Quitter un enfer pour un autre.

§§§§§§§§ POV Serena §§§§§§§§§

Aïe ! Oh ...non merde!

Ne me dites pas que je viens de basculer.

Eh si ! je viens de me prendre un sort, sortie de je ne sais où et je viens de basculer dans cette PUTAIN D'ARCHE !! de merde !!!!

Je sais qu'à cet instant je ne reviendrais jamais dans mon monde. En même temps, vu ce qu'il est devenu, ce n'est pas plus mal. Plus rien ne retient. maintenant. Pourquoi tu m'à demander de faire cela, mon ami.

De toute manière je ne pourrais pas retomber dans un tel enfer. Je me sens flotter, planer. C'est assez agréable comme sensation.

Outch, par contre l'atterrissage faudra revoir, ça laisse à désiré. Je viens de faire un magnifique rouler bouler dans ...l'herbe ????

Il fait jour, un magnifique soleil m'explose les yeux. Un vent frais s'engouffre dans mes cheveux brun. Que ça fais du bien. J'entend le chant des oiseaux, la verdure de l'herbe et des arbres est un ravissement pour mes yeux et deux hommes s'approche de moi l'épée aux points.

Oh oh, ça sent le roussit.

Sans chercher à comprendre, je passe en mode auto-défense et me met en position de combat. Ils sont arrivés à ma hauteur, le premier homme me menace en mettant son épée sous la gorge. D'un mouvement rapide, je bascule vers le bas, lui fait sauter son épée des mains et l'attrappe en plein vol pour à mon tour le menacer de ma main droite armé de son arme. Le second homme avait tenté de s'interposer mais je parvient à lui broyer la main et le menace avec sa propre épée, sa main prisonnière de la mienne sur la garde. Je plonge mon regard dans le sien, ses yeux bleu glacé.

Pourtant mon coeur s'emballe et ma respiration déjà très rapide deviens saccader. Comment un simple regard de cet inconnu peut il me faire autant d'effet.

- ASSEZ !!!

Un homme brun, les cheveux long attaché en demi queue, des yeux d'un vert pâle, habillè d'une tunique grise argenté et ...aux oreilles pointus ????

Ah tiens interessant ?! Dans quel monde je suis tombé ?

- Je m'en charge, mon seigneur. dit un autre homme brun coupe un carré. Tiens son visage ne met pas inconnu.

Je le vois pointer vers moi ...UNE BAGUETTE !!!!!

Merde un sorcier. je lance un légère onde de choc pour virer les deux hommes près de moi et me defend d'un Protego de l'expelliarmus qui m'arrive droit dessus. Merci la magie sans baguette.

Le brun est surpris mais se reprend très vite. Le combat s'engage vraimment quant je sors ma baguette de son étuis attaché à mon poignet. J'enchaîne les sorts d'attaque et de défences. L'homme se défent assez bien mais il ne fait pas le poid.

Le combat s'achève quant je l'immobilise grâce à la télékinésie à 20 centimètres de sol. Je le fais voler jusqu'à moi où j'en j'arrive enfin à le reconnaître. non impossible !

Il est mort il y a des années, il est mort en basculant dans l'arche, comme moi.

- Sirius Black. dit je étonnée.

Je le laisse tomber sur le sol. Méfiant il me scrute et m'observe avec intensité. Son regard se porte sur ma cape et sur l'écusson qu'elle porte. Ses yeux s'agrandisse sous le coup de la surprise.

- L'ordre du phénix. Dit il d'une voix rauque. Comment va t-il , Comment va Harry ? s'exclama t'il supliant.

Mon visage devient neutre et implassible. Non je ne peux lui dire.

- Potter a vaincu Voldemort et il est maintenant plus heureux qu'il ne l'a jamais été.

Son visage se détend me fit un large sourire.

- Il a réussi. Mon harry à réussi ! Exulta t'il. Désolé pour l'acceuil mais les rares sorciers qui passe par l'arche se révélent dangeureux. Ils n'acceptent qu'il ne peuvent repartir ou que les Elfes leur soit supérieurs. Désolé mademoiselle, mais vous aller devoir vivre dans ce monde. J'en suis navré mais il n'y a aucun moyen de repartir de la terre du millieu.

- Cela je l'avait compris, merci. Dit je hargueuse.

- Mais comment vous appeler vous ?

