Nda : Kikou tout le monde ça y est je suis de retour!!! J'ai vaincu le syndrome de la page blanche et je me suis même éclatée en écrivant la fin de l'épilogue!!
Donc ne me lançais pas trop de pierre parce que ça fait mal XD (Et ce serait vraiment méchant parce que c'est mon anniversaire aujourd'hui!!) Je vous assure que mon épilogue est vraiment génial et qu'il vaut la peine d'avoir attendu autant!'--
D'ailleurs j'ai une petite question à vous poser à laquelle je répondrais en note de fin : 'quel est le métier de Harry?'. Bon courage à toutes les personnes qui trouveront parce que ce n'est vraiment pas simple mdr.
Big dédicace : merci à Habbye de prendre mon cours d'histoire, au prof d'histoire de me permettre d'écrire mes fics (en fait de ne pas remarquer que j'écris autre chose que son cours), à ma bêta chérie qui s'éclate à corriger mes fautes pour oublier le latin qu'elle vient de subir et surtout à mes lecteurs qui me soutiennent par le simple fait de lire ma fic.
BONNE LECTURE TOUT LE MONDE!!!!!!!!
Yebbeka
Épilogue
Je le vois se démener pour que tout soit parfait autour de moi. J'ai bien compris, grâce aux lettres que ses amis m'ont envoyées, qu'il a peur de se retrouver seul. Je suis la seule personne qui le côtoie. Je ne comprends pas pourquoi la société sorcière pense autant de mal de lui. Moi, je le trouve attachant et dans son rôle de femme d'intérieur, il ne perd aucunement de sa beauté. Je ne pourrais jamais le surnommer servante, cela ne lui convient pas et je ne l'imagine ni le voit ainsi. Il est plus pour moi un compagnon ou une compagne, je ne sais pas trop. Il est avec moi au cours de chaque événement qui a lieu. C'est mon point d'attache. L'épaule sur laquelle je peux m'appuyer. Mon soutien autant moral que physique. Je me détruirai si je me séparai de lui.
HPDM
Même éloigné de toute cette mondanité que j'ai toujours trouvée dérangeante, il a toujours un goût exquis pour les vêtements. Le simple fait qu'il ait trouvé un moyen d'organiser ma tenue avec la tunique anisée le prouve. Malgré tout ce qui lui arrive, il reste digne. Étrangement il respecte les décisions qui ont été prises. Comment y arrive-t-il ? Au moment où il a pris ma baguette magique sous ma demande, j'ai ressenti toute la puissance du flux magique s'écoulant alors en lui. J'étais heureux de lui offrir cet instant de transe. Il a dormi ensuite dans mon lit, son ancien lit. Il est si beau, je n'ai pas pu m'empêcher de le regarder ainsi. Son visage est apaisé quand je lui passe la main dans les cheveux. A chaque fois, un soupire de contentement lui échappe. Endormi, il me calme et m'envoûte.
HPDM
Je ne supporte plus qu'il se fasse insulter. Il ne fait rien pour, au contraire, c'est un exemple d'humilité. Je le protégerai. Je dois le protéger. Lorsque je suis avec des connaissances de Poudlard, elles ne peuvent s'empêcher de parler de lui. Elles ne comprennent pas. Elles jugent sans savoir. C'est la première fois que je m'emporte contre une personne qui fut mon ami. Ils ne comprennent pas pourquoi je le défends. Pour eux, il n'est que ma pute attitrée. Je n'aime pas cette idée. Il ne l'est pas. Je ne le vois pas ainsi. Je me lève et je frappe cet imbécile. Ensuite, tout s'accélère pour s'arrêter quelques temps après. J'ai comme un pressentiment. Je le vois alors. Ses yeux sont couverts par un voile sombre. Mon bel ange m'a défendu. Pourquoi a-t-il fait ça ? Je ne veux pas qu'il lui arrive quelque chose à cause de mon emportement. Je le sais fragile au fond de lui. Il reste contre moi. J'ai l'impression que cela le calme. Pourquoi ce comportement quand il est contre moi ? Est-ce qu'il m'aime ?
HPDM
A croire que c'est lorsqu'on pense à autre chose que l'on est surchargé de travail. Depuis quelque temps, je ne comprends pas ce qu'il m'arrive, toutes mes pensées sont tournées vers le bel ange qui se trouve au manoir. Mon regard est attiré par un habit dans une boutique. L'habit en question est étrange, peu commun. Plus je le regarde plus j'imagine l'être qui accapare mon esprit avec. Le sang s'irrigue un peu plus vite en moi. Sous une pulsion, je l'achète puis je rentre au manoir pour prendre une douche froide. Je ne sais pas ce que je vais faire de cette tenue spéciale. Dois-je lui offrir ou pas ?
HPDM
Je n'aurais pas dû le faire parce que d'abord, il en a été profondément choqué et il s'est senti, d'après ses propres mots, insulté. J'ai été un parfait imbécile, il faut bien se l'avouer. Et maintenant, il s'amuse à se balader avec cette tenue extravagante. J'en suis tout émoustillé. Je conçois qu'à cause de sa beauté mon corps réagisse à cette vision divine, mais que mon coeur se serre, je n'arrive pas à me l'expliquer. Cependant s'il veut jouer avec moi, je ne me gênerai pas.
HPDM
J'échange de plus en plus de lettres avec Pansy. J'ai appris, ainsi, que Hermione et elles sont devenues de bonnes amies. A vrai dire, elle a, tout comme Blaise, une conversation agréable. J'ai de la peine pour Draco. Il doit se sentir vraiment seul maintenant. Depuis le temps qu'ils contrôlent son courrier, ils devraient avoir compris qu'il n'y a rien de mauvais en lui. C'est un homme comme un autre. Et ce n'est certainement pas parce que ses parents ont été tués par des Aurors qu'il va vouloir s'en prendre au Ministère et à ses sous-fifres. Il n'était pas du tout du même avis qu'eux, de leur vivant. Ses amis et moi espérons qu'il puisse être libre de ses gestes et de ses idées. Or ils continuent de les intercepter. Il faut que cela cesse, mais ils ne veulent pas m'écouter. Ils s'obstinent dans leur idiotie. Je n'en peux plus de leur mentalité. Je dois trouver un moyen de les faire parvenir à Draco.
