Juste avant toutes choses, je me rends compte que je remercie jamais assez les lecteurs pour suivre cette histoire alors voilà: Merci. Merci pour les commentaires, les favoris et tout ça, ça me fait vraiment plaisir et m'encourage à continuer. Sur ce: bonne lecture!^^

Le Bal III (ou comment être romantique… ?)

« Scott… »

Le rouquin évita son regard et se gratta l'arrière du crâne mal à l'aise.

« Yup. That's me… » ils se regardèrent un moment incertain puis le roux le prit dans ses bras en lui frottant le dos. « Fais un commentaire et je te jette dans la marre. »

Arthur ne dit rien sur le coup à cause de deux chose : un, son frère l'a menacé et il allait pas tenter le diable. Deux : is he giving a fucking hug to me ?!

« Je vais pas le dire deux fois mais tu m'as manqué sale gosse. » il recula et grimaça. « Mais sérieusement pourquoi une robe ?! »

Arthur baissa le regard sur la robe et rougit avant de balbutier :

« C'est un dégâts collatéral ! Il ne fallait pas que quelqu'un me reconnaisse. … Ce qui a servi à rien parce qu'il m'a reconnu sur le champ.

« Carwin aussi. Quand je t'ai vu et que j'ai fais gaffe je t'ai reconnu…

« ça va, ça va j'ai compris.

« You suck at disguise. Bon, Edward t'as pas reconnu mais il est un peu lent lui…

« Shut up ! » grogna l'anglais qui fut pris de court par le rire de son grand frère. « Pourquoi tu rigoles ?

« Parmi tous les scénario possible, je retombe sur mon benjamin lorsqu'il se déguise en femme. Ah… Si quelqu'un te demande si tu me connais tu dis non !

« … Carwin t'as parlé ?

« yup. Trou de mémoire, et tout ça. » il tira sur sa cigarette. « Je sais qu'on a pas d'excuse mais bon. Father nous a bassinés comme quoi tu méritais pas d'être de notre famille. On voulait t'écrire mais… Apparement les lettres ne passaient pas. » devant le regard de son frère il soupira « Edward a essayé de te voir en secret mais il s'est fait chopé. Et comme tu répondais à aucune de nos lettres, avec Dad qui était intransigeant… On a baissé les bras. Ne le pardonne pas et n'essaye pas de le voir. Il ne comprendra pas.

« Tu voulais pas partir… » Scott le regarda en haussant un sourcil. « Tu voulais rester pour mon anniversaire.

« Ha…» Il laissa un petit rire s'échapper de ses lèvres « Shit, you remember. »

Arthur resta silencieux un moment, la gorge serrée et les yeux larmoyants. Puis il se jeta dans les bras de son frère qui grogna et le repoussa :

« je t'en ai déjà donné un. » se justifia-t-il devant le regard outré du plus jeune. « Faut pas exagérer quand même !

« ça fait 10ans qu'on s'est pas vu et tu restes aussi froid ?!

« Soit un homme. Arrête de pleurer. » fit-il en allumant une cigarette et tirant une bouffée. Le blond se retint de le frapper : son frère aimait pas étaler ses sentiments. Même si…

« J'exige un autre.

« Whut ? ça va pas non ? Punaise je vais devoir te refaire ton éducation à toi. » marmonna le roux en le prenant malgré tout de nouveau dans ses bras. « Tu m'as manqué you little brat.

« Toi aussi sheep head. »

Les deux se séparèrent mais le grand frère avait gardé un bras autour des épaules du plus petit. Un sourire complice sur leurs lèvres. Ils se détachèrent bien vite, les deux rougissant. Non mais, ils s'aimaient bien mais fallait pas exagérer. Arthur jouait avec une des couettes sur la perruque en soupirant et regarda son frère qui fumait toujours.

« Aucune référence au fait que je t'ai donné un câlin.

« Aucune référence au fait que j'ai accepté un câlin. Que ce soit de toi ou de quelqu'un d'autre. »

Silence. Un peu gênant. Scott tira de nouveau sur sa cigarette sans lancer un regard vers son frère. 10 ans de séparation revenait et ils se rendaient compte qu'ils étaient presque des étrangers. Quelques souvenirs communs mais rien de plus. Cela les blessait plus qu'ils ne se l'admettraient. Arthur se redressa et demanda :

« Et maintenant ?

