Disclaimer: Les personnages ne m'appartiennent pas, en revanche l'histoire sort bien de ma tete
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PROLOGUE
Comme à son habitude, Raiponce avait la tête plongée dans ses bouquins lorsque sa mère entra dans sa chambre une lettre à la main. Sa fille n'avait pas bougée, toujours plongée dans son roman.
_ Raiponce ?
_ Hum ?
_Tu veux bien me regarder s'il te plait ?
_ Qu'est ce qu'il y a ? demanda Raiponce
_ Tu es prise ! S'écria Gothel
Alors Raiponce sourit, heureuse d'être enfin admise à Poudlard
Jack se tenait dans la cuisine, encore en train de chiper de la nourriture, lorsque son oncle entra. Les provisions roulèrent au sol et jack prit, ou plutôt essaya de prendre son air le plus innocent.
_ Jack ? Demanda Nord d'un ton menaçant
_ Ouuiii ? Répondit le jeune garçon
_ C'est pour toi, continua son oncle en lui tendant une lettre
_ Pas une beuglante j'èspère ? Demanda Jack, soupçonneux
_ Ouvre et tu verras
Jack l'ouvrit avec beaucoup de précaution, commme si la lettre allait lui exploser à la figure, et lut. Ses yeux se mirent à briller et il se mit à hurler '' j'suis pris !'', ce qui fit sourire son oncle.
Merida revenait de l'écurie lorsqu' elle vit ses trois frères tentant encore de voler les merveilleux gateaux préparés par leur mère. Cette dernière se tourna justement vers elle, ce qui laissa aux triplés d'arriver à leur fin (-aim). Elinor tendit à sa fille une lettre.
_ Je crois que tu vas aimer cette lettre ma chérie
_ Elle raconte quoi ? La mort de tante Germaine ? La paix dans le monde ? L'égalité homme-femme ?
_ Euh non mais cette nouvelle sera quand même heureuse. Lit la et tu verras
Merida ouvrit l'envellope et obéit à sa mère. Après avoir parcourut les lignes elle se mit à danser de joie en chantant '' je suis prise, je suis prise''
Harold rentrait de son entraînnement lorsque son père vint au devan de lui. Il avait un drôle d'air et les mains dans le dos, semblant masquer quelque chose. Harold, soupçonneux, ralentit. Stoïck lui tendit une lettre qu'il prit.
_ Lit cette bonne nouvelle et après tu me diras ce que t'en pense, lui dit Stoïck
Alors Harold lut, tout en surveillant du coin de l'oeil son père. Quand il eut finit, il se mit à sauter de joie. Son rêve se réalisait, il allait enfin dans l'école prestigieuse de poudlard.