Chapitre 24 : Discussions et intimité.

Info chapitre :

Tout d'abord, et c'est important, j'ai une nouvelle Bêta, donc la fic' est en cour de correction et sera remise à jours au fur et à mesure.

Je remercie Marine ( alias Etrelley ), ma correctrice qui s'est proposée pour me corriger et partager ses idées afin d'améliorer cette histoire.

Puis un grand merci à tous ceux qui me lisent et qui m'encouragent à continuer en me laissant leurs idées et leurs impressions, c'est important pour moi de savoir qu'il y a des personnes qui me lisent et apprécient.

Il y a une question à laquelle je veux répondre, cette fic est bel est bien écrite, sur du papier et il me reste donc à la taper et cela prend en effet un peu de temps, elle contient 30 chapitres et un épilogue, donc pas d'inquiétudes, elle a une fin qui je l'espère vous plairas.

Ce chapitre est un lemon donc vous savez ce que cela signifie, j'espère qu'il vous plaira, il n'est pas long, mais il me semble important ( N-Bêta : Nan, vraiment pas long… juste tout le chapitre, donc à peu près 7 pages… Nous n'avons pas les mêmes valeurs ! ).

Hermione leva les yeux vers le reflet que lui envoyait le miroir.

Un sourire joyeux étira ses lèvres, elle avait relevé ses cheveux en un chignon lâche retenu par sa baguette, des mèches folles un peu humides encadraient son visage, sa bouche naturellement rouge faisait ressortir sa peau blanche. Mais ce que la jeune femme adorait en ce moment c'était ses yeux, l'appréhension leur donnait une brillance particulière.

Pourtant, elle avait pu se détendre un peu en prenant un bain qu'elle avait parfumé à la vanille, elle avait pris son temps, laissant l'eau chaude détendre ses muscles un par un, elle s'était décidée à sortir quand elle avait senti qu'elle allait s'endormir.

Elle s'était séchée tranquillement, avant de s'enduire d'une huile au parfum de monoï, elle adorait cette odeur qui lui rappelait ses vacances avec ses parents, la mer et le sable.

Elle avait ensuite enfilé une nuisette noire, cadeau de Lily pour noël.

Elle était fin prête pour aller se coucher, la seule chose qui la retenait de rejoindre sa chambre était que celle-ci avait retrouvé son ancien occupant.

Cela faisait presque deux ans qu'ils ne s'étaient pas vus, et son corps ainsi que son esprit avaient changés, elle avait peur de le décevoir.

« Courage ma fille » fit-elle à haute voix.

Elle inspira un grand coup, et ouvrit la porte, la maison était très calme, tout le monde devait déjà dormir.

La salle de bain qu'elle avait choisie était juste en face de la chambre de Sirius, chambre qui avait été à elle tout l'été.

Hermione eu un sourire, elle se sentait ridicule à hésiter ainsi, comme quand elle avait 16 ans.

Son hésitation se mua en panique, elle allait faire demi-tour et rejoindre Ginny dans sa chambre lorsque la porte s'ouvrit devant elle.

- Hermione ? fit Sirius, un peu surpris.

La jeune femme sentit le rouge lui monter aux joues, elle ne savait pas vraiment comment réagir, l'homme regarda la jeune femme et sentit le désir brulant de la toucher devant l'image qu'elle renvoyait.

- Entre, lui dit-il d'une voix douce.

Hermione releva la tête, et entra silencieusement, avant de s'assoir sur le rebord du lit.

- Tu voulais me parler ? lui demanda Sirius.

Hermione secoua la tête négativement sans oser croiser le regard de l'homme qu'elle aimait. ( N-Bêta : précision pour une faute faite dans beaucoup de texte : 'hocher la tête' = oui, 'secouer la tête' = non ) donc « hocher la tête négativement » ne veut rien dire )

Attendrit par la timidité soudaine de la rouge et or, l'ancien maraudeur se mit à genoux devant elle, et lui releva le menton avec douceur.

- Tu veux passer la nuit ici ? demanda-t-il en fixant son regard dans le sien.

