Disclamer : Rien n'est à moi… Sauf l'ascenseur fou que j'aime beaucoup et l'immeuble miteux qui va avec XD

Genre : Euh… Yaoi, c'est sûr… Peut-être angst et une pointe de romantisme et d'humour ? Et dans ce chapitre, présence d'un petit lemon, pas très détaillé, mais il est là quand même lol

Résumé : Un Harry dans un ascenseur, une voix sensuelle... Mais que va-t-il arriver ? On se le demande XD

Note 1 : « blabla » : pensées de Harry
« blabla » : Pensées de Tom
« blabla » : dialogue normal.

Note 2 : Je comptais finir et poster cette fin plus tôt, j'ai eu quelques imprévus qui ont retardés tout mon programme … Donc je m'excuse de pas avoir pu la poster plus tôt, mais il vaut mieux tard que jamais n'est-ce pas ? nn

Réponse aux Reviews :

666Naku : Ah ! Honte à moi… J'me souviens plus si je t'ai répondu par mail ou non… Dans le doute, je te fais donc une réponse ci. Tout d'abord, désolée de pas avoir pu la poster plus tôt (cf. Note 2). Et puis je ne vais pas te dire c'que va faire Voldy, ça gâcherait tout le suspens ! Donc bonne lecture !

Tania : Lol ! Merci beaucoup pour ta review, ça m'a fait très plaisir. J'espère que cette suite et fin te plaira tout autant. Bonne lecture.

Pithy : Inhumain de m'arrêter là ? Tu trouve ? Pourtant j'trouve que je suis beaucoup moins sadique que d'autres auteuses qui arrêtent à des moments bien plus inhumains lol. Bonne lecture :)

Pour les autres, je vous ai répondu par mail, donc je ne vais pas le refaire ici. Bonne lecture à tous et j'espère que cette fin va vous plaire !

Enfer ou Paradis ?

Chapitre 2 :Montée au Paradis

« Quelle situation de merde… Mais quelle situation de merde ! Mais comment je fais pour toujours me retrouver dans des situations si merdiques ! »

Et ça, c'était ce qu'on pouvait appeler un Gryffondor paniqué… Tellement paniqué d'ailleurs qu'il ne fit même pas attention au sourire moqueur de Voldemort qui avait entendu ses pensées. Il est pas legilimens pour rien le serpent. Et puis tant qu'à faire, le Gryffy s'était tellement perdu dans ses pensées désespérées du pauvre Survivant miséreux qu'il était, qu'il ne s'aperçut pas non plus que son ennemi avait disparu de son champs de vision pour se retrouver derrière lui. Ce ne fut que lorsqu'il sentit une main descendre le long de sa colonne vertébrale (NdA : je rappelle qu'il a retiré son tee-shirt dans l'ascenseur) qu'il redescendit sur Terre. Il regarda alors la pièce pour (enfin) se rendre compte que Tom n'était pas devant lui et que c'était donc sûrement lui qui était en train de lui procurer un nombre indéfinissable de frissons le long de l'échine alors que la main bifurquait de plus en plus vers la hanche pour se perdre sur sa cuisse.

Connexion du cerveau en cours, veuillez patienter…

« NE ME TOUCHEZ PAS ! Mais vous êtes complètement fêlé ! »

… Fut la réponse du cerveau via la bouche après réception du message, alors que son corps s'éloignait du corps derrière lui le plus possible. Et bien sûr, les Mangemorts ne se retinrent pas de faire savoir que la scène était vraiment risible, surtout avec Harry qui jouait presque les saintes nitouche après un long moment à s'être laissé touché. Oui, il y avait de quoi rire.

