Titre : Harry Potter : Un Amour Impossible... ( g vu qu'il existé déjà une fic qui s'apellait comme ça, je ne sais plus de qui elle est... Mais ma fic, ça fait un peu plus d'un an que je l'écris et ça a toujours été le titre, donc je suis vraiment désolée si ça a le même titre qu'une auutre fic, mais bon, j'ai pas enve de changer de titre... )

Auteur : PtiteNinine ( c'est Moi, mais vous pouvez m'appeler Marine ! LoL !)

Disclamer : Bien... Alors les persos sont pas du tout à moi, en fait je les ai trouvé dans des supers boukins... je sais si vous connaissez... ça s'apelle Harry Potter ? Y'en a 5 de parus pour le moment... ça vous dit quelque chose ? Ouais ? Bien donc c'est là que je les ai trouvé, mais ils sont tous droit sortis de l'imagination de J.K. Rowling ! Enfin, bref... Y'aura quelques personnages inventés par PtiteNinine ( Que, n'oubliez pas, vous pouvez également appeler Marine... ) !

Genre : Alors là... Y'en a qui trouve ça drôle ! Donc ça peut être classé dans "Humor"... Mais c'est aussi une histoire d'armour... donc ça peut également être plassé dans la catégorie "Romance"... Mais vous pouvez aussi le mettre dans "General"... Mais ce n'est pas un "Drama" !!! mdr !

Histoire : Tout est dans le résumé !

Résumé : Il se trouve sous le titre de la fic... vous savez, le titre ou vous avez cliqué pour arriver ici !

Et maintenant... BONNE LECTURE !!! ( enfin j'espère...)



POV Harry :

Dans une petite rue de Little Whinging, au beau milieu du mois de juillet, on entendait les gens rire, faire la fête... tout le monde était sorti pour profiter du soleil, et on avait fait un énorme barbecue pour les habitants de Privet Drive. Un groupe d'adolescents de 16 ans courrait après un petit garçon en pleurs, avec à leur tête un énorme blondinet... Un peu plus loin, les parents de ce garçon corpulent discutaient avec leurs voisins. Et partout autour, on dansait, on buvait, on discutait...
Cependant, tous n'étaient pas de la fête, car au numéro 4, un jeune homme était assis devant la porte d'entrée, et regardait, sans vraiment les voir, les habitants se réjouirent... Le jeune homme en question avait les cheveux d'un noir de jais, le corps assez bronzé, musclé. Il était maigre et cela devait avoir un rapport avec le fait qu'il avait énormément grandit en peu de temps, étant passé d'1m68 à 1m82 en seulement 3 semaines. Ses yeux verts, toujours fixé sur les festivités, étaient remplis de tristesse, de douleur...
Il poussa un long soupir, et brusquement, il se leva... la vue de ces personnes heureuses lui donnait mal au cœur. Il lui rappelé trop de souvenirs. Il franchit la porte de la maison, et lentement, monta les escaliers qui menaient à sa chambre...
Harry Potter, car c'est ainsi qu'il se nommait, s'approcha doucement de sa fenêtre et s'assit sur le rebord. Il regarda la cage vide de sa chouette, Hedwige, parti la veille pour aller on ne sait où.
Cela faisait maintenant 3 semaines que le jeune homme n'avait reçu aucunes nouvelles de ses amis, Ron et Hermione. Il savait qu'ils étaient retourné dans la maison de son parrain, comme ils l'avaient fait l'année précédente, ils lui avaient même demandé de venir les rejoindre, mais il avait refusé. Depuis, aucune nouvelle, pas une seule lettre, pas le moindre signe. Ils avaient sans doute mal pris le fait qu'Harry ne veuille pas allait avec eux, mais il avait été impossible au garçon d'accepter, cela était beaucoup trop douloureux pour lui. Cette maison lui rappelait une personne qu'il aimait, et qu'il ne reverrait jamais :
- Sirius..., soupira une nouvelle fois le garçon, une larme coulant le long de sa joue.



