Note de l'auteure : Yo les gens ! Je sais ce que vous vous dites : "Encore une nouvelle histoire avec toutes celles qu'elle a déjà en route ?!". Oui, je suis inexcusable, mais j'ai une bonne raison de publier celle-là : c'est le cadeau d'anniversaire très en retard de LoloSawyer !

Bref, encore bon anniversaire ma poule, et j'espère que ton cadeau te plait !
Et j'espère qu'à vous autres aussi, il vous plaira ! :)

Les fautes et moi sommes en couple depuis mes 3ans, donc soyer indulgents vis à vis d'elles...

Rating : M
Paring : Riren (Rivaille x Eren - Levi x Eren)
Disclamer : Les personnages, ni l'histoire originale ne m'appartiennent, ils sont l'unique propriété d'Hajime Isayama !

Cette fanfiction par contre est à moi !

Bonne lecture :3 !


Chapitre 1 :

J'étais plaqué contre le mur de son bureau, et lui me regarder d'un regard que je ne lui connaissais pas. Ses mains vinrent se positionner de part et d'autre de ma tête. Il avait beau être de petite taille, sa carrure imposante faisait de son aura quelque chose de gigantesque. Je baissais mes yeux et les ancrais dans les siens. Je me mordis l'intérieur de ma joue droite pour m'empêcher de dire une connerie qui pourrait me nuire. Je sentais émaner de lui un certain esprit animal qui annoncer rien de bon pour la suite.

Un petit sourire en coin vint orner ses lèvres, et de ses dents, il vint mordre la peau tendre de mon coup. J'émis, malgré moi, un gémissement de protestation, face à la voracité avec laquelle il me mordait. Je n'avais en aucun cas envie de le repousser. J'en avais envie, surtout avec lui. J'en avais rêvé et là, mon souhait peut se réaliser. Mais savoir que c'est lui qui aller me prendre, me fait terriblement chier ! Juste pour ça, je n'ai pas envie de me laisser prendre par lui. Vous vous demandez comment je le sais que ça serait lui au dessus hein ? Je le sais car son putain de regard d'animal me disait que ça serait comme ça et pas autrement ! Et sincèrement, je ne sais pas pourquoi je laisserais un homme comme lui me prendre sans ménagement dans ce bureau ! Je le repousser donc, en le poussant de mes bras. Malgré ma faible force, j'y arriver.

Son aura devint noire, et je compris mon geste. J'étais dans la merde, et jusqu'au cou. Je voulais y aller, mais il me replaça contre le mur, poussant mon corps du siens. J'allais le repousser une nouvelle fois, mais il emprisonna mes bras, et les mis au dessus de ma tête. Il vint lécher ma pomme d'Adam, et remontant tout droit, jusqu'à venir lécher mes lèvres, où il introduit de force sa langue, et passa la barrière que mes dents avaient crée pour venir entamer un combat avec ma langue. Je résistais, ne voulant pas me laisser dominer par cet être aussi beau que machiavélique.

Mais j'étais forcé d'abandonner, c'était trop bon, et un gémissement traversa mes lèvres. Il enroula mon muscle humide du sien, et une danse brusque commençaient entre nos langues. Le manque d'air nous sépara, et son sourire moqueur vint orner de nouveau ses lèvres. J'étais essoufflé. Mais mon regard voulait tout dire. Je ne pouvais pas lui céder, pas maintenant. S'il veut tellement me prendre, je veux juste qui me donne une raison.

-Vous n'êtes qu'un crevard ! Laisser moi partir bordel de merde !

Un petit rire, suivit d'une expression neutre vinrent orner le visage du chirurgien. Il se rapprocha de mon oreille, et me la lécha, me faisant gémir et soupirer d'aise. Je ne pouvais pas contrôler ses bruits. Il mordilla le lobe de cette dernière, et vint susurrer à celle-ci.

-Quel langage grossier pour un gamin. Tant que ton cul ne m'appartient pas, et tant que tu ne me supplies pas de continuer à te trouer le cul merdeux, je ne te laisserais pas partir.

