Salut à tous !

Bon, on n'assassine pas son auteuse fantôme, on est content de la voir et lui pardonne son absence.

...

Non ?

*Toujours cette foule de lecteurs en colère*

Gloups

Je suis navréééééééééée ! Mais vous voyez, la dernière fois c'était les grandes vacances, et puis après, c'était l'école, et je dois malheureusement travailler, et oui, je suis capable de travailler pour ceux qui en douterait, mais voilààààààà...

Je suis désolée de tout mon petit coeur sensible, et je vous aaaaaaaime de revenir même longtemps après ! Vous êtes les meilleurs !

Bon allez, je le sais que vous les attendez... elles sont belles... elles sont nombreuses... elles sont magnifiques...

LES RAR !

UN ÉNORME MERCI À :

Reviews anonymes :

Gin' : Salut, merci ^^ C'est si gentil ce que tu as écrit... je suis vraiment désolée pour l'attente... Pour ce qui est de ta fanfic, non je ne l'ai pas lue mais je vais y aller de ce pas ! Et merci à toi d'être encore et toujours là pour lire la mienne, c'est toi qui est fabuleuse ! Bonne lecture à toi.

adenoide : Merci d'avoir pris le temps ^^ J'espère que ce chapitre le sera tout autant ! Bonne lecture.

Reviews non-anonymes :

brigitte26, Marabeilla (je ne sais plus si je t'avais répondu... si ce n'est pas le cas, honte à moi ! Je te remercie évidemment de ta review, et oui, légèrement pompé sur Fairy Tail... mais aussi sur Kuroko et mes cours de langues anciennes ! Du bonheur à toi), Adel22, Thalia Alice Potter

Ceux qui ont mis l'histoire en Favoris :
Shira977

djennys
Perseaa
MonLivreOuvert
Hildegarde1999
Thalia Alice Potter

Celle qui a mis l'auteur (moi) en favoris :
Thalia Alice Potter

Ceux qui suivent l'histoire, et reçoivent cette petite alerte "chapitre" :
NoraLP

tachouya
Yggdrazyl
Shira977
Skiria
Nadeshico52000
yetyet
MonLivreOuvert
Hildegarde1999
Thalia Alice Potter

Ceux qui suivent l'auteur (toujours moi), et reçoivent aussi cette alerte, mais toutes les autres aussi :
Shira977

Nadeshico52000

Vous êtes absolument les meilleurs, et je vous aime du plus profond de mon coeur !

Bonne lecture à tous, on se revoit en bas !


Le matin du quinze janvier, Minerva Mcgonagall se réveilla en sursaut. Elle sonda rapidement son esprit, dans le but de comprendre d'où venait ce sentiment étrange qui lui compressait la poitrine, quand elle se rendit compte du jour. Ce jour tant attendu, autant par le corps professoral que par les élèves, quelles que soient leurs origines.

Le bal de noël.

Elle eut soudainement un très mauvais pressentiment.

Le genre de pressentiments qui n'arrivaient que lorsque l'histoire allait subir un tournant majeur, un tournant qui marquerait le monde à jamais.

Mais après tout, rien de tout cela ne pouvait arriver, pas vrai ? Poudlard était un endroit rassurant et sécuritaire, et ce n'était qu'un bal.

Pas vrai ?

Elle se leva et se prépara à débuter sa journée.

.

Les élèves étaient fébriles. Les couples rougissaient à chaque instant. Les hormones étaient en crise.

Tous savaient que la soirée promettait d'être épique. Rien ne pouvait entacher la bonne humeur de la populace Poudlarienne.

Rien ? À quelques kilomètres de là, quelqu'un s'assurait de gâcher le bon moment qui allait arriver.

.

Seize heures. Dans la salle commune de Serpentard, les filles de quatrième année s'impatientaient. Voilà plusieurs heures qu'elles cuisinaient l'une d'entre elle afin de connaître l'identité de son partenaire pour le bal.

Pansy n'avait aucune, mais alors là, aucune envie, de dévoiler cette information.

-Mais allez, Pansy ! Tu peux pas nous faire ça ! Pas à moi ! On est amies depuis nos deux ans !

