CHAPITRE 1 : LE TEMPS D'UNE PAUSE

Moi je dis vive « Charlie et la chocolaterie » et « Harry Potter » mdr

Bonne anniversaire ma Céline ^^


Peu importe les ténèbres qui pouvaient régner au plus profond de tout, il existait toujours une lumière, un petit éclair d'espoir qui pouvais sauver n'importe qui de n'importe quoi. Vous ne me croyez pas ? Laissez-moi vous raconter une histoire hors du commun et qui se déroule justement dans un endroit très particulier : l'Allée des Embrumes.

La guerre avait laissé d'énormes séquelles dans la vie des gens et la partie noire de la ville sombrait encore plus vite qu'avant. Réputé pour sa noirceur et sa mauvaise fréquentation (assassin, voleurs, etc.…), l'Allée des Embrumes était désertée par les gens sains d'esprits, ceux qui croyait encore un peu en l'espoir.

Mais même la plus obscure des obscurités pouvait cacher en son sein la plus pure des perles. Il existait ainsi dans cette zone sombre, un magasin, bien différent de ses congénères : « Le temps d'une pause ». Ce commerce était de couleur claire et pastel, à l'opposé de celui des jumeaux Weasley qui était bariolé de toutes les couleurs possibles et inimaginables. Les murs étaient crème et les bordures de teinte café, on pouvait y lire l'écriteau « chocolaterie, pâtisserie, confiserie, etc.… », et il régnait alors dehors une odeur sucré de bonheur paisible. C'était le point de rencontre des bas-fonds de Londres sorcier, mais rien de mauvais s'y passait parce qu'Harry Potter veillait.

En effet, notre Gryffondor avait gagné la guerre mais en en payant le prix et même davantage. Il avait tout perdu : sa famille, ses amis, il n'avait pût sauver des innocents,… ; pire, il avait perdu l'espoir, lui qui en était le plus digne représentant. Pourtant, un jour en se promenant dans la cité anglaise, Potter avait surpris un enfant, un enfant au regard vide, seul, blessé et sale. Quand il voulut le toucher pour savoir si tout allait bien, le petit garçon avait pris la fuite, terrifié et en larmes. Harry avait alors réalisé qu'il ne voulait plus voir ce genre de comportement, qu'à défaut d'avoir le bonheur, il en donnerait à Eux, ceux qui n'avaient plus rien comme lui et qui étaient obligés de se terrer à l'Allée des Embrumes pour survivre un minimum.

Il se retourna en pleine réflexion et continua son chemin en cherchant comment leurs donner un peu de paix lumineuse, lorsque, tout à coup, il trouva. A quelques pas de lui se trouvait un autre enfant, mais avec ses parents ce coups ci ; malheureusement, il pleurait parce qu'il s'était fait mal, il avait d'ailleurs le genou un peu en sang. Sa voix hurlait de détresse et ses yeux pleurait de douleur, le Gryffondor vit le père acheter un chocolat qu'il lui donna et la mère lui donner un bisou-magique-qui-soigne comme seules les mères savaient le faire. Il souvint alors d'un vieil adage moldus qui disait que le chocolat adoucissait les mœurs, ayant quelques souvenirs de lui et de ses amis mangeant des sucreries pour leur plus grand bonheur. Harry décida alors de se lancer dans ce projet : celui de créer une chocolaterie dans le but de continuer à les sauver, et peut-être même, qui sait, se sauver lui-même.

Notre Survivant avait largement de quoi construire le local, en plus de sa réputation pour se maintenir protégé ; il ne manquait plus que le savoir-faire, ce qu'il combla sans problème à l'aide de cours et de beaucoup d'imagination pour la préparation de recettes. Bien sûr, au début, il y eut quelque petit problème de comestibilité des aliments et de voisinage, mais au final, il s'en sortit plutôt bien.

Evidemment, il y avait des établissements comme Honeyduckes pour les friandises, mais c'était magiquement classique et bien trop cher. Donc Harry se basa sur des recettes simples et originales, faciles et magnifiques, les vendant gratuitement : l'argent n'achète pas tout et le bonheur n'a pas de prix, comme on dit. Durant les premiers mois, les gens n'osaient pas rentrer dans ce magasin remplis de couleur et de lumière, se contentant de rester collés aux vitrines pour voir, admirer et envier. Mais ils finirent pourtant un jour à rentrer, et là il y eut du succès, beaucoup de succès même.

Comme je vous le disais plus haut, « le temps d'une pause » était devenu le centre nerveux de l'Allée des Embrumes, points de rencontre et d'encrage pour ceux en perdition, promesse d'un instant de paix dans leur cauchemar, une paix à l'odeur sucré et au goût chocolat, fraise, vanille, etc.… aux couleurs, formes et goûts variés. C'est d'ailleurs durant l'une de ces transactions entre Harry et un inconnu que la véritable histoire commence.