Alors on commence par dire :

Tout ceci ne m'appartient pas malheureusement. Si vous êtes au courrant que clamp vent ses personnages, prévenez-moi^^ quoique qu'en y pense, si un jour ça arrive la monde fou qui devrait avoir !

Disclaimer :Bon tout ce balbla inutile est pour dire que les personnages sont à clamp pas à moi !

Bon j'imagine que vous voulez l'histoire plutôt que ces paroles inutiles, donc let's go !

NoTe : c'est le point de vue de Fye.

Envie de toi

A peine arrivée, que tu te plains déjà. Une fois de plus mokona nous as fait atterrire sur ton dos. Et tes cris résonnent dans ce nouveau monde inconnu. Je te taquine et tu te mets à hurler bien plus fort. Shaolan tient la princesse dans ses bras, tandis qu'elle dort paisiblement. Je me suis souvent demander comment tes cris ne l'avaient jamais réveillé. A vrai dire, je m'en moque.

Un nouveau monde, une nouvelle plume.

On arrive dans une petite ville tranquille. Après avoir gagné de l'argent, on se retrouve dans un petit hôtel. Kuro-Puu nous a fait gagner pas mal d'argent grâce à un concours de combat. Mais malgré notre bel somme, on ne prend que trois chambres. Sakura-chan a sa propre chambre, comme d'habitude. Shaolan à la seconde et moi je me retrouve encore avec toi. C'est une habitude, maintenant. Je fais semblant que cela ne me dérange pas, mais ça me dérange !

Il fait tard quand on a réservé les chambres. Toi et Shaolan discutent déjà pour acheter un studio où on pourrait être tranquille. Sakura-chan s'est réveillé. Shaolan accoure vers elle. Il lui explique dans quel monde nous sommes.

Un monde appelé Sonten. Un monde bien étrange. Un monde évolué comme à piffle et pourtant médiéval comme le monde kuro-kuro. Un étrange mélange.

La plume de Sakura-chan, ni moi ou mokona ne la ressens. Mokona affirme qu'il y en a une, mais trop loin de là où nous sommes.

Pendant le repas, je revois mon pire ennemi : les baguettes. Malgré qu'on m'explique encore une fois comme m'en servire, je mets des heures pour manger mon repas. Alors que kuro-chan lui mange facilement et a quitté la table depuis bien longtemps quand je finis. Je monte à notre chambre. J'espère qu'il dort déjà. Et bien, non ! J'entends l'eau qui coule dans la salle de bain. J'espère qu'il ne va pas sortir juste avec une serviette autour des hanches. Et j'aimerai bien que se soit le cas. Kuro-sama ne semble pas se rendre compte de l'effet qu'il a avec son corps presque dénudé. J'entends la porte s'ouvrir. Je vais pour l'engueuler de ne pas m'avoir aidé pour le maniement des baguettes quand je remarque sa tenue. Il porte juste une serviette. Méchant ! Quand vas-tu arrêter de me faire souffrir ? Je me force pour que mes yeux ne parcoure pas ton corps. Je me mets à t'embêter quand tu me regarde droit dans les yeux. Je déglutis. Je sais que quand tu fais ça, c'est que tu vas me dire quelque chose d'important.

-c'est l'heure de ton repas, non ?

Mes yeux perdent leur voile de gaieté. Pourquoi dois-tu me le rappeler ? Je n'ais pas le temps d'y penser que tu t'es déjà couper le poignet. Tu aurais put t'habiller, tortionnaire !! Je fais tout pour garder mon calme. Je m'approche de ton poigné ensanglanté. Je le prends et me mets à sucer ton sang, avec plaisir. J'aime ton sang. J'espère que tu ne le remarque pas. De plus je suis proche de toi. Je sens ta peau nue contre moi. Tes muscles qui se contractent ou l'inverse selon tes mouvements. Je remarque des fines gouttelettes tomber de tes cheveux, elles courent sur ton corps, glissant le long de ton cou avant d'entamer une course sur ta poitrine. Elles glissent plus bas, jusqu'à ton nombril et elles s'arrêtent à la serviette. Ou continuent-t-elles leur course sur une partie de ton corps que je n'ais jamais pu voir ?

Je ne veux pas savoir. Je me sens déjà que mon corps s'enflamme. J'arrête de boire, avant que tu ne remarques dans quel état tu me mets, je préfère m'éloigner. Comme d'habitude ! Tu remarques beaucoup de chose kuro-min, mais heureusement pour moi tu ne remarques pas l'effet que tu as sur MOI ! Et j'en suis bien content. Je dis que je vais prendre une douche. Je m'enferme dans la salle de bain. Dès que je ferme les yeux, je revois ton corps. Je pars prendre une douche glacée. Je dois me calmer.

Quand je ressors, tu as enfilé un pantalon, mais pas de haut. J'ai beau avoir l'habitude de te voir te promener torse nu, je réagis toujours de la même façon. Je cache mon malaise avec mon visage souriant, celui que tu appel « faux visage ». Tu le remarques, mais tu ne sais pas pourquoi. Tu soupires et te sers à boire. Je demande moi aussi un verre que tu tends. Je le prends avec gaîté. J'aime l'alcool. L'alcool fait tout oublier, comme toi. Une gorgée de ce liquide brûlant me rappel l'alcool de ton monde. Il est bon. Toi tu bois verre après verre, comme si l'alcool n'avait aucun effet sur toi. Moi, je sais quand m'arrêter, quoique avant que je m'arrête normalement j'ai vidé pas mal de bouteille. Mais toi, je ne t'ais jamais vu t'arrêter. Es-ce que toi aussi tu cherches à oublier quelque chose ? Seul Shaolan connaît ton passé, et ça dut à un livre. Au regard et à l'expression de Shaolan à ce moment, j'ai compris que ton passé était dur et douloureux. Mais jamais, je ne t'ais vu te plaindre, comme moi. Tu veux vivre, alors que moi il a fallu que vous me redonniez envie de vivre. Je veux aller dans tes bras et que tu me rassures. L'alcool commence à faire son effet plutôt que prévu, on dirait.

