Bonjour à tous. Je tiens à dire que j'écris cette fanfiction sur un coup de tête et que c'est mon tout premier essai dans la catégorie Harry Potter et je commencerai avec un HP/SR. Dans ma fic je dirai "Rogue" et pas "Snape" parce que je n'aime pas ce nom et qu'ayant lu les livres en français, écrivant en français, j'utilise la version française...

Résumons mon état actuel... Je suis malade à crever, y'a personne à la maison et je n'arrive pas à m'endormir. Je m'emmerde comme un rat crevé tout sec depuis trois mois lol. J'espère que ma folie due un peu à la fièvre vous plaira même si je n'ai pas prévu que cette fic soit vraiment drôle, enfin bref...

Aussi je tiens compte de certains faits des livres, mais d'autres pas du tout. Nous dirons que Harry est un septième année, que Dumbledore ne meurt pas et que notre bien-aimé Rogue travaille toujours ses potions. Harry ne prépare pas encore intensivement la bataille finale. Excusez-moi mais j'ai du mal à voir un gamin de 17 ans, 1m60 les bras levés tuer le plus grand mage noir qui ait jamais existé x')... Donc on va faire poiroter Voldi encore un petit peu.

Voilà, j'espère que cela vous plaira tout de même, donner votre avis dans les deux cas, une review ça fait toujours plais :).
Ps : Dans la vie réelle, depuis que j'ai poussé mon premier cri et encore sur mon passeport aujourd'hui je suis un MONSIEUR et pas une demoiselle, merci d'en tenir compte, je vois souvent des commentaires qui me sont adressés comme à une fille x')...

Bonne lecture


Cela faisait sept ans maintenant qu'il avait été admis à Poudlard. Sept ans qu'un vieil homme l'avait sorti du placard dans lequel il vivait pour lui donner l'espoir d'une autre vie, mais aussi le malheur d'une malédiction dont il n'avait jusqu'alors jamais soupçonné l'existence. Sept ans qu'il était devenu "Le Survivant", que tous les regards se tournaient sur son passage et qu'il était "quelqu'un".

Harry était dans le Poudlard Express, entouré de Ron et Hermione avec lesquels il discutait comme à son habitude. Il avait passé ses vacances chez les Weasley, refusant catégoriquement de remettre les pieds chez les Dursley. Hermione était aussi restée un mois avec eux. Harry ne disait pas grand chose, son regard s'était perdu dans la contemplation du paysage qui défilait à côté de lui, il était aussi un peu agacé que les mots de Ron soient coupés toutes les trente secondes par les baisers baveux de la seule fille présente.

Leur arrivée à Poudlard se passa bien et dans le calme, tant et si bien que l'on eut presque oublié que la plus grande guerre du monde Sorcier et de loin la plus importante, se préparait dans l'ombre. Néanmoins, tout paraissait paisible pour le moment et tous en profitaient du mieux qu'ils le pouvaient, sachant que cela ne durerait pas. Toute la soirée se passa bien, à quelques détails près, comme par exemple Peeves qui s'amusait à terrifier les premières années lors de leur arrivée.

Le lendemain fut évidemment beaucoup plus agité. Les couloirs bondés, les élèves hystériques et perdus, McGonagall dans le même état, essayant de gérer la situation et bien d'autres désagréments étaient au rendez-vous. Néanmoins la journée des trois Gryffondors se passa bien, jusqu'à cette dernière heure de cours, où ils devaient rejoindre leur bien-aimé professeur de Potions dans ses charmants cachots. De quoi bousiller en une heure une journée qui s'était si bien passée.

Comme d'habitude, à l'heure exacte où ils devaient entrer, la porte de la salle de classe s'ouvrit avec lenteur, laissant ainsi entrer les Serpentards puis les Gryffondors de septième année. Tous prirent place en silence, face au maître des lieux.

- Ouvrez votre livre à la page trois cent cinquante sept.

Les élèves obéirent dans un silence religieux, durant lequel on entendait uniquement des pages de livres se tourner.

