Bonjour à tous,

Je tiens à m'excuser de ma longue absence. J'étais submergée par les préparatifs de mon voyage en Europe et ensuite par celui-ci aux É.-U., je ne pouvais guère écrire. Maintenant, je suis de retour et j'ai repris le « crayon ».

Je suis désolée pour ceux qui voulaient deux chapitres, mais je conclus cette histoire avec ce dernier chapitre. J'ai lu vos commentaires et un m'a fait réaliser que ma fic était de la douceur et de la romance donc à ce stade-ci ajouter de l'angoisse fera un peu hors sujet. Donc exit mon chapitre sur l'enlèvement de Molly par le baron Greensville. Je me concentre que sur le côté romance donc avec la conclusion de celle-ci. Je pense que je le dis chaque fois, mais Sherlock Holmes est très OOC dans cette fic. J'ai aussi essayé de rester dans la côte « T », mais je vous dirais que le dernier paragraphe est limite sans pour autant être descriptif.

Merci beaucoup à tous les commentaires laissés, je vous lis toujours avec grand plaisir. Merci à Huntress-Dark, Rosaliepanda, SherLoki221B, Usah, Dame Marianne, Stéphanie1206, Kaori35, Saku-chan06, petitbébéfille et Lorina (je voulais simplement te mentionner que je ne peux te répondre par MP, car tu n'as pas de compte fanfiction, mais merci pour tes commentaires.)

En espérant n'avoir oublié personne.

Bonne lecture!

Chapitre 7 : Les contes de fées existent

Trois mois et quelques jours plus tard.

Sherlock Holmes avait congédié tout le monde, il avait besoin de calme, car il se mariait dans quelques heures. Il n'avait pas l'angoisse du jeune marié, il savait que la femme qui viendrait à lui était la femme qui lui était destinée. Par contre, il était énervé par le nombre incessant de va-et-vient dans sa chambre qui venait lui offrir leur aide ou pire entendre son père lui proférer des conseils douteux sur la consommation de son mariage. Sherlock Holmes n'était pas un homme patient et ce fut avec rudesse qu'il fit sortir son valet de chambre et sa parenté. Son père lui lança un regard de lourd reproche avant de sortir avec dignité. Le jeune homme savoura le calme de la pièce tout en nouant tranquillement sa cravate. Son costume, au lieu du noir traditionnel, était aubergine. Un choix qui plairait sans nul doute à Molly. Son regard s'adoucit instantanément. Il avait hâte qu'elle soit enfin sienne. Il ne pensait pas que trois mois puissent être aussi long, mais il avait beau faire valoir tous ses arguments au tuteur de Molly, il a maintenu sa position de faire un beau mariage pour sa pupille et trois mois était le minimum qu'il était prêt à accepter. Sherlock, par respect, abdiqua et accepta les conditions de lord Watson. Après tout, il avait reçu son approbation et obtenu un mariage rapide, pas aussi rapide qu'il l'aurait voulu, mais il ne pouvait pas gagner à tous les coups.

Penser à Molly le ramena quelques mois en arrière, lorsqu'il avait fait sa demande à lord Watson. Il était rare qu'il se fût senti peu sûr de lui, mais lorsque le majordome l'avait fait entrer dans la bibliothèque, il s'était senti intimidé. Non pas à cause de lord Watson, mais plutôt sur le caractère solennel de sa demande, il n'avait jamais cru qu'il ferait une telle demande un jour et maintenant, il était là devant un homme qui tenait son bonheur entre ses mains. Sherlock avait remarqué immédiatement que lord Watson était légèrement saoul, malgré l'heure matinale. Il savait que le tuteur de Molly était malheureux, car il croyait perdre la femme qu'il aimait. Ce dont Sherlock savait incorrect, mais l'homme semblait ombrageux et qu'il soit légèrement ivre et malheureux n'allait surement pas aider sa cause, s'il lui lançait au visage ses déductions sur le faux amour qu'il ressentait pour Molly. Il avait tout intérêt à préserver lord Watson et de bien choisir ses mots. Il n'était pas dans les habitudes de Sherlock de prendre des gants blancs, mais pour Molly, et surtout pour avoir la chance de l'épouser le plus tôt possible, il avait offert le plus charmant des sourires tout en serrant la main chaleureusement de John Watson. Lord Watson avait accepté la poignée de main et l'avait fait assoir. Il avait sonné la bonne afin qu'elle apporte du thé et des scones pour son invité. Lorsque la bonne fut sortie, Sherlock s'était jeté à l'eau.

