Titre : Et si cet anneau de diamant virait au cuivre (And if that diamond ring turns brass)

Auteur : Hanakai Mikakedaoshi

Traduction de l'Anglais : Elehyn

Disclaimer : Le monde de Harry Potter appartient à J. K. Rowling.
Warning : Slash SS/HP plutôt sombre.

Sommaire : - The Broken Lullabies Arch ligne C – Continuité de 'Chut Petit Bébé.' Ainsi que de 'Ne dis pas un mot'. UA.
Note de la traductrice : Comme je vous l'ai déjà dit, l'auteur n'a pas terminé cette fic et la quatrième partie est à venir. Quand ? Je ne sais rien du tout. En tout cas, pour le moment, je place cette fic en 'complète' mais sachez que dès que le prochain chap sera écrit, je vous le traduirais. De plus, vous m'excuserez pour la traduction aléatoire de l'extrait de 'L'homme invisible' mais ce n'était pas très facile et je n'avais pas le contexte globale donc je ne suis pas sûr de tout. J'ai fait comme j'ai pu mais je ne garantie pas la totale exactitude des phrases. Et enfin, ce chapitre a été écrit en deux versions. Une version a été postée sur ce site et l'autre a été publiée sur adultfanfiction.net à cause des restrictions de rating. La partie qui a été supprimée était le début de ce chap et qui se compose d'un rêve de Sev. Je ne le traduis pas par respect pour l'auteur. Elle n'a pas voulu le publier sur fanfic donc je ne le ferais pas non plus. Elle a dit à tous ses lecteurs que de manquer ce rêve n'avait pas une grande incidence sur le reste du chapitre, ce qui est vrai. Pour que vous sachiez en gros, Sev rêve que Harry et lui font l'amour. Ils ont tous les deux les yeux bandés mais Severus se voit comme s'il était en dehors de son corps et il se voit supplier Harry de continuer de bouger tout en voulant qu'il arrête. Il voit Harry le blesser avec ses ongles et déchirer sa peau jusqu'à ses organes puis entrer en lui. Ils ne font plus qu'un. Harry est en quelque sorte sous sa peau (ça ne vous rappelle rien ?) et ensuite, Severus découvre qu'il n'a plus de sexe. Il a comme disparu, à l'instar de Harry. Et là, il se sent seul et se réveille. Voilà. Même si je n'ai pas traduit ce passage, je préférais vous l'indiquer pour ne pas que vous vous posiez la question quand même.



&

Quatrième strophe :

Et si ce miroir se brisait
And If That Looking Glass Gets Broke

&

" 'Maintenant, tu es libre de toutes illusions,' me dit Jack, en pointant mes cosses de pépites volant dans les airs.

'Qu'est-ce que ça fait d'être libre de ses illusions ?'
Soudain, je lève les yeux à cause d'une douleur tellement intense que l'air semble rugir comme un martèlement de métal et j'entends :
QU'EST-CE QUE CA FAIT D'ETRE LIBRE DE SES ILLUSIONS . . .
Et à cela, je réponds 'Douloureux et vide' tandis que je vois un papillon scintillant tourner trois fois en rond dans les airs, au dessus de mes membres rouges sang puis, remonter sous la haute voûte du pont.
'Mais regardez,' dis-je en le pointant.
Ils regardent et éclatent de rire. Et soudain, en voyant leurs mines satisfaites, je comprends. Je m'esclaffe alors vers Bledsoe, les faisant sursauter. Là, Jack s'avance avec curiosité.
'Pourquoi ris-tu ?' demande-t-il.
'Parce que, comme revers de la médaille, je vois maintenant ce que je ne pouvais pas avant,' réponds-je."
L'homme invisible
Ralph Ellison

&

.

.
Lundi soir. Dîner. Je hais les lundis. Mais, bien sûr, pas autant que je hais tes clébards.