POV Draco :


Draco Malfoy, un jeune homme de 16 ans aux cheveux d'un blond presque blanc, mesurant dans les 1m85, était assis sur son lit. Il réfléchissait : ainsi son père voulait faire de lui un mangemort ? Il devrait recevoir la marque des ténèbres sur son avant bras gauche le soir même. Lorsque son père lui avait annoncé la nouvelle, celui-ci n'avait pas trop apprécié l'idée d'avoir un tatouage et de servir un homme qu'il haïssait, mais il n'avait rien laissé paraître et avait accepté.
Cela ne l'enchantait pas, en fait, cela ne lui plaisait pas du tout !
J'aurais accepter n'importe quoi d'autre plutôt que ça, marmonna t-il en regardant son reflet dans le miroir, n'importe quoi, même être le larbin de Dumbledor pendant une année entière.

En parlant de Dumbledor, Draco avait remarqué, à la fin de leur 5ème année, le comportement étrange qu'avait celui-ci, d'habitude toujours souriant, toujours heureux... La dernière fois qu'il l'avait vu, il avait l'air abattu, triste, et il ne cessait de regarder ce stupide balafré ! Ça devait être à cause de lui ! Peut être se sentait-il responsable de la mort de Black et qu'il se sentait mal pour Potter ! Quoiqu'il en soit, il faudra que je remercie le balafré pour avoir rendu notre "cher" directeur en aussi piteux état ! Malfoy ouvrit grand les yeux quand il réalisa ce qu'il venait de dire : remercier Potter ?! Non mais ça va pas !!!
Il chassa bien vite cette idée de la tête, lorsqu 'il entendit une voix venir du rée de chaussé:

- Draco ! Vient vite, il est temps de partir !

- J'arrive tout de suite père !

Il jeta un dernier regard vers son reflet, prit une de ses capes et sortit de la pièce, rejoignant son père. Ils sortirent ensemble du Manoir Malfoy et se dirigèrent vers une paire de yeux rouges qui les attendaient dans le jardin, un groupe de mangemorts autour : Lord Voldemort !


POV Harry :

Harry, toujours sur le rebord de sa fenêtre, repensait à la fin de sa 5ème année à Poudlard. Il avait une fois de plus fait face à Voldemort, et s'en était encore sorti. Bien sûr, cela avait été grâce à Dumbledor, car sans lui, il ne serait peut être plus là, cependant, Harry ne l'avait pas remercier, loin de là, il lui avait carrément hurlait dessus ! Il lui en voulait, à Dumbledor, il lui en voulait énormément. C'est à cause de lui s'il n'avait plus son parrain auprès de lui, c'est sa cupidité qui avait entraîné la mort de Sirius... Il lui avait semblé raisonnable d'enfermer l'animagus dans sa maison durant toute une année, pensant qu'il ne lui arriverait rien s'il restait loin des autres, loin du monde... Et c'était là une des plus grosses erreurs que le directeur de Poudlard n'ait fait dans sa longue vie. Sirius en avait eut assez de rester dans le manoir Black, avec pour seule compagnie le portrait de son horrible mère, et celle de Kréature, l'elfe de maison. Et lorsqu'il eut trouvé l'excuse parfaite pour sortir, c'est à dire aller sauvé son filleul, il était allé tout droit à la rencontre de ce dernier. Il s'était alors battu contre sa propre cousine, Bellatrix Lestrange, et s'était fait tuer par cette dernière. Jamais le survivant ne pourra oublier le regard qu'avait eût son parrain lorsqu'il avait traversé le voile: la peur, la tristesse, cependant... aucune souffrance. Au moins, il serait mort sans souffrir !

Resté dans ses pensées, Harry n'avait pas remarqué que la fête qui se déroulait sous sa fenêtre avait cessé, il n'avait pas non plus entendu son oncle qui ne cessait de l'appeler :

- POTTER !!!!!! Hurla l'oncle Vernon pour la 6ème fois. Descends immédiatement !!

