Parrain ? Certainement pas !

Hey ! Salut le monde !

… Ne me regardez pas comme ça !

Ce n'est pas ma faute si j'ai rien posté depuis…. Un moment !

Si, si ! C'est totalement indépendant de ma volonté !

1. C'est la faute de Shiro.K ! J'étais tranquillement en tain d'écrire un petit crossover quand… Quand elle a dit qu'il était nul !

2. J'ai trop de projets en même temps ! Quatre fanfic et une saga. Mais pas une saga de fanfic, une vraie saga, bah… Style Harry Potter, sauf qu'il n'y a pas de magie, pas de château en Ecosse… En plus de projets plus ou moins développer- c'est à dire à l'état d'idée- consigné dans un cahier rouge à petit carreau...

3. Je suis en première ? Oui, je sais, ce n'est pas une VRAIE excuse mais… Voilà quoi…. Pis on est en mai ! A la fin de l'année j'ai des épreuves du bac ! En plus des TPE qui on prit une bonne partie de l'année !

4. Je suis attende de flegmatique chronique aggravé ! Si, si. Oh… Ce n'est pas bien grave mais… La flemme quoi…

Oh ! En passant, avant que j'oublis ! Les perso sont pas à moi ! Sinon, Sirius, Cédric, Rémus et Severus y seraient pas morts ! Hedwige non plus ! Sniiiiiiiiiiiiiif !


- La nuit était noire, très sombre pour une nuit de fin février. Mais malgré cette nuit sans lune, une silhouette quitta le nid douillet de sa Salle Commune. Elle dévala silencieusement les étages qui la menaient au rez-de-chaussée. Elle entrouvrit les immenses portes qui composaient l'entrée du célèbre collège de Poudlard. Elle se glissa dans le parc, laissant les portes de refermées silencieusement derrière elle. Recouvert d'une cape que beaucoup jalousait, elle se dirigea vers l'arbre le plus dangereux du parc : le Saul Cogneur. Elle siffla un très léger son et quelque chose remua entre les racines dudit arbre. Celui-ci se figea et l'ombre put se glisser sans difficulté dans le passage qui cheminait jusqu'à la Cabane Hurlante. Arrivé dans la pièce miteuse de la maison- soit disant hantée-, la silhouette quitta la cape qui la cachait aux yeux du monde, dévoilant un jeune homme d'une quinzaine d'année vêtu de l'uniforme de Gryffondor. Ses cheveux en bataille noir était à peine illuminé par la chandelle presque morte présente sur l'un des seuls meubles qui tenait encore debout, à l'opposé de sa chevelure noire, ses yeux verts semblaient briller d'un éclat de joie, d'amour, d'envie et de contentement. Il s'approcha sans peur de sa silhouette réfugié dans l'ombre, un grand sourire aux lèvres. Si quelque élève lambda du collège aurait vu cette personne, il aurait courut prévenir quelconque autorité : les cheveux mi-long noirs, les yeux gris, sa haute stature et ses airs aristocratiques appartenaient sans nul doute à Sirius Black, le fugitif qui faisait trembler de peur presque toutes les ménagères sorcières d'Angleterre.

_ Harry, gronda gentiment l'homme, tu es en retard.

_ Es-ce ma faute si les autres ont mit des heures avant de bien vouloir s'endormir assez profondément pour que je puisse quitter la Tour sans soucis ?

Le rire si singulier de l'adulte résonna un bref instant dans la pièce avant qu'il ne tende le bras au plus jeune.

_ Il est temps d'y aller si nous voulons en profiter, dit-il d'un ton qui ne laissa aucun doute sur le quoi à Harry.

L'adolescent se saisit du bras de l'autre et ils disparurent sans laisser de trace.


- A des kilomètres de là, dans une maison à peine habitable de Londres, un homme patienté dans le couloir qui servait d'entré à la demeure de celui qu'il attendait. Il poussa un grognement animal quand son ami arriva et failli en pousser un second quand il vit qu'il était accompagné mais il le ravala lorsqu'il vit de qui il s'agissait.

_ Sirius, j'ose espère que tu as pris toutes les mesures nécessaires pour que personne ne remarque qu'Harry à disparu ?

_ Lunard… Pour qui me prends-tu ?

_ Pour un Maraudeur fou, recherché par tous les Aurors du pays et qui « kidnappe » Harry Potter pour je ne sais quoi et je ne veux pas savoir !

_ Professeur Lupin…

_ Je t'ai déjà dis de m'appeler Rémus, ou Lunard, Harry…

_ Habitude, expliqua le jeune homme avec un mouvement de la main. Je ne sais pas ce qu'as prévu Sirius mais…

_ Ne t'en fais pas, Harry. Je sais très bien ce que j'ai à faire, coupa gentiment Lupin.

Le loup-garou disparu dans les escaliers qui émirent des grincements sonores avant d'entendre vaguement une porte à l'étage se refermer dans un bruit se rapprochant du claquement.

_ Allez, viens, murmura Sirius avant de saisir la nuque du petit brun et de capturer sa bouche.

L'instant d'après, le couple disparaissait dans la chambre principale de l'ancienne Maison de la très noble famille Black.


- Harry et ses compagnons venaient d'arrivé dans la Salle du Voile quand les Mangemorts se décidèrent à passé réellement à l'offensive. Il sut qu'ils étaient sauvés quand les membres de l'Ordre du Phénix arrivèrent pour leur sauver la mise. Sauf que, quand son attention se déplaça sur le combat entre Sirius et sa cinglée de cousine, Harry sentit ses entrailles se glacer et le poids du monde lui tomber sur les épaules. L'homme venait de passé à travers le voile.

_ SIRIUS, hurla-t-il. NON !