HPDM
Une semaine entière de déplacement, je suis exténué. Heureusement que, pour mon travail, je reste à domicile et que mes adjoints se préoccupent des déplacements, sinon j'aurais été épuisé rapidement de cette vie de vagabond. Mais je pense que le plus difficile quand on ne sort pas souvent pour ce métier c'est de devoir chercher ce qui est caché sans se faire remarquer. Le Ministère, de nuit, est un tout petit peu moins peuplé que le jour, et il y a beaucoup plus de contrôle. J'ai tout de même réussi à relever et remporter le défi. Et en fait, le plus difficile dans un endroit anti-transplanage est de ressortir avec les objets récupérés parce que au début, c'est plus facile de ne pas se faire voir, et si jamais c'est le cas, de trouver une solution sans une quelconque accroche.
Je pénètre dans le manoir, épuisé de tous les efforts que j'ai dû produire. Une cascade blonde apparaît dans mon champ de vision. Je suis comme hypnotisé. Il s'élance vers moi pour me soutenir. Je n'ai pas très envie qu'il soit contre moi. Après tous ces efforts, je me sens sale, dans un état dégradé. J'ai l'impression de le salir en étant à ses côtés. Je n'aimerais pas aller dormir dans ce lit dans cette situation; j'ai besoin d'un bain. Il est beau dans cette tenue. Ses jambes sont magnifiques. Elles m'attirent. Elles sont si douces, si sensuelles.
Il s'éloigne brusquement. Mince ! Qu'est-ce que j'ai fait ? Qu'est-ce qui m'a pris ? Non, je ne veux pas qu'il parte loin de moi. J'ai besoin de lui, de sa présence. Je me déshabille peu à peu devant lui. Il ne bouge pas. Je m'approche de lui. Je me frotte contre son si beau corps. Reste avec moi, je t'en prie. Il est comme statufié. Je défais son bustier pour voir son torse se soulever avec sa respiration. Je l'amène devant la baignoire alors que j'y rentre. Je ne sais pas ce qui m'arrive. Je suis comme poussé par un besoin inconnu, une pulsion. Les bulles dans l'eau me tranquillisent.
Ses mains sur ma peau m'insufflent un bonheur que je ne croyais pas possible. Je m'imprègne de cette sensation excitante et débordante. Elles descendent plus bas et mon sang bout d'avantage, tel un volcan qui risque d'exploser. Je m'assois sur le rebord et je m'appuis contre son torse. Son corps m'apporte un désir et un besoin que j'ai du mal à irriguer. Les mouvements qu'il m'applique m'enivrent. Je ne sais pas ce que je dois faire. Il m'offre tellement. Je veux lui rendre la pareille, mais il s'enfuit. Il y a des vapeurs dans la salle, pourtant j'ai froid, comme si son absence s'imprégnait en moi, inexorablement. Pourquoi ai-je tant besoin de lui près de moi ? Pourquoi toutes mes pensées vont vers lui ? Pourquoi mon coeur se réchauffe lorsqu'il fait quelque chose pour moi ?
HPDM
Je sens une présence près de moi. Elle me réchauffe. J'ai besoin d'elle à mes côtés. Je ne comprends pas pourquoi. Je repense à la conversation que j'ai eue avec Hermione. Je lui avais dit que l'on pouvait croire que je m'amuse avec Draco, mais ce n'est pas le cas. Je suis pris de pulsions qui après me gênent. Je ne sais pas quoi en penser. J'aurais aimé connaître le pourquoi du comment. Elle m'avait souri et répondu de façon détournée. Je n'avais alors pas compris ce qu'elle sous-entendait, mais maintenant, cela a plus de signification. Comment se fait-il qu'elle comprenne mieux que moi mes propres sentiments ?
J'ouvre les yeux. Le beau blond est dans ma chambre. J'ai envie de le serrer dans mes bras. Il commence à partir, mon coeur s'en déchire un peu. Je me décide à aller vers lui. Je lui demande de rester avec moi, j'ai tant besoin de lui. Sa présence me rassure. Son corps chaud contre moi. Ses mèches blondes devant ses yeux. Mon coeur s'accélère à cette vision. Ce que je ressens, comme le sous-entend Hermione, est-ce vraiment de l'amour ?
HPDM
C'est incroyable qu'il m'apaise autant. Je fais glisser mes mains sur son corps pour mieux le connaître. Il ouvre les yeux, mes joues s'empourprent. Ses sentiments doivent être aussi perturbés. J'aimerais bien le garder dans ma vie, même après qu'il soit libéré de son jugement. Il faut que je lui parle des lettres et que je les lui montre.
HPDM
J'ai un peu peur de sa réaction lorsqu'il verra le carton rempli de lettres. Quelle sera sa réaction ? J'ai l'impression qu'il y a une lueur triste dans ses yeux, comme si ce que j'allais lui révéler lui enlèverait la vie. Je ne veux pas le rendre triste, bien au contraire, je veux revoir son beau sourire. Je le vois se diriger dans le verger. Il apprécie beaucoup cet endroit et il peut y rester pendant des heures, à y observer les plantes ou le ciel. Il est si beau dans ces instants-là que j'aimerais le rejoindre pour le prendre dans mes bras. Mais je ne le peux. Que pourrait-il penser de mes actes ? Depuis quelques temps, je suis plus doux à son égard et cela doit l'affecter d'une quelconque manière. La nuit est tombée depuis quelques heures et je m'inquiète pour mon beau blond, je ne l'ai pas vu rentrer.
J'ai à peine franchi la porte menant au verger que je le vois allongé sur un banc. Je m'approche de lui silencieusement. Sa tête est posée sur son bras. Une de ses jambes est ramenée contre lui. Sa beauté m'éblouit. Des reflets de la lune parsèment ses cheveux. Une petite brise se lève, ce qui le fait frissonner, mais il dort toujours paisiblement. Je sors de ma contemplation. Je le prends doucement dans mes bras pour l'amener dans sa chambre. Inconsciemment, il passe ses bras autour de mon cou. Son souffle contre ma joue me donne subitement chaud. Je le pose sur son lit.
Après avoir repris mes esprits, je me décide à le déshabiller pour qu'il puisse dormir à l'aise. Mes mains déboutonnent sa chemise puis son pantalon. Il se tourne sur le côté dans son sommeil. J'en profite pour lui enlever le haut. Je le soulève pour lui retirer son pantalon. Il s'étire et se remet sur le dos. Sa main se pose au-dessus de son boxer. Mes yeux ont suivi le moindre de ses mouvements. Et je me rends compte du danger qu'éveille cette situation en moi. Je m'éloigne alors de lui. D'un coup de baguette magique je lui mets son pyjama puis je le recouvre des draps. Avant d'être envahi par une pulsion, je sors de la chambre pour me diriger vers ma propre salle de bain où une douche bien froide m'attend impatiemment.