« Rentrons à l'intérieur. Il fait putain de froid. »

Seuls devant l'entrée, le grand frère fit un rond de fumée pour remplir le silence. Arthur attrapa la cigarette et fit de même. Ils se regardèrent et Scott ria. C'était léger, sans ambiguïté, sans arrière-pensée. Amusé de voir le petit pleurnichard soudain si confident. Même s'il était en fille. Va falloir rattraper le temps perdu.

« J'ai une idée pour ton chéri.

« What the… » Arthur prit une grande inspiration et jura : « Y a-t-il au moins une personne dans cette fête qui a pas remarqué le putain de manège du français.

« Tu veux une réponse honnête ?

« Non.

« Good. » sur ce, il siffla avec ses doigts. « J'appelle des renforts.

« J'ai peur… »

Deux autres jeunes hommes arrivèrent. Arthur vit Carwin et l'autre à ses côtés qui était Edward. Edward qui était doté de cheveux bruns bouclés et, bien sûr, de grands yeux verts. Lorsqu'il vit Arthur il fronça les sourcils. Scott, dans toute sa splendeur de grand frère, choisi ce moment pour saisir la perruque et la retirer libérant les cheveux ébouriffés de son frère. Ed écarquilla les yeux et sa mâchoire se décrocha. L'anglais ferma les yeux prés à entendre des commentaires sur le fait qu'il était en robe mais son grand frère le prit dans ses bras et le souleva.

J'avais oublié qu'il était le plus costaud de nous quatre ! pensa-t-il en gesticulant dans ses bras.

« Edward ! Let go !

« C'est toi ! Comme t'as grandi! Je suis si content! » fit le bruns bouclés tout sourire. Sourire qui se figea un peu et il pencha la tête sur le côté. «Pourquoi t'es en robe ? »

OoOoOo

Dans une salle vide, les quatre frères et Jeanne se tenaient en cercle et listaient les choses à faire pour le plan B. Plan B qui n'a pas été donné par Antonio nous tenons à le préciser.

« Je vais donc encore prétendre que je suis une femme ?

« Ta voix passe largement. Mais tu dois faire une entrée en scène qui leur bouche un coin.

« Et c'est là que le violon arrive en place. » fit Joan toute excitée en lui tendant « Je t'ai récupéré ton violon, merci à Mr Honda, alors t'as pas intérêt à nous lâcher ! D'ailleurs, ton prof est resté pour voir quel morceau tu vas jouer avec.»

Arthur saisit son instrument en soupirant. Bien sûr que Kiku allait être là. Arthur avait bien dit qu'il ne jouerai que des morceaux de sa composition avec son violon. Mon violon. Il regarda l'instrument et un léger sourire apparut sur ses lèvres.

« Francis voulait que j'avoue que je sois un homme.

« ne t'en fais pas. Je l'ai ai touché un mot à ce sujet. » fit la jeune fille.

« Et quoi d'autre ? » demanda Carwin « Parce qu'il avait les larmes aux yeux quand tu es parti.

« il est vrai que je n'ai pas été très gentille mais je lui ai fait comprendre qu'il avait exagéré. » elle se tourna vers le blond (toujours. (Arthur : je vous déteste tellement…)) travesti « Ce n'est pas contre toi mais la famille Bonnefoy prendrait un sacré coup dans leur renommé si Francis s'enfuyait avec un homme. Que tu sois une femme est dans un sens plus acceptable. Honnêtement, faire un scandale et Marie te serait tombée dessus sans que tu puisse te relever. »

Scott sortit son portable et une suite de flash assaillit Arthur.

« Voilà ! De super souvenir de nos retrouvailles.

« Fuck you Sheep head ! » cracha l'anglais sous le rire de ses frères.

« On a cédé quand la très belle lady a dit que tu devais être une femme mais n'en fais pas une habitude ok ? » fit Edward d'un air très sérieux. « Je veux dire… Si tu aimes vraiment ça d'accord…

« Edward. C'était un cas de force majeur combien de fois je dois le répéter ! »

Jeanne ouvrit la porte et se retourna vers les autres.