Les petits yeux de chien battu que lui adressa Daphnée Greengrass ne réussirent qu'à la faire soupirer. Qu'avait-elle fait au monde, que disait-elle, à l'Univers, pour mériter des amies aussi curieuses et pot-de-colles ? Elle se le demandait bien.

-Pansy, allez, arrête de nous faire mariner ! Ça fait deux semaines que tu nous caches qui c'est ! Ça peut pas te faire de mal de nous le dire, hein ?

L'attrapeuse vedette des verts et argents soupira une énième fois avant de déclarer :

-Eh bien vous pourrez attendre quelques minutes de plus !

Et elle s'en alla, excédée.

.

Dix-sept heures. Les Gryffondors le tannaient depuis plus de trois semaines pour qu'il leur révèle l'identité de celle qu'il avait réussi à inviter au bal. Pourtant, cela n'était pas si difficile à deviner que cela !

-C'mon, Nev' ! Tu peux bien nous le dire, à nous ! S'évertua Lee Jordan.

Olivier acquiesça fortement.

Soupirant, le Gryffondor tenta un regard désespéré vers les batteurs de son équipe. Qui ne firent que rigoler tout bas, le laissant se dépatouiller avec les deux plus âgés.

Soupirant de désespoir, il continua d'éluder leurs questions. Pourquoi ne pouvaient-ils pas le laisser tranquille ? Ils verraient bien le soir même !

-Allez, mon petit Neville chéri, tu peux bien nous dire qui a réussi à faire s'emballer ton petit cœur ?

Les rires de Dean et Seamus s'intensifièrent et le garçon ne put s'empêcher de souhaiter très fort de changer d'amis. On ne faisait pas plus pot-de-colle !

.

Dix-huit heures. Dans la Chambre des Secrets, les disputes commençaient à éclater.

-Et je peux savoir pourquoi tu irais avec un français ?!

-Et je peux savoir en quoi c'est tes affaires ?!

-Mes affaires ?! Mais évidemment que c'est mes affaires ! Je te rappelle que-

-Que quoi, môssieur Edmond Potter ? Parce que Môssieur refuse de venir avec moi au bal, je devrais ne pas y aller ? Ou y aller tout seul ? Et pourquoi ça, hein ? Je ne suis pas à toi, tu n'as aucun droit sur mes actions !

Edmond rougit fortement avant de répliquer :

-Ce... Ce n'est pas la question ! Je ne vois simplement pas pourquoi, de toutes les personnes se trouvant à Poudlard, tu choisis un français !

-Et, je réitère ma question, en quoi ça te concerne ?! C'est ma vie !

-Mais... heu, je...

Draco le fusilla du regard, les joues rouges de colère, et quitta la pièce, allant se réfugier dans un autre coin de la salle secrète.

Edmond ne put rien faire d'autre que fixer son dos tandis qu'il s'éloignait, n'arrivant pas à formuler de pensée cohérente.

Quand Alice posa sa main sur son épaule, dans un geste qui se voulait réconfortant, il se déroba et quitta la salle à grandes enjambées.

Blaise voulu le suivre pour éviter qu'il ne fasse pas de bêtises mais Hermione le retint. Elle avait vu les perles argentées qui roulaient sur ses joues et ne voulait pas quelqu'un n'empire la situation.

.

Dix-neuf heures. Tous les adolescents, et les quelques adultes qui complétaient le tout, présent à Poudlard, sentaient leurs cœurs se serrer face à l'épreuve qu'ils allaient tous devoir réussir.

Ce bal était l'occasion pour beaucoup de se déclarer, et pour les autres d'acquérir plus de confiance en eux.

-Comment vas-tu ?

La voix fit sursauter Cedric. Il se retourna brusquement et fit face à Frida, seconde championne de Durmstrang de son état. Se reprenant, il répondit calmement :

-Bien, très bien. Et toi ?

-Ça peut aller.

Attendant une suite qui ne vint pas, Cedric demanda :

-Pourquoi cette question soudaine ?

Frida eut un regard vague. Quand elle le reposa sur le garçon, une lueur s'était allumée dans ses yeux et un sourire mutin étira ses lèvres. Cedric déglutit imperceptiblement. Frida eut un léger rire et déclara :

-Pour rien, comme ça...

