Épilogue

Ça y est presque, encore une fois, madame.

-Vas-y mon amour.

-Respirez...

-J'inspire, j'expire, j'inspire...

-Pas vous monsieur, votre femme.

-Je ne me sens pas bien...

-Oh, non Ronald Weasley, tu ne me laisseras pas tomber comme ça... Arrrrrggh!

-Une dernière fois madame.

-Ron Weasley, si tu me fais subir ça une autre fois, je te tue. Tu ne subis rien du tout... espèce de poule mouillée... aaaaarrgh!

Des petits cris signifièrent que le nouveau né était enfin arrivé. Une jolie petite rouquine, car, en effet, un léger duvet roux recouvrait déjà son petit crâne. Une Weasley, sans aucun doute. Son visage laissait deviner un nez et une bouche identiques à ceux de sa mère mais le menton et les taches de rousseurs venaient de Ron. Quand elle ouvrit les yeux, ils purent constater que leur couleur était d'un bleu clair, comme son père et leur forme était celle d'Hermione. Elle avait, par contre, le regard espiègle des deux parents. Plus qu'émus, les deux parents regardèrent leur fille leur faire un jolie sourire. Au même instant, Harry et Ginny entrèrent dans la salle. Comme hypnothisés, ils s'avançèrent en silence vers le jeune poupon. Ron la prit dans ses bras.

Derrière les larmes, on voyait clairement son regard fier et paternel.

-C'... c'est si... si merveilleux, réussit-il à articuler. Bonjour toi, mon petit ange... Tu es si petite et si... belle... tu ressemble à ta mère.

Les manches de sa chemise remontés jusqu'aux coudes et les cheveux emmêlés, il la berça doucement et elle s'endormie. Harry et Ginny ne dirent rien, mais l'émotion se lisait sur le visage. Ron la remit dans les bras de sa soeur et alla s'asseoire sur le lit, près de sa femme. Il caressa ses cheveux trempés et lui rendit un énorme sourire.

-Elle est magnifique, dit Harry.

-Oui, c'est tout le portrait de sa mère, dit Ron.

-Espérons juste que ses oreilles ne rougiront pas autant que celles de son père quand il est embarassé, dit Hermione en riant.

Harry et Ginny la suivirent dans son hilarité tandis que Ron boudait.

-Avez-vous trouvé un nom?

-May, dirent en coeur les nouveaux parents en choeur.

Tous sourirent et après avoir remit la petite dans les bras de sa mère, Harry et Ginny les félicitèrent et cette dernière dit:

-On a appelé maman, papa et les parents d'Hermione. Ils seront là demain avec le reste de la famille. On vous laisse maintenant, reposez-vous bien. À demain.

À demain, dit Hermione.

De nouveau seuls, ils s'extasièrent devant le poupon. La tête d'Hermione tomba sur l'épaule de son mari qui la tenait par la taille.

-C'est le plus beau jour de ma vie. À part la journée où je t'ai rencontrée.

-Es-tu fier de moi?

-Oh, oui! je suis même très fier de toi. Aujourd'hui, tu m'.as rendu l'homme plus heureux que la terre ait porté.

-Dire que voilà 10 mois, on se faisait un sang d'encre pour toi et Harry et Ginny tuaient ces mangemorts.

-Oui, heureusement qu'ils ne les ont pas laissé pourir là... Se faire enterrer, ce n'est pas ce qu'ils méritaient. Si ça n'avait été juste de moi, je les aurais jetés dans la geule du Calmar Géant.

-Ron! Je t'interdis de dire des choses pareils devant notre fille.

-Très bien, je vais me taire.

-En tout cas, je trouve que c'est une bonne idée de nommer Harry et Ginny comme parrain et marraine. Harry avait l'air si heureux et il a dit qu'il allait essayer d'être un aussi bon parrain que Sirius.

Leur visage s'assombri, mais ils retrouvèrent leur sourire en pensant à la promesse qu'ils avaient fait à leur meilleur ami. Ils ne devaient pas se laisser abattre par la mort de Sirius, même si ça faisait très longtemps qu'il l'était. Et puis, c'était un jour heureux.

-Alors, si je t'en fait un autre aussi beau qu'elle l'est, tu vas me tuer? demanda-t-il d'un air taquin.

-Tu sais très bien, mon chéri, que je pourrais faire bien pire. Je pourrais très bien te jeter un sort pour que ce soit toi qui tombe enceinte.

Il avala de travers.

-Tu... tu ne ferais pas ça, dit-il, essayant de ne pas parraître apeuré.

-Tu pourrais être surpris.

Il la regarda avec des yeux ronds et elle éclata de rire.. Elle l'embrassaétouffant ainsi la réplique qui allait sortir.

-Voyons, je plaisante, tu es beaucoup plus rapide que moi et puis, je serais prête à recommencer.

-Très bien, j'aurais des plans pour la semaine prochaine...

Ils éclatèrent de rire.

-Heureusement que la saison des sentiments est fini, parce que je serais en train de chanter en ce moment, je sens pleins d'émotions.

-Tu ferais mieux de dormir, demain, toute la famille sera là pour vous voir, toutes les deux.

-Non, je veux la garder encore un peu.

Il la regarda, les yeux rmplient d'amour.

-Tiens.

