Hello tout le monde, voici donc le chapitre 4, veuillez m'xcusez des fautes syntaxiques ou orthographiques mais n'ayant pas de nouvelle de ma béta, je vous ai posté le chapitre sans relecture de sa part. Je vous promets de le remplacer des qu'il est corrigé et que j'ai le temps.

Amusez-vous bien à le lire.

Egalement un grand merci pour vos reviews, elle me font chaud au coeur de voir que ma fic est appréciée.

En ce qui concerne les diverses questions posées, certaines connaîtront des réponses dans le chapitres 5.


Chapitre 3: Souvenirs...

Il eut le temps d'entendre le petit cri de sa tante et le rire de son oncle avant que le policier n'accepte avec grand enthousiasme… Et qu'il fut chassé de la maison par sa tante qui ne voulait plus le voir avant que tous les habitants du quartier ne soient venus lui souhaiter la bienvenue...

La dernière chose qu'il remarqua avant de fermer la porte fut la… chose que tenait le chef de police… Etait-ce même mangeable ?

Ariel regarda la porte fermée derrière lui, visiblement, sa tante et son oncle n'avaient pas besoin de son aide pour ranger les affaires. Qu'allait-il faire ? Haussant les épaule, il fit demi-tour et s'apprêta à descendre les quelques marches quand la portes s'entrouvrit de nouveau et que son oncle lui lança quelques chose qu'il rattrapa par réflexe. Et la porte se referma après une réplique hautement amusée

-Tu risques d'en avoir besoin. Je pense qu'elle était sérieuse en te disant de ne pas revenir avant le souper.

Ariel examina le paquet mou et informe que son oncle lui avait envoyé avant de gémir devant sa signification. Un k-way. Et qui dit k-way dit pluie. Il détestait la pluie par-dessus-tout.

Elle était froide et s'infiltrait partout, les gouttes d'eau prenaient un malin plaisir à s'enfouir sous les vêtements pour glisser le long du cou et descendre le long de la colonne vertébrale, donnant des frissons à son porteur.

Et puis, après, quand les vêtements trempés collaient à la peau, grattaient et irritaient tout ce qu'ils touchaient. La sensation de froid alors se démultipliait et, à tous les coups, donnait un rhume.

Il grogna tout en regardant le ciel. Celui-ci, gris et bas, indiquait très clairement que le temps n'allait pas rester sec, il avait intérêt à se trouver rapidement un café pour s'abriter.

Ariel se dépêcha donc le long de la route, espérant découvrir dans cette ville presque vide un refuge qui ferait son bonheur tout en songeant à la future vengeance de sa tante.

Il savait qu'elle se vengerait, elle le faisait toujours, et elle était une sadique cachée… Il sa rappela un évènement bien particulier...

Ce jour là, il était dans la cuisine, Poudlard avait déjà fermés ses portes et était un peu en avance sur l'école moldue de son cousin qui devrait y retourner pour ses résultats une semaine plus tard.

Il se rappelait très nettement la sonnerie stridente du téléphone et des bruits de pas précipités de sa tante.

Ensuite, sa tante avait vite déchanté. C'était une amie qui téléphonait car elle avait cru voir Duldley à la librairie en face de chez elle, celle-ci était presque sur de l'avoir vu dérober un magasine pornographique… Aussitôt, Pétunia s'était écriée :

-Duddy, mon petit Duldley, mais non, Charlotte, il est évident que tu as du confondre, mon petit garçon est actuellement à la maison, il prend son bain… Mais oui, je comprends, après tout, on n'est jamais sur avec tout ces voyous, mais je te rassure… Oui, bien sur… »

Après avoir raccroché le téléphone, sa tante n'avait pas dit un mot, pas bougé pendant une minute, puis, s'était précipitée dans la chambre de Duldley, Harry se douta bien qu'elle découvrit la cachette secrète de son cousin, cachette qui contenait bien plus que quelque magasines volés… Des sous vêtement féminins, des jouets sexuels et des tiquets pour des boîtes de strip tease complétaient sa collection. Mais sa tante n'avait rien dit, elle s'était tue, à sa grande surprise.

