C est ma première fic alors dite moi ce que vous en pensez.

Merci

Maelstrom

Disclaimer : La plupart des personnages et des lieux appartiennent à J.K Rowling

Chapitre 1 : Où l'on ne peut être partout à la fois

Une colline surplombait les alentours. Du sommet de cette colline on pouvait voir si on regardait à l'est la mer, au nord une chaîne de montagne, à l'ouest une forêt immense et au sud, on apercevait au loin une cité dorée bien faite. La nuit resplendissait, les étoiles brillaient de mille feux et la lune illuminait la colline. Trois ombres étaient sur cette dernière, l'une d entre elles traçait des formes géométriques sur le sol et les deux autres l'observaient. Enfin elle se releva et les deux autres purent admirer son travail.

- J'espères que tu as tout bien tracé Orofornë .Une seul rature peut tout faire rater.

- Ne t'inquiètes pas je suis sur que je n'ai fait aucune erreur Ëdolrë!

Orofornë avait tracé sur le sol un triangle. Une formule inscrite en cercle passait par chacun des sommets du triangle.

- Aucune erreur ! C'est parfaitement dessiné, il ne manque aucune rune.

- Bon je crois que nous pouvons commencer !

- Crois tu que nous avons raison de faire ceci ?

- Le monde est en perdition, personne ici n'est assez puissant pour nous aider. C'est notre dernier espoir. On est les seuls à pouvoir réaliser ce sortilège. Personne d'autre de ce monde n'est assez puissant pour le faire à part nos ennemis.

- Et si cela ne marche pas ?

- Alors nous serons tous perdu !

Chacune des paires des yeux exprimaient de l'angoisse. Le sort du monde dépendait d'eux.

- On aura quand même vécu pas mal d'années.

- Oui, Dragën, une éternité. Merlin a créé ce monde pour nous et si nous ne réussissons pas toute verdure disparaîtra, la haine et la violence règnerons ! Les yeux de Orofornë se perdirent dans la nuit.

- La guerre n'a pas encore commencé.

- Non elle n'est pas encore ici mais elle arrive à grande vitesse, aucun des pions de l'échiquier n'a encore bougé. Si nous réussissons nous gagnerons la bataille de l'espoir.

Un silence s'installa entre les trois personnes. Puis Ëdolrë s'adressa à Dragën :

- Je suis étonné que tu es conclu l'alliance aussi rapidement avec Thörin.

- Oui mais cette alliance arrive trop tard. Beaucoup trop tard. Nous aurions pu faire des avancés extraordinaire dans tous les domaines et peux être nous aurions pu éviter cette guerre.

- Les démons noirs reviennent en force, ils ont attaqué un avant poste sur les flans de Corinthéa.

- Dans six mois, ils seront aux portes d'Aragwanaë.

- Je viens d'apprendre que les Héliopathes du nord les ont rejoints. Ceux de l'Est préfèrent rester neutres…

- Pour l'instant, car chaque espèces, chaque individu, a rendez vous avec cette guerre, la dernière de ce monde. Nous ne sommes pas des traites, nous protégerons chaque enfant femme de ce monde.

Les trois individus se regardèrent, non ils n'allaient pas mourir sans combattre, ils allaient se battre jusqu' au dernier souffle même si il n'y avait plus d'espoir.

Mais comment détruire les démons noirs ?

Les démons noirs faisaient partis de ce monde depuis toujours mais un jour, il y'a une centaine d'année ils disparurent et on n'entendit plus parler d'eux jusqu'à quatre cinq ans : ils revenaient en masse dans le monde et avait provoqué la terreur de plusieurs peuples. Personne ne pouvait les détruire et toute joie disparaissait à leur approche. Même le plus valeureux guerrier ne pouvaient rien faire contre eux. Sorts, flèches ou coups de hache étaient inutiles contre eux.

Une voix rompit le silence :

- Il est temps de faire ce que l'on est venu faire.

