*MD25 – EPILOGUE*

Je ne pouvais pas rester assis tranquille. Je faisais les cents pas, trébuchant sur le Monstre de temps en temps parce qu'il me suivait comme une ombre, tentant tous les deux de contenir notre excitation.

Nous avions organisé ça durant les dernières semaines et finalement, le moment était arrivé. Et ça avait nécessité de se donner du mal – en fait, surtout pour trouver des mensonges crédibles, plus précisément. Pas tellement de ma part, car j'avais opté de ne pas me joindre à ma famille lors de leur long week-end dans la grande ville. Mais Alice avait aidé à concocter une histoire pour que Charlie autorise Bella à passer les trois prochains jours avec moi, dans une merveilleuse solitude, chez moi. Ce serait le feu d'artifice, le point culminant, de tout mon été.

Pas que cet été n'avait pas été autre chose que merveilleux, enfin, avec seulement une gênante mais tolérable exception. Bella s'était sentie obligée de prendre un job à temps partiel ; elle travaillait au magasin des Newton, essayant de mettre de l'argent de coté pour l'université. Je n'aimais pas vraiment le fait qu'elle passe du temps en compagnie de Newton.

A chaque fois que je m'y arrêtais, ce qui était plutôt fréquent, je le trouvais à rêver à la lune auprès d'elle. Et ça me faisait toujours rigoler de voir l'air ennuyé qu'affichait Bella lorsqu'il gravitait dans son sillage. Il était sans danger, de toute façon.

La seule réelle menace, je m'en étais occupé. James était parti, il avait été au moins suffisamment intelligent, semble-t-il, pour prendre au sérieux mes mises en garde. Il n'était jamais revenu pour les trois derniers jours d'école et j'entendis peu de temps après qu'il avait déménagé pour retourner dans le quelconque trou d'où il avait rampé à l'origine.

Je ne pouvais qu'espérer que la leçon que je lui avais apprise avait fait impression sur lui à plus d'un titre et que les filles de sa nouvelle école seraient épargnées de ses attentions néfastes.

Mis à part le job de Bella, mon plus grand espoir était toujours qu'elle n'ait plus besoin de se faire de l'argent pour aller à l'université, et, qu'avant que nous partions, elle accepte de m'épouser et que je puisse ainsi la doter de tout ce que je possédais. J'avais été assez brave pour soulever le sujet subtilement une fois ou deux cet été et j'espérais avoir fait des progrès. Elle savait que j'accepterai n'importe quel type de cérémonie : grande ou petite, luxueuse ou simple, de façon à ce que nous soyons ensemble tout le temps. Il était certainement dans mes intentions que nous vivions ensemble à l'université, de toute manière, mais je désirais plus encore qu'auparavant, que notre arrangement soit permanent.

Tant que nous étions ensemble, cela ne me dérangeait pas particulièrement l'endroit où nous irions étudier. Nous avions passé du temps à discuter de ce sujet dernièrement, mais pour autant que je sache, les seuls critères étaient que nous soyons acceptés tous les deux et que nous ne soyons pas obligés de vivre sur le campus durant la première année. Nous avions commencé à faire une liste d'universités où nous pourrions proposer notre candidature, plus remarquables pour leur diversité que pour quoi que ce soit d'autre. Bien que ça ne soit que dans une année complète de là, je ne pouvais pas m'empêcher de me concentrer sur ce but, de plus en plus. Passer autant de temps ensemble cet été avait seulement alimenté plus encore mon appétit d'être constamment en sa compagnie.

Donc, à part durant les demi-journées que Bella passait à travailler, nous profitions d'un été lascif et bien agréable. Nous avions organisé plusieurs pique-niques dans la clairière, faisant bon usage de l'inspiration produite par cette couverture à carreaux ces fois-ci. Nous faisions de longues promenades dans les bois, discutant de nos journées et de notre futur et, au lieu d'inséminer le tronc des arbres, j'inséminais Bella debout contre un arbre... ou vingt.