Son ton calme me fit frissonner, et contre toute attente m'excita d'avantage. Ça promet d'être violent, et d'un côté ça me plaît. Il me regarda. Mais d'un regard tellement intense, et qui disait que demain, je ne pourrais pas m'asseoir sans avoir mal que j'en frissonner de peur. Bordel de putain de merde à la con. Comment je me suis retrouvé là déjà ? Ah oui, je me rappelle...


[Ce matin, 7h30 , bureau du directeur Daris Zacley]

J'étais là, debout, en face du bureau de monsieur le directeur. Je le regardais, et lui soupirais. Bon ok, on dirait que je suis encore un gosse de primaire qui attend la sentence de ses parents parce qu'il venait de se battre. Ok, je me suis conduit comme un crétin, mais comment voulez-vous que moi, Eren Jeager, ayant le sang chaud et ayant hérité de ma défunte mère ce putain de truc qui fais qu'on voit rouge à chaque remarque désobligeante, n'est pas pu démarrer au quart de tour quand le sublime et maléfique chirurgien Levi Ackerman vient me chercher des noises.

Bon, d'accord, ça fait qu'un mois que je travailles dans cet hôpital, et je sais que j'aurais pus éviter de me retrouver ici, mais quand ce putain de chirurgien vient vous traîter d'impuissant pour vous foutre la honte devant la plupart des puéricultrices de cet hôpital, croyais moi, Ackerman ou pas, vous essayerez de lui foutre un poing dans la gueule. Bon d'accord, j'avoue que le prendre par-derrière, enfin, je veux dire par surprise est lâche, mais comment voulez-vous que je réussisse sinon à donner un coup à un mec à la carrure imposante comme lui ?

Ouais, je sais, vous en avez aucune idée. Eh ben... pour tout vous avouez, moi non plus. Donc je me comporte comme le gros gosse de vingt-cinq ans que je suis, je surprends ma victime quand elle s'y attend le moins. Là en l'occurrence, j'ai attiré ma proie en prenant le dernier thé chaud du distributeur, -oui Levi Ackerman saurait que sait moi qui l'est pris pour la seule est unique raison que ce putain de jeu à commencer quand je suis arrivé dans ce bâtiment-, et ce dernier, pendant sa pause, débarqua dans ma section, et me prit violemment par le col pour m'emmener dans les escaliers de secours.

Son expression qui disait qu'il allait me tuer et débarrasser toutes traces de mon existence sur cette terre me firent froid dans le dos, mais en tant qu'emmerdeur né, et chercheur à embrouille, je le regardais, une lueur de défis dans les yeux, et un sourire confiant. Je me rappelle encore de son aura quand j'avais ouvert la canette devant ses yeux, bu une gorgée et léché tout le haut de la canette pour être sûr que monsieur propreté ne vienne pas boire après moi. Je continuais à en boire le contenu, mais la suite des événements fut plus intense que je ne l'aurais crû.

Je me rappelle encore très bien de la douleur que son coup de pied dans mon estomac m'avait procurée. Je ne sais pourquoi, mais il ne m'a jamais apprécié, même si je m'en doute un peu. Mon père étant le plus grand médecin du pays, tout le monde croit que je me suis fait pistonner pour rentrer dans l'hôpital le plus reconnu de ma petite ville de Trost. Enfin, ''petite ville'' tout est relatif. Bref, la réponse est non. À la base, je devais aller travaillais avec mon père, ce que j'ai fait pendant une semaine, mais en ayant marre d'entendre à chaque fois que je passais devant quelqu'un que je m'étais fait pistonner, j'ai pris mes cliques et mes claques et est déposé plusieurs CV et candidatures partout. Pas ma faute si j'ai été pris ici.

J'avais lâché la canette. Le temps semblait figé, et quand cette dernière avait atteint le sol, j'ancrais mes yeux émeraude haineux dans ceux gris foncé moqueur de mon vis-à-vis. Je me rappelle encore de comment je me suis jetais sur lui avec un élan de courage de pur adolescent attardé que l'insouciance pouvait vous donnez. Malgré mon élan de courage et toute ma bonne volonté, Dieu sait que j'en ai une énorme réserve, la bataille au sol que j'avais lancé fut très dure. Je me suis pris beaucoup de coups, et je suis fière de moi, car j'ai réussi à lui en donner un bon.

