Chapitre 1 : Demat (bonjour)

- Attrapait-le !!!

Un cri dans cette après-midi d'été retentit dans les rues de cette résidence banale de Londres.

Un groupe de garçon, qui ne devait pas avoir plus de 11ans, poursuivait un autre garçon bien plus petit qu'eux et qui semblait plus jeune.

On pourrait penser dans un premier temps à un jeu entre enfant, tout ce qu'il y a de plus banal me direz-vous. Mais si on regardait de plus près, on pouvait apercevoir dans les yeux du poursuivis une panique telle, qu'on aurait pu le prendre pour un jeune animale traqué.

Ce qu'il était dans un sens.

Il regardait tout autour de lui frénétiquement, le souffle court, pour essayer de trouver une issue. Mais partout les même maisons à perte de vus. Aucune cachette et aucune des personnes dans le coin ne l'aidera. Cela il l'avait bien compris au court de sa courte vie. Il ne devait compter que sur lui-même. Seul. Comme toujours.

Il n'avait qu'une solution. Essayer de se réfugier en dehors des lieux résidentiels, près des bois. Ce n'était pas tout près, mais avec un peu de chance…

Il commença sa course vers un possible salut. Il entendait toujours le bruit de ses poursuivants. Son cousin et sa clique qui avaient décidés de faire une « chasse au Harry ». Ils trouvaient ça hilarant. Haha il était mort de rire.

Au bout de longues minutes de courses, il arriva enfin dans le bois près de la ville.

Peut-être arriverait-il à les semer ?

Il avait réussit à avoir un peu plus de distance avec ses brutes. Faut dire gros comme est Dudley et certains de ses amis, ce n'était pas étonnant qu'ils fatiguent. C'était même surprenant qu'ils aient pu tenir aussi longtemps.

Il réussit à se cacher dans les bois, près d'un ruisseau, avant qu'ils le rattrapent.

Ils passèrent devant lui sans le voir et continuèrent leur course. Il resta caché retenant son souffle. Il n'osait pas croire en sa chance. Cette fois-ci il avait vraiment échappé belle. Faut dire aussi, traiter Dudley de gros porc qui ne pouvait rien faire sans ses parents, était peut-être un peu abuser. Il n'avait pas tord, mais cela aller retomber sur lui quand le « cher Dudleychouné » allait tout raconter à son oncle et sa tante. Il était mal barré. En plus, la nuit allait bientôt tomber. Il ne sera pas rentré avant qu'elle ne le soit complètement.

Super ! De mieux en mieux. Franchement, il était maudit. Déjà que sa « famille » ne l'avait pas dans le cœur, et n'était pas tendre avec lui, mais si en plus il leur donnait des raisons en plus pour le punir…

Il soupira.

Et se décida finalement à sortir de sa cachette. Il s'étira pour détendre ses muscles, lorsqu'un bruit lui survint à sa gauche.

Il se figea.

Il n'osait plus bougeait, ni respirer.

Qu'est-ce que c'était ? Dudley ? Non trop discret. Un animal ? Qu'est-ce qu'on pouvait trouver comme animal dans ces bois ?

Pas rassuré du tout, il sursauta en voyant une personne tomber de l'arbre près de lui. En fait, c'était plutôt un enfant. Il était plus grand que lui (ce qui n'était pas dur quand on voyait sa taille rachitique) et des cheveux noir en désordre comme lui, mais plus long qui lui arrivaient aux épaules.

Il faillit tomber par terre quand le garçon devant lui se releva brusquement face à lui.

C'était lui, enfin, en plus athlétique, il se devait l'avouer, bien plus mignon et charismatique, mais à part quelque différence on aurait dit que c'était lui. Il le regarda éberlué, n'osant toujours pas bouger. Le garçon en face de lui l'observait incrédule et suspicieux. Il s'approcha et resta à quelque centimètre de lui. Sans trop savoir se qu'il faisait, Harry approcha sa main de l'inconnu et effleura son visage. Un frisson le prit dans tout son corps, suivit d'une légère douleur.