Les soirées pyjamas « avec Alice » étaient devenues choses communes, nous autorisant de nombreuses nuits de plaisir et tout autant de longues douches, tant que nous n'avions pas de commentaires. Mais tout cela allait être bien pâle en comparaison de ce week-end, entre tous les autres. Je me frottai les mains joyeusement et ricanai en voyant le Monstre faire la même chose.

La sonnette de l'entrée retentit et je sursautai de surprise. Je pris une grande inspiration pour me calmer et je m'avançai vers la porte, puis l'ouvris lentement. Je voulais vraiment profiter de ma première impression. Un seul regard et je crus que ma bite allait me cogner le visage.

Vêtue d'un costume que je lui avais choisi tout spécialement, Bella se tenait sur le porche de l'entrée. Elle avait l'air tellement adorablement désirable, putain, que j'avais du mal à ingurgiter l'air soudainement surchauffé qui entrait dans mes poumons. Lentement, je scannai sa silhouette de haut en bas, en absorbant chaque détail.

Elle portait une chemise à boutons étriquée qui moulait ses courbes fabuleuses. Je pouvais deviner les contours de dentelle de son soutien-gorge blanc push-up en dessous. Et même si Bella n'avait pas besoin d'une telle mise en valeur, j'avais décidé pour elle d'un look innocemment un peu salope sur les bords. Naturellement, elle avait mis une mini-jupe plissée rouge, façon kilt, avec probablement la culotte en dentelle blanche assortie à son soutien-gorge en dessous, et si je n'avais pas été déjà aussi dur qu'une enclume, cette jupette à elle seule aurait largement suffi à faire le boulot. Pour finir, sa tenue se complétait de chaussettes blanches qui arrivaient au dessus des genoux et d'une paire de souliers noirs à talons modestes avec une boucle au-dessus du pied. Très sage, en effet.

Le Monstre, comme toujours, tendait le cou pour parvenir à regarder sous sa jupe.

Bella jouait son rôle à la perfection, ayant séparé ses cheveux en deux longues tresses, une attention qui me faisait vraiment plaisir. Entre ses mains, il y avait un classeur et un livre de maths. Elle m'adressa un sourire hésitant avant de se plonger dans son rôle.

« Bonjour Edward, merci d'avoir accepté de m'aider à faire mes devoirs de maths. J'apprécie vraiment beaucoup, sachant quel point tu es occupé, » dit-elle timidement.

Je retins un ricanement.

« Entre Bella, j'espère que tu vas t'appliquer pour améliorer tes notes en maths. Je n'aimerai pas avoir à penser que je perds mon temps avec toi, » répondis-je fermement.

« Oh, je suis très sérieuse, Edward. Et tellement reconnaissante. Je ne comprends juste pas pourquoi j'ai autant de mal à y arriver, » ajouta-t-elle, arborant un air un peu idiot absolument exquis sur le visage.

« Bon, alors allons nous installer au salon. On peut s'asseoir l'un à côté de l'autre sur ce canapé et tu peux poser tes livres sur cette table basse. »

Je m'ajustai discrètement avant de conduire Bella dans la pièce, je m'assis sur le canapé et tapotai la place à côté de moi.

« Assieds-toi là, Bella ! »

Elle s'installa à mes côtés et, de cet angle, j'avais une bien meilleure vue sur les effets merveilleux que ce type de soutien-gorge apportaient à ses seins déjà spectaculaires. Je me léchai les lèvres avant de faire remonter mon regard sur son visage.

Le Monstre s'assit en face d'elle sur la table basse, faisait toujours tout son possible pour avoir une vue des plus directes sur le jackpot.

« Maintenant, Bella, pourquoi est-ce que tu ne me montrerais pas les exercices avec lesquels tu rencontres des soucis ? » Suggérai-je.

« Ok, j'ai marqué la page. »

Elle plaça le livre sur ses genoux et l'ouvrit à une page remplie de problèmes de maths et me les montra. Je posai ma main sur sa cuisse tandis que je jetai un coup d'œil à la page.

Je lui expliquai brièvement le premier problème et lui donnai les instructions afin qu'elle le résolve. Elle travailla avec assiduité pendant une minute avant de me tendre sa réponse.

