Comment le sexe peut tout changer

Voilà, j'ai terminé cette petite fic. Vos encouragements tout au long de sa création m'ont extrêmement motivé, vous avez été supers, je vous en remercie. Comme promis et même si, je l'avoue, ce n'était pas prévu, il y aura dans ce chapitre une scène Ron / Hermione comme certains d'entre vous les aiment. Je l'ai écrite uniquement pour des revieweurs qui me suivent depuis le début et qui m'ont toujours soutenu. Je sais qu'ils attendaient cette scène, je les remercie plus particulièrement, les lecteurs comme eux, pour un auteur, c'est ce qu'il y a de mieux. Donc la dernière scène c'est un petit cadeau pour vous.

5 / 5 : Le retour des bières aux beurres

En sortant de l'infirmerie, Ron avait retrouvé ce qu'il avait toujours désiré : l'amitié d'Hermione. Tout était redevenu comme avant ce foutu bal qui avait tout détraqué. Ils étaient amis, faisaient tout ce que faisaient les amis, et pas plus. Ron évitait tout geste qui pourrait le compromettre, toute insinuation qui pourrait lui donner des idées et prenait tous les jours une à deux douches froides pour stopper ses pensées qui auraient pu faire rougir Voldemort lui-même. Ainsi, tout était revenu à la normal, il avait ce qu'il avait souhaité, mais avec un petit plus : Hermione n'avait plu de petit ami. C'est donc ainsi que leurs derniers mois à Poudlard s'écoulèrent, enfin, seulement jusqu'au mois de juin dans lequel figurait les dates tant redoutées de leurs épreuves pour les ASPICs. Plus l'instant fatidique approchait, plus Hermione tirait Harry et Ron à la bibliothèque.

_ Harry, concentre-toi ! S'exclama Hermione alors que son camarade reluquait une cinquième année au lieu de lire un ouvrage d'étude avancée de potion.

_ Oh, Mione, pitié ! Rétorqua le jeune homme. Je n'en peu plus ! Ce bouquin est au programme d'avant dernière année des études de médicommages. Je n'aurai pas besoin de savoir tout ça pour notre examen.

_ On se sait jamais, répliqua-t-elle. Et puis cela peut t'aider à comprendre certains détails de notre programme ainsi que l'utilisation plus complexe de certaines potions que nous connaissons déjà.

_ Cela fait des semaines que nous travaillons, dit-il. Je suis sur de finir dans les premiers même en potion et en histoire de la magie alors je t'en supplie, laisse-moi respirer et engueule plutôt Ron qui dort depuis une heure derrière son tas de bouquins.

Hermione se leva et se dirigea vers le roux qui, à l'autre bout de la table, semblait plongé dans la dizaine d'ouvrages extrêmement intéressants qu'elle lui avait trouvé sur l'art de lire l'avenir avec une carte routière moldue.

_ Ron, dit-elle en le secouant, Ron réveille-toi !

Après quelques secondes où le jeune homme essaya d'émerger, elle reprit :

_ Je me décarcasse à essayer de te trouver des livres sur une matière que je déteste et toi tu ne cherches même pas à travailler. Pire, tu fais la sieste !

_ Mione, répondit-il visiblement très lassé, arrête-toi deux secondes. Si je bosse encore je vais exploser. Mon cerveau est assez rempli pour le moment, maintenant il a le droit à un peu de repos.

_ Et que fais-tu des ASPICs ? Demanda-t-elle.

_ Je vais les réussir, nous allons les réussir tous les trois. Maintenant Mione, s'il te plaît, allons manger et reposons-nous.

La jeune fille se tourna vers Harry pour voir ce qu'il pensait de cette proposition mais il avait déjà commencé à ranger ses affaires et était prêt à partir.

_ Très bien, approuva-t-elle à l'intention du roux, allons manger.