Une lueur d'espoir brillait dans les yeux de Dragën. Ils se mirent autour du cercle.

Tous tremblaient de peur. Un silence de mort régna puis Orofornë leva les bras vers le ciel :

Terre d'asile, terre d accueil

Accepte l'arrivé de celui qui nous sauvera.

Un des côtés du triangle se mit à briller. Ëdolrë leva les bras et fit un mouvement furtif avec sa main :

Que par cette nuit de lune pleine,

Où les temps sont à la peine,

Arrive celui qui est le seul à pouvoir

Faire survivre dans nos cœurs l'Espoir.

Un deuxième côté du triangle se mit à briller. Enfin Dragën pointa ses bras vers le ciel voûté d'étoiles plus brillantes que jamais :

Etoiles, astres lointain et divins

Cherchez et amenez celui qui mettra fin

A la violence et la guerre

Et fera débuter une nouvelle ère.

Le troisième côté du triangle se mit à briller et les inscriptions tournèrent autour du triangle. Pendant cela un des individus fit apparaître une fleur blanche dans le triangle. Ce blanc était d'une pureté incroyable. Puis il fit apparaître une boule de feu de ses mains. Ëdolrë lui fit apparaître un courant d'air qui souleva la fleur et la fit léviter. Orofornë envoya une boule d'eau qui entra en contact avec le bout de la tige. La boule de feu devint une flamme qui s'enroula autour de la fleur.

L'inscription tournait toujours autour du triangle puis s'arrêtât : ça y 'est le moment le plus important était arrivée. Ils pointèrent leurs bras vers la fleur :

A travers l'espace et par l'union des éléments

Que celui qui doit sauver cette terre

Apparaisse devant nous en cette heure sombre

Que celui qui combat l'Enfer

Apparaisse devant nous pour nous libérer des ombres.

Une intense lumière brilla et éclaira la colline .La lumière était aussi forte que celle du soleil. Soudain un rayon en or sortit de la lumière et se dirigea vers les étoiles.

Orofornë, Ëdolrë et Dragën furent pétrifiés. Le rayon dégageait une puissance incomparable et avait pour but de trouver une personne aussi puissante qu'elle.

Pourvu qu'on réussisse pensa Dragën. Tout notre espoir tient en ce rayon. Faites par Merlin, qu'il trouve quelqu'un.

Pendant ce temps là un jeune homme que l'on connaît bien montait les escaliers pour rejoindre sa chambre. Sa chambre, qu'est ce qu'il la détestait : petite, étroite, un parquet miteux mais oh combien utile pour cacher ses ustensiles magique, un vieux lit avec un matelas inconfortable, seul point positif la fenêtre où il pouvait communiquer avec son monde, celui de la sorcellerie.

Le jeune homme tourna la poignée de la porte et entra dans la petite pièce. Rien n'avait changé depuis sa dernière visite. Toujours aussi joyeux pensa t-il. Une araignée gesticulait sur l'oreiller. Il l'envoya à l'autre bout de sa chambre d'un simple geste de la main.

- Désolé mais c'est moi qui dors ici.

Il posa sa malle remplie de grimoires et de son balai. Il mis sa baguette dessus et s'allongea sur son lit. Le voyage en voiture de la gare King Cross jusqu'au 4 Privet Drive l'avait fatigué au plus haut point. Pour une fois personne n'avait parlé dans la voiture ce qui était inimaginable car la tante Pétunia avait toujours deux ou trois ragots à raconter. Leur mutisme était sûrement du au discours de Maugrey alias Fol Œil qui avait menacés son oncle et mieux valait ne pas contrarier l'individu ce qui pourrait être très dangereux pour l'interlocuteur.

Il pensa à ce qui s'était arrivé au ministère. Il revoyait le visage de Sirius dans la salle du Temps qui surprit par la puissance du sort fut éjecté vers le voile. Non il ne fallait pas qu'il pense à ça, il ne faut pas que je passe ces images dans ma tête.