Et elle partit, sans plus s'attarder.

Fronçant les sourcils, Cedric se demanda ce qui pouvait bien avoir traversé l'esprit de son adversaire. Cependant, quand une présence gênée se fit sentir à ses côtés, il l'oublia bien rapidement.

Il scruta lentement Fred qui se dandinait face à lui, mal à l'aise. Il avait une tunique bleue foncée et un pantalon de la même couleur, faisant ressortir ses yeux, tandis qu'une chemise carmine foncée contrastait avec sa peau légèrement bronzée et ses cheveux clairs, lui arrivant aux épaules. Il était tout simplement magnifique, se dit le Poufsouffle, la respiration coupée.

Cedric n'était pas en reste, sa chemise violette tirant sur le noir mettant une touche de couleur dans son costard à la moldue noir et ses courts cheveux bruns foncés lui donnait l'air d'un élégant mafieux, tout à fait à l'aise dans son élément.

Constatant la gêne persistante de son vis-à-vis, il lui prit le bras avec aisance et le fit entrer dans la salle de balle, décidant qu'une boisson fraîche le détendrait.

Theodore les avait regardés entrer dans la salle et commençait réellement à stresser. Calé dans un coin ombragé, contre les portes de la grande salle, il triturait la chaîne, bien au chaud dans sa poche, qu'il désirait offrir à sa dulcinée.

Remettant pour la millième fois sa veste blanche en place, lissant une dernière fois sa chemise noire et son pantalon de la même teinte, il remit une mèche rebelle, héritage forcé de ses cheveux mi-longs, derrière son oreille et fixa les escaliers, s'attendant à voir sa partenaire descendre d'une minute à l'autre.

Quand une main tapota son bras pour attirer son attention, il faillit faire une syncope en voyant que Luna était arrivée par la gauche.

Se rattrapant in-extremis au mur pour s'éviter une chute pour le moins ridicule, il admira sa compagne. La robe bleue mat qu'elle arborait possédait un large losange doré au dos, tandis qu'un large décolleté plongeant découvrait le haut de son ventre. Cette robe était toute en légèreté et en élégance. La tresse dorée qui laissait échapper quelques mèches folles rajoutaient cette petite touche de folie qui faisait Luna et Theodore ne put que laisser s'échapper un soupir, charmé.

Le garçon posa un baiser papillon sur la joue de son amie secrète, lui chuchotant au passage à quel point elle était merveilleuse, accrochant au passage un collier autour de son cou.

L'observant, la jeune fille demanda :

-Qu'est ce que c'est ?

-Un médaillon, recouvert de plusieurs charmes.

Perplexe, la Serdaigle demanda :

-Comme quoi ?

-Ah, aucun qui ne soit plus puissant que le tien ! Répliqua le garçon avec un clin d'œil.

La jeune fille pouffa légèrement, le regard absent, et accepta le bras qu'il lui tendait.

À son cou, un cercle d'argent gravé d'une larme ailée brillait, de même que la petite pierre d'ambre scintillante de reflets bleus qui garnissait l'objet.

Les voyant partir à leur tour, Draco soupira. Lui aussi aurait aimé former un aussi joli couple, ce soir... D'aucuns diraient qu'il en formera quand même un, mais il aurait aimé que ce soit avec un autre joli minois.

C'est alors qu'il vit arriver Oscar, relativement mal à l'aise mais voulant faire bonne figure. Si ce n'était pour sa délégation, au moins pour son cavalier d'un soir. Draco ne put enrayer le sourire appréciateur qu'il eut à la découverte de la tenue du français. Ce dernier portait une chemise bleu ciel, contrastant avec la profondeur de son regard et le reste de sa tenue bleus foncés. Draco ne pouvait que saluer la tentative du garçon, et l'apprécier.

Le Serpentard, quant à lui, portait une tenue noire avec une chemise verte claire, faisant honneur à sa maison. Le champion de Beauxbâtons arborait de courts cheveux bruns, renforçant la différence complémentaire que ce couple montrait, avec le fin carré blond de l'héritier Malfoy.