« Je crois que vous savez pourquoi, j'ai sollicité un entretien privé avec vous. Alors, je ne vous ferai pas perdre vos temps et je vais aller droit au sujet de ma requête. Je vous demande de m'accorder la main de lady Hooper. J'ai fait ma demande auprès d'elle et à mon grand plaisir, elle a accepté. Je ne ferai pas l'étalage de mes titres et de ma fortune afin que vous acceptiez ma demande, j'ai l'impression que la seule chose qui sera acceptable à vos yeux serait que je veuille la rende heureuse… Ce que j'ai l'intention de faire. Je ne suis pas particulièrement romantique, mais je sais que Molly et moi sommes parfaitement assortis. »

John s'était alors levé de son fauteuil et avait regardé attentivement le visage de Sherlock et lui avait dit simplement trois mots. « L'aimez-vous? »

Sherlock lui avait lancé un regard interloqué. Les hommes du monde ne parlaient pas de leurs sentiments et encore moins... lui. Il ne pouvait dire qu'il ne croyait pas à l'amour, mais au partenariat, car même lui savait que ce n'était « pas bon » à dire. De toute façon, il savait aussi qu'il n'aurait pas été honnête envers lui-même s'il avait répondu de cette manière à lord Watson, ce qu'il ressentait pour Molly était certainement de l'amour, mais de là de l'avouer à voix haute devant cet homme l'avait terrifié, il avait figé sur place et demeuré muet.

John avait répété les mêmes mots semblant insensible aux tumultes que ressentait le jeune homme. « L'aimez-vous, M. Holmes? La question est simple à répondre. Vous ne devez que me répondre par un oui ou par un non. »

Sherlock avait soupiré, il savait qu'il devait répondre, mais il avait perdu l'usage de la parole. Il avait raclé nerveusement sa gorge et un son indistinct était sorti de ses lèvres. Mortifié par son comportement, il avait rougi tout en s'agitant sur sa chaise. Il s'était morigéné intérieurement et ce fut d'une voix claire et ferme qu'il avait prononcé quelques secondes plus tard. « Oui, je l'aime. »

Lord Watson lui avait souri avec sincérité sachant l'effort demandé au jeune homme. Il lui avait dit simplement. « Alors, ma réponse est oui. Vous avez ma bénédiction. »

Un bruit provenant de la petite porte cachée derrière la tapisserie le ramena à l'instant présent, il eut à peine le temps de voir sa mère s'avancer vers lui qu'elle le prit dans ses bras en le serrant très fort. Habituellement, il n'aimait pas les contacts intimes, mais aujourd'hui était une journée spéciale et il rendit l'étreinte. Il savait que sa mère était heureuse pour lui, car il se mariait, même s'il était incapable de le dire tout haut, par amour et qu'il était aimé en retour. Il savait aussi que sa mère était amoureuse d'un homme qu'il avait croisé à quelques reprises ces derniers mois au manoir. Malheureusement, il savait aussi qu'elle souffrait de ne pas vivre son amour au grand jour et son mariage aujourd'hui devait lui être un rappel douloureux. Par contre, elle ne le montrait pas, mais il le savait qu'elle y avait une infime partie d'elle-même qui avait mal de le voir si heureux…Sherlock Holmes savait tout, rien ne lui échappait ou presque alors il la serra encore plus fort et lui dit qu'elle était la meilleure mère au monde.