- C'est ma faute si Sirius est mort, j'aurai du écouter Hermione ou continuer l'occlumencie.

« Crois tu vraiment que c'est de ta faute ?lui fit une voix dans sa tête. »

Il ferma les yeux et réfléchissa pendant une bonne minute. Il les ouvra et on put voir une lueur de haine dans ses yeux verts seul héritage de sa mère.

- Rogue

C'était de la faute de Rogue tout cela, jamais il n'aura mon pardon. Il n'a pas prévenu l'Ordre à temps et jamais il n'aurait du arrêter l'occlumencie. Par la même occasion c'est la faute de Dumbledore, il n'aurait jamais du laisser Sirius seul au quartier général avec cet immonde elfe.

A ce moment une douleur fulgurante provenant de son front et plus précisément de sa cicatrice en forme d'éclair lui fit mettre pied à terre. Fermer l'esprit il devait absolument se protéger. La douleur s'estompa petit à petit.

Voldemort était content, quelqu'un venait de lui dire une bonne nouvelle et dire qu'il était content était vraiment un euphémisme.

Pourtant ces derniers jours il était souvent en colère, la principale cause était la perte de la prophétie et la capture de plusieurs de ces principaux mangemorts.

Devaient-ils l'écrire à Dumbledore ? Oui. Il prit un bout de parchemin et écrivit.

Dumbledore

Ma cicatrice vient de me faire mal parce que Voldemort est content, même extremment content alors qu'il était souvent en colère ces derniers jours.

Que s'est-il passé ?

A dans trois jours

Harry

- Hedwige apporte cette lettre à Dumbledore et vite.

La chouette s'envola et disparut dans le ciel azur.

La mort de Sirius l'avait affaiblit mentalement et sa tristesse avait faiblit ses défenses mentales.

Une voix se fit entendre :

- Harry vient manger, cria sa tante

Il se leva et essuya les larmes qui coulaient sur sa joue. Enfin, il descendit d'un pas lourd l'escalier et atteignit la cuisine.

Une odeur de bacon se répandait dans la pièce. La tante Pétunia se leva et ouvra la fenêtre pour évacuer l'odeur en dehors de sa pièce préfère de la maison.

Harry s'asseya sur une chaise et vit avec joie que Dudley suivait toujours le même régime alors que la plus part des graisses en trop s'était changé en muscle.

Cela faisait des années que le survivant cherchait un lien de parenté apparent avec son cousin et jamais il n'en a trouvé.

L'ambiance à table fut aussi morose que dans la voiture et l'oncle Vernon ne prit la parole qu'à partir du dessert.

- Ces fous qui sont-ils ? Que font ils dans la vie ?demanda t-il à Harry

Harry releva la tête curieux que l'oncle Vernon lui pose cette question.

- Eh bien l'un d'eux fut professeur de mon école, c'est un loup garou par la même occasion.

Le visage de l oncle Vernon devint blanc et la tante Pétunia se leva de table et regarda le ciel en direction de la lune.

- Ne vous inquiétez pas ce n'est pas la pleine lune. Bon donc je disais l'un est professeur, l'homme roux travaille au ministère …L'oncle Vernon regarda le salon…et le dernier est un ancien auror.

- Horreur ? Vu sa tronche ça ne m'étonne pas et en quoi cela consiste d'être un horreur ?

- Auror, chasseur de mage noir en faite. C'est ce que je voudrais faire plus tard.

- Et les cicatrices il les a eu où ?

- En combattant ceux qui l'embetais, dit Harry en espérant intimider son oncle.

- Bon si vous ne voyez pas d'inconvénients, je vais me coucher ;

Avant d'attendre la réponse, il avait débarrassé son assiette et franchissait déjà le seuil de la porte.

