Coucou ! Et voila, aujourd'hui je vous poste l'épilogue de "Problème de Cœur" car vous avez été pas mal à me le demander. je l'ai écrit cette après-midi durant un repas de famille, tapis dans un coin du salon, et je m'en suis donné à coeur-joie... tout en essayant de ne pas se faire prendre la main dans le sac pour un des membres de ma grande famille, où ce genre de "chose", comme il l'appelle, n'as rien à faire ici. (Si ma grand-mère savait, elle ferait une crise cardiaque sur-le-champ)

Comme prévue, il s'agit d'un épilogue contenant essentiellement un lemon et lequel, eh bien, j'a décidé d'essayer un truc que je voulais faire depuis pas mal de temps, un Akihito qui dirigerai les opérations (enfin, vous m'avez comprise...). Notre petit Aki-chan adoré reste le Uke mais il dirige un peu le tout.

J'espère que ça vous plaira ! Bonne lecture !


Épilogue :

La porte venait à peine de se refermer qu'Asami plaqua Akihito contre celle-ci, bloquant ses poignets au-dessus de sa tête. Le jeune homme ne tenta même pas de se débattre. Le yakusa plongea sur ses lèvres, et força le passage. Akihito gémit sourdement lorsque sa langue rencontra celle du yakusa dans un ballet passionné. Mais bien vite, cela devint insuffisant pour Asami qui descendit mordiller son cou si tendre, y laissant plusieurs suçons qui ne manquerait pas de faire râler le jeune photographe dès le lendemain.

Cependant, à l'instant présent, celui-ci préférait nettement se laisser maltraiter de la sorte plutôt que de protester. Cela faisait décemment trop longtemps qu'ils n'avaient pas profité pleinement l'un de l'autre. Presque un mois de convalescence avait été nécessaire au bon rétablissement d'Akihito et les deux hommes avaient interdiction de se toucher plus que nécessaire. Aucune activité trop physique n'avait été autorisée au jeune garçon et ils avaient dû se contenter de s'embrasser et se caresser… chastement.

A présent, ils étaient tout les deux simplement en manque l'un de l'autre et la première chose qui leur était passé à l'esprit en rentrant chez eux – oui, car maintenant l'appartement d'Asami était CHEZ EUX – avait été de pouvoir enfin se toucher sans limite et c'était ce à quoi il allait s'adonner à cœur joie.

Asami relâcha les poignets du jeune homme pour les passer sous son tee-shirt tandis que celles d'Akihito partir se perdre dans la chevelure soyeuse de son amant. De ses mains, le mafieux caressa les abdominaux fins, il passa sur le torse et vint pincer les tétons déjà durs, faisant gémir de plus belle le photographe, qui pour une fois, décida de rien retenir de son plaisir.

Asami revint s'occuper de ses lèvres, les mordillant et les suçant avidement. Une chaleur familière se répandirent dans leurs bas-ventre, et…. Dieu, qu'ils aimaient ça ! Akihito accrocha alors ses jambes autour du bassin du yakusa, tout en se tenant par les bras. Le plus vieux le porta alors et décida, tout en continuant à l'embrasser, de les conduire jusqu'à la chambre. Aucun des deux ne surent exactement comment ils y parvinrent, mais une fois cela fait, Asami balança sans vergogne le plus jeune sur le lit et commença à se déshabiller lentement. Trop lentement au goût du jeune homme qui, impatient de ressentir à nouveau le corps puissant de son amant contre lui, se releva et l'aida à déboutonner – arracher – sa chemise.

Le yakusa, que l'attitude empressée du jeune avait étonné, ne put que se moquer quelque peu de lui.

- Doucement, gamin ! Il n'y a pas le feu ! Dit-il en souriant narquoisement.

- Tu te trompes ! C'est un vrai brasier là-dessous ! Répondit le photographe en collant son érection contre celle du yakusa avec un soupir de soulagement.

Sans plus attendre, Akihito les fit basculer sur le lit, Asami sous lui et commença à se frotter sans pudeur contre ce dernier. Ce comportement nouveau du jeune homme, plaisait particulièrement au mafieux qui, pour une fois décida de se laisser faire. Le jeune l'embrassa passionnément, descendant ses mains sur le corps fort de son amant, arrivant enfin à l'objet de ses désirs qu'il s'appliqua à caresser, créant des grognements qu'Asami tâcha de retenir.

- Ryuichi… je t'en prie… ne te retiens pas… gémis pour moi… rien que pour moi… Ryuichi… Haleta Akihito tout contre ses lèvres.

Et sous cette supplique de son amant, le grand Asami Ryuichi se laissa aller à gémir, à en demander plus, à supplier comme jamais encore il ne l'avait fait. Pour ce soir, pour son Akihito, il se laissa complètement aller, il se laissa n'être qu'un simple humain entre les mains de son amour.