Ils gardèrent le silence durant quelques instants, mais dès qu'ils furent sortis de la bibliothèque, Hermione ne put s'empêcher de rajouter :

_ Et ensuite nous retournerons travailler.

Les garçons se mirent alors à rire, pas le moins du monde découragés devant l'obstination de leur amie.

_ Mione, réussit à articuler Ron, il faudrait t'enfermer quelque part et t'empêcher de sortir jusqu'à ce que tu te soit calmée.

** Idée de génie : Pensée, conception neuve de quelque chose trouvaille. **

Ce jour-là, à l'aide d'une simple plaisanterie, Ron Weasley permis à Harry Potter d'avoir une des meilleures idées de toute sa vie.

Un peu plus d'une semaine plus tard, le trio avait passé toutes ses épreuves pour l'examen et n'avait plus qu'à attendre les résultats. Ils étaient sereins, calmes et reposés, n'ayant plus rien à planifier ni à étudier jusqu'à la fin de leur dernière année scolaire. Enfin, Harry ne l'était qu'en apparence. Il avait disposé de seulement deux nuits pour dénicher à la bibliothèque quelques sorts bien anciens que même Hermione ne pourrait pas connaître, pour organiser une petite escapade à Pré-au-lard et pour trouver une pièce inoccupée dans Poudlard qui pourrait résistée aux charmes qu'il avait l'intention d'y lancer. Lorsqu'arriva enfin le moment de vérité où Harry, épuisé, allait pouvoir mettre son plan à exécution, un doute vint le troubler : Et si Ron et Hermione s'entre-tuaient ? Il y pensa une seconde et, pleins de remords mais tout de même persuadé que son idée méritait d'être mise en scène, il décida de déposer une trousse de premiers soins dans la pièce qu'il avait avec tant de mal put trouver. Après tout, on ne sait jamais…

_ Que peut bien nous vouloir Dumbledore ? S'étonna une nouvelle fois Ron en suivant ses deux amis vers le bureau du directeur.

_ Je suis sure que j'ai raté mes ASPICs, déclara Hermione totalement paniquée et toujours extrêmement tendue face à l'attente de ses notes.

_ Mais non, Mione, la rassura Harry. A mon avis c'est une bonne nouvelle, il avait un sourire aux lèvres.

_ Il est toujours entrain de sourire, répondit Ron. C'est sûrement mauvais signe.

Nous en conviendrons tous, l'excuse qu'avait trouvé Harry, et qui consistait à faire croire à ses amis que leur directeur voulait leur parler pour qu'ils se dirigent vers son bureau, était complètement bidon. Seulement voilà, les deux autres ne se rendaient compte de rien et s'était aussi bien comme ça, plus vite ils seraient arrivés à destination, plus vite le plan d'Harry porterait ses fruits.

Deux couloirs avant d'apercevoir l'entrée du bureau tant de fois visités, une porte apparut, Harry l'ouvrit, poussa ses camarades à l'intérieur et lança tous les sorts d'enfermement et d'assourdissement qu'il avait pu trouver. Et, tout content de lui, il s'éloigna en sifflotant, étonné que tout ait été aussi simple.

Il fallut quelques secondes aux deux jeunes gens pour réaliser ce qui venait de se produire. Après s'être lancés quelques regards interrogateurs, Ron et Hermione se décidèrent à parcourir la pièce. Elle était assez petite, grande comme une chambre à coucher, et le sol était recouvert d'une épaisse moquette blanche. La décoration laissait un peu à désirer, on se serait dit dans un vieux repère hippie. Et les trois énormes caisses de bières au beurres gisant dans un coin étaient loin d'améliorer les choses… Une enveloppe était déposée sur une trousse de premiers secours. Sans attendre plus longtemps, Ron s'en saisit et commença sa lecture à voix haute. Hermione n'avait pas besoin d'entendre ce qui allait suivre, elle avait déjà compris le petit manège d'Harry, l'ex survivant qui allait bientôt mourir d'une façon terriblement atroce.

