Reviews for A mes amours décomposées
Nyouh chapter 1 . 10/28/2011
La sadique que je suis a tout simplement adoré. Mais je n'ai pas compris quand tu disais que tout était à cause de Kyoko. ._.

M'enfin bon, j'adore quand même. *q*
Katherine Tiger chapter 1 . 10/8/2011
J'ai vraiment beaucoup aimée cette fic!
Kurozaya chapter 1 . 5/31/2011
Ca a été long, malsain, bizarre et sanglant.

J'aiiiiiiiiime~

Bonne chance pour la suite
reby-chan chapter 1 . 4/30/2011
tu peut juste s'il t plait me redire ce qui sont mort et les assasins, non parceque franchement il faut suivre et vu que je suis legerement folle. j'ai pas tout compris

sinon le point de vu de tsuna et vraiment bien ecrit, tu retranscrit parfaitement les emotions de tsuna

j'adore
promepolis chapter 1 . 4/30/2011
Et voilà la review mythique des deux heures et demie du matin. Je te préviens tout de suite qu'elle va être bordélique, dégoulinante d'adoration et globalement inconstructive voire même anti-constructive, étant donné que tu viens de griller mes derniers neurones. Bordel, je veux cette putain de bière.

Sérieux, je cherchais ma fic de la mort sur le lien Iemitsu/Tsuna/Nana, et bah je l'ai trouvée. T'as tellement bien repris toutes les idées que j'avais, tout ce que ces relations me font ressentir ou imaginer que j'ai eu l'impression que t'avais lu dans mes pensées. Retour de la télépathie, meuf, retour en grande pompe. Le passage entre Nana et Tsuna, putain, c'était tellement beau et tragique, j'en avais le cœur qui battait à cent à l'heure. Les paroles de Nana sont atroces, absolument insoutenables, et le pire est peut-être cette résignation peinée de la part de Tsuna lorsqu'il l'écoute.

J'aimerais m'étaler sur la construction de l'histoire, le mélange de flashbacks et d'illusions qui nous poursuit tout comme les fantômes poursuivent Tsuna — mais là tu as vraiment court-circuité ce qui me restait de cervelle, meuf. Finalement c'est moi qui vais me retrouver bonne à écrire du fluff pour le restant de mes jours.

Je dois dire que j'ai une immense préférence pour toute la deuxième moitié. Plus que les meurtres en eux-mêmes, c'est l'histoire de Kumiko et les explications qui vont avec qui font vivre l'histoire. Je suis absolument folle de ton Tsuna, qui donne l'impression d'être une montagne russe permanente. Tu sais le faire passer d'un détachement effroyable à une hystérie totale et incontrôlable, et le pire est peut-être que le changement abasourdit autant qu'il paraît fluide. Je sais pas comment tu as fait ça mais faut que tu m'expliques ta recette. PUTAIN, JE VEUX MA BIÈREUH.

Bon, pour Kumiko, je connaissais déjà l'histoire mais ça ne m'empêche pas de la trouver abominable. D'ailleurs, en passant, l'autographe de son nom de famille est assez aléatoire — tu passes de Fuuji à Fujii assez régulièrement et c'est un peu déroutant xD j'ai aussi repéré un Iemistu qui traînait, ainsi qu'un "qui était-t-elle" avec un t en trop. /Fin de la minute chieuse.

Je crois que finalement c'est bien la "mort" d'Enma qui m'a achevée (il fallait que tu le tortures jusqu'au bout, saleté !). J'apprécie néanmoins le contexte Roméo et Juliette de la chose, l'un se suicidant en pensant que l'autre est mort, et sans doute l'autre qui se suicidera à son tour après... tandis que les mots de Haru continue de résonner tout au long du texte : "Tu m'aimes parce qu'il n'y a plus grand monde à aimer. Les meilleurs sont partis, j'ai bien compris ça, alors tu te contentes de ceux qui restent." Et en effet, ils partent tous les uns après les autres. C'était beautiful.

Le suicide de Tsuna, revenons-y donc. Le final était à tomber par terre, et très sérieusement on ne dirait absolument pas que tu y a passé deux bonnes heures (oups, ben maintenant c'est dit :P). Sa mort, que finalement tu nous laisses imaginer, est le point d'orgue de tout le reste, un finish en cadence évitée qui "boucle la boucle" mais... pas tout à fait, au final, laissant un arrière-goût d'inachevé qui n'est pas déplaisant.

Donc finalement, je me dis que faire une séquelle avec Gokkun déséquilibrerait peut-être l'harmonie que tu as su trouver ici.

En tout cas bravissimo principessa, tu as fini de me convaincre que j'étais totalement débauchée et pervertie, pour m'avoir autant fait aimer ce texte pour le moins atroce. Ma fibre sadique s'est repue à souhait, je peux désormais m'en retourner à mes futurs fluffs cotonneux. Enjoy la destruction de mes lambeaux de matière grise.