Aïe, attention instant de vérité.

- Serena, Serena Snape.

Il me regarde avec des yeux grosse comme des soucoupes. Un leger rictus s'inscrit sur mes lèvres.

- Impossible. Souffla t'il

- Oui c'est ce que mon père a dit lorsqu'il à su qui j'était.

- Comment cette horrible chauve sourie à t'il pu engendrer une femme aussi belle ?

- Ca c'est ce qu'à dit Potter.

Il éclate de rire qui ressemble à un aboiement qu'autre chose, puis il se reprend.

- Venez, vous n'avez rien à craindre, je vais vous présenter et vous parler du monde dans lequel vous êtes. Seigneur Elrond, je vous présente Serena Snape, sorcière. Serena je vous présente , le seigneur Elrond, un seigneur Elfe.

- Oui j'avais remarqué. Dit je sarcastiquement. Charmantes oreilles.

Black pouffe de rire puis se reprend.

- On peut dire que tu n'a pas ta langue dans ta poche, toi. dit il d'un ton faussement de reproche

- Oui on dit que j'ai la langue de vipère de ma mère et l'esprit acèré de mon père.

- Ouch, mon fillieul à du morffler avec toi.

Je lui fit un sourire carnassier.

- Tu ne peut pas imaginer. Puis je me tourne vers le seigneur Elrond, c'est certainement un roi vu son maintient. Mon seigneur, veuillez me pardonner pour mon franc parler, mais comme l'a fait remarquer Mr Black, je n'ai pas pour habitude de me cacher derrière des paroles politiquement correcte, quitte à froisser mon interlocuteur.

- Je vous prie je n'ai rien à pardonner. La franchise est une qualité que j'apprécie. Au moins avec elle, je sais à quoi m'attendre. Par contre, votre technique de combat est assez ...originale. Mais permettez moi de vous présenter vos "agrésseurs". Aragorn, fils d'Arathorn et Légolas, prince de Mirkwood, fils de Traudruil.

Aragorn , un brun coupe au carré les yeux bleus gris, mal rasé, à l'allure d'un mercenaire. Son visage a quelque que chose de gracieux et d'apaisant.

Légolas, lui...au mon dieu, c'est lui. C'est ses yeux bleus qui m'ont...çà y'est mon coeur s'emballe à nouveau. Un grand blond fin et élancé, portant une tunique marron qui ne laisser aucun doute sur sa musculature, une peau blanche et qui se masse la main en faisant des grimaces de douleurs en me regardant avec intensité.

- Navré pour ça. dit je avec un léger sourire.

Il me jette un regard neutre et part sans m'adresser la parole. Mais il se prend pour qui celui là.

- Excuser le comportement de mon ami Dame Snape Dit Aragorn d'une voix grave et chaude, mais je crois qu'il n'a pas pour habitude de se faire malmener par une femme.

Ah encore un macho. Je suis déçu. Par mes gardes, je laisse transparaître, quelque instant, mon âme. Je sais que le seigneur Elrond y a vu quelque bride de mon passé. Pour aragorn j'en suis moins sûr. L'elfe me lance un regard de surprise puis se reprend rapidement.

§§§§§§§§§§ POV Legolas §§§§§§§§§§§§§

Par Varda, je n'ai jamais vu une femme comme elle. Elle aurait pu me tuer sans que je ne puisse faire un seul geste. Froisser ? non.

Stupéfait ? Oh que oui.

Et ce regard. Deux billes noirs, brilliante et scintillante, entourer par des grand cils.

Même phisiquement, elle ne ressemble en rien aux différentes femmes que j'ai connu. Pour la plupart, les femme elfes sont grande mais peu de forme, d'une très grande beauté mais un peu androgime. Elle, elle est de taille moyenne, un petit nez, des lèvres rouges et pulpeuses, possedait des formes genéreuse que je devinais sous son pantalon de cuir noir ou son haut moulant, lui aussi noir.

Pour la première fois de ma longue vie d'elfe, j'ai fuis.

J'ai fuis devant son regard de braise et son sourire géner.

J'ai fuis face à ces cheveux noir corbeau parfaitement bouclés, doux et soyeux.

J'ai fuis devant son corp parfait, que j'aimerais prendre dans mes bras et faire frissonner sous mes carresses.

J'ai fuis parce que je ne savais pas quoi dire face à elle.