« Arrête de me taquiner, mon fils. » Visiblement, elle était émue de l'épanchement inusité de son garçon alors elle s'empressa de changer de sujet. « Tu es magnifique dans ce costume. Inhabituel, mais je n'attendais rien de moins de toi. J'imagine que cette couleur n'est pas due au hasard?»

Le sourire de Sherlock s'accentua « Bien deviné, mère. Si ma fiancée me trouve irrésistible, peut-être quitterons-nous la réception plus tôt. »

Sa mère se mit à rire et le tapa légèrement sur le bras. « Chenapan. » Son visage redevint sérieux. « Tu as fait un choix parfait, tu seras, non, vous serez très heureux. Tu pourras faire le message à ta femme qu'elle sera toujours la bienvenue dans cette maison lorsqu'elle trouvera ta présence trop pénible. » Elle repartit à rire lorsqu'elle termina sa phrase.

Sherlock leva les yeux au ciel et aborda un air faussement sévère et ils repartirent à rire de bons cœurs. Quelques minutes plus tard, il prit son haut de forme, donna le bras à sa mère et ils sortirent tranquillement de la chambre. Encore une fois, il avait défié les conventions, car sa mère serait son témoin. Il a dû faire un don substantiel à son église, mais l'important, c'est qu'il avait convaincu l'évêque d'accepter son choix. Ils prirent place dans le carrosse tous les deux et Sherlock fit signe au cocher de partir. Le trajet se fit en silence; sa mère comprenait qu'il avait besoin d'être dans son palais d'esprit.

Molly courrait d'une pièce à l'autre trop énervée pour réaliser qu'elle n'était pas tout à fait décente, mais lorsqu'elle croisa le regard de John, elle réalisa qu'elle n'était pas habillée convenablement. Elle rougit et s'apprêtait à se retirer dans sa chambre lorsqu'il la tira sur le sofa tout en lui donnant le châle qui traînait sur le bras d'une chaise.

John était d'humeur à la taquiner. « Molly, je pense qu'il serait souhaitable que tu prennes quelques respirations parce que j'ai l'impression que tu es sur le point de t'évanouir. »

Elle se releva faussement offensée. « Je ne suis pas sur le point de m'évanouir, je suis simplement nerveuse. Dans moins d'une heure, je vais épouser l'homme que j'aime et regarde l'allure que j'ai. »

Une lueur de désir assombrit le regard de John, l'espace d'un moment, vite réprimée et remplacée par de l'affection. « Tu es très belle et je suis certain que Sherlock pensera la même chose lorsqu'il te verra. »

Molly mit ses mains sur les hanches. « John, tu n'es pas partial. Je vais me marier avec l'un des plus beaux hommes d'Angleterre et tu as pu voir la qualité de ses vêtements. Il est tout simplement parfait et à côté de lui, j'aurais l'air d'une pauvre fille mal fagotée. Je serai la risée de la haute société et… »

John soupira. « Non, je t'arrête tout de suite et depuis quand, accordes-tu de l'importance à ce que la bonne société pense de toi? De plus, je sais avec certitude que ton futur mari se moque bien de ce qu'elle pense. Molly… Molly, tu es magnifique et la robe...euh, la moitié de ta robe est tout simplement sublime. » La jeune fille rougit à nouveau. « Allez, je te raccompagne à ta chambre, je suis certaine que ta servante t'attend avec impatience. »

Ils s'arrêtèrent devant la chambre de la jeune femme. John prit les mains de la jeune femme et les porta à ses lèvres et les embrassa tendrement. « Ne t'inquiète pas. C'est le mari parfait pour toi. Il valorise ton intelligence et ton travail et par-dessus tout, il t'aime. Il est rare que les gens de notre classe fassent un mariage d'amour. Vous êtes parfaitement assortis. Beaucoup plus que si tu m'avais épousé. Je le sais maintenant. » Il s'éclaircit la gorge. « Je suis extrêmement fier d'être celui qui t'accompagnera dans l'allée et si un jour ton mari te fait de la peine, je serai toujours là pour lui botter les fesses. »