Harry sursauta en entendant la voix de son oncle. Rapidement, il se leva, et descendit les escaliers.

Lorsqu'il entra dans la cuisine, il vit son oncle rouge de colère, sa tante Pétunia a moitié évanouie sur la chaise et son cousin Dudley, qui essayer tant bien que mal de se cacher sous la table.

- Qu'est-ce qu'il y a ? Demanda Harry en regardant son oncle droits dans les yeux, qui était maintenant plus petit que son neveu.

- Tu oses me demander ce qu'il y a ? Non mais regardes, regardes !!! Tonna t-il, tout en pointant son index vers le comptoir de la cuisine.

Harry resta bouche bée en voyant devant lui 3 hiboux, dont deux profondément endormis.

- Combien de fois devrais-je te répéter que je ne veux plus de ses sales bêtes dans ma maison ?!?!?!

- Je sais pas moi, essaie encore pour voir, lui répondit Harry, tout en se dirigeant vers les volatiles.

- Ne te moques pas de moi mon garçon, je ne suis pas d'humeur à ça !

- Très bien, dans ce cas je vais vous laisser...

- C'est ça, pars, et emmène ces oiseaux de malheurs avec toi ! Mais je te préviens mon garçon, si je vois encore un seul de ces oiseaux sous ma demeure, je te mets dehors sur le champ !

- Quoi ?! Mais tu peux pas faire ça, il n'y a qu'ici que je puisse être en sécurité, à part la maison de... enfin, si il y a un autre endroit, mais je préfère ne pas y aller... Non, oncle Vernon, tu peux pas me mettre dehors !

- Vraiment ? Et bien dans ce cas, tu n'as qu'à faire en sorte que je ne vois plus jamais une de ces bête sous mon toit !

- Très bien, oncle Vernon, mais...

- Il n'y a pas de « mais » qui tienne ! Sors d'ici !

Sur-ce, Harry pris dans ses bras les deux hiboux endormis, et parti, suivit de l'oiseau encore éveillait.

Lorsqu'il eût rejoins sa chambre, il fut encore plus surpris de voir Hedwige, perchée sur sa cage, ainsi qu'une lettre posée sur son lit. Harry décida qu'il valait mieux s'occuper d'abord des lettres que les précédents hiboux avaient apporté.

La première lui était adressée avec une écriture tout particulièrement grossière.

- Ça, c'est signé Ron, dit le jeune homme tout heureux d'avoir enfin des nouvelles de son meilleur ami. Il déplia soigneusement la lettre:

« Harry,

Comment vas-tu ? Les moldus te traitent comme il faut? Je l'espère en tout cas, car pour moi tout va bien ! Je suis en ce moment avec Hermione et ma famille chez... enfin, tu sais. C'est dommage que tu ne veuilles pas nous rejoindre, on s'amuse bien. Tu aurais vu ce matin, Kréature à encore fait des siennes, il s'est mis à chanter une horrible chanson au portrait de madame Black pour qu'elle arrête de hurler. Elle s'a la calmé, mais pour ce qui est de ma mère, ça la mise dans une colère noire, elle était folle de rage !

Hermione a encore reçu une lettre de son Vicky d'amour, tout à l'heure. Elle dit qu'il n'y a rien entre eux, mais je suis sûr que c'est faux ! Ne crois pas que je suis jaloux surtout, parce que ce n'est pas vrai ! C'est juste que, que ça ne me plaît pas c'est tout ! Elle pactise avec l'ennemi !!!

