je suis toujours sur une autre histoire, en court d'écriture, mais je suis insomniaque et ce délire m'est venu au milieu de la nuit. (on a de ces idées quand on manque de sommeil!)

je rappelle que cette fic est uniquement du lemon. vous pourrez pas dire que je vous ai pas prevenu!


Comment pouvait-on penser qu'Edward et moi étions frère et sœur??!!!

Le seul lien qui nous rapprochait, faisant de nous une famille, était le fait que nous étions vampire, végétariens, avions des prunelles dorées et que nous vivions dans la même maison.

Ces humains s'inventaient n'importe quoi pour se rassurer.

Malheureusement, Jasper avait encore de grosse dificulté pour se sevrer du sang humain. il devait chasser plus souvent que nous autre. Emmet et Rosalie l'accompagnaient régulièrement au cas où sa volonté flancherait. Carlisle passait ses journées et parfois ses nuits à l'hôpital. Esmée parcourait la région constamment pour trouver des idées déco. Bref, j'étais toujours seule avec Edward. le problème c'était que seule je m'ennuyais

Vivre dans la même maison qu'Edward avait ses avantages, quand personne n'était là, nous pouvions nous retrouver dans sa chambre pour pratiquer la deuxième activité préféré des vampires, à savoir le sexe! La première étant le besoin de se nourrir, évidement. Chasser nous prenait à peine une heure par jour. Alors que le sexe pouvait nous occuper agréablement pendant plusieurs heures. Baiser avec Edward était une expérience qu'il ne fallait pas rater et j'aurai été bien sotte si j'avais laissé passer une telle occasion.

La première fois ou nous avions franchit le pas, c'était à la chasse. Cela faisait déjà un an que nous vivions, Jasper et moi, avec Carlisle et sa famille. Edward et moi étions partis chasser seulement tous les deux.

Après avoir débusqué plusieurs pumas et nous être abreuvé de leur sang j'avais regardé Edward que sa frénésie alimentaire rendait presque fou. Ses lèvres et son menton ruisselaient du sang de l'animal, ses yeux étaient pale de satiété, un rayon de soleil caressait son front illuminant sa beauté. Je n'avais pas résisté plus longtemps et je m'étais jeté sur sa bouche pour lécher le sang qui s'y trouver avant de glisser ma langue contre la sienne qui était chargé du gout métallique si caractéristique du sang frais. Il avait répondu à mon baiser immédiatement et j'avais été agréablement surprise qu'il ne m'ait pas repoussé.

Sans rompre notre baiser, j'avais poussé ma chance en jouant avec la ceinture de son pantalon, il m'avait laissé faire alors que ses mains se promenaient sur mon cou. Quand l'obstacle qui me séparait de mon jouet tomba au sol, je poussais Edward violement pour qu'il s'allonge contre l'herbe humide. Je me mis à quatre pattes devant ma future gourmandise, qui était majestueusement dressé devant moi.

Je regardais Edward avec un sourire aguicheur en mordant ma lèvre. C'est sans lâcher ses yeux que je pris sa virilité contre ma langue. Edward ne détachait pas ses yeux de sa verge, luisante de salive, qui entrait et sortait de ma bouche. Lentement, Je montais et descendais mes lèvres le long de sa verge épousant avec délice toutes les aspérités de sa peau. J'entendais de profond grondement sortir de la poitrine d'Edward et cela me galvanisais, m'incitant à continuer avec ferveur ma petite gâterie.

Je sentais Edward tressaillir sous mes coups de langue, ses mains agrippaient fermement le sol, arrachant ici et là d'énorme poignée de touffe d'herbe. Aidé de ma main, Je fis quelques va et viens plus rapide sur sa verge et Edward grogna sa délivrance. Après m'être abreuvé de sa semence, Je le libérais de ma bouche et lécha mes lèvres en un geste que je voulais provoquant. Cela marcha au-delà de mes espérances puisqu'Edward était de nouveau en érection. L'avantage d'être vampire!

Je me redressais et c'est sans un mot que je me mis à califourchon sur lui le laissant entrer en moi avec fermeté. Edward déchira ma robe qui couvrait encore ma nudité, les sous vêtements étaient pour moi superflu. Il se mit à cajoler mes seins avec ardeur. Je gémissais, j'ondulais sur lui cherchant à le sentir plus profondément.

J'avais parfaitement conscience qu'à cet instant je trompais Jasper mais la notion d'adultère était pour moi quelque chose de très abstrait, surtout quand on était vampire. Passer l'éternité à faire l'amour avec un seul homme me paraissait comme le paroxysme de l'ennui!

Edward se mouvait sous moi, accompagnant avec ravissement mes déhanchements de plus en plus saccadé. Je sentais le fourmillement très distinctif de la jouissance, naitre au creux de mes reins. J'haletais fortement alors que mes mouvements étaient de plus en plus spasmodiques. C'est avec exaltation que je me resserrais autour d'Edward me laissant envahir par mon plaisir. Edward m'accompagna deux poussées plus tard.

C'est uniquement vêtu de la chemise d'Edward que nous étions rentrés à la villa. Grâce à nos dons respectifs nous n'avions croisé personne. Seul Jasper aurait pu poser un problème mais il mettait la tension sexuel d'Edward sur le compte de la frustration et la mienne sur le compte du désir, que je ne niais pas et que j'assouvissais avec mon Jasper. Faire l'amour plusieurs fois par jour était très, très loin de me déplaire

Depuis cette fabuleuse après midi dans la forêt, Edward et moi étions amant et mon dieu Edward était un extraordinaire amant. Son inexpérience avait été vite compensée par sa fougue et son enthousiasme.

Faire l'amour avec Edward était une expérience incroyable, ma jouissance durait toujours de longues minutes, je n'avais jamais ressenti ça aussi intensément, même avec Jasper. Le gout de l'interdit sans doute?!

Comprenez moi bien, Jasper resterait l'homme de ma vie, je l'aimais plus que moi-même, mais cela aurai était un crime de ne pas m'amuser avec Edward. Il était beau, jeune, vampire et disponible. Depuis une dizaine d'année, nous nous amusions régulièrement à l'insu de tout le monde.

La veille, j'avais eu une vision. Demain, Edward devait rencontrer une humaine au lycée et il en tomberait éperdument amoureux, refusant à l'avenir toute galipettes avec moi.

J'étais ravi pour lui, il allait enfin être pleinement heureux, et moi, j'allais de nouveau être une femme fidèle. Je me devais de fêter ça en profitant de ma dernière soirée en célibataire, la famille étant parti chassé. C'est donc habillé uniquement d'un pull col V que j'ouvris la porte de sa chambre.


mes chapitres sont toujours court (j'y peu rien c'est comme ça). sincèrement, je ne sais pas si j'irais au bout de ce délire, on verra bien!

j'ai presque écris la suite de ce chapitre, il est un peu plus "hot" et toujours sans romantisme.

dois je continuer? vos impressions encourageraient grandement l'auteur à publier un second chapitre:) merci