Touchée Molly se mit sur la pointe de ses pieds et lui donna un baiser rapide sur la joue. « Merci d'être un homme si bon, John. » Molly renifla une dernière fois et se reprit en main. « Fini les larmoiements, à partir de maintenant, je ne montrai que ma joie. » Elle fit une révérence rapide et ferma la porte derrière elle.

Sherlock était en colère, la réception était tellement bien réussie que personne ne donnait des signes de vouloir la quitter. Tout ce qu'il voulait, c'était prendre sa femme dans ses bras et la jeter sur le lit le plus proche. Il se pencha et murmura à l'oreille de Molly. « Bon sang, est-ce qu'ils vont finir par partir de la réception? Il est plus de 23 heures et je souhaite plus que tout t'amener dans notre chambre, ma Molly. Cette journée a été la pire des trois derniers mois. Tu te tiens si près de moi, mais en même temps si loin, c'est une torture, car tout ce que je veux maintenant, c'est toucher chaque partie de ton corps et je suis dans l'impossibilité de le faire à cause de tous ces gens qui nous regardent. » Il termina sa phrase dans un souffle et il était heureux de constater qu'il avait encore réussi à faire réagir son corps aussi facilement lorsqu'il la vit rougir et frissonner de plaisir, mais Molly répliqua en posant doucement sa main sur le haut de sa cuisse en flirtant dangereusement avec une certaine partie de son anatomie en lui lançant un regard innocent. Les yeux de Sherlock s'embrasèrent automatiquement, au diable la civilité. Il fit signe à l'orchestre d'arrêter la musique et il prit parole.

« Chers invités. Ma femme et moi devons malheureusement vous quitter, mais, n'ayez crainte, vous pouvez rester à danser toute la nuit, si le cœur vous en dit. Pour notre part, nous avons quelque chose de très important à faire cette nuit et nous ne pouvons attendre plus longtemps. Merci et bonne soirée. » Molly mit son bras sous celui de Sherlock, trop heureuse du comportement inconvenant de son mari.

Ils eurent quelques « oh » scandalisées par les propos à peine voilées de Sherlock, mais la majorité leur cria des phrases grivoises qui firent rougir Molly. Sherlock fit signe à l'orchestre et très vite, les gens se retrouvèrent sur la piste de danse, laissant les nouveaux mariés partir vers le grand escalier.

Dès que la porte de leur chambre fut refermée, Sherlock mit le loquet. Il ne voulait absolument pas être dérangé. D'ailleurs, il avait clairement dit à son personnel qu'il serait congédié, s'il osait cogner à leur porte cette nuit. Il se retourna pour lui lancer un « enfin » et il l'attira vers lui pour l'embrasser. Lorsqu'il releva la tête, les yeux de Molly brillaient de désir et ses mains s'accrochèrent au revers de sa veste. Les mains de Sherlock s'attaquèrent aussitôt aux lacets de sa robe et avec quelques grognements d'impatience, il réussit à enlever les nombreuses couches de la robe qui tomba dans un doux bruissement soyeux. Il ne put s'empêcher de critiquer la quantité indécente de vêtements qu'une femme devait supporter sur son corps, encore heureux que Molly ait fait abstraction de son corset. Il recula un peu pour admirer sa femme qui se tenait nue devant lui, mais ce qui le rendit vraiment satisfait, c'est qu'elle n'essayait pas de se couvrir de ses mains et qu'elle était à l'aise d'être admirée par lui. Sherlock fit alors un geste qui pouvait passer pour incroyablement romantique, mais la réalité, c'est qu'il voulait amener le plus rapidement possible sa femme au lit. Ce fut dans les bras du jeune homme que la mariée fut portée jusqu'au lit. Il la déposa doucement, mais Molly s'empressa de nouer ses bras autour de son cou afin de l'attirer vers elle dans un baiser qui n'avait rien de candide.