« Allez ! Allons sur scène maintenant ! C'est le bon moment. Arthur, la scène est dans cette direction. »

L'anglais lui lança un regard penaud avant d'aller dans la bonne direction. Il aimait pas l'idée. Le plan était qu'il joue un morceau pour captiver le plublic et ensuite faire une déclaration à Francis devant toute la salle. TOUTE la PUTAIN de SALLE.

« T'es sûr ? Mon instinct de survie me dit…

« Il a tords. Allez viens ! » ordonna-t-elle en l'attrapant par le bras et le traînant.

Ses frères le laissèrent se faire kidnapper en lui faisant des signes d'encouragement. Alors qu'ils tournaient dans le coin d'un couloir, Joan sourit à l'anglais.

« Tes frères sont vraiment cool. Et vous êtes vraiment complices entre vous.

« Pardon ? Ils me torturent, prennent des photos compromettantes et tu me sors qu'on est complice ?

« Tu as pas remarqué comme ils sont ravis de te voir ? Si il y avait pas cette histoire avec Francis je t'aurai laissé tranquille.

Francis… Ce fut la seule pensée qui motiva l'anglais à monter sur scène, violon à la main. Devant lui, tous les invités, son père, les parents de Francis, la fiancée et le fiancé qui discutaient. Les regards allaient d'étonnées à confus. Ses yeux émeraudes croisèrent ceux de saphir et il posa, presque avec tendresse, le violon sur son épaule. Il joua quelques notes pour bien vérifier que ce soit accordé puis l'archer prit vie et il se mit à jouer.

C'était long et tendre. Une musique semblable à une sérénade. A certains moments il levait les yeux et croisaient ceux de son 'amant'. Francis laissait un petit sourire sur ses lèvres apparaître en le regardant.

C'est pour toi que je fais ça. Regarde bien.

Les notes accélèrent et prirent des accents aigus, presque tragique. Les invités retinrent leur souffle tout comme le musicien dont le dos s'arqua légèrement. Les yeux fermés et l'esprit embrumés par la sensation de faire qu'un avec son violon. Le violon bleu qu'il aimait tant. Lady Fae.

Lorsqu'il finit son morceau, qui dura un bon moment pour que les invités pensent à autre chose, il s'avança et prit une grande inspiration.

« Francis Bonnefoy. » sa voix résonna dans la salle absolument silencieuse. L'anglais déglutit et continua la voix un peu certaine. « Francis ?

« Oui, Alice ? » Oh je vais te faire ravaler ce sourire. Avoue tu voulais ça depuis le début !

« Well… Je viens porter plainte ! »

Marie reposa son verre et demanda très calmement.

« En quoi mon fils vous a fait tord ?

« Il a fait en sorte… Il m'a fait tomber amoureuse de lui ! Il a juré de m'aimer et qu'es ce que je vois ? Je le vois dans les bras d'une autre !

« Oh… » la mère lança un regard froid à son fils qui déglutit. « Eh bien je suis désolée mais…

« Ce ne sont pas vos excuses que je chercher je veux seulement une réponse de la part de Francis. »

Sur ces mots il (elle pour les invités) descendit des marches avec une présence importante. Vêtue de rouge, le regard fixé sur le bourgeois qui s'est aussi levé et se dirigeais vers lui.

« Tu es en faute. Et tu es aussi tombé dans le piège parce que tu as avoué que tu m'aimais. Maintenant, soit tu es un menteur, soit tu assume tes sentiments. » il les disait comme si c'était des banalités mais c'est joues étaient rouges et c'est mains tremblaient. Il avait une expression calme mais voici une parcelle de ce qui se passait dans sa tête :

AAAAAAAAAAH ! Mais arrête de sourire ! Dis quelque chose ! Oh my god… Tout le monde me regarde. Putain Francis tu es tellement mort après tout ça !

« Francis. Je t'aime et si tu restes à mes côtés je te rendrai heureux. Je veux te rendre heureux… Et je me suis foutu la honte pour cette déclaration alors t'as pas intérêt à me repousser ! » finit l'anglais en criant, les joues rouge et les poings serrés.

Si les invités étaient bouche bée vraiment pas convaincu par cette « déclaration », Francis, lui, ria et prit le travesti dans ses bras. Marie se prit la tête entre les mains tandis que son mari éclatait de rire.