- C'est ma chambre, murmura-t-elle.

- Peut-être, mais c'était la mienne bien avant, répondit-il avec amusement.

- Mais tu es parti, fit-elle en le regardant droit dans les yeux, et c'est devenu ma chambre.

Sirius s'approcha de la jeune femme et lui murmura a l'oreille.

- Et si elle devenait la nôtre ?

- La nôtre ? répéta la jeune femme sans comprendre.

Sirius eu un léger sourire, Hermione avait beau être la femme la plus brillante qu'il connaissait, lorsqu'il s'agissait de relation, elle était un peu lente à comprendre.

- Oui, lui répondît-il, tu vas devenir ma femme et la mère de mes enfants, je veux que cette chambre devienne celle où l'on se rejoindra le soir, où l'on fera l'amour, où l'on se retrouvera.

La jeune femme pencha la tête sur le côté, et sourit, elle caressa le visage de l'homme et murmura.

- Oui, je veux bien.

Puis elle l'embrassa, mélangeant la saveur de sa bouche à la sienne, elle aima le goût, un savant mélange de sucrée-salée, Sirius se laissa faire, appréciant lui aussi l'odeur et le goût de la jeune femme, un mélange de vanille et de miel qui l'électrisait autant que la candeur de la jeune femme.

Ils s'écartèrent à bout de souffle.

- Tu es si belle… murmura-t-il d'une voix rauque.

La jeune femme eu un sourire attendri.

- Tu n'es pas mal non plus.

- Mais je suis plus vieux que toi, répondit-il plus sombre.

Il s'écarta d'elle et se dirigea vers la fenêtre.

Hermione remarqua à ce moment-là qu'il était torse-nu avec seulement un bas de pyjama. Elle détailla chaque partie de lui qu'elle pouvait admirer, son regard glissant sur son visage et son corps.

Il était vraiment beau, pas seulement à ses yeux, non, il était grand, ses cheveux coupés court étaient bruns, et si son visage accusait les années qui les séparaient, cela ne faisait que rajouter à son charme.

Elle se leva et confronta son regard au sien, elle lui caressa la joue qu'une barbe de deux jours assombrissait, le rendant plus séduisant encore.

- Tu es un idiot Sirius Black, fit-elle avec un sourire.

- Un idiot, hein ? répéta-t-il, faussement vexé.

- Oui, mais tu es l'idiot que j'aime, répondit-elle, mutine.

- Mais vingt ans nous séparent, tu imagines ce qui va se dire ? dit-il d'une voix froide.

La jeune femme s'écarta de lui et fronça les sourcils.

- Oui, et alors ? fit-elle d'un ton dur, depuis quand est-ce un problème ?

- Je ne sais pas, j'ai peur, c'est tout.

- Peur de quoi ? lui demanda-t-elle

Sirius haussa les épaules, il ne savait comment dire à la jeune femme qu'il craignait de la perdre dans cette guerre, mais pire que tout, qu'elle se réveille un jour et qu'elle se rende compte de qui il était… un homme qui avait passé douze ans dans une prison et qui en était hanté.

La jeune femme devina ce qu'il lui cachait.

- J'ai aussi peur que toi de te perdre à nouveau, n'oublie pas que je suis la meilleure amie de Harry Potter, Voldemort le sait Sirius, j'ai conscience qu'il va essayer d'atteindre celui que je considère comme mon frère à travers moi.

Elle reprit son souffle, se plaça devant lui et fit d'une voix douce

- Quant à ta seconde peur, celle où tu penses qu'un jour je vais me réveiller pour vouloir un jeune, eh bien sache que je peux en dire autant de toi, Sirius, j'ai moi aussi peur qu'un jour tu te réveilles et que tu décides qu'une vrai femme serai mieux !

- Tu sais, continua-t-elle, je sais mieux que quiconque ce que coûte une guerre, et même si je n'ai que dix-sept ans, je sais que jamais je n'aimerais personne d'autre que toi.

- J'aurais dû me douter que tu aurais réponse à tout, comme d'habitude, fit-il avec ironie, après tout tu es la fille la plus intelligente de ta génération.