Lorsqu'ils entrèrent dans la grande salle aux allures de palais de glace, Edmond lança un regard triste à son ami. L'ami en question l'ignora sensiblement, se forçant à ne pas baver sur la tenue du Gryffondor et à ne pas aller l'enlacer pour le consoler de la peine que ses yeux légèrement rougis démontraient.

Edmond soupira avant d'essayer de se concentrer sur sa partenaire de la soirée, qui arborait une robe émeraude à bretelle, simple mais ravissante, qui mettait en valeur ses très longs cheveux roux. Le garçon avait une tenue bleue très claire et une chemise bordeaux, presque noire, qui complétait parfaitement la tenue de Ginny. Ses cheveux châtains mi-longs voletant derrière lui, il attrapa la jeune fille et lui apprit quelques pas de danse, tentant par tous les moyens de ne pas se focaliser sur un certain petit Dragon.

Alice, déjà assise dans la grande salle un verre de jus de citrouille à la main, regardait avec tristesse le couple Edmond-Draco se briser avant même de commencer. Quand elle aperçu son calice discuter avec Barty dans un coin de la pièce, elle fronça les sourcils. Que pouvaient-ils se dire pour aller si loin et être sûrs qu'elle n'entende pas ?

Puis, Rodolphus revint rapidement vers elle, et elle détailla son homme avec satisfaction. Elle était bien plus jeune que lui mais savait apprécier quand il faisait un tel effort de style pour lui plaire. En effet, l'homme portait une chemise bleue azur, pour que le reste de sa tenue et ses cheveux noirs mi-longs ressortent. La jeune fille, elle, portait une robe d'inspiration chinoise argentée et coupée à la jambe droite. Ses cheveux noirs étaient rassemblés en une longue natte attachée par un cordon de la même couleur que son habit. De loin, elle pouvait voir Barty, flanqué d'une costard tout en nuances de gris, gêné de tout ce monde autour de lui. Elle faillit aller le voir quand Rodolphus lui demanda une danse, qu'elle lui accorda avant que la fête ne commence réellement. Étonnamment, elle avait déjà les joues légèrement rougies. Et ce n'était pas elle qui avait rajouté de l'alcool aux carafes de jus...

Non loin de cette scène tout à fait charmante, Georges ricanait. On dirait que son idée de mettre du whisky dans le jus de citrouille n'était pas si mauvaise... Puis, son attention se tourna vers la plus belle fille qu'il n'avait jamais vu. Une robe vert sapin qui mettait son carré brun en valeur, et des lunettes bleu roi faisant briller son regard de la même teinte, Luka Snape était resplendissante. Elle s'approcha de Georges et le détailla rapidement. Il portait une tenue rouge et une chemise bleue foncées, embellissant son visage déjà magnifique d'elfe noir.

Ils entrèrent dans la salle, non sans provoquer quelques crises cardiaques du côté des parents, et principalement de Severus.

Le sus-nommé portait un pantalon noir et une tunique blanche lui arrivant jusqu'au ras des fesses, tandis que sa femme était vêtue d'une robe bleue roi, largement décolletée. Elle tentait tant bien que mal de ranimer son potionneur d'époux. Quand il ouvrit les yeux, il se mit à déblatérer :

-Non mais je vais le tuer ! Il ose toucher à ma fille ?! Quand je pense que je l'aimait bien ce môme... argh !

-Sevy, voyons...

-Quoi ?! Hurla le père de famille.

-S'ils s'aiment ?

-Et ben quoi ?

-Laisse les.

-Mais... mais... mais... c'est de Luka dont on parle ! C'est juste... pas possible !

-Severus... tu te souviens de nous, au début ? Mes parents n'ont jamais voulu de notre mariage non plus...

-Mariage ?!

Elizabeth soupira.

-Je ne te dis pas qu'ils se marieront. Mais notre histoire à commencé à l'école aussi, alors laisse la faire ses propres expériences. D'accord ?

Le maître des potions grogna, avant de finalement se ranger à l'avis de son épouse. Et non, le baiser qu'elle lui donna ne fit pas du tout pencher la balance. Il n'était pas soumis, non non non.