Mais au finale, je me suis quand même retrouvé gisant sur le sol. Il m'avait regardé avec un air supérieur sur le visage, et j'ai fait ce qui ne fallait surtout pas faire avec le genre d'homme que Levi Ackerman était : se relever, et se foutre de sa petite taille en affichant un sourire victorieux ancré sur le visage. J'en suis sûr que vous connaissez la fin. Je me suis de nouveau retrouvé au sol. Bien sûr, j'avais une pause de dix minutes. Ma meilleure amie Mikasa, qui n'est autre que la nièce de ce cher chirurgien que je porte dans mon cœur -ironique bien sûr- vint me trouver, et me ramena dans une chambre pour me soigner.

Bien évidemment, il a fallu qu'Armin, le gars le plus accroc au règle, et mon meilleur ami attitré depuis l'enfance, fut au courant de ma petit dispute avec le chirurgien démoniaque qu'est l'oncle à Mikasa. Ses sermons sont toujours les mêmes : « Tu dois éviter de t'emportais Eren ! Imagine, tu te fais virer ou que quelqu'un porte plainte... et patati patata ». Je soupirais de frustration. Levi Ackerman ne cesse de hanter mes pensées, mais pour une seule raison : je déteste ce type. Je veux lui faire la peau et lui montrais qu'il n'est pas aussi supérieur que son air voudrait lui faire croire putain !

Étant donner qu'un malheur n'arrive jamais seul, comme le dis le diction, il a fallut que l'infirmière en chef Petra Ral, débarque dans cette chambre pour me dire que j'étais convoqué dans le bureau de Daris car ce bâtard d'Auro qui lèche le cul à Levi, aille rapporté au directeur ce qu'il a vu ! Je sais ce que vous allez dire : « Toute façon, ça se saurait sue à un moment ou à un autre » et ben non ! Ce n'est pas la première fois que ce genre de truc arrive avec ce petit être qu'est-ce chirurgien. C'est comme ça que j'ai attairi ici, dans ce bureau, alors que sa ne fait qu'un seul et unique petit mois que je suis ici. Il ne savait pas quoi dire. Daris est le frère à feu ma mère. Il sait comment je suis.

Mais ça n'excuse pas mon comportement. Maintenant que j'y pense, c'est son hôpital ici ! C'est peut-être pour ça que j'ai été pris... Putain de merde, en fait, je me suis refait pistonner malgré moi...
Il soupira une énième fois et me regarda droit dans les yeux, remontant ses lunettes.

-Eren...

Je vins me gratter la joue nerveusement, détournant le regard. J'ai jamais été fort pour soutenir son regard. Je ne sais pourquoi, mais le mûr blanc à ma droite est vraiment intéressant d'un coup. Oh tient ! Il y a un trou...

-Eren, pourquoi t'es-tu battu ?

Je vins ancrer mes yeux dans les siens.

-Pour ma fierté, je suppose...

Il soupira.

-Tu veux plutôt dire que t'a réagi au quart de tour encore une fois non ?

Je me crispais. Dans le mile. Mais putain ! Ce type m'a foutu un coup de pied dans le ventre ! J'allais pas rester sans rien faire en remuant la queue non ? Bordel ! Je parie que cette enflure d'Auro lui a raconté que ce qui jouer en la faveur de cet enculé de chirurgien ! Je vais me le faire lui aussi si ça continu ! Je me mordis l'intérieur de ma joue droite, essayant de refouler toute ma colère. Ouais, je suis un grand gamin colérique, mais quand la maladie emporte votre mère à l'adolescence, il y a une chance que vous rester un grand enfant pendant longtemps non ?

Devant ma non-réponse il prit ça comme un oui. Je m'en souci pas trop. C'est quand même grâce à lui que j'ai voulu faire un métier dans la médecine. Là, je suis peut-être juste infirmier, mais c'est vrai que si je finis bien mes stages, je pourrais devenir chirurgien aussi et claquer le beignet à ce putain d'Ackerman ! Quand ma mère est morte, je n'ai pas pu m'en remettre, et je faisais ce qu'il ne fallait pas faire. Chercher les embrouilles, me battre avec tout le monde, et coucher avec n'importe qui. J'étais en pleine crise d'adolescence.

