voilà une nouvelle histoire, et les autres ? me direz vous avec raison. Les autres je bloque un peu alors pour me faire pardonner je vous offre celle ci en attendant, amusez vous et lisez !

Natsuki et Shizuru et tout l'univers Mai Hime ne m'appartiens pas, moi je ne fais que les utiliser pour les intégrer dans des histoires plus ou moins vraisemblables.


prologue

08H10 Les rues de Londres se bondent lentement de badaud, cherchant quelques mets à acheter ce samedi matin, peu à peu, la rue de Great Malborough Street se gorge de familles, solitaires et amoureux de la ville en tout genre, les grand magasins viennent d'ouvrir leurs portes et les plus pressés se ruent dessus comme un chien sur son os. Une journée banale, comme tant d'autres, les gens rient, parlent, ou bien s'entrecroisent comme bien souvent dans un regard furtif plus curieux qu' intéressés. Certains choisissent les mets qui constituerons leurs prochain repas, d'autres rêvent d'une montre trop chère pour être décente, d'autres encore, parcourent la rue sans même y prêter attention. Une rue de la capitale Anglais du 21 eme siècle dans toute sa splendeur. Soudain, c'est l'effroi, une déflagration tonitruante retenti au beau milieu de la foule, la fumée grimpe à une allure vertigineuse dans les air, certaines personnes hurlent, d'autres pleures, les plus chanceux s'échappent en courant. Le Liberty, grand magasin Londonien, viens d'exploser dans un fracas terrible, et, dans la fumée qui vous asphyxie, dans la cendre vous noircissant les cheveux, dans les tympans endoloris par le bruit sourd qui vous tape encore dans les oreilles, le seul son audible s'échappe à présent de la bouche beuglante d'une enfant appelant désespérément sa mère ou bien le son plaintif d'un homme recouvert de débris de métal et de béton en tout genre. Partout, c'est l'hécatombe, les corps vivants ou non s'amassent là ou une seconde plus tôt la vie fourmillait. Dans ce magma de fer et de charbon emplissant l'aire environnant, on entend le cris déchirant d'un homme découvrant sa jambe coupée net sous le poids d'une poutre soutenant le premier étage de ce qui viens de devenir un ancien grand magasin. Un massacre, il n'y a d'autres adjectif, partout, tout n'est que destruction et désolation. Surplombant l'horrible scène, une jeune fille aux cheveux ébène, tout de noir vêtu observe la scène se mordant la lèvre contrariée. Elle fait lentement demi tour, abandonnant les rescapés de l'explosion, marchant à contre sens de la foule qui se presse à présent curieusement à l'endroit du drame. Elle enfourche sans enthousiasme une moto gros cylindre, faisant vrombir son moteur couvert par le bruit des ambulances arrivant sur la scène de crime. Le maniaque à la bombe venait à nouveau de frapper.