Je suis vraiment impatient de te revoir ! Peut être qu'on pourra se voir au chemin de Traverse. Tu n'as qu'à me donner la date à laquelle tu iras ! Ne t'étonne pas si je ne t'es pas envoyé Coq, mais il est momentanément... indisposé. ( Fred et George lui ont fait avaler des cachets de leur invention qui aurait du rendre mon hiboux un peu plus grand, mais ça à mal tourné, et Coq fait maintenant la moitié de sa taille habituelle, j'te laisse imaginer ! On est obligé de le laisser enfermer dans sa cage, qu'on a ensorcelé pour qu'il ne passe pas au travers des barreaux, il faut bien faire attention qu'il ne se sauve pas parce qu'après, pour le retrouver, c'est très difficile, Coq mesure 6 cm !!! ). Je dois te laisser, ma mère m'appelle pour faire encore une corvée ! J'espère que je ne dois pas aider Kréature a faire quelque chose !

Avec toute mon amitié,

Ron.

PS: Rogue est venu hier soir avec Dumbledor, il avait l'air furieux contre le directeur, tu aurais vu sa tête ! Je n'ai pas pu entendre grand chose de leur conversation, tout ce que je peux te dire, c'est que ça te concerne. J'espère qu'il n'y a rien de grave. »

Alors comme ça, Rogue et Dumbledor avaient parlé de lui? Et d'après ce que lui avait écrit son ami, cela ne plaisait pas du tout a son professeur de potions. Mais que ce passe t-il encore ?

Harry pris alors la seconde lettre, celle-ci étant écrite beaucoup plus soigneusement. Hermione.

« Mon très cher Harry,

Comment se passent tes vacances, avec ton oncle et ta tante ? Ton cousin ne te fait pas trop de misères ? Ici tout se passe pour le mieux, si l'on peut dire cela comme ça. Ron a encore fait une crise de jalousie lorsque j'ai reçu une lettre de Victor. J'ai beau lui dire que nous ne sommes que des amis, il n'en fait qu'à sa tête. J'espère qu'un jour, il acceptera de me croire... En attendant, Ron m'a dit qu'il avait surpris un brin ce conversation entre le professeur Rogue et Albus Dumbledor. D'après ce qu' il a compris, il serait surtout question de toi. Je serais très prudente si j'étais toi, on ne sait jamais.

On a toujours aucune nouvelle de Voldemort ( je n'ai toujours pas réussi à convaincre Ron de l'appelait ainsi, mais je compte bien y arrivait ). Il doit se cacher encore pour mijoter un plan contre toi ! Je me dis parfois que ça doit être difficile de vivre ta vie, avoir quelqu'un à ces trousse comme ça, depuis 14 ans maintenant ! Je te comprends lorsque tu nous dis que tu ne veux pas venir rejoindre l'Ordre pour les vacances, moi aussi j' aurais pris un peu de recul à tout ça. Dumbledor à raison, c'est plus sûr que tu reste chez tes Dursley.

Je suis vraiment désolée de ne pas t'avoir écrit plus tôt, mais on ne pouvait pas se permettre d'envoyer d'hiboux jusqu'à maintenant, on était un peu surveillé. Des gens du ministère ont entendu des moldus dirent qu' ils avaient remarqué la présence de personnes assez étranges et que des hiboux volaient sans cesse par ici, du coup ils ont envoyé des gens surveiller les alentours. Ils sont repartis ce matin quand ils se sont rendus compte qu'il n'y avait rien par là, ils avaient du penser que Voldemort avait pu installé son repère ici.

Je te souhaite de passer d'agréables vacances, en espérant te revoir sous peu.

Amicalement,

Hermione. »

Harry soupira de frustration. Aucune nouvelles de Voldemort. Mais où pouvait-il bien être ? Jamais il n'avait eût autant envie de savoir où il se trouvait. Et comment allait-il ? Non pas qu'il s'inquiète de son état, mais il s'inquiétait surtout de ses forces, savoir s'il était devenu plus puissant... Cela lui faisait un peu peur d'imaginer le seigneur des ténèbres encore plus puissant, plus fort, plus apte à vouloir tuer... à LE tuer !