Mais Daris m'a pris sous son aile. Mon père n'était pas souvent voir quasiment jamais là à cause de sa réputation. Il voyageait d'hôpitaux en hôpitaux à travers le pays, me laissant seul face à moi-même et à ce connard de chagrin qu'est la perte d'un être chère. Mais je ne lui en veux pas. Ça devait être sa façon à lui d'oublier sa peine. Je préfère savoir qu'il se plonge dans son travail pour oublier sa peine, qu'il vienne me violer et me battre n'est-ce pas ? Bref, Daris s'est occupé de moi et en gros, il m'a dit ça : ''si tu ne veux pas que ce qui est arrivé à ta mère arrive à quelqu'un d'autre, change ça ! Deviens chirurgiens et sauve autant de vie que tu peux !''.

J'étais stupide et plein de rêves à l'époque. J'avais pleins de rêves, et je croyais encore que tout était possible. Maintenant, je suis... Juste stupide, je dirais. Mes rêves se sont brisés en même temps que ma détermination dès que j'ai vu le nombre d'études qu'il fallait faire pour devenir chirurgien, onze années de longues études toute aussi barbante les unes que les autres. Mais Dieu soit louer, la technologie à avancer et le système scolaire aussi.

J'ai appris qu'après plusieurs stages en infirmerie et en chirurgie, sans oublier un bon gros coup de pouce de la part de mon père, je pourrais devenir chirurgien plus tôt. Je suis un putain d'enculé de fils unique, mais je l'assume complètement. Je ne voulais pas cette option à la base, mais mon père a tellement été joyeux en apprenant ce que je voulais faire, que dès qu'il a appris que je voulais abandonner, il a fait bouger les choses. Je culpabilise un peu pour ce qui à la fac de médecine, sont en train de s'arracher les cheveux pour apprendre tout ce qui faut apprendre.

-Va. Je passe pour cette fois. Mais tu iras faire tes excuses au chirurgien en chef pour la peine.

Je voulus protester et me défendre, car bien sûr personne n'avait donner ma version des faits, mais quand je vis son regard, j'eus compris que son ordre était impénétrable. Je serrais les poings, et sous un grognement de ma part, je sortis de la salle. Quand j'eus fermé la porte et que je levais le regard, je sentais tout mon sang bouillonné. Oh, mais qui vois-je devant moi ? Un petit être malfaisant les bras croisés avec un air neutre.

-Vous n'avez pas de travail que vous glander toujours ?!

Il me regarda et dit rien. Je dois lui faire des excuses, je le sais, mais pas maintenant. Un bip se fit entendre au niveau de ma ceinture. J'enlevais la blouse qui cachait le petit boité noir qui y été accroché et vit sur le petit écran de ce dernier que j'étais convoqué dans la chambre 215 au deuxième étage. Je soupirais, et fini par sourire. Cette chambre, c'est la sienne. Un raclement de gorge se fit entendre, et je relevais la tête. Mes sourcils se froncèrent automatiquement quand mon regard croisa le sien. Qu'est-ce que je peux détester ce type avec ses airs supérieur.

-Tu dois me dire quelque chose si j'ai bien compris gamin.

Un rictus moqueur apparut sur mon visage. Soit il a écouté ce qu'on se disait à travers la porte, soit il est allé dans le bureau avant moi. Je ne sais pas pourquoi, mais je pencherais plutôt vers la première option...

-Je ne vous dirais rien maintenant. Comme vous pouvez le voir, je suis convié quelque part. Même si ça me fait chier, je passerai vous voir ce soir avant de m'en aller. Même si votre tête est la dernière chose que je voudrais voir avant de partir.