Commençant à se sentir las de cette situation bien gênante, il demanda presque dans un murmure :

« Qu'est-ce que vous voulez ? »

Ce à quoi Voldemort, premier du nom, répondit :

« Toi, ton corps… L'ascenseur était pourtant clair il me semble. »

Effondrement de la mâchoire du Survivant sur le sol, manquant de briser le plancher. Pourtant, il était vrai que le message était bel et bien clair dans l'ascenseur. Mais Harry devait avouer qu'il avait espéré s'être trompé. Bien que cela aurait supposé qu'il perdait la tête. Mais qu'est-ce qui était pire ? Perdre la tête ? Ou être l'objet sexuel de Voldemort et de ses Mangemorts au 100e étage d'un immeuble miteux ? Dur le choix…

Quoiqu'il en soit, reprenant son côté Gryffondorien en main, Potter ramassa sa mâchoire pour la remettre dignement en place et reprit légèrement contenance avant de bégayer pour le moins lamentablement :

« Pou… Pourquoi ? Qu'est-ce que… Ca peut vous apporter ? »

« Mis à part un 'jouet' pour se vider quand il en a envie… Bien qu'il pourrait se servir de ses Mangemorts pour ça… »

« Tout d'abord, je tiens à te dire que j'entends tes pensées… Ensuite, je veux que tu t'assoies. »

Voldemort fit apparaître une chaise sur laquelle Harry n'eut d'autre choix que de s'asseoir. Il fit ensuite apparaître un verre entre ses mains contenant un liquide totalement transparent. Puis il reprit, ne laissant pas le temps au Gryffondor de répliquer quoique ce soit :

« Tu peux le boire, c'est de l'eau, je n'aurais aucun intérêt à te tuer… Du moins pour le moment… Et je me suis arrangé pour que tu sois ici car j'ai une proposition à te faire…

- Laquelle ? »

Alors qu'il posait cette question, il avait porté le verre à ses lèvres pour commencer à boire. Après tout, au point où il en était… Et puis il doutait que Voldemort veuille le tuer avec une potion ou un quelconque poison. Ce devait sûrement être plus jouissif avec sa baguette et un Avada Kedavra.

« Reste à mes côtés, sois mon compagnon, oublie cette guerre et je te promets de faire de ton futur une vie comme tu n'aurais jamais osé l'espérer. »

Sur le coup, le geste que faisait Harry pour boire s'était figé… Avant qu'il ne s'étrangle littéralement avec l'eau qu'il avait déjà commencé à avaler. Heureusement, il réussit néanmoins à se reprendre. Quelle fin pitoyable cela aurait été s'il était mort ainsi… Le Survivant tué par un verre d'eau offert de la baguette de son pire ennemi. Ennemi qui lui proposait, à en croire ses paroles, une vie de rêve en échange de son abandon dans la guerre et dans ses bras. C'était ridicule.

« Tu crois vraiment que je vais accepter ? Je ne pourrai jamais oublier ce que tu as fait subir aux gens qui me sont chers. Si ma vie a toujours été si misérable, c'est de ta faute… Tu voudrais maintenant que je me jette dans tes bras ? Tu rêves !

- Pourtant c'était bien ce que tu étais en train de faire dans l'ascenseur avant qu'il n'arrive à destination… Et si tu le souhaites, je suis même prêt à te lancer un Oubliette pour que tu n'es aucun remord. »

« Et on ose dire que je suis sans cœur… Ma bonté me perdra… »

Un Oubliette ? Il était vrai qu'avec cet argument, c'était vraiment tentant. Combien de fois avait-il souhaité oublier tout ce qu'il s'était passé et avoir une vie normale avec tout ce qui s'en suit ? Il avait arrêté de compter depuis bien longtemps. Et puis, même s'il ne le montrait pas, il ne s'était toujours pas remis de la mort de Sirius ni de celle de Dumbledore. Et il s'en sentait tellement coupable…

« Pour une fois, pense à toi… Pense à ce que je peux te faire vivre. Laisse-moi te faire oublier. Tu en as assez fait pour les autres, laisse-les se débrouiller seuls… »

Cette voix à son oreille avait raison. Bien sûr, ladite voix n'était autre que Voldemort, mais Harry était tellement plongé dans ses réflexions, pesant le pour et le contre, qu'il n'avait même pas percuté.