HPDM
Préparer son petit-déjeuner, c'est assez simple puisque, à force de l'observer à l'école, je connais par coeur ce qu'il prend. Mais pour les deux autres repas, je vous avouerai que je ne sais pas du tout quoi préparer. En fouillant dans les placards, je trouve un paquet de spaghettis et de la sauce bolognaise. Je suis étonné, il n'a jamais cuisiné ce style de plat. Je regarde la date de péremption, m'attendant au pire. En fait, ils ont tous deux de longs mois à tenir encore. Mais ce ne sera plus le cas puisque je vais m'empresser de les cuisiner. Surtout que depuis que Draco est à mes côtés, j'ai perdu l'habitude de cuisiner, alors que j'y étais obligé chez les Dursley.
Je dépose sur la table les plats, puis le carton de lettres. Quelle va être sa réaction ? Je fais apparaître des bougies rouges et noires au-dessus de la table pour que ce soit un peu plus intime. Je m'assois sur un fauteuil en retrait pour l'attendre confortablement. Il rentre alors dans la pièce. Il a l'air surpris par l'ambiance qui en est dégagée. Je le vois s'approcher du carton, le connaissant, il a sûrement envie de l'enlever de sur la table. Je m'approche de lui en silence.
Face à toutes ces lettres, il recule. Je referme alors mes bras sur lui. J'avance vers cette nuque si tentante pour y déposer de nombreux baisers. Je le sens se détendre. Je soulève le couvercle du plat et il explose de rire. Pourquoi cet élan de moquerie envers moi ? Je ne sais pas du tout comment réagir. Dois-je lui en vouloir ? Mais il est si beau quand il rit et cela faisait tellement longtemps que cela ne lui était arrivé.
Après ce périlleux mais amusant repas, je l'amène devant le colis. Je me serre peut-être un peu trop à son bras, mais je veux qu'il sache que je suis là pour lui, pour l'aider. Il ne peut recevoir que de l'amour ou de l'amitié de ma part. Puis je pose ma tête sur son épaule et je lui révèle mes recherches sur son dossier et les lettres. Il a l'air profondément surpris. Je le sens tomber. Je referme mes bras pour le garder debout contre moi. Je l'amène sur le canapé puis je prends le carton de lettres pour qu'il puisse les lire à l'aise.
Après quelques unes, il explose en sanglots. Je lui caresse tendrement la joue. Il se calme peu à peu. Pris d'une douce pulsion, j'embrasse la dernière larme qui coulait encore sur son beau visage. Puis je suis le même chemin que ses larmes avec des baisers papillons (ndb : kesk tu aimes ça les baisers papillons yebbeka…c louche… nda : en quoi c'est louche ? au contraire c'est miam). Avec ma langue, je taquine sa mâchoire puis ses lèvres qui s'entrouvrent. J'en suis surpris mais je n'en laisse rien paraître. Nos langues entreprennent un doux ballet. Nous avons autant besoin l'un que l'autre de cet agréable échange. J'aimerais connaître ce qu'il pense de sa condition mais je n'ose le lui demander. Je mets fin au baiser pour le laisser tranquille.
HPDM
Ce baiser m'a bouleversé; j'ai terriblement envie de le serrer dans mes bras, de lui rendre le sourire; Hermione avait raison au sujet de mes sentiments envers mon bel ange. Cette obsession que j'éprouve pour lui redonner la force de vivre, et de préférence à mes côtés, c'est tout simplement de l'amour. Je l'aime. Je ne veux pas le perdre. Que dois-je faire ? Je l'aime. J'attrape un parchemin et je commence à écrire une lettre à Pansy, peut-être qu'elle pourra m'aider. Elle connaît beaucoup mieux que moi Draco.
HPDM
Les heures ont défilé sans que je m'en rende compte. Pansy n'a toujours pas répondu et je commence à avoir faim. Je me dirige vers la cuisine. Rien n'a changé de place depuis ce midi. Il n'a pas dû manger. J'ouvre le congélateur pour en sortir la dorade que j'avais repéré dans la matinée. Je la prépare avec du riz à la tomate. Il va peut-être penser que j'utilise un peu trop ce fruit rouge mais j'y peux rien si je préfère cet assaisonnement dans le riz. J'apporte le repas dans la salle à manger.
Il a l'air heureux de me voir, même si je sais que c'est surtout parce que j'ai fait la cuisine. Il soulève les couvercles. Il est surpris par ce qu'il découvre. Craint-il que je ne sache pas faire de bons plats ? Si cela avait été le cas, j'aurais depuis longtemps tué les Dursleys (Nda : niark un empoisonnement involontaire ; ndb : mouais, tu parles d'involontaire…) et puis ce n'est pas parce que je ne suis pas très doué en potions que je suis nul en cuisine aussi. J'aimerais savoir ce qu'il pense des lettres. Si ce que j'ai entrepris était une bonne idée ou si je n'aurais, finalement, pas dû braver les dangers du Ministère pour les avoir. Mais il n'a pas l'intention de me dire quoi que ce soit.
HPDM
J'entre dans mon bureau et j'ai la joie de voir une lettre qui m'attend sagement. Je l'attrape brusquement et la déplie tout en m'installant dans mon siège. « Salut Harry ! Alors comme ça on est amoureux du prince de Serpentard ! Comment ne pas l'être devant un tel physique ? o Bon, je sais très bien que si ce n'était que ça qui t'intéressait chez Draco, tu serais déjà avec lui depuis longtemps ! Tu côtoies, tous les jours, une perle. Il est doux, attentif, attendrissant et cultivé. Il a un très bon goût esthétique. En plus, il sait très bien cuisiner. Comment as-tu pu rester à ses côtés aussi longtemps sans en tomber amoureux ? Alors que pourrais-je te dire pour t'aider maintenant ? Sois doux, gentil et généreux avec lui. Tu es déjà un bon Gryffondor, alors ne vire pas Poufsouffle, ça risque de déstabiliser Draco au point qu'il te rejette. Ce n'est pas le but recherché, je suppose ! Reste auprès de lui, tu trouveras le moment idéal pour te déclarer à lui. Amuse-toi bien Harry ! Amicalement, Pansy. » Elle est bien gentille mais elle ne me dit pas vraiment si il me rejetterai ou pas après que je lui ai avoué. Elle me fait penser à Hermione. Elles ne peuvent pas être claires, pour une fois.