Au début, Harry avait cru qu'elle s'était dégonflée, où qu'elle préférait fermer les yeux, il s'était imaginé qu'elle avait chercher des excuses à son cousin: ça devait provenir d'un ami, le pauvre petit ne savait même pas que c'était là ou ce que c'était,... il s'était même attendu à être tenu pour responsable, mais rien n'était venu.

Dudley ignorait même que sa mère puisse soupçonner sa petite incartade.

Enfin, ça, s'était jusqu'à la remise des résultats, Pétunia les avait emmené tous les deux à l'école privée, un grand sourire sur son visage… Et là, l'horreur avait commencé.

Les bulletins avaient été remis avec plus ou moins de satisfaction et les familles s'appétaient à partir quand le directeur annonça l'arrivée de Pétunia Dursley sur l'estrade. Surpris, tout le monde s'était rassis et avait attendu son discours.

Pétunia avait alors parlé du sexe, brut, cru, elle avait dénoncé les tentations omniprésentes dans la société d'aujourd'hui et avait continué en disant que c'était de leur devoir de s'occuper de cette dégradation des bonnes mœurs.

Pétunia avait aussi abordé pour les adolescents la bonne conduite à tenir avec son partenaire et les MST. Elle avait pris plaisir en détaillant le rôle des femmes ou hommes-dont elle parlait en tant qu'objet- dans les magasines pornographiques.

Et elle avait terminé en insistant que dorénavant, des cours d'éducation sexuel seraient ajoutés au programme.

Le plus humiliant pour Duldley n'avait pas été l'objet du discours en lui-même, ou même les remarques de ses camarades, le pire avait été d'être pris en exemple modèle à chacun des arguments de sa mère.

Après cet épisode, Dudley n'avait plus jamais osé ouvrir un magasine autre que celui des jeux vidéos, de peur que sa mère ne s'en aperçoive et ne prenne des mesures radicales…

Ariel fut sortit de ses pensées par une sensation de froid le long de son visage et il grogna. La pluie.

Motivé à l'idée d'arriver au chaud, il se mit à courir afin de trouver un café, un magasin ouvert, n'importe quoi où il pourrait être à l'abri.

Malheureusement pour lui, quand il trouva l'objet tant recherché, la fine pluie du début avait fait place à une mini tempête et il était trempé des pieds à la tête.

C'est avec soulagement que le garçon s'assit sur la banquette et mis un cetain temps avant de s'apercevoir qu'une personne l'avait suivi en souriant. Ce n'est qu'en sentant la main sur son épaule qu'il revint au présent.


De l'autre côté de l'Altlantique, en grand secret, un homme jubilait, pour un peu, il en aurait dansé. Mais il se retenait, il ne fallait pas attirer les soupçons. Il observa l'oiseau qui s'était posé sur son perchoir avec les yeux brillant, oui… Maintenant, tout irait bien, il n'y aurait plus de problème, peu importe qui l'espionnait, il ne s'en souciait pas, Harry allait bien aller.

Il avait pris son destin en main et jamais il ne verrait ses yeux souillés par l'horreur du meurtre. Il se rappelait encore Harry quand il avait onze ans, tout innocent et tellement chétif, il lui arrivait à peine en haut des cuisses. Et déjà à cet âge là, il n'avait peur de rien, comme lorsqu'il s'était penché au dessus du wagonnet pour observé les stalagmites…

Un éclat de rire lui échappa et il décida de fêter dignement la liberté de ce petit gars.

Rapidement, Hagrid prit sa veste en peau de castors et, sans se soucier de la personne qui le suivait, partit au trois balais fêter cet événement… Tout en laissant la chouette blanche se reposer dans sa cabane.


Voila, c'est fini, jechange le chapitre dès qu'il est corrigé, gros bisous à tous.