« Tss tss tss, Bella, j'ai bien peur que ce soit faux. Es-tu bien sûre d'avoir fait attention à ce que je t'ai dit ? » M'enquis-je avec condescendance.

Elle acquiesça de la tête énergiquement, ajoutant :

« Je suis désolée Edward, j'ai essayé. »

« Bien, alors je pense que peut-être tu as besoin d'un peu de motivation pour faire mieux, » conclus-je. « Essaye encore, et je dois t'avertir que, selon moi, l'apprentissage est facilité s'il y a des conséquences directes aux erreurs. Peut-être que tu apprendrais plus vite si nous instillions une notion de… discipline dans le processus. »

Ses yeux s'agrandirent de manière appropriée, et elle se remit au travail, mâchouillant le bout de son crayon en montrant la plus haute concentration. Après quelques instants, elle me tendit triomphalement son papier.

Je regardai la réponse fausse, à l'évidence, pendant un court instant avant de lui jeter un regard impliquant que je ne voulais pas la punir, mais que ça s'avérait nécessaire pour son propre bien.

« Bella, je suis très déçu. Je pense que pour que ça en vaille la peine, il va falloir que tu me démontres que tu veux réellement t'engager pour t'améliorer. A côté de ça, il faut que tu comprennes que... accentuer le processus d'apprentissage grâce à certains... renforts physiques, peut être des plus profitables. »

« Oh ! Ok, Edward, » répondit-elle avec une expression de confusion stupide.

Putain, elle était tellement mignonne...

Ma main se posa derrière sa nuque pour la faire se tenir tranquille pendant que je m'appliquai à lui faire subir un lent et minutieux baiser. Ma langue envahit sa bouche, pendant que ma main libre se baladait le long de son corps, s'arrêtant pour empaumer son sein, le presser brutalement et malaxer sa chair appétissante. Après une minute, je m'écartai, haletant, tandis que les yeux de Bella restaient clos encore un instant.

« A partir de maintenant, je prendrai la liberté d'augmenter mes mesures éducatives, de façon plus approfondies, jusqu'à ce que je constate que tu commences vraiment à bien comprendre les choses. Continue avec le problème suivant. »

« Ok, » soupira Bella, récupérant son stylo et une nouvelle feuille et passant très peu de temps à faire ses calculs.

Je secouai la tête en inspectant sa tentative ridicule à essayer de résoudre ce nouvel exercice. Affectant un air triste, je persistai dans notre petit jeu.

« Bella, c'est vraiment pitoyable. J'ai bien peur d'être obligé de tenter de plus te motiver. »

Je l'embrassai à nouveau, plus agressivement cette fois-ci, pendant que ma main droite défaisait un de ses boutons, glissant ensuite dans le bonnet de son soutien-gorge pour aller caresser sa peau nue, pinçant et roulant son téton jusqu'à ce qu'elle gémisse dans ma bouche. Bella restait passive, évaluant correctement mon humeur, sentant mon désir de profiter d'elle.

Notre jeu continua, Bella tentant de formuler des réponses sans y mettre tout son cœur, tandis que je l'informai de ses erreurs avec une joie à peine dissimulée avant de lui administrer des... instructions complémentaires.

Avec l'erreur suivante, je déboutonnai complètement son chemisier et plantai mon visage dans sa superbe poitrine, malaxant ses deux seins à la fois, de mes mains pendant que je me délectais de sa chair tendre. Elle me donna une réponse correcte après ça, juste pour me taquiner, je présume, mais je louai sincèrement ses efforts, en dardant un regard triste sur ses seins.

Puis, avec sa prochaine mauvaise réponse, je repoussai de côté les bonnets de son soutien-gorge et suçai un téton alors que mes doigts tourmentaient l'autre, jusqu'à ce que la tête de Bella bascule en arrière et que ses gémissements deviennent continus.

De temps en temps, elle me posait une question, improvisant le script, il semblerait.

« Est-ce que tu es sûr que ça m'aidera à comprendre, Edward ? »

« Oh, c'est une technique éprouvée, » lui assurai-je avec conviction. « Des... stimulations accrues... aident définitivement le processus d'apprentissage. »

« Ok, » agréa-t-elle dans son inconsciente fausse ignorance, tandis que j'attendais impatiemment sa prochaine mauvaise réponse.