Remus regardait la scène qu'offrait ses deux amis et se demandait si, un jour, ils seraient aussi complices que ça, Sirius et lui. Songeur, l'ancien Gryffondor, vêtu d'une chemise blanche et d'une tenue noire, sa veste étant rehaussée d'une tête de loup stylisée rouge dans le dos, ne faisait aucunement attention à son entourage. Alors, lorsqu'un verre passa sous son nez, le loup-garou recula brusquement, sous les rires de son maraudeur préféré.

Remus leva les yeux au ciel et accepta la boisson. Il fronça cependant le nez quand il s'aperçut que ce n'était pas de l'alcool léger mais du whisky.

-Sirius ?

-Oui mon bel amour ? Demanda Sirius, joueur.

-Je peux savoir pourquoi il y a autant d'alcool fort dans ce jus ?

L'animagus rigola, de son rire si particulier, et le lycanthrope se pinça l'arête du nez. Pourquoi s'était-il entiché d'un spécimen aussi idiot ?

Le spécimen en question, portant une tenue gris foncé accompagnée d'une veste noire rehaussée de diamants, et ses longs cheveux noirs réunis en un catogan attaché par un lacet gris clair, se pencha sur son mari et l'embrassa avec douceur.

Rectification. Pourquoi s'était-il entiché d'une spécimen aussi beau ? Ça, il avait la réponse.

Charlie et Bill, qui étaient venus ensemble au bal, faute de mieux, regardaient avec un sourire en coin leurs pères adoptifs. Charlie portait une chemise argentée, tandis que le reste de sa tenue était rouge mat, alors que Bill était vêtu comme lors de la révélation de son héritage magique. Il avait donc un pantalon de soie noir et une tunique sans manches brune, découvrant ses pectoraux et ses biceps, son corps toujours recouverts de symboles runiques bleus qui pulsaient de magie.

Si un jour quelqu'un leur avait dit que eux deux et leur chère petite sœur auraient enfin la vie qu'ils avaient tant attendue, ils n'auraient jamais pu le croire. Mais aujourd'hui, ils remerciaient le ciel chaque instant pour leur avoir accordé ce qu'ils désespéraient d'avoir : une véritable famille aimante. Il était cependant difficile pour eux de comprendre pourquoi Fred et Georges avaient décidé de ne pas en faire partie. Bien que Remus et Sirius le leur aient proposés, les jumeaux avaient gentiment refusé. Pour eux, la découverte de leurs origines valait bien plus que de refaire partie d'une famille un minimum standard. Ils préféraient rester tout l'un pour l'autre, comme cela l'avait longtemps été dans leur ancienne « famille » de rouquins.

Cela, Charlie et Bill le regrettaient fortement. Après que Bill ait élevé seul son petit frère, et après avoir vu que Percy avait été reconnu par leur mère, ils avaient délaissé les jumeaux, ne pensant pas qu'ils seraient aussi seuls qu'eux le furent par le passé. Durant huit ans, ils n'avaient rien vu, rien vu de la solitude de Fred et Georges, qui s'étaient isolés tous les deux, restant toujours ensemble. Ils étaient vraiment des imbéciles, se morigénaient très souvent les deux aînés. Mais leurs frères les avaient pardonnés, avant que leur « mère » ne les renie.

Ils s'étaient longtemps demandé comment une femme qui n'était pas leur mère et qui les avait négligés avait pu faire intervenir une magie comme celle du bannissement. Mais ils eurent leur réponse. Ils avaient considéré, même peu de temps, cette famille comme la leur, et leurs héritages magiques ne s'étant alors pas révélés, ils héritèrent de cette marque maudite, cette croix rouge qui se trouvaient encore dans les iris gauches des quatre garçons. Cette magie était vicieuse, et ils auraient encore mal à cause de cet événement s'ils avaient encore un temps soit peu de considération envers Molly, Arthur, Percy et Ron Weasley.

Arrêtant de ressasser de sombres pensées, ils se mirent à discuter tranquillement de tout et de rien, alors que deux jeunes filles, l'une française et l'autre nordiste, les abordaient.