Ron, Hermione,

Vous n'êtes pas fait pour être amis, ça crève les yeux. Ca doit être un enfer pour vous quand vous ne vous touchez pas… en tout cas pour moi s'en est un. Ron tu piques toutes les serviettes à force de prendre des douches froides et toi Hermione tu vas faire exploser ce qui reste de mes pauvres neurones à force de les enfermer dans ta satanée bibliothèque. La moquette à l'air super confortable, je vous conseille de la tester. Ne discutez pas, sinon vous allez tout faire foirer. Et n'hésitez pas à vous servir des bières aux beurres car, à ce que j'ai pu constater, il n'y a que bourrez que vous savez agir comme il le faut.

Harry, qui cette fois-ci ne matera pas mais qui ne vous ouvrira pas pour autant.

Un cri horrifié et une centaine de jurons plus tard, les deux amis futurs assassins se décidèrent à essayer tous les contre sorts possibles et inimaginables contre cette fichue porte qui demeurait irrémédiablement fermée. Durant trois longues heures, Ron et Hermione s'acharnèrent sur le pauvre morceau de bois qui n'avait rien demandé. Sans un mot, ils s'imaginaient des centaines de scénarios plus morbides les uns que les autres pour faire payer ce cher Harry. Et mieux valait qu'ils ne parlent pas, car à l'incompréhension avait succéder la gène mais s'était désormais la colère qui avait pris le dessus. C'était la faute de l'autre et en aucun cas l'un des deux ne se remettrait en question. Fatigué de ses vains efforts, Hermione balança sa baguette de l'autre coté de la pièce et s'affala sur la moquette. Ron, quant à lui, se dirigea vers un des caissons de bières aux beurres.

_ Tu ne vas tout de même pas en ouvrir un ! S'exclama Hermione en regardant faire le roux.

_ Et pourquoi pas ? Demanda-t-il en déchiquetant le carton et en se saisissant d'une bouteille.

_ Parce qu'Harry va croire qu'il a été plus malin que nous et que nous nous sommes saoulez ! Répondit-elle énervée.

_ Ne me gueule pas dessus ! S'écria-t-il. Cette comédie est tout sauf de ma faute.

_ Insinuerais-tu que c'est de la mienne ? Questionna la jeune femme.

_ Si tu ne l'avais pas traînée à la bibliothèque tous les jours que Dieu fait pendant deux mois, il n'aurait pas pété les plombs et nous n'en serions jamais arrivés là, répliqua le jeune homme.

_ Ce n'est pas moi qui prends des douches froides pour un oui ou pour un non ! Répondit-elle.

_ Tu n'as qu'à pas m'allumer et je me tiendrais sûrement plus tranquille.

_ Moi ! S'écria-t-elle. T'allumer ! Non mais tu te fais des films Ron Weasley.

_ C'est ça, fit-il en reposant violemment la bouteille à sa place, je me fais des films. Mais toi ne joues pas à la pauvre jeune fille naïve et offensée par l'obsédé de service.

_ C'est toi qui l'a dit pas moi, continua-t-elle. Ce n'est pas de ma faute si tu passes ta vie à fantasmer !

_ Et ce n'est pas de la mienne si tu meurs d'envie de te faire sauter ! Répliqua-t-il.

_ Va au diable ! S'exclama-t-elle en se retenant de le gifler et en allant s'asseoir à l'autre bout de la petite salle.

Ron s'était immédiatement rendu compte qu'il avait été injuste. Il alla s'installer derrière elle et cala le dos de la jeune fille contre son torse pour pouvoir poser sa tête sur son épaule.

_ Excuse-moi, dit-il doucement.

_ Toi aussi excuse-moi, répondit-elle instantanément. Cette situation me rend assez nerveuse, je t'aies dit n'importe quoi.

_ Ecoute, dit-il calmement. Il faut que l'on s'explique, car je crois qu'Harry n'a pas complètement tord.