Après quelques minutes ainsi, il se mit à baragouiner quelque chose ressemblant à des « Non… », des « Je ne dois pas… » ou des « Je ne peux pas faire ça… », voire des « Je ne peux pas les laisser ». Tout n'était que murmure, mais Voldemort était bien assez proche pour pouvoir tout entendre.

Harry avait les yeux vides. Il ne savait plus où il en était. Des larmes de désespoir et de découragement en tombaient lentement, glissant sur ses petite joues roses et creusées. Il avait beau avoir bientôt 17 ans, il restait tout de même un enfant dont l'enfance avait été gâchée et à qui l'ont avait demandé trop tôt d'entrer dans l'age adulte pour porter seul ce poids si lourd du monde. Oui, Harry Potter était à l'instant un petit garçon perdu et déboussolé.

Soudain, le verre tomba à terre, restant intact pour on sait quel miracle. En plus de voir trouble à cause des larmes, maintenant le Survivant avait la tête qui lui tournait. Il se sentait si faible et désemparé. C'était trop dur de luter. Alors il se laisser aller, tombant dans l'inconscience, laissant ces ténèbres l'emporter pour un moment de répit.

oooooooo (quelques heures plu tard donc...)

Ah ! Comme il était confortable ce lit chaud aux draps de soie, assez grand pour y accueillir facilement jusqu'à trois ou quatre personnes. Harry ouvrit les yeux, un petit sourire sur les lèvres. Comme il se sentait bien en cet instant. Et Snape qui veillait gentiment sur lui, bien qu'il aie un sourire moqueur sur les lèvres.

Ouhlà ! Replay !

Son professeur de potion dans sa chambre ! Non… A la réflexion, c'était loin d'être sa chambre. Il n'avait jamais dormir dans un lieu aussi confortable que celui-ci, même à Poudlard. Il se redressa alors précipitamment et regarda droit dans les yeux, son professeur de potion. Et tout lui revint en mémoire de plein fouet. Les excuses fausses de Snape. L'ascenseur. Voldemort…

Ne pouvant plus contenir sa rage contre cet homme qui l'avait trahi – et pas seulement lui d'ailleurs, mais tous les autres membres de l'Ordre -, il cria à s'en arracher les cordes vocales :

« Sale traître ! Comment avez-vous pu ! Comment pouvez-vous ainsi trahir Dumbledore après tout ce qu'il a fait pour vous ? Il vous a offert sa confiance, et vous en avez profitez ! Vous êtes un être abjecte ! Je vous hais ! Je n'aurais jamais dû me taire et les laisser me convaincre que vous étiez de notre côté ! Je ne veux plus jamais vous voir, vous et votre sale tête de bâtard graisseux ! »

Et ce fut sur ces dernières paroles qu'il attrapa l'oreiller sur lequel sa tête reposait quelques instants plus tôt et le balança à la figure de son professeur qui l'évita avec un rictus railleur. Il était vrai que lorsqu'il était revenu dans l'Ordre en s'expliquant tant bien que mal sur ses agissements, Harry avait un des rares à protester et aussi le plus dur à convaincre. Mais tout le monde pensant qu'il ne s'agissait que d'un caprice du Survivant, ne voulant pas encore se retrouver aux côté de son détestable professeur de potion, tout le monde avait repoussé ses arguments et son opinion au profit de Snape, et Harry, lassé de ne pas être écouté et qu'on ne le croit pas, s'était tut, gardant pour lui-même son avis sur la question.