Le garçon le regarda maintenant avec de grand yeux, la bouche ouverte sous la surprise.

Une longue mèche tomba sur le visage d'Harry et Harry la prit dans ses mains sans comprendre.

Comment ses cheveux avaient pu pousser autant ? Commençant à être prit d'une panique, il se détourna de l'autre garçon et se dirigea vers le ruisseau. Il se regarda dans l'eau et cru s'évanouir. Ce n'était pas lui. Ce n'était pas son reflet. Ce qu'il voyait c'était un petit garçon au visage fin, à la peau pâle, les cheveux lisses, toujours brun mais aux reflets miel qui lui arrivait aux omoplates et des yeux mélangeant le noir, le marron et le dorée. Choqué, il parvint tout de même à remarquer qu'il voyait beaucoup mieux qu'avant. C'est clair. Alors que le soleil était presque couché, il voyait nettement ce qui l'entourait. Incrédule et légèrement effrayé, il porta une main à son visage. Voyant son reflet faire de même, il se recula précipitamment et s'enfuit en courant, sans même se retourner vers l'autre garçon qui n'avait toujours pas bougé.

Il était perdu. Qu'est-ce que cela voulait dire ? Il ne comprenait pas.

Il ne remarqua pas qu'il avait passé une haie et qu'il se trouvait maintenant dans un jardin. Il s'arrêta brusquement quand il se retrouva devant un berger allemand grondant et menaçant.

Il allait s'enfuir dans l'autre sens quand un coup de sifflet retentit. Le chiens arrêta de suite à le menacer et couru vers une femme qui venait d'arriver d'une autre allée du jardin.

Elle était assai petite, au moins 1m63, des cheveux noirs et bouclés lui arrivaient aux anches, et quand elle s'approcha il pu voir qu'elle avait les yeux bleus turquoises. Elle portait une robe bleue simple en ce soir d'été.

Elle regardait Harry curieuse et celui-ci se rendit vraiment compte qu'il était rentrer sans faire exprès chez quelqu'un. Il prit une belle couleur rouge, ce qui fit rire la jeune femme.

Un beau rire qui sonnait comme des clochettes au vent. Un rire qui vous retourne l'estomac et qui vous fait sourire. Elle s'approcha de lui tout en souriant. Elle lui tendit une main, l'invitant à la suivre. Hésitant, il se balança gêné, eu une pensée pour les Dursley qui allaient le tuer vu l'heure, mais bon, de toute façon il était foutu, autant prendre la main qu'elle lui tendait.

Elle le mena à l'intérieure de la maison, dans la cuisine, et le fit s'assoire. Elle sortit un instant et revint avec une trousse de soin. Surprit, il la regarda soigner les écorchure dû à sa course alors qu'elle fredonnait un chant qu'il ne comprenait pas, mais qui le détendait comme jamais. Il ferma les yeux et se laissa bercer par la voix de la jeune femme. Il les rouvrit quand elle eu fini.

Il tourna la tête au son d'une clochette, et là, les yeux ronds, il vit plusieurs minuscules, petite femmes, virevoltant près de la fenêtre au son du chant de la jeune femme. Il regarda ébahis la femme devant lui qui le regardais en souriant.

-Les enfants ont plus de facilités à les voir.

-Qu'est-ce que c'est ?

-Mais des fées bien surs.

-Mais ça n'existe pas, lui dit-il incrédule.

Elle pouffa de rire, suivit par les fée autours d'eux.

-Elles sont moins nombreuse que dans l'ancien temps, mais elles sont toujours là. Je suis, pour celles qui habitent ici, en quelque sorte leur protectrice. Je m'assure qu'elles soient protégées du monde moderne et en échange elles me protègent moi et me rendent services.

Cela faisait un peu beaucoup pour lui. D'abord, Dudley qui veut sa peau, puis l'autre qui lui ressemblait comme deux gouttes d'eau, le reflet qui n'est pas son reflet et maintenant des fées ?

Mais… en parlant de son reflet…

Il se leva et se dirigea devant un miroir qui se trouvait pas loin.