Ron voyait ses anciens frères vivre tranquillement et son cœur se pinçait à cette constatation. Il ne comprenait pas. Pourquoi lui était relégué au second plan, alors qu'eux étaient projetés au devant de la scène, sous les projecteurs de la popularité ? Il était pourtant issu d'une famille pure, qui soutenait Dumbledore et qui a aidé durant la seconde grande guerre des sorciers. Sa famille était reconnue comme étant constituée de grands combattants pour la lumière et la justice, et possédant une grande notoriété. Alors pourquoi ? Il n'était pas idiot, il savait faire la différence entre ce qui était vrai et ce qu'on lui avait conté toute son enfance. Il jouait à l'imbécile et au demeuré, sans jamais faire mine de changer, mais ses débats intérieurs n'étaient pas inexistants. Loin de là.

Il savait que depuis ses oncles, Fabian et Gideon Prewett, la famille avait été manipulée par Dumbledore, la Lumière le lui avait bien prouvé. Sa mère ne jurait que par lui, et son père était complètement soumis. Tous ses frères aînés, à l'exception de Percy, étaient adoptés et mal-traités, et sa petite sœur avait été brisée par Dumbledore. Il le savait maintenant, et il ne savait pas pourquoi, mais il se doutait que de nombreux sorts avaient été utilisés pour manipuler sa volonté.

Depuis la troisième année, il remarquait que, dès qu'il essayait d'aller contre la volonté de son ancien directeur ou contre ses « enseignements », il était poussé par une force invisible à insulter ou violenter les membres de la Lumière ou les Serpentards en général. Pourtant, depuis son entrée à Poudlard, il avait bien vu que les verts et argents n'étaient pas tous des Mangemorts en puissance ou des mages noirs machiavéliques. Et ce groupe, cette Lumière qui était constituée de multiples Gryffondors, Serpentards et Poufsouffle, n'était pas un ramassis de fous voulant contrôler le monde par la force, comme le lui avaient dit auparavant sa mère et Dumbledore.

Mais dès qu'il voulait faire profil bas et essayer de leur parler calmement, une sourde colère montait en lui pour un oui ou pour un non. Il sentait que, dans sa magie, un enchantement lui brouillait les sens.

Il ne savait pas comment, il ne savait pas pourquoi, mais il sentait que, s'il voulait repartir de zéro, que ce soit avec les membres de son école où le reste du monde sorcier, il devait commencer par se débarrasser de cette magie intruse, sur lui et Percy, qui semblait pourtant nettement moins touché. Puis, avec un peu de chance, il pourrait reparler à Oceano et peut-être pourrait-il lui pardonner et lui redonner une chance.

Car Ron le savait, ils étaient âme-sœurs et sa vie ne pourrait jamais être parfaite sans lui.

Tournant le visage vers le garçon qui abritait ses pensées, il lui adresser un léger sourire qui fit froncer les sourcils au cadet Snape. Puis, le roux sentit de nouveau cette colère dans son ventre et se leva précipitamment pour aller chercher boire.

Hermione avait suivi toute la scène, et, marchant aux côtés de Victor, elle fronça elle aussi les sourcils. Voilà quelques temps qu'elle se rendait compte que quelque chose clochait dans l'attitude du fils Weasley. Les insultes qu'il déversait sans compter sur leur groupe s'étaient calmées depuis la malédiction de Luka, mais les regards en coin et les sourires qu'il adressait aux quelques membres avec lesquels il avait su sympathiser durant sa première année ne trompaient pas. Il ne pensait pas du tout ce qu'il disait, et son attitude gentille et attristée était le vrai Ronald Weasley. Hermione ne savait pas réellement pourquoi, mais elle était sûre qu'il était manipulé par Dumbledore, quand bien même il ne se trouvait plus à Poudlard depuis longtemps.

Se concentrant à nouveau sur la discussion anodine qu'elle entretenait avec Victor Krum, elle s'assit à ses côtés, attendant que la soirée ne débute avec l'entrée en scène des autres champions et leurs premières danses.

Quand Fleur et Naëliys entrèrent dans la pièce, Hermione se força à avoir l'air détendue, et pas du tout accaparée par l'examen minutieux des tenues splendides de ses amies. Ou des tenues de ses splendides amies ? Elle n'arrivait pas à faire son choix.