- L'Amortentia ? Vous voulez que nous fassions cette potion ? Mais il nous est impossible d'être en mesure de la faire en tout début de septième année, c'est une Potion de niveau ASPIC, si nous pouvions la faire maintenant nous n'aurions pas besoin de faire encore une année de Potion.

- On ne parle pas alors que le professeur n'a pas donné la parole, encore moins pour dire ce genre de chose. Cinq points de moins pour Gryffondor Miss Granger. Sachez que si vous n'essayez pas, vous ne pouvez pas savoir comment faire cette potion et encore moins les points sur lesquels vous avez besoin de travailler. Sur ce, vous avez une heure.

Après quelques rires de la part des Serpentards, tous se mirent au travail. Harry écarta un peu son chaudron de celui de ses deux amis, sachant que Hermione fulminait même si elle ne voulait pas le montrer, même chose pour Ron qui était devenu aussi rouge que ses cheveux durant l'espace de quelques secondes. C'était juste le premier jour et ce vieux fou voulait déjà les conduire à la crise de nerfs. Après tout il n'en avait rien à faire et surtout aucune envie de travailler sérieusement un premier jour de cours, encore moins en potions. Après avoir rempli son chaudron d'eau et l'avoir mis sur le feu, il s'amusa à jeter dedans tout ce qui lui passait sous la main, essayant de voir quand est-ce que son chaudron finirait par exploser. Au bout de trente minutes de travail acharné, ses vœux furent exaucés et un bruit de détonation retentit dans les cachots.

- Londu... Potter... Tiens donc...

Harry, le visage noirci, se contenta d'enlever ses lunettes pour les essuyer avant de les remettre sur son nez, constatant que son professeur de Potions examinait sa concoction et que celui-ci semblait être très satisfait.

- Bien Monsieur Potter. Je vois que vous avez pris bien soin de mettre tous les ingrédients possibles et inimaginables dans cette potion, enfin, tous sauf ceux qui devraient faire partie de la composition de l'Amortentia. Pour ce que je qualifierais de sabotage, je retire trente points à Gryffondor.
- Quoi ? Mais je...
- Quarante points.
- Mais...
- Cinquante points.
- Mais je...
- Soixante-dix points ?
- Tais-toi Harry, tu ne fais qu'aggraver les choses...

Le porteur du nom avait entendu ces paroles murmurées par Hermione qui lui serrait le bras alors qu'elle sentait qu'il allait s'emporter contre leur professeur.

- Bien, il aura fallu cinquante points. Vous resterez après l'heure de cours et vous nettoierez les dégâts que vous avez causés. Sans baguette. Vous pouvez commencer maintenant.

Sur ce, l'homme se retourna, satisfait et parti s'asseoir à son bureau. Lorsque l'heure de cours fut finie, Harry était toujours en train de nettoyer, pestant contre Rogue. Il aurait voulu l'étrangler, le massacrer, le faire souffrir pour l'avoir humilié comme ça.

- Je pense que vous comprenez pourquoi vous êtes encore ici alors que vous pouviez être dehors Monsieur Potter.

Harry sentit un frisson de rage lui parcourir tout le corps. Lorsqu'il releva la tête pour voir son professeur, c'en fut trop, il explosa dans une colère noire.

- Oui je sais pourquoi je suis là, parce que vous n'êtes qu'une pourriture de sadique qui aime me voir souffrir uniquement parce que je ressemble physiquement à mon père ! Vous n'êtes jamais allé au-delà des apparences, vous vous êtes toujours borné au fait que parce que je lui ressemble, je suis comme vous le voyez ! Mais je ne suis pas lui ! Il est mort il y a seize ans avec ma mère ! Vous ne croyez pas que j'ai assez souffert pour que vous en rajoutiez une couche ? Je n'ai que dix-sept ans mais j'ai déjà vécu énormément de choses et j'en souffre, je suis un être humain comme les autres ! Je sais que vous vous en fichez puisqu'il semble que votre seule raison de vivre est de faire souffrir et de tyranniser les autres ! Sous prétexte que vous avez une toute petite parcelle de pouvoir, vous pensez avoir le droit de pouvoir pousser tout le monde à bout ! Vous n'avez pas le droit de nous traiter comme la bouse de Dragon parce que c'est votre désir et votre plaisir !
- Il suffit...