Il entra dans sa chambre et défi sa malle. Son regard se posa sur l'album photo que lui avait donné Hagrid. Il tourna les pages et tomba sur la photo de mariage. Toutes les personnes présentes étaient heureuses et nul ne se doutait de ce qui allait se passer. Il referma soigneusement le livre et souleva une planche de son parquet et mit l'album avec la carte des maraudeurs et la cape d'invisibilité.

C'est alors que pour la deuxième fois de la soirée sa cicatrice lui fit mal mais différemment cette fois.

- Il arrive, il vient ici mais comment peut il entrer ici, il y a la protection de ma mère par son…

Il se tapa le front

- Mais oui, bien sûr lui aussi à la protection de ma mère. Vite prévenir un membre de l'ordre… Merde Hedwige est parti.

Il prit sa baguette avec une main tremblante et descendit à toute vitesse dans le salon et trouva son oncle, sa tante et son cousin.

- Vite, enfuyez vous, il arrive, Voldemort arrive, leur cria t-il, allez vous en, prenez la voiture ou courez !!

Les trois interpellés le regardèrent avec des yeux rond.

- Si c'est encore une blague de ta part, tu vas le regretter, lui cria l'oncle Vernon

BOUM

La porte d'entrer vola dans le salon et se fracassa contre la cheminée.

Deux mots répétés trois fois déchirèrent la nuit :

- Avada Kedavra

Harry vit les trois rayons verts se diriger vers l'oncle Vernon, la tante Pétunia et Dudley. Un vent glacial envahissa le salon : la mort les avaient emportés.

Harry n'en pouvait plus, il était terrassé par une douleur à sa cicatrice. Malgré cela il se leva et fit face à deux mangemorts et à son pire ennemi.

- Alors Harry prêt à savourer les derniers instants de ta vie ? Quatorze ans que j'attends cela, quartoze ans que je rêve de te tuer ! Mon rêve va enfin pouvoir se réaliser.

- Je te combattrais jusqu'à ta mort Tom Elvis Jedusor !

-Oh je vois, tu as découvert l'excellent élève et digne héritier que j'étais.

- J'ai tué le basilique.

- Vraiment ! Tu vois Potter cela ne m'étonnes pas du tout ! Tu es très intelligent et si tu te joignais à moi le vieux fou sera hors de contrôle.

- Jamais je te rejoindrais, tu es tout ce que je déteste.

- J'ai du te transmette quelque pouvoir la nuit où j'ai tué tes parents et je pense que ta partie Serpentard rêve de me rejoindre, non ?

- Tu as tort même ma partie Serpentard ne voudras te rejoindre.

- Dans ce cas c'est dommage mais tu vas mourir.

Un plop se fit entendre. Remus Lupin venait de transplaner devant lui.

- Expelliarmus, dit il.

Mais les deux mangemorts furent plus rapides et se protégèrent alors que Voldemort dévia simplement le rayon de sa main.

- Oh un loup garou nous rend visite, j'imagine que le vieux fou est prévenu, autant en finir tout de suite, Avada Kedavra.

Le rayon se dirigea vers Lupin et le toucha. Lupin tomba lentement sur le sol les yeux écarquillés.

- Non, cria Harry. Il se jeta sur le professeur Lupin et s'agenouilla à ses côtés.

- Oh le bébé Potter pleure pour la mort du pauvre loup garou comme c'est triste, fit une voix qu'il connaissait bien.

- Doloris, cria la voix de Harry.

Un hurlement s'éleva du mangemort se tenant au côté droit de Voldemort et tomba par terre.
- Expelliarmus, fit Voldemort

La baguette de Harry vola et se retrouva dans la main libre du seigneur des ténèbres.

- Destructum, fit il et la baguette se brisa en deux.

- Je vais le tuer ce morveux, fit la voix cassée de Bellatrix Lestrange.

- Non Bella, coupa la voix sèche de Voldemort. Queudver que fais tu ?