- C'est seulement maintenant que tu le remarque ?

Sirius s'approcha d'elle et l'embrassa passionnément.

Hermione lui répondit volontiers.

Ils y mettaient tout l'amour et la passion qu'ils avaient l'un pour l'autre, c'était brutal et tendre en même temps.

Elle fit balader ses doigts sur le torse de l'homme avant de le gouter de sa langue, lui arrachant un gémissement.

Sirius était surpris de la trouver aussi entreprenante, il savait que c'était la première fois pour la jeune femme, et il apprécia le fait qu'elle se sente assez en confiance pour lui donner du plaisir aussi.

Il la laissa faire quelques secondes, mais ne voulut pas être en reste, il fit glisser une bretelle de la nuisette et posa ses lèvres sur l'épaule de la jeune femme, sa peau était douce et avait un gout de soleil et d'été, il remonta jusqu'à son cou, il attrapa la baguette qui retenait ses cheveux et la lui retira, la masse soyeuse se déploya gracieusement et il passa une main, appréciant la douceur de ce geste.

Hermione ouvrit les yeux, et croisa le regard brûlant de son amant, il l'embrassa à nouveau, la faisant gémir de plaisir.

Il la fit reculer sans pour autant lâcher sa bouche et la fit basculer sur le lit, lâchant ses lèvres pour aller explorer la naissance de ses seins, avant de remonter, il ne voulait pas la brusquer, mais la jeune femme ne l'entendit pas ainsi.

Elle bascula pour se retrouver au-dessus, et c'est avec un petit sourire effronté qu'elle lui retira son pyjama, le laissant en boxer, Sirius la regarda faire surpris, mais aussi très excité par la vision que la jeune femme lui offrait, celle-ci n'avait aucune idée de l'image qu'elle donnait, ainsi offerte.

Ses lèvres gonflées par les baisers, ses cheveux emmêlés et l'éclat sauvage de ses yeux, elle était l'image même de la luxure. S'il s'écoutait, il la renverserait sur le lit et la ferait sienne, là, tout de suite, sans préliminaires, mais il voulait que ce soit une nuit magique.

Il lui retira sa nuisette, dévoilant une poitrine ronde et ferme, il attrapa un teton et le suçota sans quitter la jeune femme du regard, celle-ci renversa la tête vers l'arrière, savourant le plaisir fulgurant.

Hermione s'arracha à la caresse avec difficulté, elle voulait lui donner autant de plaisir, alors elle le caressa doucement, parsemant son corps de baisers, le rendant fou de désir, elle le caressa du bout des doigts, jusqu'à frôler son sexe, lui arrachant un gémissement rauque, il la regarda et vit son petit sourire effronté, mais il se reprit bien vite et la fit basculer sous lui.

Sa bouche parcourut chaque centimètre de son corps, il la goûta de sa langue, de sa bouche, de ses dents, savourant les frissons qui la parcouraient. Sa main glissa le long de sa cuisse, lui arrachant un long gémissement de plaisir, puis avec une dextérité et une rapidité insoupçonné il glissa son slip le long de ses jambes et l'envoya valser avec le reste des vêtements.

Il parcourut son corps d'un regard incandescent de désir, elle était nue, offerte et il ne lui restait que son propre boxer qui le séparait de cette intimité brûlante.

La jeune femme le fixa avec un mélange de désir et de timidité, elle n'avait ni peurs, ni doutes, elle savait qu'elle avait fait le bon choix.

- Tu es si belle que tu me rends fou… chuchota-t-il d'une voix rauque.

Ces mots firent frissonner la jeune femme, un désir sourd pulsant à l'intérieur de son ventre, désir encore inconnu, mais elle savait au fond d'elle que rien ne l'assouvirait sauf l'homme qui la regardait comme si elle était la huitième merveille du monde ou la meilleure tarte au chocolat jamais confectionnée.

Elle sentit le rouge lui monter aux joues, un peu gênée de se retrouver nue alors que lui ne l'était pas.