HPDM
Je n'ai dormi que quelques heures, comme si j'avais dépassé le quota d'heures de sommeil cette semaine. Mes pensées s'égarent vers le beau blond. Avec toutes ces lettres, il n'a pas dû beaucoup dormir pourtant, lui, il en aurait bien besoin. Je vais le voir pour lui proposer une potion de sommeil. J'avais raison, il est bien réveillé. Je lui offre la potion. Je m'assois, sur son lit, à côté de lui pour le tenir dans mes bras. Je le regarde s'endormir. Il est magnifique. Je dépose un baiser sur son front.
HPDM
Je ramasse les lettres éparpillées sur le sol pour les ranger. Si jamais il en manque une seule, je serais très embêté. Tout à coup, je sens un corps contre moi. Je me crispe un peu. A la vision des mèches blondes je me détends peu à peu. Si Draco me serre dans ses bras c'est qu'il en éprouve le besoin. Et puis, je n'ai nullement envie de le repousser. Ce serait bien pour lui de pouvoir répondre à ses amis. Je me doute qu'il a peur des représailles puisque tout son courrier est intercepté, mais ils ne peuvent pas stopper le mien. J'aimerais lui offrir cette possibilité.
Je lui passe une des lettres que m'a envoyée Pansy pour bien lui prouver que, ses amis et moi, nous communiquons sans problème ensemble. Elle le rassurera sûrement en plus, elle me demande de prendre soin de lui. Tiens, j'avais oublié ce passage. Ne me dîtes pas qu'elle aussi connaissait bien avant moi mes propres sentiments. Hermione arrive en fracassant la porte. Draco s'excuse et part pour nous laisser tranquille. Je le suis du regard jusqu'à ce qu'il ferme la porte. « Alors, tu es toujours content d'avoir pris tous ces risques pour lui ramener les lettres ? » Bien sûr, je devais le faire pour lui. « En tout cas, faut que je ramène les lettres parce que j'ai affirmé que je voulais les décoder au cas où il y ait un message secret à l'intérieur de l'une d'entre elles. » Elle me fait un clin d'oeil et je lui souris pour toute réponse. Son travail de cryptologue est très pratique.
« Que comptes-tu faire pour lui rendre le sourire ? Je doute que les lettres vont beaucoup l'aider. » C'était surtout pour qu'il sache qu'on ne l'oublie pas, qu'on tient beaucoup à lui. « Tu devrais prendre une semaine de congés pour te reposer et prendre soin de Draco, je pense qu'il va avoir besoin d'une présence à ses côtés. » Elle m'embrasse et je l'accompagne jusqu'à la sortie, sans oublier le carton de lettres. Draco est dehors, on se regarde un instant. A-t-il découvert mes sentiments dans les sous-entendus de Pansy ? Il me rend la lettre dans un silence total. Hermione a raison, je dois prendre une semaine de congés.
HPDM
Je viens de recevoir une lettre de Blaise qui est indirectement destinée à Draco. Je lui ai laissé une note pour qu'il me rejoigne dans ce bureau le plus rapidement possible et que je puisse par la même occasion répondre à Blaise. J'ai entièrement rangé la pièce pour qu'il ne croie pas que c'est au sujet de mon travail, mais je suppose qu'il va quand même se poser des questions. Il entre dans la pièce, nerveux. Je lui désigne la lettre pour qu'il la lise. Il refuse de le faire. Je commence à m'énerver et je libère ma magie. Face à ce déferlement, il se précipite sur la lettre. Il la fait tomber peu après. Des larmes coulent le long de son visage. Je le serre dans mes bras. Je l'encourage à se ressaisir pour pouvoir répondre à la lettre. Il se perd petit à petit dans ses pensées et je ne peux m'empêcher de lui dire à quel point je le trouve beau lorsqu'il est ainsi envahi par l'émotion.
HPDM
Depuis qu'il sait qu'il sera le témoin au mariage de ses deux meilleurs amis, toute la tristesse qui résidait encore dans ses yeux a disparu pour laisser la place à de l'euphorie, mais j'ai bien peur que ce ne soit un comportement passager. Lorsque cet événement sera passé sera-t-il toujours aussi heureux ? J'en doute.
HPDM
Il s'est évertué à fouiller toutes les armoires, dans le but ultime de trouver des habits pour l'occasion. Or même s'il trouve quelque chose, je refuse de les mettre. J'ai envie de vêtements neufs achetés pour l'occasion. C'est à cause de cela que j'ai rangé ce qu'il avait sorti. J'ai dû user de mon autorité pour qu'il arrête de me contredire. Ne comprend-il pas qu'il a besoin de sortir ? Il ne pourra pas rester éternellement dans ce manoir à l'abri des regards.
HPDM
La joie se lit clairement dans ses yeux. Il manie toutes les étoffes avec délicatesse. J'ai l'impression qu'il est dans son propre monde. J'aimerais le serrer dans mes bras mais je dois résister à cette attirance. Il y a bien trop de monde qui entre dans cette boutique. Je conçois qu'elle est très célèbre cependant ma présence doit amener du monde en plus. Un désir malsain réside dans leur regard quand il se pose sur Draco. Je ne le supporte pas. Ils commencent à le critiquer et à l'insulter.
Je crée une barrière magique pour les maintenir loin de nous. Mon bel ange n'a pas l'air de remarquer quoi que ce soit. J'espère qu'ils vont se calmer, un jour prochain. Je m'impatiente. Je me penche vers lui pour qu'il se dépêche de trouver les vêtements. J'en ai assez de ces idiots qui ne savent pas faire la différence entre ce qu'il vaut la peine et ce qui ne le vaut pas.
Il me propose d'essayer ce qu'il a trouvé mais je ne veux pas rester une seconde de plus dans cette boutique. Je l'attrape par le bras pour l'emmener aux caisses. C'est alors que des femmes se mettent en travers de notre chemin et sortent leurs baguettes dans la direction de Draco. Que croient-elles ? Que parce que son nom est Malfoy, je ne vais pas le protéger ? Ou bien qu'elles pourraient me battre alors que j'ai vaincu Voldemort ? Je sens le regard plein de tristesse de mon bel ange se poser sur moi. Sa main desserre peu à peu l'emprise qu'elle avait sur la mienne. Il perd la force de se battre, de rester en vie auprès de moi. Je refuse qu'il me quitte ainsi.