Black et Lupin. Mes lèvres se déforment en un ricanement de circonstance. Ils sont partis maintenant. Je les ai insulté quand ils étaient ici et à présent qu'ils ne le sont plus, je les injurie davantage. Toute la lumière – cette lumière factice qu'Albus et moi-même t'avons forcé à ingurgiter – semble s'être douloureusement obscurcie. Ce manque teint mon humeur de noir, un noir plus intense que celui dans lequel je vis habituellement. Je souhaite que tu souris.

Je n'avais jamais compris à quel point j'avais besoin de ce sourire. Au moins pour me rassurer en me montrant que, pour toi, tout va bien.

Je soupire et mes yeux se détournent vaguement de toi pour se fixer sur ma tasse de thé qui est froide entre mes mains. Je prétends ainsi être momentanément fasciné par mes doigts dansant légèrement sur le rebord de céramique. Je n'ai pas été dans l'humeur adéquate pour boire du thé récemment. Mes ongles sont noirs et ont ce qui semble être de la peau de lugworm sous eux et les bouts de mes doigts sont tâchés de quelque chose d'un marron doré qui détient une légère odeur de thym et de muscade. Cela donne à ma peau l'aspect d'un curieux coup de soleil que je n'avais jamais vu auparavant. Une de mes phalanges décolorées glissent à l'intérieur de la tasse et, paresseusement, je la regarde pendant un instant avant de balbutier un sort de chauffage. La température du liquide s'élève lentement alors jusqu'à ce qu'une vapeur s'en dégage. Je ne recule pas mes doigts tandis que le thé commence à frémir, voulant – ayant besoin de – ressentir la douleur. Je sais que cela devrait me faire mal mais ça ne le fait pas. Pas assez.

Le dernier d'une longue lignée d'incompétents (si ce n'est pas outrageusement dangereux) professeur de Défense Contre les Forces du Mal m'observe curieusement et, impassible, je lui rends son regard directement. Il détourne alors rapidement les yeux.

De l'autre côté, Chourave est en train de bavasser avec Minerva à propos de Quidditch ou peut-être simplement de balais (insipide conversation, bien que l'idée du pléthore préfet des Poufsouffle assis sur un balai me donne envie de m'esclaffer) et ma tête me fait horriblement mal. Mes yeux sont secs et irrités mais je peux toujours sentir les coups d'œil furtifs d'Albus sur moi. Coups d'œil qui sont légèrement assombris par l'inquiétude.

Arrêtez de me regarder Albus.

Ma tête me fait mal.

Je veux aller prendre un bain.

… Me plonger dans l'eau, expirer et inspirer et ne jamais refaire surface. Je l'ai fait une fois lorsque j'ai commencé à enseigner. Mais Albus m'a trouvé. Il en avait été vexé à l'époque. Bien sûr, quantité de cognac mêlé d'absinthe avait alors rehauss mon état d'esprit. Je n'ai jamais plus repris de ce mélange depuis.

A la place, je fais de nouveau courir mon doigt tout autour du bord de la tasse, souhaitant que cette tasse soit toi ou que le thé soit du Porto. Ou toi, rempli de Porto.

Mmmmm . . .

Encore mieux.

Ma tête me fait mal.

« Severus, vous vous sentez bien ? »

Oui Minerva ? « Oui Minerva. »

Depuis que j'ai commencé à enseigner, elle a toujours été une mère pour moi – me prenant sous son aile de Gryffondor et gardant un œil sur moi. Parfois, j'apprécie cela bien plus que je ne pourrais jamais l'exprimer. Mais d'autres fois, cela me donne envie de la tuer. Ou de me tuer moi. J'ai parfois du mal à faire la distinction entre moi et les autres.

Il est tellement plus facile de blesser tout le monde de manière égale.

Tu vois ? Je suis plus juste que tu ne le penses.

La table des Gryffondor éclate de rire soudainement à propos d'un sujet qui, s'il me serait arrivé aux oreilles, aurait probablement valu un retrait de points et je grimace comme mon doigt glisse de nouveau dans le thé bouillant. Et, ensuite, j'entends cette voix dont l'étrange nuance est tienne et ne peut être émise que par tes lèvres.