Sirius se rapprocha d'elle à nouveau, et l'embrassa avec fougue, elle se détendit à nouveau. Elle sentit la bouche de son amant venir titiller la pointe rose d'un de ses seins, tandis que de sa main, il lui caressait l'autre sein, lui arrachant des soupirs de plaisir.

Mais la jeune femme ne resta pas à ne rien faire, elle descendit ses mains sur les fesses de l'homme, glissant son boxer avec douceur, il s'écarta d'elle afin de le retirer complètement.

Elle contempla avec une certaine appréhension sa virilité. Lui la regarda, curieux de sa réaction, mais aucune peur ou gêne ne vint troubler le regard brun d'Hermione, juste un peu appréhension et d'impatience.

Il se remit sur elle, et lui caressa la jambe avec tendresse, remontant vers le haut des cuisses, avant d'arriver à l'endroit où le désir de la jeune femme se faisait sentir. II caressa l'intimité de la rouge et or avant de la surprendre en y ajoutant sa langue, celle-ci vint titiller son clitoris, elle était complètement dévastée de plaisir, ses lèvres gonflées, sa tête bougeant de tous les côtés, elle gémissait, poussait des plaintes sauvages qui excitaient un peu plus Sirius, il sentait sous ses doigts et sa langue, la chaleur et l'étroitesse de la jeune femme, ce qui augmentait son impatience de la posséder complétement, il ne voulait pas la faire jouir ainsi, pas la première fois… non, il voulait entrer en elle, ne faire plus qu'un avec elle.

Il stoppa toutes ses caresses, lui arrachant un gémissement de frustration. Le souffle court elle lui chuchota d'une voix rauque de désir.

- Je te veux maintenant.

Sirius la regarda, son désir de ne faire qu'un avec elle était devenu douloureux. Il l'embrassa en la pénétrant en douceur, il ne s'arrêta que quand il senti la barrière de sa virginité, il croisa son regard et elle hocha la tête en fermant les yeux, il poussa et la pénétra d'un coup de rein puissant. Il vit les larmes perler sur les joues de la jeune femme, il les lécha, lui murmurant des mots sans suite en attendant que la douleur passe.

Hermione s'habitua rapidement à la présence de Sirius en elle, le désir refit surface, elle enroula instinctivement ses jambes autour des hanches de son amant, l'attirant en elle plus profondément, ce qui la fit soupirer de satisfaction.

C'est avec un naturel déconcertant que leurs corps se mirent à bouger au même rythme, Sirius glissa une main entre leurs corps et caressa le corps de la jeune femme qui soupira de plaisir, leurs désirs se firent rapidement impérieux les obligeant à accélérer la cadence.

C'est ensemble qu'ils atteignirent l'extase, dans un ensemble quasi parfait.

Sirius retomba sur le côté, tous deux étaient essoufflés, mais heureux.

- Heureusement qu'il y a un sort d'insonorisation, fit Hermione à bout de souffle.

Sirius hocha la tête, amusé.

- Je t'aime, fit-il en l'embrassant.

- Moi aussi. Au fait, pas si mal pour un vieux, le taquina-t-elle.

Le vieux en question la chatouilla et répondît avec humour.

- Tu va voir si je suis vieux, après tout, la nuit ne fais que commencer.

Ils s'aimèrent ainsi plusieurs fois, et ne s'endormir qu'à l'aube, épuisés mais heureux.

N-Bêta : Eh bien ! Je dirais que je suis fière de notre petite auteur, qui malgré ses difficultés, fait de moins en moins de fautes. Courage, un jour tu parleras ( et écriras ! ) cette langue mieux que les français eux-mêmes ! ( Quoique… concernant certains, c'est clairement pas difficile… mais que fait la police ?! :P)

Sinon, je crois que l'internaute est récemment devenu mon meilleur ami, pour trouver tous les synonymes pour éviter trop de répétitions… j'crois que mon poisson est jaloux, il me boude…

Bon, je vous laisse, et vous retrouve au prochain chapitre avec Lyssa )

PS : Laissez-lui des rewiews, on ne le dit jamais assez, les rewiews c'est le complément alimentaire des auteurs, ils en ont besoin :)