Il sentit sa baguette tombé à terre dans le bruit singulier du bois contre le sol et l'une de ses mains agrippée sa chemise au niveau du ventre. Il commença à peine à se déplacer vers l'Arche quand il sentit les bras de Rémus le retenir où il était.

_ Non, murmura-t-il la voix pleine de sanglot. Non…

_ Harry, c'est fini. Il ne reviendra pas.

_ Ce n'est pas vrai, il n'a pas le droit. Il ne peut pas n… M'abandonné. Il n'a pas le droit… Il n'a pas le droit… Il ne peut pas… Il ne sait pas…

Sa voix se brisa et Rémus le tira vers le hall. Là, arrivant vers eux, se trouvait le responsable de tout ça : Lord Voldemort.

_ C'est de votre faute, murmura rageusement le jeune sorcier.

_ De quoi, demanda haineusement le simulacre d'être humain. Si Black est mort ?

_ IL N'EST PAS MORT, hurla Harry.

Sa magie envahit le hall du Ministère, brisant fontaines, statues, vitres, cheminée.

_ C'EST DE VOTRE FAUTE, hurla-t-il désignant inconsciemment la cible de tous les débris qu'il avait crée.

Le lord, assailli par les projectiles, fit ce qui était le plus naturel chez lui, il pointa sa baguette sur l'origine de ce cataclysme et cria :

_ AVADA KEVADRA !

Il n'imagina pas un seul instant que la magie totalement libérée de son adversaire, sa haine et une autre toute petite chose allait faire de son Expelliarmusun miroir qui lui renvoya son propre sort, faisant du plus sombre Mage Noir, un mauvais souvenir.


- Au bout d'une semaine durant laquelle Harry dû expliquer un bon millier de fois ce qui s'était passé, Rémus put l'emmener une nouvelle fois dans la Salle du Voile. L'ancien artefact était toujours au centre de la pièce et son voile dansait toujours légèrement sous un vent invisible. Sans aucun témoin ni aucune menace, Rémus avait retiré le sort qui cachait la nouvelle silhouette de son presque filleul. Le jeune homme s'approchait inévitablement de l'Arche, jusqu'à en être séparé que par la longueur de son bras.

_ Il n'est pas mort, murmura Harry, je les entends. Il cri, il m'appelle…

_ Harry…

_ Ne les entendez-vous pas ! Ces voix pleines de peine, de colère ou de supplice !

_ Je n'entends qu'un murmure, Harry, un bourdonnement…

Le brun se redressa d'un coup, comme possédé, se tourna vers son ancien professeur et le stupéfia avant qu'il n'ait pût esquisser un geste. Harry tomba à genou devant ce qui le privait de son parrain et appela à lui trois artefacts aussi ancien que celui auquel il faisait face. Après d'interminables minutes, les trois objets atterrirent devant lui. Il reconnu sans mal la cape de son père, la baguette de Dumbledore et l'étrange pierre qu'il avait entraperçu un jour au dessus de l'emblème de Poudlard, dans la Grande Salle.

_ Toi, Arche de la Mort, passage oublier vers les limbes, condisciple de la Faucheuse, accepte ses présents et rend-moi Sirius Black, le dernier à être passé à travers toi.

Ravalant un sanglot qui menacer de lui déchirer la gorge, il prit en tremblant la baguette de sureau qu'il avait en quelque sorte volée à son directeur.

_ Prend le premier présent que la Mort à donné aux trois frères. Baguette invincible, baguette de Mort, baguette de sureau.

Un éclair noir traversa le Voile en direction de ses mains et la baguette tomba en poussière sur ses genoux. Tremblant un peu plus, il se saisit de la pierre de résurrection et la tendit vers l'Arche.

_ Prend le deuxième don que la Mort à donné aux trois frères. Pierre relevant les morts, pierre de Mort, pierre de résurrection.

La pierre quitta ses mains et traversa le Voile qui se teinta de gris. Il laissa échapper un sanglot quand il prit entre ses mains la cape d'invisibilité qui était l'un des seuls objets qui le reliait à son père.

_ Prend le troisième cadeau que la Mort à donné aux trois frères. Cape qui cache aux yeux du monde, cape de Mort, cape d'invisibilité.

Elle s'envola de ses mains et fusionna avec le Voile qui s'illumina d'une aveuglante lumière blanche, obligeant les deux hommes à fermer les yeux. Quand la lumière fut dissipée, l'Arche avait disparue, laissant à sa place le corps blessé, mais vivant, de Sirius Black.

_ Sirius, sanglota Harry en se précipitant vers lui.

_ Ha… Harry, fit-il difficilement. Lu… Lunard ?

Le jeune brun ranima le loup-garou qui se releva et marcha vers eux.

_ Harry, murmura-t-il stupéfait, tu as réussis…

_ Tu… Tu es…

Le benjamin eut un doux sourire alors qu'il plaçait la tête de l'homme sur ses genoux en soufflant un oui. Sirius eut un sourire heureux avant de s'évanouir.


Au faites, si vous voulez une suite et savoir si ce que vous croyez est vrai, dites le moi ! Ça serait benêt si j'écris une suite alors que personne n'aime…

Donc, pour une suite, une review, pour ne pas avoir de suite, une review, pour dire que ça vous plait, une review, pour dire que ça ne vous plait pas, une review…

*Je pense qu'ils ont comprit le principe, tu sais….*

Tiens, Conscience, tu es sortie de la cocotte-minute ?

*Il le faut bien, sinon tu ferais que des sottises !*

Ah ! Et annonce de dernière minute ! Comme Shiro.K et Rasmeii ne veulent pas jouer au beta pour moi... J'ai donc besoin d'un/e correcteur/trice selon elles... Je fais pas tant de fautes que ça en plus !