Je le vis haussé un sourcil, et sous un geste de la main de ma part, je partis. J'avais gravis les marches pour aller à la chambre 215 et l'ouvrit. Cette chambre possède un occupant dis « inconnu ». Il est arrivé il y a une semaine dans le coma, et personne ne sait qui il est. À son arrivée, il n'avait aucune carte d'identité ni aucuns papiers prouvant qu'il existe dans cette société. J'adorais venir ici, car c'est calme, et il arrive souvent que je vienne prendre mes repas ici avec certains de mes amis qui sont ici. Déjà, car personne viendrait nous emmerder, et deuxièmement car il nous fait de la peine à être ici tout seul.

Il lui fallait un lavement. J'avais soupiré. Qu'est-ce que je déteste mon boulot, vraiment...

Le soir était tombé plutôt rapidement, et comme promis, je dus passer dans le bureau de Levi Ackerman. J'avais essayé de m'éclipser, mais Daris me connaît tellement bien, qu'il m'avait attendu dans l'ascenseur, et m'avait emmenait devant cette porte, pour me laisser seul au final. Je pouvais partir, là, tout de suite et prendre les escaliers pour partir. Mais il a dû poster Armin pour être sûr que j'aille faire mes excuses. Je soupirais, et avec un grand manque de volonté, toquais à la porte trois fois, et ouvrit dès qu'un ''Entre gamin'' qui m'irrita au plus au point retentit.

Dès que je fus engouffrais dans la pièce, et que ses yeux s'accrochèrent aux miens, je me sentis encore plus énerver. Les rideaux de son bureau étaient ouvert, et le coucher du soleil vint faire ressortir sa peau d'une blancheur qui ferait rougir la lune. Ses cheveux noirs mi-longs, voletaient grâce à la légère brise qu'une des fenêtres laissait renter dans la pièce. Levi Ackerman est beau, même trop beau pour être vrai. Et je le déteste pour ça. Comment un mec qui a tout pour lui, et dont toutes les personnes, hommes ou femmes, de tout âge se jettent à ses pieds à un caractère aussi pourris que le siens ?

Je sais pourquoi. Car dans ce monde, seuls les bâtards on ce qu'ils veulent. Mais je me demanderais toujours pourquoi un aussi bel emballage abrite un abruti comme l'oncle à Mikasa. Non mais sérieusement ? Pourquoi ? Pourquoi Dieu ? Je soupirais tandis que lui se levait pour finalement venir s'adosser contre le devant de son bureau, son air neutre coller sur son putain de visage angéliquement démoniaque. Je veux tuer ce type. Je ne bouger, pas. Je ne savais pas quoi lui dire après tout. Je ne vois pas pourquoi je dois faire mes excuses à un type qui l'a bien cherché, et que je n'aime pas.

-Je m'excuse... Finis-je par dire, sans aucune conviction.

-On ne s'excuse pas soi-même morveux, t'as pas écouté ça quand t'étais gosse, ou c'est parce que le peu de choses qui te sert de cervelle s'est évaporer en même temps que l'eau durant la sécheresse de cette année. Me dit-il, un sourire de pure provocation plaqué sur son visage.

Je serrais mes poings. Pourquoi je n'arrive pas à me faire à la présence de ce type ? Je le déteste. Pourtant quand Mikasa parle de lui, on dirait que c'est un mec formidable. À croire qu'elle idéalise la réalité en fin de compte.

-Je vous emmerde, et bien profondément.

Il perdit son sourire et s'approcha de moi. Ok, je n'aurais peut-être pas dû dire ça aussi directement. Je déglutis difficilement quand je vis sont regard remplit de colère. Ok, mauvais point, j'ai énervé cette petite enflure. Une fois qu'il fut à ma hauteur, il ouvrit la bouche.

-T'as dit quoi gamin ?

Et comme un con, je répondis, mais plus méchamment. Je suis stupide, je le sais.

-Que je vous emmerde, et bien profondément. Je ne vous aime pas, à mes yeux, vous n'êtes vraiment qu'un enculé qui veut être supérieur aux autres. Je dis ceci avec un sourire innocent.