Lorsque celle-ci fit son apparition, je soupirai dramatiquement et dis à Bella :

« J'ai bien peur de que des efforts plus concertés de ma part soient requis. »

Je l'embrassai brutalement et glissai lentement ma main sous sa jupe et dans sa culotte, laquelle, je le notai avec délice, était trempée de ses jus. Le jeu allait devoir progresser rapidement à présent, car j'avais désespérément besoin de me retrouver en elle.

Le Monstre feuilletait le livre de maths, recherchant des problèmes bien plus difficiles à résoudre.

Pendant ce temps-là, désespéré de trouver ma libération, mes doigts manipulaient la chair chaude et humide de Bella alors que je plantais des baisers sur son cou et ses seins. Elle geignait à présent, se soulevant pour accroître la pression contre moi. J'avais moi-même besoin de quelques frottements et m'interrompis afin qu'elle puisse résoudre un exercice supplémentaire, le dernier. Bella me regardait avec des yeux presque vitreux et les paupières lourdes et je voulus presque jeter l'éponge à cet instant, mais je décidai que ça serait sans doute plus drôle de terminer notre petit jeu.

« Encore un essai, » insistai-je désignant un autre problème. « Je suis certain que tu y répondras correctement cette fois-ci. »

Elle attrapa le stylo qui était tombé sur le côté du canapé et détailla le livre.

« Edward, beaucoup de mes amis ont des tuteurs, et ils ne m'ont jamais parlé de... quelque chose dans ce genre-là. »

« Et bien, je veux bien admettre que ma... technique peut sembler... pas très orthodoxe, mais je fais vraiment un grand sacrifice personnel pour t'aider à faire tes devoirs. Tu sais, je pense que ça serait bien de ta part d'être au moins un peu reconnaissante de mon investissement et que tu coopères en appliquant ma méthode, » répondis-je sévèrement.

« Oh oui, bien sûr Edward. Tu es tellement intelligent, je suis sûre que tu sais parfaitement ce qui est le mieux, » acquiesça-t-elle rapidement avec un air des plus adorablement idiot.

J'ignorai le regard diaboliquement concupiscent du Monstre, qui attendait le moment où cette leçon parviendrait à sa conclusion. Je faillis presque rire aux éclats devant les efforts réellement pathétiques de Bella pour apporter une réponse au problème, mais me retins. Au lieu de ça, j'émis un soupir exaspéré.

« J'ai bien peur qu'il soit nécessaire d'instiller des informations en toi avec... un peu plus de force. Et ceci pour ton propre bien, Bella. S'il te plait, lève-toi ! »

Elle avait l'air terriblement et délicieusement séduisant, à jouer nerveusement avec une de ses tresses, affichant un comportement honteux et contrit.

Je l'accompagnai à l'arrière du canapé et lui ordonnait énergiquement :

« Maintenant penche-toi en avant ! »

Elle se contenta de me regarder, les yeux grands ouverts et apeurés. Je fronçais les sourcils, revêtant une expression très autoritaire, incitant Bella à se pencher par dessus le dossier du canapé et à arquer son dos de manière invitante. Elle s'accrocha au haut du sofa pour se maintenir.

Impatiemment, je fis remonter sa jupe et descendre sa culotte seulement aussi loin que nécessaire pour avoir accès aux parties les plus tentantes de son anatomie. Qu'est-ce que j'aimais voir ses petites culottes de dentelle blanche roulées autour de ses cuisses, exposant son cul parfait. Je balançai mon t-shirt par dessus ma tête et défis rapidement ma ceinture et ma fermeture Eclair, repoussant jeans et boxers juste assez bas pour que le boulot soit fait. Je n'avais aucune idée de pourquoi, à cet instant précis, cela semblait si érotique de mettre juste ce qu'il fallait de vêtements de côté, mais cela ajoutait quelque chose de vicieux à ma libido.