Lorsqu'il avait appris l'année dernière que Voldemort lui voulait du mal à cause d'une simple prophétie, et que cela aurait pu être Neville plutôt que lui, cela l'avait mis très en colère. Pourquoi pas Neville ?! LUI à qui il n'arrivait que des malheurs, LUI qui n'avait jamais était remarqué des gens, pourquoi pas lui ? Cela aurait été tellement mieux pour harry si c'était Neville qui avait perdu ses parents, si c'était sur LUI que s'acharnerait Voldemort, si c'était LUI qui aurait une horrible cicatrice en forme d'éclair sur le front, si c'était LUI...le Survivant !

Le garçon qui a survécu arrêta brusquement ses pensées. Mais qu'est-ce qu'il venait de dire ! Il n'en croyait pas ses oreilles... Non, pas Neville, il était déjà assez malheureux comme cela...

- Mon Dieu, Harry, te voilà en train de rejeter la faute sur un de tes amis. Sur le pauvre Neville en plus... Mais qu'est-ce qui te prends ! Se dit-il à lui même.

Il pris alors possession de la troisième lettre, celle-ci était écrite d'une écriture fine et à l'encre verte: Dumbledor !

« Harry,

Je sais que tu m'en veux encore pour ce qui s'est passé il y a deux mois, mais je te pris de continuer à me faire confiance !

Voldemort à réussi à briser le bouclier magique qui protégeait la maison de ton oncle ! Je le sais car je n'ai pas senti sa protection lorsque je suis passé devant chez toi, ce matin. C'est pourquoi j'ai décidé de t'envoyer chez quelqu'un d'autre pour la fin des vacances. Cette personne viendra te chercher dès demain matin, vers 9 heures. Soit près à partir, j'ai déjà mis cette personne au courant et ne t'inquiète pas, c'est une personne que tu connais, tu n'as donc rien à craindre.

Fais bien attention à toi jusqu'à se qu'on vienne te chercher ! Je ne voudrais pas qu'il t'arrive malheur ! Ne t'inquiète pas pour Voldemort, il ne pourra rien faire chez toi jusqu'à demain midi ( je me suis permis de lancer un sortilège assez puissant qui protègera ta maison jusque là ). Mais après, il n'aura plus aucun effet, c'est pourquoi il est important que tu partes rapidement. Sois prêts.

A. Dumbledor. »

Comment cela, il devrait partir demain matin ? Et avec qui ? Harry fut encore plus en colère contre son directeur : il devait encore faire ce que celui-ci lui dicté, sans demander son avis, et il était une fois de plus prévenu à la dernière minute !

Et s'il n'avait pas envie d'y aller ! S'il ne voulait pas aller chez quelqu'un d'autre ? Pourquoi fallait-il toujours qu'il fasse ce qu'on voulait de lui ? Était-il condamné à vivre comme un parfait toutou, toujours en train d'obéir à ses maîtres ?

Il s'étala de tout don long sur son lit dans le but de réfléchir à tout ça, lorsqu'il sentit quelque chose sous sa nuque. La lettre ! Il l'avait complètement oubliée !

Lentement, il se retourna et la ramassa. Il déplia soigneusement le parchemin et réalisa que son contenu était bref, très bref, et il n'était pas signé:

« Ne t'inquiète pas, je suis toujours là... ».



POV Draco :

Le jeune homme remontait lentement dans sa chambre, la main droite posée sur son avant bras gauche. Une fois arrivé dans la pièce, il s'approcha lentement de son miroir, puis commença à enlever sa cape, puis son pull, et enfin, sa chemise, de sorte à pouvoir regarder son torse nu. Il regarda d'abord son visage, il avait l'air épuisé. Il y avait de grandes cernes sous ses yeux, ses cheveux d'habitude si soignés retombés n'importe comment sur son visage. Il descendit son regard plus bas, pouvant admirer son torse musclé, pâle. Il regarda ensuite son bras, le gauche plus précisément. Et ce qu'il vit lui fit un haut le cœur. Elle était là, noire, très noire. Elle recouvrait une bonne partie de son avant bras, salissant ainsi sa peau, et elle lui faisait mal ! Elle ne cessait de le brûler, Draco avait l'impression que son peau allait se déchirer en deux, et la douleur semblait ne pas vouloir partir. Certes, il y avait était obligé, mais il l'avait quand même laissé la lui mettre, et maintenant il ne pouvait plus faire marche arrière. Jamais plus elle ne partira, elle sera toujours là, le suivant jusqu'à sa tombe.