« Tu vas me tuer si je te dis ce que j'ai fais avant que t'arrive ! Mais ça m'est tellement égal. » riait-il

« Eh ? Attends, why ? Qu'es ce que t'as fait ? »

Le français ne répondit pas et pris sa main. « Sortons d'ici d'abord. » il souriait comme un gamin.

L'anglais croisa le regard d'Angela. Elle était jalouse. En colère, blessé et triste. Arthur aurait du se sentir mal mais il lui fit juste un grand sourire et suivit son amant hors de la salle. Des sifflements retentirent et le punk se doutait que ses frères devaient en être les auteurs. Les deux adolescents se mirent à courir vers la sortie, ouvrant les porte et détalant hors de la propriété sous le rire du français.

Après un moment Francis se retourna vers Arthur toujours dans son fou rire.

« Ar… Arthur…

« Attends... Tu m'as pas répondu: Pourquoi je te tuerai ?

« Je… Je venais de parler avec Angela et je l'ai convaincu de rompre nos fiançailles.

« … WHAT ?

« J'allais partir te chercher et te le dire mais… C'était magnifique. Arthur c'est la plus belle déclaration que j'ai jamais eu !

« Attends tu veux dire que j'avais pas besoin de… » Le français l'embrassa pour le faire taire. Arthur aurait aimé continuer de se plaindre mais il laissa passer et ce concentra plutôt sur l'instant présent. Cette fois ci il y avait rien pour les en empêcher. Pas de fiancée, pas de parents, pas d'amis intervenant au mauvais moment… L'anglais entrouvrit ses lèvres laissant le plus grand des deux approfondir le baiser.

« Arthur ! Francis ! » Gilbert je te déteste. Francis recula pour voir mais l'anglais attrapa ses joues et captura de nouveau ces lèvres tant désirées. Fuck Gilbert, keep kissing me.

Lorsque Gilbert arriva il grimaça et se racla la gorge pour capter leur intérêt mais Arthur était accroché et le français avait du mal a accordé de l'attention son ami avec des lèvres aussi possessives.

«Eh ! C'est le awesome Gilbert qui vous parle et ce que j'ai à dire est utile !

« Mmmmh… Gigi… » fit Francis en se détachant un court moment d'Arthur, qui attaquait son cou par des baisers et suçon. « Tu peux revenir un peu plus tard ? Cette délicieuse personne réclame mon attention. »

Gilbert leva les bras au ciel.

«Non ! Ta mère arrive. En fait, elle vous a vu ensemble et elle m'a envoyé vous chercher. Elle vous attend dans le petit salon. »

A la mention de la mère Bonnefoy les deux bondirent loin l'un de l'autre, les yeux semblables à des lapins effrayés et c'était bien normal. Francis savait à quoi ressemblait sa mère en colère et Arthur n'avait vraiment, VRAIMENT, pas envie de savoir. C'est donc en se tenant la main pour se calmer mutuellement qu'ils se dirigèrent, guidé par Gilbert qui les encourageait, vers le dit salon.

La porte s'ouvrit, et si il y avait le grincement cela aurait été digne d'un film d'horreur mais on est chez des gens posh : il pense à huiler les jointures. Ils s'avancèrent et un domestique referma la porte derrière eux. A l'autre bout de la pièce se tenait la mère de Francis, qui semblait plutôt calme. En deux, trois, longues enjambées elle fut devant eux et retira la perruque d'Arthur qui recula un peu. Elle plissa les yeux.

« Mmmh… Il faut dire que Guillaume avait raison. » puis en se tournant vers Francis. « Si tes goûts penchaient de ce côté tu aurais peut-être pu me prévenir non ? »

Son fils cligna des yeux et marmonna :

« Allons bon… Tu es pas homophobe… »

Marie plissa les yeux et dit d'une voix glaciale.