Je m'éloingne d'eux, faisant mine de m'entraîner au tir à l'arc. J'entend Aragorn s'excuser de mon comportement. Mais je sais très bien, qu'il ne croit pas en ce qu'il vient de dire et qu'il voudra des expliquations.

Mon ami me connait assez bien pour savoir que ce n'est pas dans mes habitudes d'être aussi irrespectueux.

J'ai raison. Alors que le seigneur Elrond et Sirius l'accompagne dans une des chambre, Aragorn se place à mes côté et attend. Il attend que je me décide à parler. Ce que je fais quelque seconde plus tard.

- J'ai fuis, j'ai fuis devant elle. Ma voix est enroué.

- Pourquoi ? Chuchotte t'il.

- Je n'en sais rien.

- En est-tu si sûr ?

- Je...Je...Elle n'est pas comme les autre femmes que j'ai pu rencontrer.

- C'est le moins que l'on puisse dire. Cette femme est étonnante. Belle, semble combative, témérère et entêtée, le tout avec un caractère bien trempé. Mais une chose étrange c'est produit après ton "départ". Cette jeune femme a une âme toumenté et pleine de desépoir. Forte à l'éxterieur mais fragile à l'intérieur.

Nous continuons à discuter jusqu'au moment où un étrange affolement s'empart de la maison d'Elrond.

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Je me laisse guider par le seigneur Elrond, en compagnie de Black, pour qu'il me mene à ma chambre. Nous discutons calmement lorsqu'une jeune elfe arrive affoler.

- Seigneur ! Seigneur ! Nous avons un problème. La fièvre du jeune hobbit refuse de baisser. Nous avons essayer tout les remèdes possible. mais rien y fait. Si il continue comme cela, il va mourir même si sa plaie est guérie.

Elrond presse le pas et nous arrivons dans une chambre faiblement éclairée. Un petit corp est allongé sur le lit. Mais c'est un enfant !!!

Ah non, bien qu'il en ai la taille. Les cheveux chatain clair blouclé, de grand pieds velus et de grosses oreilles pointue, bien différentes des elfes et un visage trempé de. sueur. Le visage de l'elfe inquiét se tourne vers moi.

- Pouvez nous aider. Notre magie est inefficace face à cette fièvre. Pouvez faire quelque chose ?

- Je vais voir.

Je suis septique, je ne suis pas médicomage moi, j'ai quelque base mais rien de plus. Je lance un sort sur le jeune hobbit pour connaître sa température. Quoi !! 42, 7 mais c'est énorme.

- Depuis combien temps il est dans cet état ?

- 3 jours. repondit la garde malade.

- Je n'ai aucune potion pour faire basser cette fièvre et je ne peut en faire, je ne sais rien des plantes qui se trouve dans votre monde. On va employé la bonne vielle méthode. Préparer moi un bain suffisament grand pour nous acceuillir tous les deux et qu'il soit à chaleur humaine, de l'eau tiéde, vite !!!

Après accord du seigneur, la jeune elfe, s'éxcute, en sortant rapidement de la chambre.

- Black, aidez moi à le déshabillé. On doit l'immerger dans l'eau.

On le déshabille rapidement, ne lui laissant ce qui semble pour moi l'ancètre du boxer, un petit short en guise de son vétement.

Dix minutes plus tard, je trouve dans un bain d'eau tiède avec le garçon dans les bras. Après passer devant eux avec le garçon dans les bras de Sirius, Aragorn et Légolas nous ont suivit. J'enlève ma cape et mon top et me retrouve en soutien gorge de dentelle noir devant 4 hommes légerment rouge de géne de voir ma nudité parcielle. Au bout de quelque minutes, la voix de Sirius brise ce silence particulièrement plombant.

- Qui t'a fait cela ? Me demanda t'il d'une voix douce et enroué en effleurant mon dos.

De nombreuses cicatrices le parcourt et le mot " pute" y est marquer au fer rouge. Des flashs du passé se succédes, souffrance, douleur, desépoir. Je ferme les yeux pour me reprendre et lui adresse un sourire contraint.

- La guerre ne fut simple pour personne. Petit souvenir de Lucius Malfoy et de ses compagnons.

Je sens Black tremblait derrière moi. Il s'appraître à dire quelque chose mais je le coupe sur sa lancé.

- Laisser moi seule, s'il vous plais. Supliais je.