Miaou ! Je me souvenais de ce chapitre est cette scène avec le chat-Christina est toujours aussi jubilatoire ! Dans tous les cas, elle prend la chose avec philosophie et humour, ce qui est aussi bien. À dire vrai, la voir commencer à interagir avec le monde sorcier dénote, outre ses sentiments pour William, une certaine curiosité intellectuelle. Tu me diras, bien sûr, elle l'accepte tel qu'il est avec son monde qu'elle ne connaît pas et tout le fourniment, mais elle n'éprouve ni répulsion ni malaise quand il lui propose une excursion dans le monde sorcier.

Tout autre chose, c'est bizarre mais la scène de la prise de sang m'a rappelé quelque chose, fu fu fu… rappelle-moi pourquoi, déjà, tu m'as demandé de laisser mon tatouage caché la dernière fois qu'on s'est vues ?

Je me souviens, bizarrement, de cette conversation où on avait parlé de James Bond, et je crois que c'était très rigolo ! Le fait est qu'a posteriori, j'ai un débat très intérieur sur cette idée. James Bond est tout à fait en phase avec son époque et la technologie, comme mec, et il sait allumer la télé. Cela dit, il est tellement habitué à ses voitures bourrées de gadgets que possiblement, il se trouverait aussi démuni qu'un William Stratford en devant conduire la vieille Toyota de mon frère qui n'a que le minimum syndical en matière d'options…

Par contre, je ne m'en souvenais plus mais j'ai adoré la réaction de Christina avec la tortue. Elle semble persuadée qu'elle n'a plus sa théière et qu'elle se retrouve avec un reptile à carapace en guise d'animal de compagnie. Quand elle demande s'il faut "lui donner à manger", ça m'a fait rigoler. C'est une très jolie scène, réaliste et en même temps assez cocasse qui évite les drames. Et ça fait du bien :-)

Ce moment où je comprends pourquoi la relation de William avec son neveu me met des cœurs dans les yeux… je suis tata, moi aussi XD Donc empathie, tout ça, et qui ne se limite plus à ses questionnements que je partage sur l'obsession de mes congénères féminines pour les bébés. Et sur le mariage, aussi. Bref.

Sinon, y en a une, à titre définitif, ça ne passe pas. Mais comme je n'ai pas envie de faire le troll, je ne m'étalerai pas sur le sujet… à part qu'elle est IC, ce qui est déjà une bonne chose :-)

Très drôle, le coup des couleurs de cheveux… n'empêche, ça a duré assez assez longtemps, cette blague… ils en ont eu marre de tester leurs produits sur eux-mêmes, les deux zigotos ? Et ils n'ont rien trouvé de mieux comme victimes non-consentantes que leur mère et leur sœur qui sont aussi susceptibles l'une que l'autre ? À croire qu'ils aiment se faire peur…

Sinon, je note que dans sa vengeance, Ginny a eu le bon goût de ne pas utiliser les feux d'artifices olé-olé XD Ou alors ils étaient trop bien cachés. Ou alors, étant donné que c'est réservé à un public averti, les ventes sont moindres que pour les cloches de Pâques, les petits cœurs ou les rennes du Père-Noël…

Ah tiens, Tonton Severus… qui a l'air en forme, le mépris en bandoulière et tout sarcasme dehors… Bizarre qu'à l'époque, personne ne l'ai remarqué mais je crois que William a dû, en son temps, connaître Rusard… étant donné qu'il appartient à deux ans près à la même génération que les parents de Harry, et ça doit être indiqué quelque part dans le troisième livre que c'est Rusard qui a confisqué la carte du Maraudeur à James et à Sirius. Enfin bon. Peu importe.

Sorti de ça, je n'avais jamais réalisé auparavant à quel point l'affrontement final a laissé des traces chez tout le monde… c'est réaliste, cela dit, mais ça n'en est pas moins émouvant.

Les joies de la vie de famille… Oui, c'est agréable d'avoir quelqu'un qui s'occupe de soi mais quand ils deviennent trop intrusifs, ça craint… en plus, les arguments de la sœur sont mous, à propos du talent d'entremetteuse de Môman : "Elle donnait juste des nouvelles d'une connaissance"… Tiens donc, une "connaissance" avec laquelle William s'entendait très bien quand il était petit et qui, comme par hasard, vient de divorcer XD Ça fait du bien de retourner au bercail, finalement XD Au moins, personne ne pose de questions !

C'est quand même étonnant que les rivalités entre maisons de Poudlard perdurent ainsi à l'âge adulte… après, c'est peut-être pas très objectif vu le passif de Harry, on ne sait pas trop si c'est le cas de tout le monde. En tout cas il le prend mal, mais mal XD C'est limite une trahison !

Sinon, agréable redécouverte de la scène de baston et… y a pas à dire, la relation de William avec son neveu est vraiment charmante !

Après l'intermède "vie privée", retour aux affaires avec du lourd… pauvre Harry qui nous pète un plomb. A posteriori (oui, je sais, il y a prescription), j'ai des doutes concernant sa capacité à pratiquer la légillimancie. Bien sûr, on ne savait pas comment allaient évoluer les romans, mais je le signale quand même… par ailleurs, je trouve un peu étrange qu'il y parvienne parce que d'après Rogue, ça nécessite une certaine concentration et dans le cas présent, Harry me semble trop exaspéré et stressé pour ça. Mais comme dit, y a prescription, donc c'est un péché véniel . Et je me disais bien avant que Kingsley le fasse remarquer que ça n'avait pas l'air légal. C'est plus costaud que le détecteur de mensonges des Américains et ça fait très "aveux extorqués sans consentement", tout ça...