Le soleil commençait à se lever lorsque Sherlock poussa un autre cri de jouissance. Ils avaient fait l'amour toute la nuit et ils ont découvert assez rapidement qu'ils étaient tous les deux très avides des plaisirs de la chair. Ils avaient expérimenté quelques positions au cours de la nuit et la dernière position avait rendu Sherlock presque fou de désir, car voir les seins de Molly bouger au rythme de ses mouvements sur lui l'avait grandement excité. Il n'avait pas tenu plus d'une minute avant de venir si intensément qu'il savait qu'il serait accro à cette position à l'avenir. Sa femme se blottit contre lui et il passa un bras autour d'elle.

Sherlock regarda sa femme et il fut submergé par un sentiment si fort que les mots qu'il n'avait jamais pensé oser dire à une femme un jour sortirent naturellement. « Je t'aime, Molly. » Elle releva la tête surprise, mais ravie par sa déclaration; elle lui répondit tout simplement. « Tout comme je t'aime. »

Comblé et d'humeur taquine, Sherlock demanda à sa femme si elle était ouverte aux expériences.

Molly répondit sensuellement. « Je crois que cette nuit est la preuve plus que suffisante. »

« Femme coquine, je ne parlais pas de ce genre d'expérience, même si je suis très content de constater que nous avons la même faim l'un de l'autre. » Il sourit lorsqu'il vit sa femme rougir légèrement. « Non, je parlais de mes expériences qui n'attendent que vous et moi dans mon laboratoire. »

Molly le regarda stupéfaite. « Tu veux que je t'aide avec tes expériences malodorantes et dangereuses après seulement une nuit de vie commune? »

Sherlock prit un air honteux. « Pas bon? »

Molly le fit taire en l'embrassant, quelques minutes plus tard, elle ajouta inutilement, car Sherlock l'avait déjà déduit. « Non…je veux dire oui, ce serait un honneur pour moi de t'aider. Commencerons-nous ce matin? »

Sherlock glissa doucement sa main sur la cuisse fine de Molly. La caresse semblait innocente de prime abord, mais les doigts de Sherlock glissèrent doucement vers le centre de son plaisir. Il lui dit d'une voix rauque. « Disons plutôt cet après-midi. Ce matin, j'ai d'autres plans en tête. Est-ce un problème pour toi, ma Molly? »

Un léger gémissement de plaisir s'échappa des lèvres de la jeune femme lorsque Sherlock commença à caresser une certaine partie de son anatomie. Il répondit à sa place. « Non, je ne crois pas que ça soit un problème pour toi. » Il entendit un « hum » lorsqu'il devient plus audacieux avec ses doigts. Les sons qui sortaient de la bouche de Molly lui donnèrent sa cinquième érection de la présente nuit. Alors, lorsqu'il entendit son cri de plaisir, il se positionna sur elle et entra d'une seule poussée. « Nul doute » Pensa Sherlock. « Il avait trouvé la femme parfaite pour lui. » Et ce fut la dernière pensée cohérente qu'il eut avant de se perdre à nouveau dans les affres de la passion.

Fin de cette fic. Merci à l'avance pour vos commentaires.

Voilà pour la demande spéciale d'une personne qui m'avait écrit pour que je fasse une fic où Sherlock et Molly se marient. J'aurais pu faire encore plus guimauve avec le grand mariage, mais je voulais garder un peu l'essence de la série même si je m'en suis beaucoup éloignée.

Je terminerais en vous disant que j'ai eu énormément de difficulté à composer le dernier chapitre, je ne suis pas habituée à écrire seulement de la romance et je ne crois pas que j'ai rendu justice à « la romance », mais je l'ai fait.

Merci encore une fois pour tous vos commentaires.