Je pointe alors ma baguette magique vers ces folles. Je les désarme et les propulse à quelques mètres sans grande difficulté (ndb : vas-y Riryyyy, tape-les ces passes ; nda : euh... tu l'avais pas dit déjà ?); c'est même une promenade de santé par rapport au combat final (ndb : en même temps, j'espère bien…--''). Par moquerie, je les emprisonne dans une camisole de force. J'emballe les vêtements d'un geste puis je dépose l'argent sur le comptoir pour enfin sortir de cette boutique et transplaner au manoir.
HPDM
Je dépose Draco sur le canapé du salon pour nous servir un verre d'alcool. Il ne fait aucun geste. Il est toujours sous le choc de ce qui s'est passé dans le magasin. Je vais à côté de lui le prendre dans mes bras puis je le berce un peu. Il a l'air d'aller un peu mieux. J'aimerais tellement le serrer contre moi dans d'autres circonstances. Je me doute qu'il ne veut plus être le témoin au mariage de ses amis mais cela est impossible et je refuse formellement de prendre sa place. Que dirait Blaise après ?
HPDM
J'ai l'impression qu'il aura beaucoup de mal à relever la tête depuis l'histoire de la boutique. Je ne veux pas le laisser seul dans une pièce lugubre. Il restera en ma compagnie, quitte à l'y obliger. Je me déshabille devant lui puis je me couche dans le lit pur lui montrer que je ne changerai pas d'avis. J'allume la cheminée pendant qu'il se dévêtit et qu'il me rejoint. Je caresse tendrement sa joue. J'aime sa présence. Je me détends, je ferais tout pour qu'il retrouve le sourire.
Ses mains glissent sur mon torse. Je me laisse aller à la caresse. Elles commencent à s'immiscer sous mon boxer. Je retrouve alors mes esprits. J'attrape les mains baladeuses et me met au-dessus de lui. Que compte-t-il faire ? J'enfouis ma tête dans son cou. Pourquoi a-t-il cru que c'est ce que je voulais de lui ? Je ne veux pas de lui comme pute. C'est dégradant. Il ne le sera jamais pour moi. Je l'aime trop. Toute cette tension qui s'était accumulée entre nous deux. Je ne suis qu'un imbécile, je souhaite son bonheur et je l'enfonce dans des ténèbres sans m'en rendre compte. Je m'éloigne de lui et lui tourne le dos. Comment pourrais-je me racheter ?
HPDM
Le silence s'est installé. Je m'allonge sur le dos pour regarder le plafond et mieux me reposer. Pris d'une envie, je crée des petites formes, qui au départ ne ressemblent à rien. Je les transforme peu à peu en une petite ménagerie. Une sérénité m'envahit et les petits animaux laissent la place à une fée qui volette gaiement autour du lit. Je la fais s'avancer vers Draco. Elle dépose un baiser sur sa joue puis elle se volatilise. Il rougit. Il est magnifique.
Il me demande alors qui est le témoin de Pansy. Il suppose que c'est moi mais je lui apprends que c'est Hermione. Les deux jeunes filles s'entendent à merveille depuis le mort de Voldemort. D'ailleurs, elles sont les seules à lire en nous comme dans un livre ouvert. Il se renfrogne devant cette nouvelle. Je ris face à ce comportement et je lui ouvre les bras. Il hésite un instant puis il se love contre moi. Ça me fait plaisir de l'enlacer. A ma grande surprise, il entrecroise ses jambes avec les miennes. Il ne faudra pas qu'il s'étonne si j'ai des pensées au cours de la nuit. Il se rapproche alors un peu plus de moi. Il est magnifique. J'embrasse son front. Je ferai tout pour qu'il retrouve le sourire. Je m'endors peu à peu.
HPDM
Je me réveille heureux et apaisé. Draco est toujours dans mes bras. J'essaie de sortir du lit sans le réveiller mais il se colle un peu plus à moi. Une de ses mains est posée sur mon torse alors que la seconde entoure mon cou. Ses jambes sont toujours entrecroisées avec les miennes. Il les relève un peu et cette caresse involontaire est tellement agréable qu'elle attise mon désir. Je n'ose plus bouger. Je remarque ses yeux papillonner ; il est en train de se réveiller. Il pousse un gémissement de contrariété. Je ne sais pas ce que je dois faire.
Il se rapproche encore plus de moi. Son corps, que j'affectionne tant, contre moi m'étourdit. C'est étonnant que de lui-même il se positionne ainsi. Il doit être dans les limbes du sommeil. Cependant tous mes sens sont en éveil et je ne peux pas rester plus longtemps contre lui dans cet état. J'ai besoin d'aller à la salle de bain. Il s'éloigne alors de moi le rouge aux joues. Je m'élance heureux dans ma salle de bain faisant fi du regard de Draco sur moi.
HPDM
Draco a trouvé la salle de couture et il veut à tout prix que l'on y essaye nos tenues pour le mariage. J'aurais préféré le faire dans nos chambres, tout simplement, mais il s'y est opposé avec tant de volonté que j'ai été forcé d'accepter. Il a l'air heureux dans cette pièce, j'en suis rassuré. La lumière nous éblouit. Je me dirige vers la fenêtre pour teinter le verre. Il se précipite vers moi, la peur se lisant dans les yeux à cause du déclic produit et du nouvel aspect de la vitre. Je lui révèle toutes mes recherches pour le Ministère dans le manoir en le tenant dans mes bras pour le rassurer. Je l'embrasse et lui murmure que je le préfère heureux. L'essayage peut commencer.
HPDM
Lorsque je sors de derrière le paravent, habillé d'un jean noir, d'une chemise blanche et d'un long manteau noir, Draco s'admire dans le miroir. Je ne peux m'empêcher de le serrer dans mes bras et de lui communiquer mon étonnement quant à ses habits simples. Il se retourne pour me voir. J'en profite pour m'amuser avec mon reflet dans le miroir. Je sens ses yeux sur moi. Je me déplace pour pouvoir le voir à travers la glace et j'ai le bonheur de constater qu'il ne peut me quitter des yeux. Je suis gêné par tant d'insistance.
Je le sors de sa rêverie en lui faisant savoir que l'habit n'a pas d'agréables proportions. J'enlève mon manteau pour lui montrer l'étendu de la véracité de mes propos. Il ajuste à l'aide de la machine à coudre la longueur du manteau puis il coordonne ma chemise. Ses mains glissent sur mes flancs alors qu'il s'agenouille devant moi pour s'occuper du pantalon. Elles passent sur mes fesses puis vers l'entrejambe. Je les imagine m'offrant toutes ces caresses sans la barrière des habits. Je détourne vivement la tête pour m'enlever ces pensées. Il remarque ma gêne, il se lève et se dirige vers la table pour regarder l'état du manteau. Je pars derrière le paravent pour me changer et retrouver mes esprits.