J'ai vraiment crû que sa réaction aller être la même que ce matin. Mais non. Cette fois, il ne me tapa pas. Quand je vis son sourire carnassier, je pris peur, et reculai d'un pas. Mais c'était trop tard. Je me retrouvais collé contre le mur. J'en suis là. J'étais excité à cause d'un type plus petit que moi et que je déteste vraiment. Il vint mordre ma paume d'Adam, me laissant un petit gémissement de douleur m'échapper quand je sentis ses dents mordre ma chaire. Je sentais sa main libre relever mon tee-shirt, et ses doigts froids vinrent caresser ma peau halée, qui a chaque passage semblaient chauffer.

Il arriva à la hauteur d'un de mes tétons, et sans attendre, il le pinça. Je gémis, mais de plaisir cette fois. Je sentais ses lèvres sourire contre ma peau, et très vite, sa bouche rejoint sa main. Il s'accapara mon autre téton. Quand ce dernier fut bien lubrifié, il aventura sa langue aussi bas que possible, léchant tout mon torse, et faisant rouler sa langue dans mon nombril, ce qui me fit un effet monstre. Je n'arrivais pas à contenir mes gémissements, et le pantalon que je portais laisser voir une bosse apparaître.

J'essayais tant bien que mal de bouger pour me défaire de son emprise, mais en vint, quand sa main libre effleura de nouveau mon bout de chaire rose, ce ne fut qu'un bruit de plaisir qui sortis de mes lèvres. Je baissé mon regard et le regarda. Je compris que c'était trop tard. J'étais pris au piège. Cet homme pouvait faire ce qu'il voulait de moi. J'étais perdu. Mais mon putain de côté rebelle était toujours là, et ma jambe essaya de le faire trébucher, mais non. Il a fallu qu'il ait plus de force que moi et qu'il me plaque littéralement contre le mur.

-Je vous hais... Dis-je difficilement.

Il rit doucement.

-Je sais gamin. Ça se lit dans tes yeux.

Ses lèvres s'approchèrent des miennes et un baiser se crée. Il était toujours aussi violent. Ses dents déchirèrent la peau de ma lèvre inférieure, récoltant les quelques gouttes de sang qu'elle crée au passage, et revint danser sauvagement avec ma langue. Quand il brisa le baisé, un filet de salive nous relier. Nos respirations, devenues irrégulière se mélangèrent. J'avais chaud, très chaud. Mes forces m'abandonner peu à peu. Mais je ne voulais pas céder à cet homme aussi facilement. Je sais très bien pourtant qu'il est trop tard, mais je ne pouvais tout simplement pas l'accepter.

Il finit par lâcher mes mains. Malgré l'envie que j'avais de le repousser, ses yeux m'en dissuadèrent. Il me retourna, permettant à mon front de se placer contre le mur. Sa main droite vint desserrer la boucle de ma ceinture en cuire, laissant mon pantalon glissait le long de mes jambes. S'en était fini de moi. Sa main vint tracer un petit cercle, avant de suivre la fine ligne de poils noirs qui montrait le chemin à mon sexe gonflé du plaisir violent que cet homme m'avait procuré. Quand il saisit ma verge, je ne pus retenir un cri de plaisir. Les vas et vient qu'il appliquer furent violent dès le départ.

C'était trop pour moi. Je baissais les armes, mettant ma fierté puis mon désir de domination de côté profitant de ce moment de pur plaisir que ce bâtard de chirurgien qu'est Levi Ackerman m'offrait. Je laissais la pièce se remplir de mes gémissements, et quand la fin fut proche, il arrêta tout, et resserra ses doigts violemment sur mon pénis gonflait. Une plainte se fit entendre, et mon regard s'ancra de le siens. Un sourire se fit voir, et quand je sentais mon boxer se faire la malle, la seule pensée qui me traversa l'esprit fut un ''Oh merde''. Je plaquais mon front contre le mûr, et la froideur de ce dernier me calma.