Tes lèvres.

Merlin.

Ma tête se relève d'un coup et mes yeux se fixent sur toi. Le reste de la salle baigne dans le flou tandis que toi, tu es là, parfaitement visible. La tête légèrement penchée en avant, face enfouie dans tes mains tandis que tu ries avec insouciance à quelque chose. Tu es si immature. Un insolite bourdonnement résonne à mes oreilles et ma main glisse, renversant la tasse de thé. La nappe d'un blanc immaculé se nimbe du marron rougeâtre du liquide qui s'étend et j'entends jurer l'incompétent professeur de Défense mais mes yeux ne peuvent pas se détacher de toi. Je ne peux seulement regarder que toi.

Toi.

Cette fois-ci, c'est différent. Comme si je voyais quelque chose de nouveau. Quelque chose que je voyais mais que je ne réalisais pas. C'est étrange et confondant. Cela fait s'agiter en moi, quelque part derrière mes yeux, un battement sourd. C'est comme s'il y avait une symphonie des elfes de maison qui se jouait dans ma tête.

Tu as arrêté de rire.

Mes mains tremblent.

Qu'est-ce que j'ai vu . . .?

De jolis yeux verts. Des cheveux noirs corbeau.

Une petite bouche bizarre composée de deux appétissantes et douces lèvres roses. De délicates pommettes qui commencent à devenir plus saillantes. Des petites mains calleuses dont les doigts connaissent le travail et sont munit de minuscules ongles arrondis. Des membres qui sont trop longs pour toi mais qui restent tout de même petits. Tu ne seras jamais quelqu'un de grand. Tu ne mesureras jamais près de deux mètres. Tu es trop petit. Trop. . .

. . .

Trop . . .

(Ma tête me fait mal.)

. . .

(Et je ne veux pas voir ça.)

. . .

Mais c'est juste ici, juste là.

Tu es jeune . . . jeune . . .

Jeune.

Pas jeune de cette façon qui semble me faire vouloir te jeter sur le sol depuis peu… juste… petit. Et il y a quelque chose à propos de ça qui me perturbe et qui me fait te fixer ainsi, sachant que tu te rends compte de mon regard constamment posé sur toi et que tu en es gêné, mais je sais aussi que c'est trop important. Il y a quelque chose ici, quelque chose qu'il me faut voir. Mais je ne peux pas.

Et là, la pensée me frappe avec une telle force que j'éclate presque en sanglot. Immature. Bien sûr. Tu es un enfant. Un enfant. Tu es un gamin.

Je le savais. Je sais que je le savais. Mais . . . Je ne sais pas pourquoi, cela ne m'est jamais venu à l'esprit.

Et je me sens malade.

Merlin.

Un enfant.

Un enfant dans mes bras.

Un gamin sous moi.

Un étudiant sous moi . . .

Et cet étrange, impitoyable et jusqu'ici inconnu, rapprochement entre le fait d'avoir sodomiser Harry Potter et d'avoir violer un de mes étudiants me rend soudainement malade et je sens mon estomac s'alourdir.

Je ne veux pas . . . Je ne peux pas . . . Oh, mon dieu . . .

Qu'ai-je fait ?

Et ta bouche terrible se tord avec mépris tandis que tu me fusilles du regard, méfiant et j'en ai presque des hauts de cœur.

Suis-je en train de trembler ?

Qu'ai-je fait ? Et pourquoi ai-je envie de le faire encore et encore et—

La pièce tangue. Tout tourne.

Je ne peux pas. Je ne peux pas. Il faut que je quitte cet endroit.

Je ne peux pas.

Oh . . . mon dieu. J'ai soudain du mal à respirer. Du mal à voir. Du mal

« Severus ? Severus, allez-vous bien ? »

Oh . . . Oh . . . taisez-vous Minerva.