Ron prit May dans ses bras et commença à lui chanter une berceuse que sa mère lui chantait quand il était petit (nda:il a déjà été petit?) Hermione sourit en le voyantémue. Elle avait toujours su qu'il ferait un bon père. Il semblait malhabile et ne chantait pas comme un dieu, mais qu'est-ce qu'il était mignon et sa voix était très reposante. Tellement reposante qu'Hermione s'endormi. Lorsque Ron se retourna, il la vit, sourit et lui chuchota:

-Je t'aime Hermione.

Il l'embrassa sur le front et alla déposer la petite, qui dormait aussi, dans son petit lit, près de celui de sa mère. Il se reposa ensuite sur la chaise tous près d'elles et les regarda jusqu'à ce que le sommeil le gagne aussi.

Un ans plus tard...

Ding! Dong!

-Ron, tu veux aller ouvrir?

Du bruit venant de l'entré confirma à Hermione que Ron avait fait tomber la paterre près de la porte. Il poussa une série de jurons qu'on pouvait entendre dans toute la maison. On pouvait trè clairement entendre:

-Espèce d'imbécilité moldu... putain... de saloprie...

Il ouvrit la porte.

-Ce n'est pas un bon exemple à donner à May ça...

Fred et George entrèrent dans la maison.

-Vous pouvez bien parler, vous, et puis c'est quoi cette idée de passer par la porte, vous ne pouviez pas utilisé la cheminer, comme tout le monde?

-C'est papa. Il voulait que l'on essaie d'utiliser des moyens moldu, pour habituer May. Quelle banalité, un voiture qui ne vole pas et une porte, maintenant. Pffff...

-Ce n'est pas plus banal que de se cogner le gros orteille sur un poteau pour mettre des vêtements...

-On te l'a toujours dit que tu avais de trop grands pieds.

Ron grogna et ne les invita même pas à entrer, c'était déjà fait.

En moins d'une heure, toute la famille était réunis pour fêter May.

-Ouais, vous ne nous avez pas dit ce que vous avez fait pour que tu sois aussi échevelé, Ron, quand on est rentré, dit Fred.

-J'espère que vous ne nous faites pas un nouvelle nièce, continua son jumeau.

Hermione et Ron rougirent.

-Fermez-la...

Avant que les jumeaux n'aient pu ajouter quelque chose, May tirait sur les pantalons de Ron.

-Pa-pa, papa... ca-eau...

Pouf! elle tomba sur les fesses.

-Viens ici, ma chérie, dit Ron.

Il la prit dans ses bras et la fit s'asseoir dans son siège, avec ses petites figurines de sorciers célèbres, dont celles de Harry, Ron et Hermione... Le rouquin se leva pour aller chercher son chaudron miniature, lorsqu'il failli piétiner un pauvre hibou qui semblait mal en point.

-Mais qu'est-ce que...

-Oh! Il doit être gelé, par un temps pareil et il a l'air vieux.

Ça doit être ça que May disait plus tôt, quand elle parlait de cadeaux.

Le hibou tenait en son bec deux lettres adressées à Ron et Hermione.

"Chère Hermione Granger,

Nous avons la désagréable obligations de vous annoncer que les professeurs Dumbledore et MacGonagall sont décédé voilà de cela quelques jours. Bien triste nouvelle qui engendre quelques changements. En effet, il n'y a plus de directeur, ni de directrice de Gryffondor et professeur de métamorphose. Nous vous proposons le postre de directrice de Gryffondor et professeur de métamorphose. En espérant que vous accepterez notre offre.

Mes sincère remerciments

Seamus Finnigan

Ministre de la magie"

-Wouha! les professeurs Dumbledore et MacGonagall sont décédés, et le ministre me demande de devenir professeure de métamorphose.

-Wouahou, c'est génial ça Herm', sauf pour Dumbledore et MacGonagall. Bah! Qu'est-ce qui t'arrive Ron? Tu n'es pas content pour ta femme? demanda Fred.

Georges arracha la lettre des mains de Ron qui ne bougeait pas, bouche bée. Harry songea irrésistiblement à la scène qui s'était passé lors de leur cinquième année. Ron avait appris qu'il était devenu préfet. Hermione la prti et lu à haute voix, apprenant en même temps que les autres la nouvelle plus que surprenante:

"Cher Ronald Weasley,

Nous avons la désagréable obligations de vous annoncer que les professeurs Dumbledore et MacGonagall sont décédé voilà de cela quelques jours. Bien triste nouvelle qui engendre quelques changements. En effet, il n'y a plus de directeur, ni de directrice de Gryffondor et professeur de métamorphose. Nous vous proposons le postre de directeur de la célèbre école de sorcellerie Poudlard. En espérant que vous accepterez notre offre.

Mes sincère remerciments

Seamus Finnigan

Ministre de la magie"

AAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHH! Enfin! J'ai fini! Ok, vous pouvez m'envoyer des tomates si vous voulez, je sais que je l'ai fini de façon assez banale... je ne voulais pas faire de fin trop à l'eau de rose... mais comme je vous l'ai promis, j'ai fait un chapitre bonis, qui raconte la journée où Ron est partit en Amérique. C'est un chapitre classé R. Reviwez-moi pour me dire si vous le voulez et peutêtre que je ferai une suiteça dépends de vous.

Gros bizous à vous tous,

SoPhIaGrInT