- Pourquoi ai-je fais ça ? Se demanda le serpentard. Pourquoi ?

Il ne pouvait plus détaché son regard embué d'elle, il ne pouvait cesser de regarder la Marque des Ténèbres, celle qui faisait désormais partie de sa vie, de lui, celle qui faisait dorénavant de lui, un mangemort...

Le nouveau mangemort se retourna vers son lit et s'y allongea. Il repensait à cette soirée, cette cérémonie faite en son honneur :

Voldemort s'était approché de lui, et lui avait dit de sa voix sifflante, tel un serpent, sa voix à la fois grave et aiguë :

- Toi, Draco Lucius Malfoy, fils de mangemort et futur mangemort, jure solennellement qu'à compter de ce jour, tu me serviras, tu obéiras à tous mes ordres, sans jamais protester. Jure que jamais tu ne trahiras ton Maître, que tu le servira jusqu'à la mort.

- Je le jure, avait répondu le jeune blond, essayant tant bien que mal de ne pas laisser paraître de tremblements dans sa voix.

- Bien, maintenant, tant ton bras gauche.

Il avait donc obéit à son nouveau maître et lui avait présenté son bras. Le seigneur des Ténèbres l'avait alors saisit de sa main droite, et avait murmuré des paroles, dans une langue parler par très peu de gens, et que seuls les fourchelangs pouvaient comprendre, et sans y être préparé, Draco avait senti son bras brûler, tellement qu'il avait cru que du feu allait en jaillir à tout moment. Malgré la douleur, le serpentard avait laissé son visage de marbre. Lorsque Lord Voldemort eut retirer sa main, la marque était présente sur la peau du jeune homme, d'abord rouge sang, ensuite noire...

Oui, c'est ainsi que s'était déroulée cette soirée. Après avoir reçu sa marque, les mangemorts présents ont commencer à faire la fête, ne se souciant plus de la nouvelle recrue. Voldemort avait alors profité de cette inattention pour voir Draco et lui donner sa toute première mission, la première, et sans doute la plus difficile de toutes :

Lui livrer Potter...

Alors qu'il réfléchissait au moyen d'attirer Potter à son maître, Draco s'endormit, torse nu, la main toujours posée sur la Marque, ne remarquant pas son père, qui l'observait depuis un moment déjà, à l'angle de la porte restée ouverte...

- Dors bien, Draco, car demain, c'est une longue journée qui t'attend...



POV Harry :

Ne t'inquiète pas, je suis toujours là... Ne t'inquiète pas, je suis toujours là... » Harry ne cessait de se répéter ces mots. Qui donc à bien pu lui écrire ? Qui était toujours là ? Il préféra ne pas trop y penser pour le moment, bien que cela lui était assez difficile, et décida de se changer les idées en répondant à ses amis. Il alla tout d'abord nourrir sa chouette, Hedwige, puis pris un morceau de parchemin, une bouteille d'encre et une plume.

« Chers Ron et Hermione,

Cela m'a fait énormément plaisir de recevoir de vos nouvelles. J'ai bien cru au début que vous ne vouliez plus m'adresser la parole, du fait que je sois pas allait vous rejoindre. Je comprends maintenant la raison pour laquelle vous ne m'écriviez pas...

J'ai reçu une lettre de Dumbledor, cet après-midi, il dit que Voldemort à réussi à briser le sortilège de protection qui gardait la maison des Dursley en sécurité. Ce n'est maintenant plus un lieu sûr pour moi, et je dois donc déménager dès demain. Ne me demandez pas chez qui, je l'ignore.