« Severus ? Voulez-vous que j'aille chercher Pompom ? »

La pièce tangue plus fort. Le sol se penche. Quand est-ce que je me suis lev ? Suis-je vraiment debout ?

« Severus ? Allez-vous bien ? Vous êtes si pâle mon garçon… »

Albus . . . « Albus . . . . » C'est si difficile de respirer. Suis-je pris d'une crise d'angoisse ?

« Albus . . . » Albus . . . « Il faut que . . . je m'en aille . . . »

Il est devenu, dernièrement, dans mes habitudes de fuir en sa présence.

Le château tournoie dans un kaléidoscope de couleurs et j'ai la plus étrange impression que le sol est en fait un mur et que les murs sont quelque part vers le plafond et lecoin menant à ma chambredevaitêtre part là et iln'yestpaset je n'arrive pas à penser tant ce maudit battementdansmatête fait rage et un étrange petit rire/sanglot ne fait qu'augmenterdansmagorgeetoùpuis-jebienêtrebonsangpourquoinepuis-jeplusrespirerjejejejeje

Je

.
.
.
.
.
.
.
.

Je suis désolé.

Si désolé.

Et puis là, il y a ma porte et puis là, il y a mon salon et puis là, il y a ma cheminée et puis là, il y a moi.

Il y a moi.

Seul.

Le feu crépite à côté de moi, accentuant la pression entre mes oreilles.

C'est chaud.

Je ne le ressens pas.

Je ne ressens plus rien maintenant.

Pourtant, la chaleur est facile à absorber et les petites étincelles de lumière qui se reflètent dans mes prunelles s'évanouissent du coin de mes yeux tandis que je presse mon front contre la pierre chaude du sol.

Le sol.

Oui.

Je m'y assieds.

Seul.

Combien de temps s'est passé ? Il me semble que cela n'ait duré qu'un court moment – Je ne me rappelle même plus comment je suis arrivé ici – mais je suis là et mes jambes sont engourdies. Je suis assis sur le sol. Il fait chaud ici. Mais j'ai froid.

Si froid.

Et sale.

De toutes les choses que j'ai faites, ceci – toi – a été la pire. Et c'est celle que je regrette le moins.

Malademalademalademalademalademalademalademalademalade…

Comment est-ce possible de vouloir quelque chose à ce point et de le repousser en même temps ?

Si j'étais un homme plus grand, plus noble ou un moins que rien, je pense que j'éclaterais en sanglots. Je m'arracherais les cheveux et hurlerais et frapperais ma tête contre les pierres humides de mes cachots. Mais je ne suis pas un moins que rien ni un grand homme, alors, je me roule juste en boule sur le sol et fixe les flammes, désirant ardemment de l'alcool mais trop blessé pour bouger.

Trop . . . Tout.

Et je souhaite brusquement que je sois un homme médiocre ou noble parce que je ne peux pas m'arrêter de te vouloir. Vile, horrible créature que tu es – que je suis – je ne peux pas cesser. Je ne pense même pas que je veux arrêter également. Et que ferais-tu si tu me voyais ainsi maintenant, nauséeux de par ma propre haine pour moi et en complète érection pour un gamin ?

Je te hais Harry Potter.

Je te hais pour tout ce que je suis et pour tout ce que je suis devenu.

Je te hais parce que ta saveur entêtante qui me hante toujours était trop et jamais assez. Je te hais parce que je n'ose pas te toucher mais n'ose pas non plus te laisser tranquille. Je te hais parce que je suis seul.

Je te hais parce que, dans tous mes péchés, dans toute ma dépravation, J'AVAIS UNE LIMITE ! J'avais la ligne à ne pas dépasser, la Grande Séparation entre moi et la réelle damnation. Entre mes désirs conscients et les paisibles murmures de mon subconscient la nuit. Parce que… Parce que… si je ne t'avais jamais touché… je n'aurais jamais su à quel point je le voulais – et le veux toujours – et je ne t'aurais jamais donné, à toi - un étudiant, une seconde pensée. Et la faute est entièrement mienne.