« Ma sœur fut déshéritée parce que mes parents ne voulaient pas d'une lesbienne pour garder notre famille pure. Si tu oses me comparer à eux, là je te ficherai dehors. »

Les deux adolescent restèrent silencieux sous le choc. Arthur osa lancé un regard vers l'adulte qui avait croisé les bras et le jugeait de haut en bas comme la première fois qu'ils s'étaient rencontrés. Elle soupira et au bout d'un long moment annonça :

« Au moins vous avez caché votre vrai sexe. Je dois admettre que j'apprécie ce geste. Notre famille aurait eu plus de soucis si vous ne l'avez pas fait. Je vais donc laisser couler. A une condition ! »

Francis souriait et sauta dans les bras de sa mère.

« Je vous aimes mère ! Je vous promets tous ce que vous voulez ! Merci ! Merci ! » sa mère tapota sa tête en levant les yeux au ciel mais en croisant le regard vert du second jeune homme elle entoura son fils dans ses bras.

« Ton… Ami, n'a pas le droit de dormir ici. Et sachez que même si vous faîtes une demoiselle convaincante, si jamais vous entraîné mon petit Francis dans des affaires véreuse je viendrai moi-même vous rendre eunuque. »

L'anglais pâlit à l'image d'une Marie Bonnefoy en colère qui viendrai la nuit prendre sa virilité.

« Oui Mme Bonnefoy. »

Francis attrapa sa main. « Maintenant maman, je sors !

« Tu dois m'appeler mère en publique ! » grogna-t-elle en les voyants partir.

Lorsque les deux quittèrent la mère dragon Arthur ne put s'empêcher de dire.

« J'aurai jamais cru que ta mère nous laisserai partir…

« Moi non plus. Mais on connaît jamais vraiment nos parents. » sourit-il. « C'est bien la première fois qu'elle parlait de sa famille.

« Mais elle m'aime toujours pas.

« Toujours pas. Tu es trop extravagant pour elle. » ils éclatèrent de rire à cette phrase.

OoOoOoO

Ahlidita posa les deux tasses de chocolats sur le plateau et commença à monter les marches. Elle croisa le directeur, toujours avec sa canne, qui se baladait dans les couloirs.

« Aaaah… la jeunesse est bien chanceuse d'avoir du chocolat de bon matin.

« Vous espérez que je vous en fasse ?

« Je préfèrerai que vous acceptiez mon invitation à dîner.

« Impatient à votre âge ! Je vous la donnerai ce soir. » fit elle en continuant son chemin tout sourire.

Elle s'arrêta devant une des chambres et frappa. A son amusement, son punk ouvrit, son corps uniquement revêtu d'un draps et un air fatigué mais satisfait sur son visage.

« Grany ? Trop tôt…

« Je vous ai fait du chocolat pour toi et Francis. » un bruit semblable à une exclamation de joie étouffée par un coussin se fit entendre dans la chambre. Arthur prit le plateau avec un sourire.

« Thanks…

« Oh ! Et tes frères ont appelés il y a quelques minutes : ils vont passer te voir aujourd'hui.

« Oh shit… Oui ! Oui je donnerai l'argent à Alfred ! » répliqua-t-il au regard de reproche de l'indienne. Il ferma la porte et posa le plateau sur la table de nuit.

"Oï Francis! Lève toi.

"Attends, je digère la situation de la nuit dernière.

"T'es encore là dessus? Écoute, j'allais pas te laisser dominer. De nous deux, je suis le plus viril." Je suis un punk merde!

"Tu étais en robe!" gémit le français. "ça aurait été plus logique si t'avais été le uke!

"Et bien la prochaine tu mettras la robe! Comme ça tu seras moins gêné."

Francis été très doué lorsqu'il s'agissait de balancé des oreillers. Si, si...

Fin du Bal! J'espère que ça vous a plu et surpris étant donné que Marie *attention roulement de tambour* n'est pas si cruelle que ça! Même s'il va toujours être odieuse avec Arthur faut pas pousser le bouchon dans les orties. *silence* Je sais pas si c'est ça l'expression mais tant pis.

Bref! Les prochains chapitres vont du coup être plus centrés sur le problème de famille de notre cher Thuthur mais rassurez vous! *pointe du doigt Antonio* il y aura des plans foireux!

Antonio: mes plans sont pas foireux!

Si. Et imaginez: le trio Antonio, Gilbert, Francis qui va essayer d'aider Arthur. Vous voyez où je vais en venir?

Arthur: ... I'm so fucked.