En se qui concerne rogue, ne vous inquiétez pas, ce n'est absolument pas ce qui me préoccupe le plus, en ce moment. Je m'inquiète surtout pour Voldemort...

Ron, pour répondre à ta question, je ne sais absolument pas quand je pourrais aller au chemin de Traverse. Cela dépendra sûrement de la personne qui me logera ce prochain mois. Je t'écrirai à ce moment là pour te prévenir.

A bientôt,

Harry.

PS : Ne m'envoyé plus de hiboux pour le moment, cela ne plait pas trop à mon oncle. Je n'aimerais pas me réveiller demain et voir mon oncle me crier dessus parce qu'un hibou s'est posé sur son dossier de chaise. Attendez plutôt deux à trois jours, le temps que je m'installe dans mon nouveau chez moi. »

Après avoir relu sa lettre, Harry roula le parchemin et le tendit au hibou qui avait apporté la lettre d'hermione. Celui-ci reparti, suivit du hibou de la famille Weasley. Le hibou de Dumbledor, lui, semblait ne pas vouloir repartir.

- Quoi ? Lui demanda le brun d'un ton lugubre, qu'est-ce que tu attends ? Dégage !!

Mais l'oiseau, au lieu de se diriger vers la fenêtre, fonça droit sur Harry et lui donna plusieurs coups de bec dans le dos.

- Arrêtes ! Arrêtes ça tout de suite ! Tu veux quoi à la fin ?

Mais la question était stupide, il savait parfaitement ce qu'il voulait : une réponse ! Dumbledor avait sans aucun doute ordonner à l'oiseau de ne repartir quand présence d'une réponse !

- Très bien ! Si c'est ce que tu veux, tu vas pas être déçu !

Non sans grogner, Harry se leva, prit un autre parchemin et y nota un simple mot, sans la moindre marque de politesse ni même de signature :

« D'accord. »

L'oiseau ne sembla pas très convaincu lorsque le garçon lui donna la lettre mais il le prit quand même et repartit.

Harry n'était pas près de pardonné au professeur, et si celui-ci espérait un quelconque changement chez le garçon, s'il avait espérait que dans sa réponse, Harry lui présente des excuses ou qu'il lui montrerait le moindre signe de sympathie , il avait tout faut.

23 heures sonnèrent. Le temps avait passé vite, trop vite, au goût su survivant. Rapidement, il rassembla ses affaires, près a partir le lendemain, et alla se coucher. Demain matin, il sera réveillé par sa tante, puis il aura droit au hurlements de fureur de son oncle lorsque celui-ci apprendra qu'un sorcier (ou sorcière) débarquera chez lui, dans le but de repartir avec son neveu...


POV Draco :

Le jour suivant, Draco Malfoy s'était levé très tôt, avait pris sa douche, s'était vêtu d'un pantalon en cuir noir, d'une chemise noire et d'une paire de bottes en peau de dragon. Il avait laissé ses cheveux au naturel, sans y mettre la moindre goutte de gel, lui donnant ainsi un air incroyablement sexy. Il avait ensuite rejoins ses parents dans la salle à manger pour le petit déjeuner :

- Bonjour Père. Mère. Leur dit-il en leur faisant une petite inclinaison de la tête.

- Bonjour, Fils, leur avaient-ils répondu à l'unisson.

- Bien dormi, Draco ? Demanda son père.

- Mmm...

- Draco, ce n'est pas une réponse. Répond franchement !

- Oui, j'ai bien dormi, père. J'ai juste fait un cauchemar mais rien de grave.

- Et quel était ce cauchemar.

- Je vous l'ai, rien de grave.

- Comme tu voudras. En tous les cas, ta mère et moi sommes fiers de toi. Te voilà maintenant mangemort.

- Moui...

- Tu n'as pas l'air ravi, mon chéri, lui dit sa mère. Tu es malade ? Tu veux quelque chose ?

