Titre : Pour un enfant

Auteur : Amiah Nakinnass pour vous servir.

Genre : Romance, Yaoi

Base : La sublime saga de J. K. Rowling j'ai nommé : Harry Potter !

Disclaimer : Tous les personnages de cette fanfiction sont la propriété de madame J K Rowling, je me permet simplement de les lui emprunter le temps de ce récit. Je me dois de rajouter aussi, au Disclaimer que même le sujet de la fanfiction ne m'appartient pas tout à fait puicequ'il s'agit du défit de « La Nouille ».

Remarque : Ceci est ma seconde FanFiction sur le monde de Harry Potter je ne sais donc pas comment cela va être, je vous demanderais donc d'être compréhensif et de me laisser un petit commentaire, en bas de la page, bouton de gauche « Go ». ça me fera plaisir. En espérant que ça vous plaise.

Bonne lecture !


Note :

Je tien à préciser que ce chapitre est le premier chapitre

de la réécriture de ma fic « Pour un enfant ».

Bien que vos reviews aient été pour la plupart élogieuse (et je vous en remercie encore)

Je n'ai jamais été totalement satisfaite de cette fic que je trouve à proprement parler Ratée.

Alors j'ai décidé de la reprendre et de l'améliorer, certain passage ou chapitre ne changeront pas, tandis que d'autre apparaîtrons.

J'espère que vous aimerez aussi cette réécriture.

Amiah Nakinnass.


Chapitre 1

Tout était sombre ; même la lune se refusait à éclairer cette demeure. La baie vitrée largement ouverte, les rideaux s'envolaient à chaque coup de vent, allant caresser le visage et l'épaule de l'homme prostré sur une chaise au centre de ce qui fut, il n'y a pas si longtemps, une chambre ; leur chambre lorsqu'ils venaient au manoir...

Les larmes s'étaient tarie et c'était maintenant un pesant silence qui régnait en ces lieux. Seul le mince bruit de papier que l'on tord rompait le fragile équilibre de la pièce. Soudain la porte s'ouvrit sur un univers lumineux mais l'homme ne bougea pas, laissant venir à lui le nouveau venu. Celui ci s'agenouilla devant le premier et lui pris délicatement la tête entre ses mains, le forçant ainsi à la relever.

-« Draco. » Appela t-il doucement.

Le susnommé leva difficilement des yeux mort sur l'adulte qui se trouvait face à lui et les rebaissa ensuite, comme déçu que ce ne soit pas un autre.

-« Draco je t'en pris, regarde moi. » Fit de nouveau la voix aux accents désespéré, mais elle ne toucha en rien Draco qui persistait à ne fixer que ses genoux. « Fils... » tenta t-il à nouveau en posant son front sur celui du plus jeune qui se laissa faire tel une docile marionnette.

Las l'homme se leva en soupirant et retourna vers la porte qu'il avait laissé entre-ouverte. Arrivé à celle ci il jeta un dernier regard à sa progéniture et sorti refermant la porte avec une lenteur exagéré. Le front appuyé contre le bois sculpté Lucius senti une main légère se poser sur son épaule, main à laquelle il s'accrocha tel un noyé à sa branche. Le silence dura quelques instant avant d'être brisé par une voix inquiète et fatiguée.

-« Comment va -il ? »

-« J'ai bien peur qu'il n'aille encore plus mal qu'hier Narcissa. »

Les deux parents regardèrent tristement le montant de bois avant de détourner les yeux, conscient du fait que quoi qu'ils puissent faire seule la solitude pourrait apaiser leur fils.

-« Il ne mange ni ne dors plus. S'il continue ainsi il va finir par mourir Lucius. Nous devons faire quelque chose ! » Supplia presque la jeune femme.

-« Nous ne pouvons rien faire Narcissa, rien. Nous avons déjà fait tout ce que nous pouvions. »

-« Lui ouvrir notre porte et le regarder dépérir n'est pas 'tout ce que nous pouvons faire' Lucius ! »

-« Il a besoin de se retrouver seul. Cela ne l'aidera pas que nous soyons toujours derrière lui à , sans arrêt, le surveiller comme un enfant. Ce n'est pas pour cela qu'il à demander asile chez nous. »

-« Cette maison est aussi la sienne ! Et nous somme ses parents, nous devons veiller sur lui ! Nous devons veiller à son bonheur ! »

-« Nous avions confié cette tâche à un autre, ne l'oubliez pas. Nous lui avions confier Draco dés lors où nous avons accepter leur relation. Ce n'est plus à nous de veillez à son bonheur à présent, mais à lui. »

-« Il est parti Lucius ! Il l'a laissé ! Draco est effondré ! Comment voulez vous que je délègue encore la charge du bonheur de mon fils ! » S'emporta la blonde les points serrés sur les côté de sa robe.