Coupé dans son élan par la voix tranchante et glaciale de son professeur de Potions, Harry se tut, bien que fou de rage et près à exploser encore une fois. Il vit Rogue planter son regard de jais dans le sien émeraude, sans ciller ni montrer aucune pensée ni émotion. Le professeur se contenta d'avancer vers lui d'un pas extrêmement lent en entamant à son tour sa "plaidoirie".

- Sachez, Monsieur Potter, qu'il me serait très possible de vous faire renvoyer de Poudlard pour vous être adressé à moi de la sorte, autant que pour vos propos que pour votre ton. Mais nous y reviendrons peut-être plus tard. Mais maintenant, laissez-moi vous dire quelques choses que je rêve de vous dire depuis longtemps. Et pour une fois, fermer votre grande bouche et ouvrez vos oreilles. Vous savez, il est vrai que lors de cette fameuse première année où vous nous êtes arrivé, je vous haïssais pour la simple et bonne raison que vous étiez le portrait de votre défunt père, je ne le nierai pas. Mais vous n'avez rien fait pour prouver que vous n'étiez pas comme lui, absolument rien Potter. Donc certes au début je vous méprisais pour votre apparence, mais très rapidement ce ne fut plus du mépris pour l'image de votre père que j'avais, mais pour vous et uniquement vous. Laissez-moi vous poser une question : Vous, pourquoi me haïssez-vous tant ?

Harry se taisait toujours, la voix si lente et froide de Rogue lui glaçait littéralement le sang. Au fur et à mesure que son professeur avançait, lui reculait, les yeux toujours rivés sur Rogue qui continua son discours de la même voix, sans un mot plus haut que l'autre.

- Je vais vous répondre. Parce que je ne suis pas comme les autres. Par cela je veux dire que je ne suis pas comme tous ces petits minables qui rampent à vos pieds et qui vous vénèrent pour votre statut de "Survivant". Vous aimez que l'on vous aime, que l'on vous adule, que l'on vous voie comme Merlin le Père. Cela est plus ou moins compréhensible, mais en contrepartie, Monsieur Potter, vous ne supportez pas que l'on ne vous voie pas comme un héros, que l'on ne se traîne pas à vos pieds, que l'on ne vous vénère pas. Oui cela vous insupporte au plus haut point que l'on dise que vous êtes désagréable ou que l'on ne vous apprécie pas, parce que vous pensez valoir tellement mieux que les autres. Ce n'est pas à moi que vous ferez avaler votre pseudo dégoût de la popularité, vous aimez que l'on vous voie comme un dieu. Regardez la réalité en face. Réfléchissez. Vous verrez que j'ai raison, toutes les personnes que vous détestez, vous les détestez uniquement parce qu'elles ne vous adulent pas, parce qu'elles vous voient comme un sorcier comme les autres et rien de plus, ce n'est même pas parce qu'elles vous ont déjà attaqué ou autre chose, mais juste parce qu'elles ne vous glorifient pas... Au passage, je pense savoir, ou plutôt avoir entendu, que vous dîtes aimer la franchise et que vous demandez l'honnêteté, mais pour ma part, je constate que vous n'acceptez que l'hypocrisie...

Le dos du plus jeune rencontra le mur, il blêmissait tout en entendant chacune des paroles de Rogue qui continuait de l'approcher.