Mes mains se mirent à peloter ses courbes de chair, avant que l'une d'elle passe à l'avant, continuant à taquiner et manipuler ses plis si doux. Constatant qu'il n'y avait pas de question à se poser à propos du fait qu'elle était prête pour moi, j'alignai mon corps avec le sien et la pénétrai brutalement avant de me mettre à la fourrer délibérément lentement. Putain de merde... je suis au paradis.

Je plongeai profondément en elle, maintenant un rythme constant, tourmentant sa chair sensible, mes désirs en conflits tandis que je cherchai à accroitre la tension et aussi à prolonger le scénario que j'avais imaginé il y a déjà longtemps. Je m'astreignais à produire un maximum de stimulation, ressortant d'elle aussi loin que possible avant d'immerger ma queue totalement en elle à nouveau.

A chaque fois que j'entrai en elle, j'admirai la vision exquise de ma bite disparaissant dans sa chair chaude et humide. Mes grognements et mes exclamations incohérentes de plaisir étaient de plus en plus forts et féroces.

J'augmentai la vitesse de mes coups de reins et de mes doigts. Ses parois étroites m'agrippaient, me massaient à chaque coup porté. Que Dieu me pardonne, mais je me complaisais dans son impuissance à me résister, mon regard se repaissait de voir son cul exposé ainsi, encadré de cette jupe plissée rouge d'un coté et de sa petite culotte sexy de l'autre. Ses tresses se balançaient d'avant en arrière au rythme de mes intromissions en elle et j'étais encouragé par les gémissements induits par l'action de mes doigts. Je souhaitai pouvoir admirer la façon dont ses seins devaient être en train de tressauter de manière obscène et je pris mentalement note de prévoir d'installer un miroir lors de nos futures « rencontres » similaires.

Ce jeu avait porté mes prédispositions à leur plus haut degré, et, de me précipiter en elle si profondément, de m'enfouir en elle si complètement, ne me facilitait pas la tâche pour me retenir. Heureusement, je pouvais également ressentir que Bella aussi allait atteindre la plénitude. Elle produisait des sons inhumains et gémissait sans interruption, tout en proférant des expressions telles que « Oh mon Dieu » ou encore « Putain, Edward » ou d'autres encore tout aussi hautement valorisant pour moi, presque suffisant pour me faire basculer dans l'orgasme.

Lorsque je ressentis ses muscles se resserrer autour de moi, je jouis avec une violence que je n'avais jamais imaginée possible, continuant de faire jaillir ma libération en elle, tandis que mes mains agrippées à ses hanches maintenaient le contact jusqu'à ce que la dernière goutte soit versée.

Je m'effondrai sur Bella, tentant de ne pas lui faire subir tout mon poids et pressai brièvement un sein, juste pour faire bonne mesure, étant donné son manque d'accessibilité un peu plus tôt. Elle tressaillit, comme moi et je la relâchai pour pouvoir atteindre les mouchoirs en papier que j'avais placés au bout du canapé lorsque j'avais fait mes préparations pour cette scène, ayant étrangement visualisé exactement ce scénario.

Le Monstre, n'ayant apparemment pas compris que le jeu avait atteint son but, se remit à feuilleter les pages du livre de maths.

Nous fîmes un rapide et provisoire nettoyage, et Bella se retourna vers moi, enroulant ses bras autour de mon cou et me regarda avec un air taquin.

« Edward, je pense que ça a aidé. Je me sens déjà bien plus intelligente, » plaisanta-t-elle, toute trace de l'écolière crétine à présent envolé. Elle m'embrassa avant de se rendre à la salle de bain.

Oui, c'était un début de week-end fantastique, mais seulement un début. Après avoir ajusté mes vêtements, je m'assis. Le Monstre me tendit cette liste et j'y cochai vigoureusement une occurrence de plus.

Voyons voir, qu'est-ce qu'on pourrait bien essayer la prochaine fois ? Pourrait-ce être la guêpière bleue ? Ou alors les cordes de velours et le bandeau sur les yeux ? Cela n'avait pas vraiment d'importance. De toute manière, nous allions tout essayer en fin de compte. Après tout, la liste était très, très longue ; suffisamment longue pour durer toute la vie.