« Lorsque vous aurez fini de vous époumoner de la sorte, Potter, en tentant misérablement de me faire fuir avec un vulgaire oreiller de plumes, je pourrais peut-être enfin vous donner mon point de vue sur cette affaire. »

Pour toute réponse, Séverus eut droit à un magnifique regard noir et meurtrier, comme lui-même savait si bien les faire, qui ne lui fit absolument aucun effet. Voyant donc que son élève était fin prêt à l'écouter, tout du moins s'il avait l'intention de vraiment l'écouter, il continua :

« Dumbledore m'a peut-être offert sa confiance, ainsi qu'un poste de professeur de potion, mais ça s'arrête là. Il n'y a rien d'extraordinaire à ce qu'il m'a donné. En revanche, Voldemort a été capable de m'offrir bien plus. Je me suis contenté de me tourner vers le plus offrant, voilà tout.

- Et qu'est-ce que meurtrier a-t-il bien pu vous donner qui vous tant charmé ?

- Au même titre que Dumbledore, il m'a offert sa confiance, qui n'est pas donnée à tout le monde soit dit en passant, ainsi qu'un titre de maître des potion. Jusque là, ça ne change pas grand chose à ce que me proposait le vieux sénile… Mais Voldemort m'a offert ce qu'aucun autre n'aurait jamais pu m'offrir : une vie avec un avenir sûr, une reconnaissance sociale inégalable, un futur dont j'ai toujours rêvé. Voilà pourquoi j'ai choisi de le suivre et de lui obéir. Et vous feriez mieux d'y réfléchir à deux fois avant de vous précipiter à dire non à sa proposition. Jusqu'à preuve du contraire, votre vie n'a pas été bien meilleure que la mienne jusqu'à maintenant. Voldemort vous propose un peu de bonheur… Vous seriez stupide de refuser, la proposition qu'il vous fait est bien plus grande et avantageuse que toute celle qu'il a pu faire jusqu'à présent. Et entre nous, aussi bien que les autre Mangemorts pensions qu'il allait se contenter de vous torturer pour vous entendre le supplier de vous tuer avant d'accéder à votre requète. »

Après ce long monologue qui avait pas mal chamboulé les pensées du Survivant, Snape se leva de sa chaise pour aller prévenir son maître du réveil de la belle au bois dormant nouvelle génération, comme il en avait reçu l'ordre. Mais alors qu'il allait atteindre la porte et tendre la main vers la poignée de cette dernière, il fut stoppé dans son geste par une autre main qui ne lui appartenait pas. Il se tourna alors vers le propriétaire de ladite main et découvrit un Potter au visage plus enfantin et perdu que jamais, la tête baissée.

« Puis-je savoir ce que vous me voulez encore, Potter ? Si c'est pour me crier à nouveau des insultes, vous pouvez retourner dans votre lit, je n'ai pas l'intention de les écouter…

- Est-ce que…

- Oui … ? Hey bien allez-y Potter ! finissez votre question !

- Est-ce qu'il a dit vrai ? Est-il vraiment capable de m'offrir le genre de vie dont j'ai toujours rêvé ?

- Sérieusement… Trouvez-vous que j'ai l'air d'un martyrisé ? Tant que vous ne faîtes rien qui pourrait lui nuire, il n'est pas aussi ignoble qu'on veut bien le faire croire… C'est surtout pour l'image et faire peur à ceux qui sont contre lui. »

Si Harry avait relevé la tête à ce moment-là, il aurait pu constaté que Snape venait de laisser fleurir un petit sourire sur ses lèvres. Comme quoi, peut-être que lui non plus n'était pas aussi méprisable qu'il le laissait paraître.

Quoiqu'il en soit, le Survivant lâcha le bras de son professeur et recula, la tête toujours baissée, vers le lit pour se rasseoir dessus et méditer sur les derniers événements. Il put alors entendre le bruit d'un porte qui s'ouvre puis se referme. Il était maintenant seul dans cette chambre qui lui était inconnue. Et pourtant, elle lui paraissait si accueillante, si pleine de chaleur. Il n'aurait jamais imaginé Voldemort en possession de telles pièces.