Tu ne le voulais pas. Ne le méritais pas. Ne mérite pas le fardeau de mon… affection.

Mon dieu, que t'ai-je fait ?

Oui, amour. Je te hais… même si je ne peux pas réellement te haïr.

Et donc, je me hais moi-même pour toutes ces raisons et plus encore.

Alors je m'assieds, vide, malade, et les yeux secs en face du feu, me pleurant moi-même. Qu'en dirais-tu ?

« C'est juste Snape étant Snape. »

Oui Harry. Amant. Innocent. Enfant.

Je suis juste Snape – nez crochu, pas séduisant, injuste, graisseux, favorisant les Serpentard, le plus salaud des professeurs.

Severus Snape – un monstre, mangemort, meurtrier, violeur, espion, agresseur d'enfant, menteur, traître, homme. Pas un grand homme mais pas un petit non plus. Juste un homme – tragiquement arrogant et stupidement amoureux. D'un amour écœurant, vide et impossible. Juste un homme qui était, jusqu'à ce jour, toutes ces choses et plus encore.

Severus Snape – un homme qui était tout, jusqu'à maintenant, sauf un lâche.

- FIN DE LA TROISIEME PARTIE –

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Noa Black : Pas de problème la belle, je féliciterai Hanakai de ta part. Et merci pour tes compliments, ils me font très plaisir, surtout que je me suis toujours trouvée nulle pour les trads.

Onarluca : Merci puce. Tu sais que c'est quand même un peu grâce à toi que je l'ai traduite cette fic parce que je t'en avais parlé et que tu m'as encouragée à le faire. Au final, j'en suis très contente, ainsi j'ai pu vous apporter les sentiments que j'ai ressenti en lisant cette sublime histoire.

Orlina : Sacrilège ! Tu as osé aller lire la suite en Anglais ! Je ne vais pas m'en remettre ! Lol. Alors, tu me diras comment tu as trouvé. En tout cas, tu as bien eu raison de le faire. A ta place, j'aurais fait la même chose )

Lola Reeds : Moi aussi j'ai bien aimé le passage avec Mumus la ménagère. Je le voyais bien avec un vieux tablier sur lui, un foulard sur la tête et un plumeau à la main. C'est très sexe. Lol.

Mikii : J'ai utilisé le vouvoiement pour deux raisons. D'une part, le traducteur officiel des HP (Ménard) les fait se vouvoyer sauf dans la scène de la cabane hurlante aux les vieux comptes refont surface et de plus, à un moment, l'auteur de la fic a dit que Severus était saisi par la familiarité de Lupin envers lui quand il prononce son prénom. S'il je les avais fait se vouvoyer, ça aurait été contradictoire vu qu'il n'y a 'rien de plus familier' que de se tutoyer. Ca aurait été vraiment étrange sinon. Et pour l'attitude de Sev concernant Harry, je pense que tu vas mieux comprendre à travers ce chap. Tu auras remarqué qu'il qualifie souvent Harry de gamin, or, il n'est plus un gamin mais du point de vue de Sev, si. Il a déjà là des scrupules (différence d'âge), de plus, il s'en veut de ce que Harry lui fait ressentir – lui qui doit toujours tout maîtriser. Là, il ne contrôle rien. Je crois qu'il a l'impression de devenir tout ce qu'il déteste et d'ailleurs, la phrase finale le prouve. Il dit qu'il est lâche maintenant alors que c'est presque phobique chez lui d'être un couard. En fait, sa raison ne lui permet pas de montrer ses sentiments à Harry tandis que son cœur le voudrait mais il l'étouffe et ça le tue progressivement. Tu ne peux pas savoir à quel point j'ai hâte de lire la suite… qui n'est pas écrite. Ouin !!!! )

MaliciaSlytherin : Tu me diras si tu as eu ton brevet. Je croise très fort les doigts pour toi mais si tu n'as eu de difficultés que dans une matière, ça devrait être bon. Ca dépend aussi des points qui te manquaient ) Pour la fic et en particulier Lupin, non il n'est pas au courant mais son instinct lui dit qu'il se passe quelque chose d'étrange. Il se doute donc qu'il y a quelque chose qui ne va pas et puis l'attitude de Sev est bizarre et il la remarqué, comme Harry commence à la remarquer aussi.