Au moment où je sors de cette cachette je vois son dos pâle qu'il recouvre d'un tee-shirt. Je secoue la tête pour empêcher toutes pensées incongrues de s'infiltrer en moi (ndb : Riry est un voyeur euuuuh, Riry est un voyeur !! ; nda : mais il a pas fait exprès...n'est- ce pas Riry ? ...). Je me dirige vers la fenêtre pour la remettre en mode normal. Draco range nos vêtements et je m'approche de lui en lui disant de les laisser dans cette pièce. Avec un clin d'oeil, je passe ma main sur ses fesses pour lui rendre la pareille. J'aperçois une lueur de désir dans ses yeux. Je sors de la pièce, heureux de l'effet produit.
HPDM
Comme convenu, j'ai pris une semaine de repos. Je me suis longuement demandé ce que nous pourrions faire de nos journées. Il y a tellement de fous dehors qu'une sortie est inimaginable. J'aurais bien aimé faire quelques parties de Quidditch, mais le Ministère l'a interdit à Draco. Ils ont peur qu'il s'enfuit, je le suivrai partout où il ira. Alors il ne restait plus que la lecture. Seulement mon bel ange a déjà lu tout ce qui se trouvait dans la bibliothèque du manoir, qui est pourtant colossale. J'ai donc fait quelque chose qui ne me ressemble pas du tout. Je suis entré dans une librairie pour y dénicher un livre qui lui plairait, ce qui n'a pas été une mince chose à faire. L'épanouissement que j'ai vu sur son visage lorsque je le lui ai offert m'a fait oublier toutes les heures de recherches dans la boutique aux multiples rayonnages.
En ce magnifique après-midi, les rayons du soleil éclairent tout le salon et se répercutent sur la verrerie en des prismes de lumière. Allongé sur le canapé, ma tête repose tendrement sur les cuisses de Draco qui lit son nouveau livre. Journal en main, je lis les nouvelles dispositions du Ministère. Je fronce les sourcils. Qu'ont-ils encore inventé ? Sûrement une nouvelle preuve à leur crétinerie. Je sens alors une main passer dans mes cheveux. Surpris, je relève la tête vers le fauteur de trouble. Celui-ci sourit de m'avoir ainsi déconcentré. Bon, alors jouons. Je dépose le journal au sol tout en le fixant. Puis je me redresse vers lui. Il ne fait aucun geste. Je lui mordille le cou dans l'espoir qu'il réagisse. Je passe une main câline entre ses cuisses. Tout à coup, la sonnette de la porte retentit. Qui sont ces gêneurs ?
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Je descends les escaliers alors que Draco ouvre la porte. J'ai le bonheur de voir mes deux meilleurs amis sur le palier. Je me jette sur eux pour une franche accolade. Pansy et Blaise sont aussi présents et la jeune femme se jette sur Draco, qui est très heureux de les revoir, mais il reste tout de même digne. Avec Hermione, j'embarque Ron dans le salon pour ainsi laisser les trois autres tranquilles. En plus, c'est la première fois que Ron vient au manoir.
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On parle de tout et de rien et les heures défilent. Je leur ai fait visiter sommairement les lieux et mon ami n'a pas arrêté de critiquer les anciens propriétaires. Il s'est même arrêter devant un tableau et à commencer à donner son avis péjoratif de l'oeuvre. Hermione l'a rapidement grondé parce que c'était elle qui avait offert le tableau pour remplacer celui qui représentait la famille Malfoy (ndb : Ronboulet, c pas plus compliqué… ; nda : chuut, ça fallait pas le dire!). Contrarié, il a alors affirmé qu'il avait très faim. Il s'est mis en tête qu'il devait trouver Draco pour que celui-ci fasse le dîner. Hermione et moi avons essayé de le calmer, mais celui-ci ne nous écoutait pas et continuait à avancer.
Dehors, il a interpellé mon bel ange de façon insultante. J'ai eu envie de lui mettre mon poing dans sa figure tachetée, mais avant d'accomplir cette pulsion Hermione l'avait déjà giflé et le réprimandait pour sa stupidité sans limite. J'invite tout le monde dans le salon pour prendre un apéritif. Je m'en vais ensuite vers la cuisine avec la ferme intention de faire comprendre à Ron que je peux lui faire moi aussi, son fichu repas. D'ailleurs ça aurait été sympathique qu'on mette tous ensemble la main à la pâte.
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C'est toujours la même chose : à chaque fois que je rentre dans cette cuisine, je ne sais jamais quoi préparer. Il y a trop de choix. Je peste à voix haute, pensant que je suis seul, mais à mon plus grand étonnement Draco est là. Ensuite, il se démène d'un côté puis de l'autre de la pièce. Je reste au milieu avec les magrets de canards qu'il m'a donné. Je ne sais plus ce que je dois faire. Il me donne alors les instructions. Je prépare sans rechigner, il n'y a aucun ordre dans ses mots, uniquement une pointe d'amusement. Je l'observe tranquillement de l'autre côté de la table.
Lorsque le moment est venu de s'occuper du dessert, l'envie me prend de m'amuser et je tourne en rond devant les placards. Le jeu commence alors : des sorts informulés fusent de toutes parts pour finir de préparer le repas et de dresser la table. Je sais bien que ce n'est pas bien de jouer avec la nourriture mais comme notre jeu consiste à faire le repas sans le moindre gaspillage, vous pouvez facilement nous le pardonner (ndb : Meuuuh oui Riry, on te pardonne… nda : ouf, t'as vu comme ils sont gentils lol). Quand tout est prêt, nous convions nos amis à table, avec une joie non dissimulée.
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Au cours du repas, j'ai remarqué que la présence de ses amis a fait beaucoup de bien à Draco. Je les ai donc invités à rester jusqu'au lendemain. Un grand sourire naquit sur son visage lorsqu'ils acceptèrent. Je l'ai aussi proposé à mes amis et heureusement que Hermione me connaît bien, ainsi que Ron, parce qu'elle a décliné l'offre. La seule chose que je veux c'est rendre le sourire à Draco et, même si j'adore mes amis, Ron ne m'aurait pas aidé dans cette tâche par sa seule présence.