Avant d'arriver devant lui, il ferma les yeux, anxieux de ce qu'il allait voir.

Il n'osait pas, puis, prenant son courage à deux mains, il inspira profondément et les ouvrit d'un coup.

Toujours ce garçon aux cheveux de miel et aux yeux si étranges.

La femme s'accroupi derrière lui pour être à sa hauteur.

-Ca va ? Lui demanda-t-elle inquiète.

-Ce n'est pas moi.

-Qui ?

-Ca, lui dit-il en montrant son reflet et la regardant dans les yeux.

Elle le regarda étrangement.

-Qui est-ce si ce n'est pas toi ?

-Je ne sais pas, mais se n'est pas ce que me montrait le miroir ce matin.

-Peut-être viens-tu juste de te réveiller et que tu vois claire pour la première fois.

Il se prit la tête dans ses mains.

Il était perdu. Voir claire ? Mais tout était embrouillé dans sa tête.

Il sentit qu'on l'attirait en arrière, puis une sorte de cocon doux, chaleureux et réconfortant l'entoura.

Plus que surprit, il resta figer quelque instant. C'était la première fois qu'on le réconfortait.

Cela le prit à la gorge et il ne pu retenir ses larmes et s'accrocha désespérément à cette femme qui lui donnait sa chaleur et sa douceur, à lui, l'orphelin traité d'erreur par sa propre famille.

-Chuuut… ça va aller.

-C'est la première fois que quelqu'un me prend dans ses bras, dit-il en reniflant. Je suis désolé, pardon, désolé, mais je suis complètement perdu.

-Comment tu t'appelle ?

-Harry… je crois…

-Tu crois ? Lui demanda-t-elle amusé.

-Je ne ressemble pas à ce que j'étais se matin. Si cela se trouve, je ne suis même pas Harry. Et puis…et puis, continua-t-il au bord des larmes, tout à l'heure j'ai vu un garçon qui me ressemblait. Pas celui du miroir, dit-il en montrant l'objet. Mais le moi aux cheveux ébouriffés et aux yeux vert !

Elle l'observa sérieusement et songeuse. (Oui je sais pas facile XD)

Une des fées s'approcha d'eux et se posa sur l'épaule de la femme.

Harry la regarda fasciné.

-Dites madame…

-Mitsy, mon nom est Mitsy. Et elle, elle désigna la fée sur son épaule, c'est Azalée. Je l'ai sauvé quand j'avais 15 ans et depuis, elle ne me quitte pas.

-Oh… dites, est-ce qu'elles sont magiques ?

Elle rit.

-Bien sur qu'elles sont magiques. Elles sont même pratiquement faites de magie.

-Mon oncle et ma tante m'ont toujours dis que la magie n'existait pas.

-En l'occurrence, ils avaient tord.

-Mmm

Il tendit sa main vers Azalée. Celle-ci recula d'abord, puis curieuse, elle s'approcha de cette main. Elle se posa sur le doigt tendu et souri à l'enfant émerveillé.

-Vous croyez…

- Tutoie-moi, je n'ai que 24ans.

-Euh… d'accord… vous…tu…tu crois qu'elle pourrait me rendre mon apparence ?

-Je ne sais pas, peut-être si c'est un sort qu'on t'as jeté.

-Un sort ? Comme dans le livre à l'école ? Avec les méchantes sorcières et les princesses endormies et les princes en grenouilles ?

Elle pouffa de nouveau avec Azalée.

-En quelque sorte, mais les sorcières et les sorciers…

-Il peut y avoir des sorcières garçon ?

-Et bien, tu n'as pas du lire beaucoup de contes.

-Tout ce qui touche à la magie est interdis dans la maison, dit-il penaud.

-Et bien ils ne sont pas marrants t'es parents.

-Mes parents sont morts dans un accident de voiture, dit-il tristement. Je vis chez ma tante et mon oncle.

-Oh, désolé. En tout les cas elle n'est pas marrante ta famille.

- …

-Où j'en étais, à oui, les sorciers et les sorcières ne sont pas tous méchants. Mon frère, Daniel, est lui même Sorcier.