- Certes, je comprends parfaitement que vous ayez souffert, mais cela n'est pas une raison pour vous croire supérieur aux autres. Tout le monde souffre, surtout durant notre époque. Pensez bien Potter qu'il y a des gens qui essaient de s'en sortir et qui ne passent pas leur temps uniquement à s'apitoyer sur leur sort. Ce n'est pas parce que vous croyez être malheureux que tout le monde doit l'être et que vous pouvez vous permettre d'agir comme un petit gamin capricieux. Tout ne gravite pas autour de votre nombril. Mais revenons à vous et moi. Que savez-vous de moi concrètement ? Que savez-vous de ma vie ? Que savez-vous de ce que j'ai fait et ce que je fais ? Que savez-vous ce que j'ai vécu et vis ? Rien ! D'ailleurs, je ne suis pas du genre à étaler ces choses fâcheuses devant qui veut bien le voir pour me faire passer pour un martyre. Oh, il vient juste de me revenir en mémoire qu'en fait si, vous connaissez deux choses de ma vie et cela se résume à deux petites altercations avec votre père et sa bande. À part ça, absolument rien. Et ce n'est qu'à l'aide de ce dossier accablant que vous vous donnez le droit de m'attaquer ? Je présume que c'est là encore un des droits Divins que vous vous êtes appropriés. Sachez néanmoins que j'ai vécu beaucoup de choses. Sûrement beaucoup trop pour encore pouvoir être atteint par de telles preuves d'immaturité de la part d'un enfant.

Rogue toisait Harry de toute sa hauteur, son ombre dominait le corps de son élève alors qu'il n'était qu'à quelques centimètres de lui. Harry était pétrifié, mais continuait de s'obstiner à regarder son professeur dans les yeux, comme pour essayer encore de le défier, en vain. Rogue lui adressa un rapide et affreux rictus avant de se retourner pour se retirer dans ses appartements. Alors qu'il allait passer la porte, il lui adressa encore quelques paroles, sans même entamer un geste pour se retourner.

- Avant de partir... Je vais sûrement vous apprendre quelque chose. Saviez-vous comment était Tom Jedusor ? C'était un garçon qui ne cherchait pas à faire le mal, ni le bien d'ailleurs. Ce n'était pas quelqu'un qui avait choisi, décidé d'être diabolique, tyrannique et cruel, non. Il pensait et pense toujours que le bien et le mal n'existent pas, que c'est plutôt une question de point de vue, et qu'il n'y a que la puissance, le pouvoir.

Le plus jeune était toujours figé, fixant cette silhouette noire devant lui. Avant que la porte ne se referme, Rogue lâcha une dernière phrase.

- Tout comme vous...

Harry sentit un violent frisson glacial courir le long de sa colonne vertébrale à l'écoute de cette dernière phrase. Ses lèvres demeuraient scellées, il avait l'impression d'être sous l'effet d'un Petrificus Totalus, tout en sachant parfaitement que ce n'était pas le cas. Son cerveau carburait à toute allure. Quelque part, il avait peur, voir même très peur de se rendre compte que Rogue avait raison quelque part. Il était comme en état de choc, la voix et les agissements de Rogue n'étaient pas intimidants parce qu'ils étaient colériques mais au contraire parce qu'ils étaient calmes et d'une froideur extrême, de quoi glacer le sang de n'importe qui. Finalement il se ressaisit, puis partit vers la tour des Gryffondors, essayant de masquer au maximum les effets indésirables que le discours de Rogue avait eu sur lui. Arrivé devant le tableau de la Grosse Dame, il ne lui laissa même pas le temps d'ouvrir la bouche.

- Bézoard.

Bien que vexée de n'avoir pu ne serait-ce que commencer à parler, elle le laissa passer. Une fois dans la salle commune, il constata avec soulagement que celle-ci était vide. Il avait besoin d'un peu de calme et de se vider la tête. Il ferma donc les yeux, essayant de penser au week-end à Pré-au-lard qui était prévu, à ce que cette nouvelle année scolaire lui réserverait d'autre, il en vint même à penser à Voldemort pour se sortir cette satanée conversation avec son professeur de la tête, mais il n'y arrivait pas. Toujours cette voix, ces mots, ce visage lui revenaient en tête et ça le rendait fou. Malgré tous ses efforts à se sortir cela de l'esprit, rien n'y faisait. La seule chose qui parvint à le sortir de ses pensées fut l'arrivée de Ron et Hermione dans la pièce.