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Le matin, Draco est encore plus actif que d'habitude. Nous avons pris le petit-déjeuner tous les quatre. Je le laisse discuter gaiement avec ses amis après un clin d'oeil à Pansy. Je m'installe sur le canapé dans le salon pour lire le journal mais je m'endors peu de temps après, épuisé par les idioties qui y sont relatées à mon sujet.
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Le jour du mariage est enfin arrivé et Draco est toujours dans sa chambre à se préparer. Comment fait-il pour mettre autant de temps alors qu'il sait déjà ce qu'il doit porter ? Lorsqu'il m'ouvre la porte, je ne peux m'empêcher de le regarder des pieds à la tête. Il rougit. Au perron, il hésite à se rendre au mariage. Je me doute qu'il a peur de ce que les autres pourront dire sur sa personne de méprisant et d'injustifié. Je l'encourage mais il s'obstine dans sa crainte. Peu importe ce qu'ils diront, je le protégerai.
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Le mariage a commencé depuis peu. Nous sommes installés au premier rang. J'entends tout autour de nous les autres invités qui critiquent ouvertement Draco. Il faut que je trouve un moyen pour l'aider. Il est acculé par toute cette haine. Il baisse la tête le plus possible, il se ferait invisible s'il le pouvait. Or ce n'est pas de sa faute, il est déjà tellement discret. Ils ne peuvent se résigner à ne plus haïr personne. Avant, c'était Voldemort, mais depuis qu'il n'est plus, ils transfèrent leur haine sur Draco et, qui plus est, ouvertement parce que lui, ils ne le craignent pas. Les ignorants, ils devraient me craindre, moi et toute la puissance dont je dispose. Allez, mon ange, relève la tête qu'on leur dévoile une partie de ma puissance ! Ils vont se rendre compte que je ne les laisserai plus faire. S'ils veulent haïr, ils devront craindre.
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Enfin de retour au manoir. Draco a l'air très heureux par cette journée. Il sait que j'ai utilisé ma magie pour qu'il puisse profiter de ce moment unique mais il ne s'est pas rendu compte du déferlement que j'ai provoqué. Je suis d'ailleurs satisfait par la peur qui s'est lue dans les yeux de tous. Ils ont dû finir par comprendre qu'ils devaient arrêter de s'en prendre à mon bel ange. J'utiliserai toute ma puissance pour le protéger, même face au Ministère. De toute façon rien que dans mon métier, je m'oppose aux déchets qui s'y trouvent.
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Draco peut se montrer très obstiné quand il le veut. Son nouveau désir est une salle scellée qui lui a offert beaucoup de souvenirs heureux. C'est hors de question que je l'ouvre, si elle a été fermée, ce n'est pas pour rien. Je me suis enfermé après une nouvelle prise de tête avec Draco dans mon bureau. J'en profite pour voir si ils parlent du mariage de Blaise et Pansy dans le journal. Je trouve un article qui en parle comme d'un événement incontournable. Ils révèlent ma présence et celle de Draco, je suis étonné de lire que les autorités devraient revoir leur décision au sujet du dernier Malfoy. Selon eux, il est impossible qu'il soit une menace pour la communauté sorcière, il n'y a que ma puissance qui en soit une. Je ris de l'article. Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu un article aussi sensé que celui-ci.
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L'obstination de Draco m'enchante. Il retrouve grâce à mes refus la force de vivre. Et je trouve amusant de le voir utiliser diverses techniques pour ouvrir cette porte. Je n'aurais jamais cru qu'il utiliserait de l'acide citrique et de l'acide chlorhydrique avec l'espoir fou que cela fonctionne. J'ai bien l'intention de m'amuser avec lui maintenant qu'il ressemble à une personne vivante et non à un zombie. Je le taquine avec tout l'érotisme dont je peux faire preuve dans cette situation. Contre la porte, nos magies s'affrontent. Le déferlement est si puissant qu'il la fait exploser.
J'entre dans la pièce feignant d'être sur mes gardes. Je regarde dans les armoires pour savoir ce qu'un jeune garçon arrogant peut bien y ranger. Des jouets, des livres, c'est tout ce qu'il y a. J'attrape un objet qui ressemble à une peluche. La texture étrange me surprend et je pousse un petit cri en relâchant l'objet pour ensuite m'entraver les pieds et tomber dans les coussins. A croire que la malchance a décidé de s'en prendre à moi.
Après s'être moqué de moi, il utilise sa magie pour nettoyer la pièce. J'ai les yeux rivés sur lui. Il est magnifique. Il retourne vers l'armoire et j'en profite pour regarder ce qui m'entoure. Un album photo attire mon regard. Je ne peux résister à la tentation de le regarder. Je tombe sur une photo d'un jeune garçon de sept ans, tout sourire, avec un hibou dans ses bras. Je me retourne vers Draco pour savoir si c'est lui, il acquiesce. J'en conclus que c'est son album photo. Je tourne les pages vers le début pour découvrir à quoi il pouvait ressembler quand il n'était qu'un bébé. Je m'arrête sur une photo où un bébé nu joue avec les coutures d'un coussin vert sur lequel il est. Je souris. Je le trouve adorable. Draco rougit en voyant la photo. Je m'en retourne à la découverte de l'album sauf qu'il se jette sur moi pour me l'enlever des mains. Il dépose son précieux sur la table, rouge de honte (ndb : mon précieeeeeeeuuuuuuuuuuuxxxx…bah quoi, on peut être fan de HP ET du seigneur des anneaux nan ???...nan ? ; nda : je savais bien que quelqu'un allait relever, ptdr).
Je commence à sortir de la pièce. Cependant il m'interpelle pour que je reste. « Je t'aime, Harry. Je t'aime d'un amour sincère. » Il baisse la tête gêné par sa déclaration. Je suis agréablement surpris. C'est donc des sentiments de Draco que Pansy parlait dans une de ses lettres et non des miens. C'est vrai que je n'avais pas tout compris quand je l'avais lu, mais maintenant tout est clair. Une étincelle jaillit en moi. Je m'approche de mon bel ange et je lui fais relever la tête. De surcroît, Hermione avait raison dans ses déductions : notre amour l'un pour l'autre est réciproque. Je dépose mes lèvres sur les siennes. Il répond à mon baiser avec envie. Je m'approche toujours plus de lui. Mes sens sont en ébullition. Je ne peux plus me séparer de lui. J'ai tellement envie de lui. Je l'aime. La suite ne fut que débauche merveilleuse.