-C'est vrai ?

-Et oui. Et ils peuvent faire plus que changer en grenouille les gens.

-Ca à l'aire super.

Elle rit de nouveau.

-Oui ça à l'air pas mal.

-Et toi ? T'es une sorcière ?

-Non. Seul mon deuxième frère l'ait. Je crois qu'il tient ça d'une de nos grand-mère, je ne sait plus laquelle.

Elle rit de nouveau.

-Dis-moi petit Harry… il ce fait tard. T'as famille va bientôt s'inquiéter. Tu veux les appeler pour les prévenir ?

Le visage d'Harry s'assombri à la pensé de sa famille. Il ne pensait pas qu'ils s'inquiétaient pour lui. Tante pétunia avait dû pester contre lui pour ne pas avoir était là pour préparer la table et le dîner. Et oncle Vernon pour ne pas lui avoir ouvert la porte et apporté ses chaussons.

Mais ensuite ils avaient dû se réjouir et l'oublier.

Cela lui avait déjà arrivé de ne pas revenir à la maison parce qu'il était trop blessé à cause de la bande à Dudley. Ils n'avaient pas cherché à le retrouver et si il était toujours là c'était grâce à une vielle dame du quartier d'à côté qui l'avait ramené chez elle et qui l'avait soigné pendant trois jours. Quand il avait pu lui dire où il habité, elle l'avait ramené chez les Dursleys. Quand son oncle avait ouvert la porte le visage souriant, il c'était figé en le voyant et l'avait foudroyé du regard. Il l'avait fait rentré durement dans la maison, choquant la vielle dame par cette brutalité, et avait fermé la porte à celle-ci après un bref salut.

Ce jour là il avait reçu la pire correction de sa vie. Il ne comprenait pas très bien pourquoi. Ce n'était pas de sa faute. Il avait fini par ce dire que c'était parce qu'il était revenu.

Trois semaines plus tard, il avait enfin pu sortir de la maison, avec tout de même des blessures encore visibles. Il sait que le vielle femme avait tenté de l'aider en prévenant il ne savait plus qui ou qu'elle organisation. Il ne savait pas grand chose de ces choses là. Mais, il ne savait pas pourquoi, un jour, elle ne l'avait plus reconnu. Elle l'avait oublié.

Il releva la tête vers Mitsy qui le regardait d'un regard inquiet devant son silence. Est-ce qu'elle aussi elle allait l'oublier ? Toutes les personnes qui avait réussi à s'approcher de lui, qui avaient été gentil avec lui ou qui avait voulu l'aider avec sa famille, oubliaient et se désintéressaient de lui.

Ou sinon avaient eu de gros problèmes.

-Est-ce que tu vas être comme tous les autres… et m'oublier ? Demanda-t-il d'une petite voix.

Elle le regarda étonné.

L'oublier ? Comment pourrait-elle oublier un enfant aussi mignon.

-Pourquoi est-ce que je t'oublierai ? Lui demanda-t-elle d'une voix douce.

-Tout ceux qui m'approche et qui veulent m'aider finissent toujours par m'oublier…ou pire.

Je crois que je suis maudit. La maîtresse nous en a parlé une fois des gens maudits dans une histoire.

-Qu'est-ce qui arrive aux personnes qui veulent t'aider ?

-Il y a cette vielle femme un jour qui ma aider quand Dudley, mon cousin, m'avait trop frappeé et que je ne pouvais pas bouger. Elle à voulu m'aider mais elle ma oublié. Les enfants plus courageux que les autres qui n'avaient pas peur de Dudley et qui voulaient être mes amis. Eux aussi m'ont oublié. Les voisins aussi. Au début, certains m'aidaient, puis du jour au lendemain ils se sont plus inquiétés de moi… et il y avait Miss Moon. Ma maîtresse d'il y a deux ans… elle était différentes des autres… elle voulait tout le temps m'aider… elle avait dit qu'elle allait appeler les services so..so…

-Les services sociaux ?

-Oui c'est ça… elle ne comprenait pas pourquoi mon dossier était toujours rejeté. Elle m'en parlé souvent. Elle n'avait pas peur des Dursleys, ma famille.