Je sentais le sexe du petit homme se glissais entre la rais de mes fesses. Je frémis de bonheur. Mais rien ne vint. Il se frotta contre mon intimité, laissant mon corps être parcourut par de légers spasmes de plaisir trahissant mon désir de sentir ce petit être en moi. Mes grognements de frustrations ni changèrent rien. Il continuait son manège. Je sais ce qu'il veut. Mais je ne dirais rien. Je me suis déjà trop laisser dominer. Trop pris par le plaisir, je commençais à rouler des hanches plusieurs fois, faisant rentrer le sexe chaud de mon dominant en moi.
Ma première réaction fut négative. J'ai laissé des insultes sortir de mes cordes vocales. Je n'étais pas préparé, et faut avouer que ce bâtard et putain de bien monté à ce niveau-là. Je l'entendis soupirer, et malgré mes plaintes, il s'enfonça en moi en un seul coup de butoir. Laissant quelque perles salées naître aux coins de mes yeux. Mais elles ne glissèrent pas sur mes joues. Ce droit leur était interdit.

-En..foi..ré... Dis-je haletant de douleur.

Il rigola. Mon intimité ne cessait de vouloir rejeter cet intrus, mais au final abandonna, et se desserra. Il commença alors de léger vas et vient en moi, me laissant gémir de souffrance, puis de plaisir par la suite. Je sentais en moi une vague de plaisir naître, mais la main qui serrait mon pénis m'obliger à gardais cette jouissance en moi, mélangeant mes cris de plaisirs, à ceux de frustration et de douleur. Ses coups de butoirs se firent plus violent au fur et à mesure que mes cris s'intensifièrent.

Il finit par lâcher ma verge pour venir prendre mon bassin entre ses mains, pour toujours mieux s'enfonçait en moi. Quand il toucha mon point sensible, je jouis contre le mûr, mais lui ne s'arrêtait pas. Ce fut quelques minutes plus tard, et après une deuxième délivrance de ma part, qu'il finit par se vidait en moi. Mes jambes tremblèrent, ces dernières ne supportant plus mon poids me firent tomber au sol, à genoux. J'étais essoufflé. C'était bon, mais j'étais en colère contre moi pour avoir laisser ce type me dominer ainsi. Je serrais mon poing.

Un genou me poussa le dos, et je me retrouver allonger sur le ventre par terre. Je voulais me retourner pour criais sur le chirurgien pervers qui venait de me violer, même si j'ai apprécié, mais il me coupa la parole.

-Laisse-moi finir Jeager.

Je le vis baissé son visage au niveau de mes fesses, et je sentis quelque chose d'humide me lécher. Je frissonnais face à se contacte froid, mais quand se muscle humide vint s'en prendre à mon orifice, je ne pus m'empêcher de me laisser faire. Et putain, une défaite de plus ce soir. Pourquoi il a fallu que je cède à Daris et que je vienne faire ces putains d'excuses. Quand je ne sentis plus rien, je retournais ma tête, et croisai son regard. Il s'assit à côté de moi. Je remis mes habits, mais une douleur présente dans mes reins m'empêcha de me relever. L'enflure ! Ce regard disait vrai ! Je ne vais pas pouvoir m'asseoir demain ! L'enculé ! Même si c'est plutôt moi l'enculé ici...

Il vint prendre ma mâchoire en main, lécha de sa langue mes lèvres, puis la ligne de démarcation de mon menton et de ma lèvre inférieure avant de venir plonger cette dernière dans ma bouche. Je en sais pourquoi, mais cette fois, je décidais de me laisser aller. Au point où j'en étais en plus, je ne pouvais pas tomber plus bas. Le baisé se brisa, mais il ne lâcha pas ma mâchoire. Nos yeux ne se quittaient pas.

-Je vous déteste vraiment monsieur le chirurgien en chef.

Il laissa un petit rire lui échapper.

-Je te hais vraiment Jeager.

On resta comme ça, pendant plus d'une demi-heure. C'est un appelle provenant de mon portable qui brisa ce moment. Je répondis malgré moi, et me dirigeai vers la porte, répondant à mon interlocuteur. Avant de claquer la porte, je vis toujours ce chirurgien pervers assis en train de me regarder avec son éternel air neutre. Ce qui m'énerva. Putain ! La prochaine fois, je vais buter ce type !


Et voilà ! Finis !
J'espère qu'il vous aura plu !
Bref, à la base ceci doit être un O.S pour l'anniversaire de LoloSawyer, mais si vous voulez une suite, dîtes le moi !
Laisser vos impressions :*