Fleur portait un haut bleu clair large qui lui laissait le dos nu, dans lequel ses longs cheveux blonds attachés en une large tresse retombaient. De plus, elle avait un pantalon en cuir qui lui moulait le bas du corps, et montée sur des escarpins noirs qui lui affinaient les jambes. Naëliys, elle, portait une combinaison shorty qui, comme lors de sa répartition, ressemblaient à des morceaux d'écumes cousus à même sa peau. Son dos était nu, et ses cheveux verts retombaient en cascade jusqu'au bas de ses fesses. Sa peau bleue claire ressortait grâce à la couleur verte et orangée de sa tenue, la faisant paraître quasiment irréelle.

Les deux jeunes filles se regardèrent dans les yeux, et au lieu de se fusiller du regard, se mirent d'accord pour faire front commun. Les détails seront vus plus tard. Elles se mirent alors à chercher leur amie du regard, et, quand elles la trouvèrent, elles se figèrent. Au côté de Victor, portant une veste formelle à épaulette, se trouvait Hermione dans toute sa splendeur. La robe de couleur rose pâle sortait littéralement d'une conte de fée, et la jeune Gryffondor ressemblait autant à la princesse qu'à la fée du roman. Elle semblait portée par une noblesse et une grâce qu'on lui attribuaient peu, et les deux nouvelles venues avaient littéralement la bave aux lèvres.

Frida regardait cette scène avec un petit sourire amusé. Les étrangers étaient définitivement bien étranges...

Un petit coup dans les côtes la fit revenir à la réalité.

-Hey, tu rêves ?

Frida se reprit et analysa la jeune fille qui lui parlait, les poings sur les hanches et la tête légèrement penchée sur le côté. Habillée d'une robe violette foncée, ses longs cheveux blonds attachés en une natte et une fleur rouge et blanche dans les cheveux, Acqua Alloro regardait suspicieusement sa cavalière et amie.

-Et bien, si je ne peux même plus avoir la tête dans les nuages... répondit la championne en rigolant.

-Non, tu ne peux pas. Tu m'écoutes, plutôt.

-Chef, oui, chef ! Déclara la nordiste en faisant un salut militaire, un sourire toujours plaquée sur les lèvres.

Un autre coup fut donné à la brune qui rigola en tapotant la tête de sa partenaire :

-T'es mignonne quand tu t'énerves...

-Ose dire que je ne le suis pas au naturel ! S'offusqua la plus petite.

-Mais non, voyons, depuis le temps qu'on se côtoie, j'aurais fini par te le faire remarquer !

-Mouais...

Frida pouffa une nouvelle fois.

Pansy et Neville s'étaient enfin retrouvés et s'employaient à semer les pot-de-colles qui voulaient connaître l'identité de l'un et de l'autre.

Ils s'étaient réfugiés dans un coin, à l'abri d'une armure et d'une colonne, et espéraient que personne ne viendrait les embêter. Après avoir jeté un coup d'œil hors de leur refuge de fortune, Neville, tout en rouge et noir, soupira de soulagement et dit :

-C'est bon, je crois que d'ici, personne ne peut nous voir à moins de chercher très précisément.

Pansy, dans son élégante robe grise à manches vertes, soupira à son tour, ses amies étaient géniales, mais beaucoup trop curieuses à son goût. Depuis le temps qu'ils traînaient ensemble, pourtant, la question du cavalier n'aurait même pas du se poser !

Quand Neville vient s'asseoir à ses côtés, dans le renfoncement de pierre, Pansy posa sa tête sur son épaule. Le garçon rougit fortement et essaya de ne pas bouger, ne voulant pas que son amie ne remarque son trouble.

Voilà maintenant sept ans qu'ils se connaissaient et trois que la Serpentard l'avait pris sous son aile. Leurs familles avaient décidé depuis bien longtemps de les faire se rencontrer, comme avec tous les enfants des familles pures. Auparavant, le garçon ne lui avait pas paru exceptionnel, mais ils se revoyaient chaque année, durant l'été, et chacune de ces rencontres était plus agréable que la précédente. Ils avaient chéri leur amitié durant de nombreuses années, jusqu'à ce que Neville soit envoyé à Gryffondor et elle à Serpentard. Ils ne cessèrent cependant pas de se voir, et Neville apprit bien vite à prendre confiance en lui.