- Non, je...

- Enfin, Narcissa, intervint Lucius, ne le couvre pas comme ça, ce n'est plus un enfant. Alors Draco, as-tu déjà reçu ta première mission?

- Euh... Oui.

- Ah ! Très bien. Et quelle est-elle ?

- Je dois... Je dois lui livrer Potter avant la fin de l'année.

Lucius Malfoy, qui était en train de boire son jus de citrouille, recracha aussitôt ce qu'il avait dans la bouche en entendant la réponse de son fils, tandis que Narcissa le regardait avec des yeux ronds.

- Co-comment ? Tu... Tu dois lui livrer Potter?

- Oui, c'est cela...

- Mais enfin, c'est seulement ta première mission Draco, lui dit sa mère. C'est beaucoup trop difficile pour un début.

- C'est vrai. De plus, toi et Potter vous vous détestez. Comment comptes-tu t'y prendre pour qu'il te suive sans discuter ?

- Je... Je ne sais pas encore...

- Et bien, je compte sur toi pour trouver, Draco. C'est ta vie qui est en jeu. Si tu échoue... et bien, je préfère ne pas y penser... Murmura madame Malfoy, tout en regardant son fils.

- Je sais...Excusez-moi, je n'est pas très faim. Je vous pris de m'excuser.

Sur ce il se leva et retourna dans ses appartements. Sa mère avait raison. Il fallait qu'il trouve un moyen d'attirer le balafré à Voldemort. Mais comment ?...

Il s'assit dans le fauteuil en cuivre vert bouteille et commença à réfléchir. Il repensa à son cauchemar. Ce cauchemar dans lequel il avait échouer à la mission confié à Voldemort. Il revoyait le seigneur des ténèbres qui disait :

« - Pour avoir faillit à ta mission, je te condamne à la mort. Narcissa, c'est ton fils, c'est toi qui lui a donné la vie, c'est donc toi qui lui donnera la mort.

Puis sa mère qui s'approchait et qui murmurait ces terribles mots :

- Avada Kadavra !

Puis une lumière verte, puis le noir... »

Non, il ne pouvait pas en en arrivait là ! Il fallait réussir. Mais c'était plus facile à dire qu'à faire. Comment ? Comment ?

C'est alors qu'il entendit un « pop ! » retentire derrière lui.

- Ah, Corty, c'est toi... Que veux tu ? Demanda Draco à l'elfe de maison qui venait de transplaner dans sa chambre.

- C'est votre père qui m'envoie vous prévenir, Monsieur, répondit l'elfe de sa voix aiguë et tremblante, c'est pour vous informer de l'arrivée de vos amis, Monsieur, Messieurs Crabbe et Goyle.

Cela fit « tilt ! » dans la tête du serpentard.

- "Amis" dis-tu ? Très bien, Corty, j'arrive de suite. Dit le serpentard, un étrange sourire sur les lèvres...



PtiteNinine : Hello ! Alors voilà, c'est la première fois que je poste sur ce site, j'espère que la présentation du texte et tout a été assez réussi... et surtout que le début de ma fic vous ai plus...
N'hésitez pas à me dire si vous trouvez le chapitre trop long... je voulais faire 3 POVs de chacun par chapitre ( étant donné que ma fic est enooooooooorme et qu'il y a des dizaines et des dizaines et des dizaines et même plus de POVs en tout... )... Mais si vous trouvez ça trop long à lire, je peux réduire les prochaines chapitres...
Je vous préviens également que les premiers chapitres de ma fic, c'est au départ un vrai délire ( vu qu'à la base, ma fic, ct pour rire ) mais en fait, plus j'avance, et plus c'est sérieux, avec quand même des touches d'humour ici et là... Donc vous étonné pas des débuts... Je suis pas folle je vous rassure !!! LoL ! Enfin presque pas ! mdr !

Alors voili voilou voilà... N'hésitez pas pour les revews !