Le titre du chapitre est très bien trouvé… Comme quoi, ce sont les petites choses qui font les grandes… et c'est amusant de constater, à bien y réfléchir, que notre héros a une belle crise de cachette derrière le brin d'herbe. Oh, il l'admet plus ou moins, mais bon… c'est pas le fait que sa Christina soit moldue qui lui fait peur, mais c'est l'engagement… Certes, on ne peut pas nier que son éducation — le fait qu'il n'ait guère fréquenté que des Sang-purs et toutes les opinions qui vont avec — n'y soit pour rien, mais à ce qu'il paraît, l'amûr se joue des différences, tout ça, tout ça. En tout cas, inconsciemment ou non, il pense au long terme, alors qu'il y a plusieurs étapes entre "pour une nuit" et "pour la vie"… l'amitié "plus si affinités" par exemple. Enfin bon, il a des œillères…

Sinon, j'ai quand même un peu rigolé en lisant la dédicace à tes relecteurs parce que… il y a un texte que je ne me souviens pas d'avoir écrit ! Ça doit encore être un de ces trucs écrits en cinq minutes, que j'ai effacé lors d'un de mes pétages de plombs et dont le document original a disparu entre les différents ordinateurs, disques durs, etc. En plus, vu que c'est une époque dont je n'aime pas tellement me souvenir… le jour où j'envisagerai l'hypnose, ça me reviendra peut-être XD

Je me suis toujours interrogée sur la richesse du patrimoine culturel — et surtout musical — des sorciers. C'est moi ou il n'a pas l'air très riche ? Dans tous les cas, au-delà du fait qu'effectivement, les CD, c'est bien pratique (et y avait même pas le MP3), Stratford a l'air de s'amuser en écoutant de la musique dans le magasin moldu… et d'ailleurs, toutes les spéculations sembles permises sur ce qu'il écoute.

Sinon, moi aussi, je veux du clafoutis ! (elle est géniale, la grand-mère de Neville !)

Dans certaines circonstances, on dit que le spectacle est autant dans les tribunes que sur scène (en l'occurrence sur le terrain). C'est un peu le cas ici XD Coup de cœur pour Harry qui n'a pas le temps de dire que c'est pas une bonne id… ée de faire un discours, laissez-moi lol.

Le pauvre !

"Harry, qu'est-ce que tu as encore fait ?
— Mais rien !"

Bah quoi ? Il a raison, pour une fois ! En plus, le gus qui aurait acheté le faux autographe se serait bien fait avoir… sur le principe, c'est tout pourri ! En plus, se faire rouler dans la farine par un couple de nunuches, c'est pas terrible… Bref. La morale de tout ceci est : faut pas être trop coulant avec ses enfants XD

J'aime beaucoup l'idée de Tolkien cracmol XD J'avoue ne pas avoir su apprécier cette anecdote à l'époque puisque c'était un des auteurs favoris de ma mère et par conséquent, je faisais un blocage dessus. Il m'a fallu plusieurs années pour m'y mettre XD Par contre, c'est vrai que c'est pas tout à fait les mêmes elfes !

L'explication des rapports houleux entre Malfoy et Harry se tient tout à fait. Vu le caractère de l'exaspérant blondinet, ça lui correspondrait assez de vouloir provoquer son ennemi d'école en disant "même pas peur et même pas mal !" Cela dit, on a un peu de peine pour Stratford et son collègue qui auront dû gérer cette ambiance pour le moins… tendue, dirons-nous. Même si tout ne s'est pas trop mal passé au final…

Deux choses à retenir dans ce chapitre : le petit clin d'œil de Harry quand il voit la montagne de dossiers top secret sur lui ("vous avez trouvé de quoi remplir sept volumes") et l'expression "fondre un chaudron". J'aimerais bien la ressortir, celle-là XD

Sinon, après tout ce temps, c'est rigolo de voir Stratford perplexe devant un GSM. Je me souvenais de ces anecdotes, la question n'est pas là… c'est juste que je me demande comment il aurait réagi devant un iPhone avec le clavier tactile, les applications, les conversations vidéo, etc. XD Heureusement qu'on peut encore trouver des téléphones à touches XD

Avec le temps, je trouve que c'est très laborieux d'écrire un bon chapitre de "tranches de vies" comme dirait François Béranger, sans que ce soit un catalogue ronronnant et ennuyeux. Ici, ça coule de source. Malgré tout ce que je peux reprocher à Ginny, c'est carrément jubilatoire de la voir mettre Malfoy en boîte. De conserve, la boîte. En promo chez Lidl, ça lui fera les pieds. La conversation dans le bar est intéressante en ce sens où Stratford commence à voir son coéquipier comme un humain normal et pas comme Sa Célébrité Sérénissime. Quant au passage de Noël, il est tout à fait charmant : on voit une sorte de glissement dans l'esprit de ton narrateur, de "j'ai rien à dire à un gosse" à une complicité très touchante avec son neveu. Après, paraît que c'est un trait spécifique à la maison Serpentard d'après un article paru sur Pottermore. C'est "Serpentard à la vie à la mort", ils sont très fidèles entre eux et font corps, ce qui double ici le lien familial. Une très belle illustration, donc .