Harry', répondit sèchement John. Il avait certainement dû s'accommoder avec les années à partager son propre nom avec une demi-douzaine de ses paires en même temps.

« Même… » Répondit Sherlock, semblant toujours pensif.

« Donc tu comptes vraiment le garder, alors ? »demanda John, regardant gravement son ami, « Tu dois savoir que si tu le fais, tu ne pourras pas l'abandonner quand il deviendra ennuyeux ».

« Je ne sais pas », répondit Sherlock, regardant soudainement John avec un air perdu, « mais ils disent qu'il n'a nulle part ailleurs où aller. Tu t'y connais en enfant. »

« Oui », John acquiesça doucement, « mais je suis juste ton colocataire. Je ne serais pas son parent. Gardien, qu'importe ».

« Tu étais d'accord pour être son oncle. Je t'ai entendu. »

« Ce n'est pas la même chose, Sherlock », répondit John, « Je suis sérieux. Que ce passera-t-il quand tu auras une affaire ? Qu'en est-il de tes expériences ? »

« Qu'est-ce qu'il y a avec elles ? » Demanda Sherlock, paraissant réellement confus.

« Tu ne peux pas avoir de poisons et des produits chimiques dangereux dans les parages avec un petit enfant dans la maison ! Et tu ne peux pas te précipiter et le laisser seul pendant des heures… et non, tu ne peux pas emmener un enfant sur des scènes de crimes ». Sherlock referma doucement sa bouche, fronçant les sourcils avec irritation. « D'ailleurs, où va-t-il dormir ? »

« Le vieil homme a dit qu'il dormait dans un placard sous les escaliers. »

John ouvrit la bouche. La referma. Prit une grande inspiration, et expira encore, doucement.

« S'il te plait dis-moi que tu ne prévoyais pas de faire comme ses anciens gardiens ? »

« Et bien… ça peut sembler une peu bizarre… mais s'il y est habitué… »

« Non Sherlock ! » cria John, sa voix ferme et légèrement consterné. « Il a été emmené loin d'eux parce que garder un enfant sous les escalier c'est mal. »

« Bien,» Dit doucement Sherlock, regardant John prudemment, « Donc tu n'es pas contre l'idée qu'il ait une chambre. Avec un lit. Pas un placard. »

« Bien-sur qu'il devrait avoir une… » John s'arrêtant dans son indignation sur comment un enfant a été traité et regarda Sherlock suspicieusement. « Sherlock. Quel lit comptes-tu lui donner ? »

« Et bien il ne peut pas avoir mon lit. Ma chambre est remplie avec toutes ses choses dangereuses dont tu disais qu'il ne devait pas approcher. Donc je pensais… »

« Non. »

« Tu peux partager. Il est petit il ne devrait pas prendre beaucoup de place. »

« Il aura sa propre chambre », insista fermement John, « Une qui n'est pas déjà prise », Sherlock soupira.

« Ne sois pas ridicule, John. Dormir sur le sofa sera horrible pour ton épaule.»

« Il n'aura pas ma chambre », dit John. Sherlock le regarda. John regardait obstinément derrière.

« Oh, d'accord,» Dit finalement Sherlock, et John s'était presque détendu jusqu'à ce que Sherlock continu avec « Tu peux partager ma chambre si tu veux. Rappelles-toi juste des expériences. Et j'ose espérer que tu ne bouges pas trop dans ton sommeil.

John se figea, trouvant tant de mauvaises raisons d'appliquer ce scenario qu'il ne savait même pas par où commencer pour contredire Sherlock sur ses nouvelles propositions. John ouvrit la bouche. Sherlock le regardait, souriant agréablement parce qu'il avait trouvé la solution parfaite à tout leur problèmes. John ferma encore la bouche. Il cogna sa tête contre la table et gémit.

« N'est-ce pas assez in-hygiénique ? » Sherlock demanda utilement, regardant la table en plastique avec dégout. La réponse de John fut de gémir encore.

Enfin, la commande fut finalement faite et Harry récupéré de la piscine de balle, ce fut donc la fin de la discussion.

Sherlock, bien qu'il se fût déclaré dégouté par l'établissement entier, vola tout de même la moitié des frites. Cette nuit, John dormit dans le lit de Sherlock. Mais il fit dormir Sherlock dans le sofa.