Après plusieurs minutes pendant lesquelles il avait longuement tourné la question dans tous les sens pour trouver un moyen de se décider, il entendit à nouveau la porte s'ouvrir pour se refermer l'instant d'après, suivit par des pas qui se rapprochaient de lui. Il sentait maintenant le lit s'affaisser à côté de lui, mais il ne releva pas la tête pour autant.

« Harry, regarde-moi. »

N'obtenant aucune réponse ni d'obtention à sa requête, Voldemort prit le menton d'Harry entre son pouce et son indexe et lui releva la tête pour qu'il le regarde dans les yeux. Sans avoir besoin d'utiliser son don de legilimencie, il pouvait aisément voir dans ces yeux verts le doute et l'indécision.

« Je te jure de t'offrir une vie paisible et heureuse si tu accepte de te retirer de la guerre et de rester avec moi. Je suis même prêt à effacer une partie de tes souvenirs pour que tu n'es aucun remord et à faire en sorte que personne d'autre que mes Mangemorts sache que tu es avec moi pour qu'on ne t'accuse pas de trahison.

- Et si je refuse ?

- Alors je me verrai dans l'obligation de te tuer. Comme toutes les autres personnes ayant voulu me tenir tête. »

Un silence s'installa entre les deux sorcier après cette réponse pendant laquelle le Seigneur des Ténèbres avait lâché le visage d'Harry qui avait alors à nouveau baissé la tête. Ce dernier réfléchissait à ce qu'il devait faire, et Voldemort le laissait faire patiemment pour qu'il fasse le bon choix. Et le silence fut bientôt brisé par le Survivant :

« J'accepte… J'accepte de reste avec toi, que tu m'effaces la mémoire et que tu me fasses porté disparu… Mais… Je ne veux pas que tes Mangemorts me touchent et je veux que tu me prouve que tu prendras vraiment soin de moi. »

Potter avait relevé la tête vers son ancien ennemi et avait un regard déterminé dans les yeux. Tom eut alors un sourire tendre, ce qui eut pour effet de surprendre le Gryffondor. Si un jour on lui avait dit que Voldemort lui sourirait de la sorte, il aurait probablement rit au nez de la personne qui avait osé imaginer une telle scène. (en l'occurrence, moi XD)

« S'il n'y a que ça pour te faire plaisir… J'accède volontiers à ta requête. »

Harry se retrouva alors allongé sous le corps du Serpentard qui se mit en quête de l'embrasser tout en parcourant chaque parcelle de son corps en enlevant les encombrants tissus au passage jusqu'à ce que tous deux se retrouvent entièrement nus et pris dans un tourbillon de passion et de désir. Alors qu'il était en train de le préparer pour la suite de leur ébat, il lui demanda au creux de l'oreille :

« T'ai-je suffisamment prouvé ma bonne volonté ? Veux-tu que je t'efface la mémoire maintenant ?

- Ah… Oui ! Oui ! »

Ne sachant pas trop si c'était réellement la réponse à sa question, il prit tout de même sa baguette posée sur la commode pour prononcer l'Oubliette, avant de pénétrer celui qui serait maintenant son amant. Et après bon nombre de va-et-vient, devenant de plus en plus rapide et violents, ils se libérèrent ensemble criant leur plaisir d'une même voix.

Et voilà enfin ce que l'on pouvait appeler une montée au Paradis. Enfin… Peut-être pas pour tout le monde, maintenant que Voldemort avait les plein pouvoir et que le seul espoir de le voir disparaître étaitfinalement à ses côtés…

FIN

Et voilà ! Cette petite fic est terminée :D Alors, ça vous a plu :)
Et aussi, j'voulais vous dire... A l'origine, la fic aurait due être postée hier soir (vu que je l'avais terminée) mais ffnet a buggué et pas moyen de la poster... (d'ailleurs j'suis pas la seule) Donc du coup, elle est encore plusen retard que ce qu'elle aurait dû être T.T