Merawen : Moi aussi j'ai quelques doutes quant au fait que Sev et Riry puissent être ensemble après mais d'un côté, si Harry prend conscience des sentiments que Sev a pour lui, il le verra automatiquement différemment et donc qui sait ce qui peut se passer ensuite. Pour la régularité des updates de l'auteur, en fait, ça dépend. Récemment, je trouve qu'elle a publié pas mal mais parfois les posts sont plus espacés. Malheureusement pour cette fic, elle n'a pas écrit la suite depuis un bon bout de temps et en a écrit d'autres. Cependant, je garde espoir parce qu'elle a écrit, dans sa bio, que la suite devrait arriver bientôt et je en pense pas qu'elle a abandonné cette histoire )

Laika la Louve : Moi, j'ai commencé à lire les HP après avoir vu le premier film donc ça m'a influencé sur l'appréciation de Snape. Il a été accusé pendant tout le film et on voit, à la fin, que ce n'est pas lui. Quand j'ai lu le premier livre, il m'a fasciné de suite mais pas autant qu'au fur et à mesure des autres livres et au quatrième, j'étais vraiment fascinée. C'est le genre de personnages que j'adore (pas sa cruauté) mais son côté mystérieux (je suis curieuse de nature et j'aime pas quand les gens souffrent) et justement, il a souffert, il cache plein d'ombres mais on devine des choses de lui et il me fait de la peine parfois. Je le pense comme un incompris de la société. Personnellement, je trouve évident qu'il a honte d'avoir été un mangemort et qu'il essaye par tous les moyens de faire montrer qu'il n'en ait plus un et Harry, Ron, etc… se méfient encore de lui mais je ne pense pas qu'il va les trahir. J'adore Sev. Bon, je vais m'arrêter là parce que je peux en faire tout un roman. Lol )

Faren : Moi aussi j'espère énormément sur les petits signaux qu'a décelé Sev de la part de Harry. Mais optimisons, l'espoir fait vivre et on veut du slash ! Lol )

Minerve : Moi aussi j'espère que Severus ne va pas faire de bêtise parce qu'il sombre de plus en plus le pauvre. Sinon, oui, Remus a perçu quelque chose d'étrange mais il ne doit pas encore savoir quoi.

Love d'Harry : Oui, j'aime bien aussi connaître les réflexions personnelles mais je pense qu'il ne faut pas que ça dans toutes les fics. Ca dépend du sujet de l'histoire et aussi l'ambiance que l'on veut donner, le genre de l'histoire. Là, c'est exactement ce qu'il fallait pour comprendre l'étendu du désespoir de Sev. J'adore découvrir Sev ainsi (même si je l'aimerais plus heureux dans les prochains chaps).

Astronema : Je suis contente que la fic te plaise :)

Céline.s : Il est beau Sev quand il souffre. Lol. Ce que j'aime dans cette fic c'est l'obsession qu'il a pour Harry et de voir comment ça le détruit (non j'ai pas une fascination morbide. Lol) mais j'aimerais que Harry et lui se rapprochent. Ca serait mieux pour eux comme pour nous )

Woodland-Dew : Oh, God! It's a pity that you had not seen that this story was actually a translation. The original fiction is in English and the author is Hanakai. You can find her stories with her pen-name and she's also in my favorite autors' list. By the way, I'm glad that you like this story and I'm impressed by your French because I know that it's not the easiest fic to read, even for the French. Big kisses ;)

Vif d'or : De rien pour les explications ;) J'espère que ce chapitre te satisfera plus que le précédent.

Je vous fais à tous de très gros bisous.