Peter Pettigrow avait enlevé sa capuche et était aux côtés de son ancien ami.

- Lunard, fit il dans un murmure, je vais essayer de te venger et respecter le dernier serment des Maraudeurs, dits aux autres que j'arrives bientôt. Il releva la tête et fixa Harry : Harry vas-tu me pardonner de ce que j'ai fait ?

Harry ne su pas pourquoi il répondit :

- Oui

Le visage de Queudver esquissât un sourire puis il se leva. Il se retourna aussi rapidement que l'éclair :

- Expelliarmus

Le rayon rouge toucha Voldemort surprit et sa baguette vola puis atterrit devant Queudver.

- Fuis Harry, lui cria t-il

Harry se leva puis commença à courir mais…

- Impedimenta

Et le sort le toucha. Il s'écroula et tomba à côté de Lupin.

Pendant ce temps là un duel se déroula entre les deux mangemorts. L'un comme l'autre était de force égale ce qui surprit Harry.

Voldemort avait repris sa baguette :

- Avada Kedavra

Le rayon vert se dirigea vers Harry. Ca y' est c'est fini pensa t-il.

Mais Pettigrow se jeta devant le sort et le prit de plein fouet. Comme Lupin, il tomba à la renverse.

Le dernier des Maraudeurs venait de mourir devant lui… Plus jamais il ne reverra un cerf, un chien, un loup ou un rat sans penser à eux.

Morts tous morts pour moi, qu'est ce que j'ai fait pour mériter un tel châtiment par merlin. Il pleura sur leur corps, ils n'en pouvaient plus, il voulait mourir et il les reverrait.

Pendant ce temps Voldemort s'occupa de Bellatrix qui avait reçu un Stupéfix de plein fouet :

- Enervatum

Il l'aida à se relever. Puis pointa sa baguette sur Harry :

- Personne ne peut plus t'aider maintenant, tu es à ma merci, la mort de Queudver n'aura servit à rien.

Un rayon d'or entoura Harry. Il fut surpris mais pas autant que Voldemort : pour la seconde fois de sa vie Harry vit Voldemort incrédule :

-Qu'elle cette puissance, dit il.

Harry lui ne l'entendit pas, il entendait des voix parler un langage inconnu puis une fleur apparut dans sa main entourée de flamme.

- Avada Kedavra

Mais Harry disparut avant d'être toucher. Il sentit la colère de Voldemort puis plus rien.

Finalement il atterrissa sur un sol humide puis il entendit les mêmes voix que tout à l'heure.

Il se releva et dévisagea les trois êtres qui se trouvaient devant lui. Ils étaient petits, un mètre cinquante à peu prés, étaient pâles de peau et portaient des tuniques de combat. Ils avaient les oreilles pointues et les yeux d'un joli bleu pales. Ils portaient des queues de cheval

. L'un d'eux avaient les cheveux blanc les autres étaient tout deux blond. Le vieux portait une barbe. Mais se qui étonna Harry c'était la paire d'aile que chacun avait dans le dos.

Puis ce fut la dernière image qu'il vit.

- Mon dieu, il s'est évanoui, fit Dragën, occupe toi de lui Orofornë.

Orofornë s'asseya et mis ses mains sur le corps de Harry.

Une lueur bleutée apparut et entrât dans le corps de Harry. Il se réveilla et fixa les trois individus. Puis il prit la parole :

- Où suis-je ? Et qui êtes vous ?

- Mon dieu de l'anglais fit Dragën

-Qu'est ce qu'il a dit ? , lui demanda Orofornë

-Il veut savoir qui nous sommes

- Il parait un peu jeune, non.

- Bon je crois qu'il attend une réponse.

Harry commença à s'angoisser. Qui étaient ces personnes et quel était cet endroit.

Le plus vieux s'approchât de lui et lui dit dans un bon anglais :

- Dragën, mage des elfes, bienvenue à Anduin monde crée par Merlin.

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