La jeune fille se tut et l'écouta.

_ Cette aventure qu'on a eue, car il faut appeler les choses par leur nom et s'en était bien une, s'est finie très brusquement. Je pense que notre problème, c'est que nous n'avons pas osé en parler après notre réconciliation, de peur de nous disputer.

Il la sentit approuver d'un signe de tête.

_ On a laissé croupir tous nos ressentiments, ajouta Hermione, et ça à fait renaître une sorte de désir. En faite, c'est comme si nous n'avions pas tiré de trait sur ce moment de notre histoire et que tout n'était pas réellement terminé.

_ Il faut qu'on arrête tout, Mione, conseilla Ron. On risque de tout gâcher.

_ Tu as raison, admit Hermione.

Elle se retourna vivement vers son camarade et s'agenouilla en face de lui, semblant hésiter à dire quelques choses. Elle se mit à rougir.

_ Il faudrait qu'on fasse quelque chose d'officiel qui déclarerait qu'on ne sera désormais que des amis, proposa-t-elle en rougissant de plus belle.

_ Tu veux que je te signe un papier ? Demanda Ron, étonné, ne comprenant pas le soudain émoi de sa camarade.

_ Non, dit-elle gênée. Je pensais plutôt à quelque chose ressemblant plus à… je ne sais pas moi… une poignée de main.

En voyant le regard quémandeur et empli de désir d'Hermione, Ron comprit et se mit à sourire.

_ Ou à un baiser.

_ Voilà, dit-elle en se mordant la lèvre. Un truc dans ce genre là…

_ Et si je te faisais l'amour, là, pour dire que c'est officiellement la dernière fois, ça t'irait ?

Elle le regarda en souriant et se colla contre son torse.

_ Oui, oui. Ce serait très bien…

Depuis le temps qu'il en avait envie, Ron n'allait pas se faire prier. Un instant plus tard, il se saisit des lèvres de la jeune et lui donna ce baiser qu'il avait depuis si longtemps retenu. Leur langue se cherchaient, brutales, et témoignaient de cette envie qui les consumait. Au bout de quelques secondes, Hermione se redressa et commença à se déshabiller. Ron, qui aurait du en faire de même, fut incapable de bouger et préféra la regarder faire, il ne voulait pas en perdre une miette. Lorsque la jeune fille fut enfin nue devant lui, il se demanda comment il avait pu se retenir si longtemps, comment il avait pu essayer de se persuader qu'elle était juste une amie et qu'il n'avait aucune envie de lui faire toutes les choses qui lui venaient maintenant à l'esprit. Alors que son regard s'attardait sur sa poitrine, il se rendit compte qu'il allait être impossible pour lui de se retenir plus longtemps. C'était bien la première fois qu'il était si pressé de faire l'amour à une femme. Il fit un signe de main à Hermione lui priant de le rejoindre, de revenir s'agenouiller près de lui, et elle s'exécuta. Il l'attrapa par les hanches et la serra tout contre lui, sentant sa poitrine s'écraser contre sa chemise. Ils s'embrassèrent encore et elle en profita pour dénouer la cravate du jeune homme et pour déboutonner les premiers boutons de sa chemise. Mais, quand le baiser fut terminé, Hermione ne put continuer la tache à laquelle elle avait commencé à s'atteler. Ron l'écarta de lui et, tenant toujours ses hanches, la tourna dans l'autre sens et la fit se mettre à genou. La vue imprenable que lui offrait la jeune fille en s'abandonnant ainsi ne fit que lui rappeler le besoin pressent qu'il avait de la pénétrer. Il malaxa ses fesses un moment avant de remonter ses manches et de baisser son pantalon et son caleçon, sachant très bien qu'il ne pourrait pas attendre d'être complètement nu pour prendre sa partenaire tant son désir était puissant. Il la tint par les hanches pour bien se positionner à l'entrée de son sexe et entra doucement en elle, certain que cette nouvelle position allait fortement plaire à Hermione. Il avait tant de fois eu envi de la prendre en levrette qu'il avait du mal à savoir s'il rêvait encore ou s'il était bel et bien éveillé. Le dur et rapide mouvement de ses hanches fut bientôt adopté par la belle et il ne leur fallut pas longtemps pour s'abandonner complètement en plaisir. A chaque va et vient, Ron sortait presque entièrement du vagin de la jeune fille pour pouvoir la pénétrer plus durement encore la fois suivante. Et elle, elle devenait complètement folle, ce nouvel angle lui permettant de le sentir encore plus profondément en elle. Elle n'arrivait plus à tenir, bientôt elle allait s'écrouler par terre tellement ce sentiment de plénitude la terrassait. Lorsque les gémissements de Ron se muèrent en un râle de plaisir et qu'elle le sentit se déverser en elle, elle ne put se retenir et cria si fort son prénom qu'elle fut heureuse de n'avoir pas réussi à contrer les sorts d'assourdissements et d'enfermements d'Harry. Epuisée mais comblée, elle se laissa glisser à terre et se retourna difficilement sur le dos pour pouvoir voir Ron qui s'allongeait près d'elle et encerclait son ventre de ses bras. Lui, il était totalement perdu et était incapable de penser. Ils restèrent un moment ainsi avant que le jeune homme ne se décide à s'asseoir à califourchon sur Hermione. Il lui caressa le visage et ne put détacher son regard du sien, la trouvant magnifique, faite pour lui.