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Les jours suivants, je ne peux pas le quitter. Nous sommes toujours dans la même pièce. C'est peut-être stupide mais je n'y peux rien. Nous nous aimons. Nous avons décidé de changer la décoration du manoir et en particulier du salon, de la salle à manger et de notre chambre. Seul le lit ne changera pas, parce qu'il est vraiment trop agréable et Draco ne veut pas se séparer du lit de son enfance. Quand je rentre dans une boutique avec Draco, désormais je vois du respect dans les yeux des gens qui nous entourent. Mais bon, il y a toujours quelques craintes en certains. Plus personne n'ose critiquer mon bel ange. Finalement, ils tiennent à la vie.
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En sortant d'une énième boutique, nous passons dans un parc. Nous nous installons sur un banc. Draco se penche vers moi. « Merci de ta protection lors du mariage. » Je ne comprends pas pourquoi il me dit ça tout à coup. Il passe l'une de ses mains dans mes cheveux en bataille. « Ne fais pas l'innocent. Je croyais au départ que tu n'avais créé qu'une barrière de silence. Mais en fait tu as libéré ta magie pour menacer les idiots présents. » Je suis surpris. Je croyais qu'il ne l'avait pas remarqué. « C'est vrai, je ne le savais pas et je n'y ai pas pensé tout seul. Je l'ai lu dans le journal qui était posé sur ton bureau. » Je me renfrogne un peu. Il sourit face à mon comportement qui est, certes, enfantin. Il m'embrasse tendrement. Je l'entoure de mes bras pour le rapprocher de moi.
Des sifflements nous sortent de notre bulle. On tourne, surpris, la tête vers les personnes qui osent encore parler de nous dans notre dos. Des fillettes nous sourient gentiment et tout à coup elles s'exclament « trop mignons ». Elles partent en faisant des commentaires sur notre couple qu'elles trouvent charmant et attendrissant. On se regarde tous les deux avant d'exploser de rire.
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Sur le chemin du retour, beaucoup de mères appellent leur progéniture pour qu'elles ne viennent pas nous déranger. Draco se penche à mon oreille pour me murmurer : « Auraient-elles peur que leurs enfants nous répètent ce elles avaient dit sur moi autrefois ? ». Je hoche la tête et l'embrasse dans le cou. Maintenant que nous avons la communauté sorcière avec nous, il nous reste plus qu'à s'occuper du Ministère pour mettre fin à cette étrange sentence. Et si jamais il ne le fait pas de lui-même, mon métier rentrera en jeu. Ce sera une partie de plaisir de s'en charger avec mes collègues.
THE END
note de la bêta :
WAYAAAAAAAAAAA C TRO MIGNON !!!!!!!!ILS SONT TRO CHOUPIIIIIISSS !!!!!!!
Joli travail Yebekka, magnifique petit (hem) épilogue, trop maaagnon !!!!
Je suis très fière que tu m'ais nommé ta bêta chérie adorée !!!!!Merkiiiii !!!!!
Line Weasley :
· nb de fautes de concordance des temps : AHEM, dois-je le dévoiler ???pfiouuu au moins 700 !!!!
· nb de fautes d'accord : ayayayaaaaaaa 1000 au MOINS !!!
· nb de virgules :…….environ 3 820 834 !!!!!lol !!!!Yebekka pas amie avec les virgules !!!
Meuuuuuuh nan je rigoooooole !!!!!!Enfin, sauf pour les virgules…..
Gros bisous, et dépêche toi de nous servir une autre jolie fic !!!!!!!!!o !!!!
note de l'auteur :
mouais j'y peux rien si lorsque je tape le texte à l'ordi il est tard et que mes neurones ne sont connectés. Ils espèrent qu'une seule chose c'est DORMIR! Résultat il y a des fautes mais ma beta s'embêterait sans! lol . Mais je ne lui donne raison que pour les virgules parce que j'ai du mal à faire ami-ami avec elles . Et pis si je fais autant de fautes c'est que je suis dans le feu de l'action et qu'au départ de l'épilogue j'avais pas trop d'idées alors ça s'est ressenti! Mouais bon, j'arrête de me chercher des excuses parce que de toutes manières il y a beaucoup d'autres personnes qui font plus de fautes que moi, nah. Au moins j'ai pas de blem avec les homonymes et les conjugaisons (la concordance des temps ne comptent pas XD)
Bon, j'espère que ce pitit épilogue vous a plu parce que, à la fin surtout, je me suis super éclatée à l'écrire et d'après ma beta chérie cela se ressent !
Pour répondre à la question que j'ai posée au départ à propos du métier de Harry je ne sais pas si beaucoup y ont réfléchi mais je donne quand même la réponse parce que ce serait vache de ne pas le faire. Alors, donc, la réponse est (roulement de tambours) détective avec une tendance agent secret lol. Ben ouais j'avais pas du tout envie qu'il soit auror pour la bonne et simple raison qu'il aurait dû travailler pour le Ministère ce que je veux surtout pas. Je ne supporte pas ces minables du Ministère qui se cachent derrière des idéaux qui ne sont qu'un amas de mensonge!! Oups, je m'arrête là avec mon venin!!
Voilou! Je remercie toutes les personnes qui ont lu ma fic même si elles n'ont pas forcément reviewé ou mis ma fic dans leurs alertes! Donc je remercie tout le monde pour tous les avis que vous avez pu me donner et surtout pour le temps que vous avez pris dans le but de lire ma fific!
Pour répondre à ma beta et à d'autres, j'ai d'autres projets d'écriture et à chaque fois c'est du Drary ; j'adore ce couple, miam! Donc j'ai quelques petits chapitres écrits sur papier mais je préfère attendre avant de poster. Pourquoi me demandez-vous ? Ben, tout simplement parce que j'ai peur de trop vous faire attendre dans la publication et je n'aime pas décevoir!!
Pour conclure, (il faut bien que je conclus un jour non?) je vous remercie de nouveau et je vous dis à la prochaine fois! (N'oubliez pas le joli bouton 'go' en bas de l'écran, je réponds à tout le monde même avec un break (ça s'écrit comment ce mot là??hic ma beta n'est pas là...) de trois semaines ou plus qui n'est pas voulu mais simplement dû au fait que je n'ai toujours pas internet à la maison (un jour, oui, un jour la nouvelle technologie entrera dans mon humble demeure XD))
Bizousssssss tout le monde!!!!!!!!!
Yebbeka