- Harry ! On t'a cherché partout ! Où est-ce que tu étais passé ? On pensait que tu viendrais nous rejoindre après la retenue que Rogue t'avait donnée, on commençait à s'inquiéter. Harry ?

Le porteur du nom leva la tête à l'appel de son amie. Il se leva pour faire face aux deux autres Gryffondor sans vraiment leur prêter une grande attention.

- Désolé Hermione. J'étais dans mes pensés.
- Merlin, mais qu'est-ce que ce psychopathe t'a fait ?
- Oh rien de bien méchant Ron, c'est le premier jour donc je pense que s'il commençait déjà avec les retenue du soir, Dumbledore se poserait quelques questions et il pourrait avoir des problèmes.

Un silence s'installa durant quelques secondes entre les trois Gryffondors avant que Harry ne reprenne la parole.

- Est-ce que je suis égoïste ?
- Quoi ?
- Capricieux ? Est-ce que je m'occupe tellement de moi même que j'en oublie les autres ?
- Je ne dirais pas ça comme ça mais...
- Ron ! Et bien, disons que, bon. C'est compréhensible tout ça, après tout tu es le Survivant et tu dois en finir avec Tu-sais-qui donc tu ne peux pas nous consacrer autant d'attention que tu voudrais.
- Quoi ? Mais ce n'est pas vrai ! Je vous offre toute mon attention et le temps libre que j'ai, vous ne pouvez pas dire ça !

Les deux autres Gryffondors restèrent interdits devant un Harry qui commençait visiblement à se mettre en colère. Celui-ci partit dans le dortoir des garçons sans ajouter un mot.

- Bien joué Ron !
- Mais qu'est-ce que j'ai dit ?

De son côté, Harry claqua la porte puis se jeta sur son lit. Comment pouvaient-ils dire qu'il ne leur donnait pas toute l'attention qu'il faudrait ? Et puis quoi encore ? Il passait le plus clair de son temps avec eux, ça devrait leur suffire ! Après tout ce n'était pas de sa faute si tout lui tombait dessus et qu'il devait parfois penser à d'autres choses. Ce n'était pas sa faute s'il avait oublié l'anniversaire de Hermione, juste une fois. Ça lui était juste sorti de la tête, il avait d'autres choses auxquelles penser. Ce n'était pas sa faute non plus s'il n'avait pas vu l'amour que lui portait Ginny depuis ces cinq dernières années, alors que tout le monde était au courant. Si on ne lui disait pas concrètement il ne pouvait pas deviner ! Bon elle avait fini par trouver quelqu'un d'autre c'était déjà ça. Et puis ce n'était pas non plus sa faute s'il lui avait fallu un mois pour se rendre compte que Ron et Hermione étaient en couple... Si ?

- Oh bon dieu non...

Harry passa ses mains sur son visage. Rogue, oui, Severus Rogue avait raison sur son cas. Ce n'était pas possible, il ne pouvait ou plutôt, il ne voulait pas y croire. Comment cette créature des cachots pouvait savoir tant de choses sur lui, que lui-même ne savait pas ? Quelle horreur de découvrir les erreurs qu'on était en train de faire beaucoup trop tard... Au moins peut-être que cela pouvait lui permettre de ne plus en commettre ou un peu moins. Mais pour rien au monde il n'avouerait que cette "prise de conscience" venait de son Maître de Potions bien aimé... Ça jamais.


Voilà, le début de ce petit essai Harry Potter :)! Donnez-moi vos avis et peut-être quelques petites idées. Sur ce, je vais pioncer, je suis crevé, j'ai hâte de voir vos avis, j'en ai bien besoin en bien ou en mal.
Une review siouplait, pour un malade agonisant dans son lit x').