Et un jour… alors qu'elle était allée chercher elle-même un ami qui travaillait dans ces services, elle a eu un accident. Un gros accident. Elle est restée endormis très longtemps. Et quand elle c'est réveillé… elle ne pouvait plus se souvenir. On lui disait quelque chose et tout de suite après elle ne se souvenait plus.

Il se tue et Mitsy resta interdite pendant un moment. Le silence dura, rompu seulement par l'horloge de la cuisine et le léger bruissement des ailes des fées.

Ne pouvant les retenir plus longtemps, Harry laissa couler ses larmes en silence.

C'était la première fois qu'il racontait tout ça. Il faut dire aussi, qui le croirait s'il le disait, ou s'il le disait à tous les coups la personne aurait tout oublié le jour suivant.

Mais Mitsy, elle il ne voulait pas qu'elle oublie, qu'elle l'oublie. C'était la première fois qu'il se sentait bien, en sécurité, compris. Et puis, les événements de la journée et la découverte surprenante de la magie avaient dû jouer aussi sur ses nerfs.

Mitsy se repris finalement. Elle n'arrivait tout simplement pas à imaginer par quoi avait dû passer cet enfant. Il semblait si fragile, si innocent. Elle sorti de ses pensées et vit les larmes du petit garçon. Elle le prit dans ses bras, et malgré sa petite taille elle le porta sur un canapé dans le salon. Il ne pesait presque rien, elle en était effrayée. Elle pouvait sentir ses os saillir sous les vêtements trois fois trop grands pour lui. Ces personnes ne le nourrissaient donc pas ?

Elle le berça doucement, le réconfortant, lui jurant qu'elle ne serait pas pareil que les autres, qu'elle se souviendra toujours de lui. Qu'il ne serait plus jamais seul.

A ces mots, Harry redoubla de pleurs. Après toute cette solitude, ce mépris et cette violence que sa famille lui témoignait, il avait du mal à supporter toute cette chaleur et cette gentillesse que Mitsy lui offrait. Elle lui faisait mal, mais en même tant il s'accrochait désespérément à sa robe pour ne pas qu'elle parte, pour ne pas qu'elle soit qu'un rêve. Encore un.

Epuisé, il fini par s'endormir dans ses bras.

Elle l'allongea sur le sofa et retourna dans la cuisine le laissant à la garde de plusieurs fées, qui gardaient son sommeille des mauvais rêves. Elle s'assit à la table, les mains jouîntes sous son menton Azalée sur son épaule aussi songeuse qu'elle.

Toute cette histoire était plus qu'étrange et elle se demandait si la magie n'était pas la-dessous.

Elle se leva d'un coup, faisant tomber une Azalée indigné, et alla dans un autre salon de la maison (qui était assai grande). Elle prit un peu de poudre et en lança dans le feu qui devint

Vert à son contact.

Après avoir demandé à une autre fée de garder l'enfant dans le sommeil elle entra dans le feu et disparu.

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Et oui c'est la fin de ce chapitre ^^

Je vais essayer d'en faire des plus long au fur et à mesure, mais bon c'est assai difficile ^^''

Pour ceux qui ont lu ma fic sur Naruto Qui est-tu je ne l'ai pas abandonné. Je sais que c'est très frustrant les auteurs qui mettent trois milles ans pour écrire un chapitre étant moi aussi victime de ce phénomène ( ouinnn que la vie est triste) et je n'ai même pas d'excuse à part une certaine flemme mais je pense la réécrire en mieux car je suis embêté par un perso qui ne devrait pas être là mais qui c'est quand même incrusté et je dois tout réécrire mais promis je mis mes bientôt ^^'''' ( pour ceux qui ce le demande c'est Sasuke^^ Je ne comprend toujours pas pourquoi il est là il me bloque complètement la suite, il n'aurait pas dû être dans le village, je le savait pourtant mais vous savez comment il est têtu XD)

Sinon bah merci de lire cette fic est j'espère qu'elle vous plaira ^^