Hey ! Salut les loulous !

Petite envie de traduction... Non non non, je n'abandonne pas Au Pair...!

Ce sont, à la base, 3 OS que je vais réunir en 3 chapitres d'une seule fic.

L'auteure est Lemwimsen, j'avais déjà traduit "Si elle se réveille" et beaucoup avaient apprécié alors me revoici. Elle parle Français aussi et lit vos reviews donc n'hésitez pas à en laisser, ça lui fera très plaisir.

Je publie le premier aujourd'hui et on verra pour la suite mais vu le nombre de mots, ça devrait arriver rapidement :)

Enjoy !


Il a longtemps été convenu que le lieu le plus chaud était Agrabah.

Mensonge.

C'est le Maine.

Plus concrètement : Storybrooke.

Et tout ça à cause de Miss Swan.

Quoi pourquoi ? Qu'est-ce qu'elle avait fait ? Non, qu'est-ce qu'elle n'avait PAS fait !

La blonde avait décidé qu'au département du shérif, il y avait besoin de gilets pare balle.

Gilet.

Pare balle.

À Storybrooke.

Complètement risible.

C'est pourquoi la mairie, plus concrètement la mairesse avait refusé la pétition. Le plus dangereux dans cette ville était le mystérieux chat errant à tendance à l'accrobranche mais sans les connaissances nécessaires pour y redescendre tout seul, et la propre présence de Miss Swan dans la ville.

Les gilets, donc, étaient inutiles et un coût inutile aussi. Dans le cas où ça aurait pu être utile… Bon… Adieu Sheriff.

Cependant, la blonde aux yeux aigues-marines avait décidé de collecter des fonds.

En premier lieu, avec une vente de gâteaux qui s'est terminé dans un échec total.

En parti parce que Mary Margareth, qui avait décidé de s'unir à la cause, était nettement plus douée dans la construction de petites maisons pour oiseaux que cuisiner. Sérieusement, il ne devait pas rester un seul arbre dans le comté sans une de ces mini maison, appartement, loft, duplex et d'autres versions miniatures pour la communauté plumifère.

En parti aussi, à cause de la carence absolue d'aptitudes culinaires de la part du propre Sheriff, au total, ils furent 6 habitants à être hospitalisés pour intoxication alimentaire, avant que ne court le bruit d'éviter à tout prix les gâteaux.

Et sans gâteaux, pas d'argent. Et sans argent, adieu les gilets.

Pour Régina, ce fut une bonne journée.

Pas comme aujourd'hui.

Ce qui nous ramène à la raison par le fait que Storybrooke était, maintenant, au sommet des villes les plus chaudes qui existaient.

Maudite Swan et sa maudite idée d'un maudit lavage de voitures, avec son maudit tuyau d'arrosage et son maudit savon et la maudite Sheriff avec son maudit débardeur blanc complètement trempé qui montre ses maudits abdominaux sculptés qui méritent d'être caressés et vénérés pendant que la blonde se soumet contre la voiture jusqu'à crier son nom…

Pour quoi ? Génial, elle a renversé le gobelet de café à emporter de chez Granny. (Elle avait oublié le thermos de café dans sa hâte pour qu'Henry n'arrive pas en retard à l'école ce matin).

Elle soupire. Jetant un dernier coup d'œil à la scène face au Granny's. (Génial ! La jeune Lucas, OBLIGATOIREMENT, doit se mettre à organiser une guerre de tuyaux d'arrosage et d'éponges savonneuses.) Avant de se tourner et…

Le débardeur.

Emma finit d'enlever le débardeur.

Elle est en bikini.

Mouillée.

Seins

Abdominaux.

Peau.

- Régina ?

Chaleur.

- Régina, tout va bien ?

Grosse chaleur.

- Hey ! Tout va bien ?

Attends, les abdominaux sont plus proches. Quoi ?

Elle lève le regard, le coulant dans des yeux aigues-marines qui l'observent, préoccupés.

- Tout va bien ? Demande sa propriétaire.

- Tout va parfaitement bien. Tout va absolument parfaitement bien, Sheriff. Sauf un détail, la plus haute autorité de notre système policier est au milieu de la rue, à moitié nue, non seulement altérant l'ordre public, mais aussi dégradant l'image de notre ville !

- Wouaw – répondit Emma – Et sans arrêter de regarder mes seins, impressionnant.

Régina lève à nouveau les yeux. Quand diable les avait-elle baissés ? Et elle découvre ce maudit sourire éhonté qu'elle effacerait avec un baiser qu'elle laisserait si…

NON !

Non.

- Je vais rentrer, Sheriff. Dans une heure, je vais repasser dans cette rue en allant au bureau, et j'espère que ce spectacle dépravé aura disparu.

Elle se tourne, ouvrant enfin les yeux et fixant son chemin jusqu'au manoir.

Storybrooke, l'endroit le plus chaud du monde.

Elle a besoin de changer ses sous-vêtements.

Et une douche froide.

Maudite Emma Swan.