Narcissa avait maintenant les yeux plein de larmes et fixait son mari avec toute la rancoeur qu'elle ne pouvait déverser sur le responsable de son malheur, le responsable du malheur de son fils. Voyant cela, Lucius n'hésita pas ; il referma sur elle ses bras puissant et la serra contre lui afin de la consoler.

-« Je sais ce que vous ressentez Narcissa. Mais il faut accepter pour nous n'y pouvons rien pour le moment. Lorsqu'il aura commencé à panser ses blessures, là seulement nous pourrons intervenir. Pas avant. »

-« Mais... »

-« Je le sais Narcissa. Je le sais... »

Le maître de maison ferma les yeux aussi fort qu'il le put et leva la tête au ciel afin de s'empêcher de verser des larmes. Lui aussi était triste. Triste à en mourir de voir son tendre enfant au prise avec de tel démons, mais il savait qu'il ne ferait qu'attiser son mal en le forçant ou en le brusquant. Aussi serra t-il plus fort sa femme contre lui lorsqu'il la sentit trembler déversant enfin des sanglots trop longtemps contenues alors que derrière la porte les même bruits recommençaient.

Les larmes roulaient avec lenteur le long des joues blanche du garçon, elles s'arrêtèrent un moment au menton puis chutèrent jusqu'à tremper le petit rectangle froissé entre les doigts de Draco. Incapable de voir les mots nettement le blond ferma les yeux et se les remémora. Cette lettre il l'avait lut cent fois, il la connaissait par coeur, dans ses moindres détail et pourtant in souhaitait encore qu'elle ne soit pas réel. Il rentrait d'une sortie avec Blaise Zabini et quelques autres amis lorsqu'il l'avait trouvé correctement plié, glissé dans une enveloppe blanche avec son prénom calligraphié dessus. Quelques tâches ronde et humide y avait séché intrigant le jeune homme. Draco l'avait ouverte sans trop s'y attarder et l'avait survolé tout en cherchant son petit ami à travers la maison. Ne le trouvant pas il avait alors prêté plus attention à ce qui été écrit et là, son monde avait basculé. En seulement quelques mots son amant était parvenue à le détruire totalement. Les jambes et le souffle coupée le blond s'était écrouler dans le salon la lettre fermement serré dans sa main droite, le regard incrédule. Draco était perdu, son cerveau marchait à tout allure afin de trouver une explication logique à ce qui était en train de ce passé, mais rien ne sut totalement expliquer le silence pesant de l'appartement. Mu soudain par une force inconnue le blond s'était levé et était entré dans la cheminé. Parvenant sans qu'il ne sache comment à prononcé le nom du manoir Draco s'était étalé dans le salon de la manoir familial arrachant un cri à sa mère qui lisait tranquillement. Celle ci s'était précipité sur lui voyant qu'il ne disait mot et avait hurler après Lucius pour qu'il vienne immédiatement. Dans un état second Draco raconta tout à ses parents et fondit en larme dans leur bras. Ce fut là, la dernière fois qu'il montra une quelconque attention à ce qui l'entourait. Peut après le jeune homme s'enferma dans son mutisme avec pour seule lient avec la réalité cette lettre qu'il refusait avec véhémence de lâcher.

Cette lettre qu'ils n'étaient que deux à en connaître le contenue.

« Cher Draco,

Je ne te demanderais pas de ne pas m'en vouloir, pour ce que je m'apprête à faire.

Je ne te demanderais pas non plus de pardonner mon geste, rassure toi.

Je ne peux pas encore te donner les raisons qui m'ont poussé à faire ça,

mais sache juste que je le fait pour notre bien à tout les deux.

Je suis désolé Draco, mais je...

Je pense que c'est mieux ainsi.

Je te demanderai juste de ne pas chercher à me retrouver, bien que je doute que cela t'ai traversé l'esprit.

Adieux mon amour, mon Draco.

Je part, mais j'emporte avec moi tout nos secrets, toutes nos tendresse.

Baisé,

Harry Potter. »


A suivre...

En espérant que ça vous à plus.

A bientôt !

Amiah.