-je vais dormir. Annonce-je.

-fye !

Je me retourne surpris.

-Quoi, Kuro-sama ?

Ses yeux rouges me fixent, comme s'ils pouvaient lire en moi. Ses sourcils sont plus froncés quand en temps normal.

-Qu'es-ce que tu me caches ?

Beaucoup de chose. J'aimerais répondre ça. Mais j'en suis incapable à cause de son regard. Je baisse la tête. Je ne veux pas que tu sache, que je t'aime. Je te désir, kuro-kun. Mais je ne pense pas que tu sois de ce bord. J'ais peur que si je te le dise, notre fin lien se brise à jamais.

-c'est un secret, kuro-chan !

Je relève la tête et souris, un vrai.

-mon secret. Et il ne te regarde pas !

Mensonge. Il te regarde. Mais je ne te le dirais pas.

-je vois.

Tu ne dis plus rien d'autre. Tu te tournes même vers la table où la bouteille d'alcool repose. Je veux sentir ta chaleur contre moi. Mais c'est impossible, n'es-ce pas ?

Je vais me coucher. C'est trop douloureux de rester comme ça avec toi, dans la même pièce. Je te veux. J'en envie de toi. Mais je suis incapable de te le dire.

Je m'enroule dans les couvertures et ferme les yeux. Je reste immobile durant de longues minutes puis je commence à m'assoupir.

Je me réveil, je ne sais quand. Je t'entends boire. Tu ne dors toujours pas, kuro-tan ? Peut-être que je ne me suis assoupis que quelques minutes ? Je garde pourtant les yeux fermés, je refuse de te montrer que je suis réveillé. Je veux vite m'endormir pour me réveiller demain. De cette manière je pourrais m'éloigner de toi. Cette pièce est bien trop petite. J'ai bien trop peur que tu remarques mon désir pour toi. Mon corps est tendu, et j'essaye de la camoufler.

-je sais que tu ne dors plus fye !

Tu remarques toujours tout. Enfin, non. Car si c'était le cas, tu serais que je t'aime. Mais tu as remarqué que je m'étais réveillé. Mais je ne bouge pas pour autant. Je n'en ai pas envie. Car je sais que si je te vois encore si proche de moi tout en étant distant, cela me ferait mal. J'ai besoin de toi. J'ai envie de toi.

Je t'entends te lever. Tu vas dormir. Mais au lieu de te diriger vers ton lit, c'est sur le mien que tu t'assois. Ton poids fait s'affaisser mon lit. Je ne bouge pas, mais mon corps se tend encore plus. Pourquoi viens-tu si près ? Tu me caresse la tête doucement. Je serre mes poings, pour rester immobile. Part ! Je ne veux pas détruire notre lien.

-fye. Regarde-moi.

Je refuse de bouger.

Il le remarque et je sens son souffle chaud sur mon oreille. Il répète ces paroles en soufflant dessus. Un frisson parcourt mon corps et j'ouvre les yeux surpris. Tu me fixes gravement. Je déglutis difficilement. J'ai peur. Qu'es-ce que tu vas dire ?

-tu ne crois pas que je ne l'ai pas remarqué.

Sa voix est chaude. Des longues sueurs froides glace mon corps.

Bien sur que tu l'as remarqué, tu remarques toujours tout !

-de quoi as-tu peur ? Fye ?

Je pleure. Doucement.

Kuro-toutou me soulève alors et me serre dans ses bras. J'en frissonne. Pourquoi me prend-t-il dans ces bras ? S'il sait, il devrait être dégoûté, non ?

Pourtant je me sens bien dans ses bras. Je refuse de m'en extirper. Je me sens en sécurité, comme si rien ne pouvait m'arriver. Je ferme les yeux de bien être.

-tu es vraiment con !

J'ouvre les yeux par la stupeur. Je lève la tête vers kuro-puu.

-quoi ?

Je ne comprends pas. Je suis perdu. Tu soupires. Puis tu prends mon visage entre tes mains et dépose doucement tes lèvres sur les miennes. Au début ce n'est qu'une pression, puis je sens ta langue léchée ma lèvre inférieure. Je ferme les yeux et entrouvre un peu ma bouche, tremblant. Ta langue vient cajoler la mienne. Un ballet se met en place dans ma bouche. Une fine sensation traverse mon corps, je passe mes mains derrière ton cou, pour approfondir notre baisé. Tu me sers contre toi. Le ballet devient fougue. Le manque d'air nous sépare. Je pose ma tête sur ton torse.

-tu as compris ?

Je relève la tête, vers lui.

Oui, j'ai compris. J'étais bête d'avoir peur. Et de penser pouvoir te le cacher. Je souris.

-je t'aime kurogané.

Tu souris. C'est rare. Tu ne me laisse plus le temps de penser que tu viens voler mes lèvres à nouveau.

J'ai envie de toi.

Tu as envie de moi.

Quoi demander de plus ?

………………………………………….

J'espère que cela vous a plus.

j'ai réparé l'erreur. j'espère que c'est plus lisible maintenant^^