Akihito laissa ses lèvres rouges et gonflées du baiser pour descendre plus bas. Il mordilla tendrement sa clavicule, y laissant aussi un suçon, signe qu'IL lui appartenait à LUI et à personne d'autres, surtout pas à cette Midori. Il continua à glisser le long de son corps, traçant un chemin mouillé de sa langue. Il alla sucer un téton tandis qu'avec une de ses mains –l'autre étant occupé ailleurs – il alla s'occuper de l'autre téton, et Asami gémit, la tête rejetée en arrière. Akihito, une fois les tétons durcies, descendit davantage, passant sur les abdominaux saillants, léchant l'aine mais contourna habilement la partie qui avait le plus besoin de ses traitements, faisant grogner de mécontentement le yakusa qui se raccrocha désespérément aux draps. Le jeune homme caressa l'intérieur tendre des cuisses, les mordillant gentiment, il passa ses mains sur les fesses fermes.

Sa bouche revint alors s'occuper de l'érection, embrassant le gland rougit avant de lécher la hampe dressée sur toute sa longueur.

- Akihito, je t'en pris… cesse de me torturer… suce-moi !

Le jeune homme lança un sourire goguenard à son aîné. Mais il accéda à sa demande et prit entièrement le sexe dans sa bouche, créant un gémissement plus fort que les précédents chez le mafieux. Pour une fois que c'était lui, Akihito, qui maîtriser la situation et non Asami, il en était très heureux… et honoré, que son amant s'abandonne à lui de cette façon. Mais il devait aussi en profiter, car se serait sans doute la seule fois où Asami le laisserait faire ainsi.

Il s'appliqua à faire de longs va-et-vient le long du pénis, l'entourant de sa langue, l'aspirant quelques fois. Mais malgré le plaisir qu'il ressentait à en donner à son amant, son érection à lui restait inassouvie et, de sa main, il commença à se préparer lui-même à recevoir le sexe du yakusa. Il rentra deux doigts d'un coup, suivant les mêmes mouvements qu'il faisait au pénis du plus âgé, gémissant. Les vibrations qu'engendraient les geignements du jeune homme autour du pénis d'Asami le firent presque jouir, mais Akihito retira sa bouche, l'empêchant d'atteindre l'apogée tant attendue.

Mais pour compenser, le jeune homme lui prit son sexe et le plaça devant son antre avant de le rentrer d'un coup, coupant efficacement le souffle à Asami face au plaisir de se retrouver à nouveau au plus profond de son si cher amant. Akihito, lui, sous l'effet de la douleur qu'avait engendré sa brusque entrée, s'était arrêté. La brûlure avait été intense et des larmes perlèrent à ses yeux. Le mafieux le vit et s'inquiéta immédiatement.

- Akihito ? Tu n'étais pas obligé de… Dit-il en amorçant un geste vers lui.

- Non… non, je le voulais… Répondit le jeune en faisant un sourire qui se voulait rassurant.

Et pour faire oublier son inquiétude au yakusa, il bougea du bassin faisant gémir de plus belle le Seme qui se laissa retomber contre le lit. Akihito réitéra ce même mouvement à plusieurs reprises, le plaisir remplaçant peu à peu la douleur. Et bientôt, des gémissements et des cris de plaisir emplirent la pièce toute entière.

Asami, étendu, se raccrochait aux draps, les yeux hermétiquement clos dû au trop grand plaisir et Akihito, à califourchon sur lui, la tête rejetée en arrière, les mains appuyées sur le torse de l'homme sous lui. Plus les mouvements se faisaient rapides et désordonnés, plus les deux hommes sentaient que les portes du septième ciel s'ouvraient devant eux. Et lorsqu'enfin, Asami jouit au plus profond d'Akihito et que celui-ci jouit sur son torse, les deux amants surent que jamais plus ils ne pourraient se quitter.

Le jeune homme retomba sur le torse puissant du yakusa et celui-ci, le prenant dans ses bras, les recouvrit des draps. Le jeune photographe vint nicher son visage au creux du cou d'Asami et celui-ci le serra davantage. Les deux hommes étaient les plus heureux du monde, enfin… Akihito attendait toujours un petit quelque chose, mais il ne voulait pas trop en demander à son amant. Ils allaient déjà habitaient ensemble, et puis, le fait de lui appartenir lui faisait déjà amplement plaisir. C'est sur ces douces pensées qu'il commença à partir dans les bras de Morphée, mais juste avant, il entendit une chose qu'il n'aurait jamais pensée entendre, tel et si bien qu'il cru y avoir rêvé :

- Je t'aime, Akihito !

Et il s'endormit. Asami, peu sur que son amour l'ai réellement entendu, se promit que, dès le lendemain, il lui redirait encore et encore… Fermant les yeux, il partit rejoindre son amant au pays des songes.


Et voila ! Maintenant, "Problème de Cœur" est vraiment terminé. Il n'y aura pas de suite, mais j'espère que la fin de vous aura pas laissé sur votre faim. *sort de la pièce après ce jeu de mots douteux*.

A bientôt pour mes prochaines fics !