_ Je ne peux pas, dit-il simplement.

_ Tu ne peux pas quoi ? Demanda-t-elle confuse.

_ Supporter le faite de savoir qu'il t'a touché, qu'il t'a caressé, et que tu as aimé ça.

Elle sourit et se redressa sur ses coudes, pour pouvoir se rapprocher de ses lèvres en espérant qu'il l'embrasse, ce qu'il ne fit pas.

_ Je suis sérieux, affirma-t-il.

_ Moi aussi, répondit-elle. Embrasse-moi.

_ Non.

_ S'il te plaît, c'est du passé. Oublie et embrasse-moi. Surmonte ta jalousie, juste pour moi.

Il la regarda dans les yeux et elle lui répéta :

_Pour moi.

Il soupira mais s'inclina, et déposa un doux baiser sur ses lèvres alors qu'elle souriait. Il lui lança un regard interrogateur et elle lui sourit encore plus.

_ Je ne l'ai pas fait. Avec Martin, je n'ai pas pu.

Il sembla d'un coup extrêmement soulagé et l'embrassa encore une fois, beaucoup plus à cœur qu'une seconde auparavant.

_ Pourquoi as-tu l'air si heureux ? Questionna-t-elle.

_ J'ai toujours été très possessif, décréta-t-il.

_ Tu parles ! S'exclama-t-elle. Tu n'en as jamais rien eu à faire de tes ex !

_ Ce n'est pas pareil quand j'aime ma petite amie, répondit-il très sérieusement en la faisant rougir. J'ai été le premier et je compte bien être le dernier.

Devant le silence de la jeune fille, Ron se mit à douter et se sentit vraiment idiot.

_ Et alors ? Demanda-t-il impatient qu'elle se décide à ouvrir la bouche.

_ Alors ? Répéta-t-elle un instant plus tard. Je crois que l'on devrait concrétiser les choses, Harry ne viendra pas nous ouvrir tout de suite…

Et c'est en sachant qu'ils ne seraient plus jamais amis que les deux jeunes gens se laissèrent submerger par une nouvelle vague de désir.

Bénits soient Harry et les bières aux beurres, pensa Ron en l'embrassant encore une fois.

**Fin**

Voilà, cette histoire est terminée. Merci beaucoup de l'avoir leu, cela m'a fait très plaisir. N'oubliez pas de me donner votre avis. Bisous.

Ange !