Pourtant, ils n'avaient jamais été aussi proches qu'à cet instant, et les joues du garçon s'échauffaient très rapidement.

La jeune fille, avait rapidement compris que ses sentiments n'avaient rien de platonique envers son ami, et l'avait tu, n'ayant pas spécialement envie de se dévoiler, et appréciant tout de même cette proximité qu'elle seule avait su développer avec le diamant d'innocence de Poudlard.

Plusieurs minutes s'écoulèrent.

Quand Lee Jordan passa la tête à travers l'ouverture et vit deux amoureux en train de se bécoter, il sourit et fit un clin d'œil aguicheur à Olivier, lui signifiant qu'eux aussi allaient bientôt laisser leurs corps parler un autre langage. Clin d'œil qu'Olivier reçu avec joie, laissant apparaître un sourire enjôleur sur son visage. Qui a dit que le présentateur préférait les Gryffondor ?

Soudainement, les lumières s'éteignirent. Tout devint noir. Les champions surent alors qu'il était temps pour eux de débuter le bal.

Les élèves et les professeurs se placèrent sur les côtés de la salle, laissant la piste de danse vide, éclairée par quelques étoiles lumineuses qui servaient de lampadaires pour la soirée.

C'est alors qu'une musique démarra. D'abord douce et lancinante, puis vive et lumineuse.

Et Victor débuta le ballet des quatorze champions de l'école. Entraînant Hermione, ils firent quelques pas avant d'être rejoints par Frida et Acqua, les visages éclatants tant elles s'amusaient. Ensuite, Fleur et Naëliys démarrèrent, avec une synchronisation qui ne montrait aucunement leur haine mutuelle. Ce furent ensuite Oscar et Draco qui se lancèrent, faisant à merveille la transition pour Edmond et Ginny, qui dansèrent comme un grand frère guiderait sa petite sœur. Alice partit alors, Rodolphus la guidant avec aisance, avant que Theodore et Luna ne prennent la relève. Georges se lança alors, tenant fermement Luka par la taille, très concentré sur ses pas. Fred et Cedric passèrent ensuite, le regard de l'un plongé dans celui de l'autre.

Et enfin, alors que la musique baissait de volume et que de nombreux élèves se demandaient ce que faisaient les derniers, un petit air débuta, doux et délicat, mélange d'un violon de velours et d'une harpe millénaire. La musique fit se figer tous les couples qui dansaient déjà, et les lumières se tamisèrent encore un peu. Et soudain, des ténèbres sortit le couple le plus fusionnel que personne n'ai jamais vu, un incube à la peau mate et un garçon au teint pâle, le premier vêtu de gris et d'une chemise vert pâle, le second de blanc argenté et d'une chemise sombre, ses cheveux retenus par un lacet blanc.

Ils envahirent la piste, d'une présence douce mais indomptable, avec une beauté désarmante de sincérité.

Et quand, enfin, la musique s'arrêta, quand enfin ils cessèrent de danser, beaucoup surent plus qu'ils ne sentirent leurs larmes couler.

.

Vingt heures. James était déjà bourré.

Il avait bu, beaucoup, trop. Il se sentait pitoyable mais ne parvenait plus à formuler de pensée cohérente.

Quand une personne se présenta à lui en tant que Camille Florand, et que cette personne lui fit du rentre-dedans sans aucune pudeur, il ne comprit pas vraiment ce qui lui arrivait.

Quand il se retrouva dans une chambre, consentant mais à l'ouest, il se concentra sur les lèvres qu'il dévorait avec passion.

Quand il s'endormit, épuisé, il ne pensait pas au lendemain.

.

Vingt-et-une heures. La majorité des étudiants étaient déjà passablement éméchée, à cause de l'alcool présent dans le jus de citrouille.

Beaucoup, malgré le fait qu'il était tôt, étaient allés se coucher. Probablement pas tous seuls.

.

Vingt-deux heures. Il ne restait plus beaucoup de monde dans la grande salle, mais suffisamment pour que les adultes ne sachent pas où donner de la tête.

Et finalement, ils abandonnèrent.

Tous les professeurs partirent.

Les élèves étaient livrés à eux-mêmes. Et ils n'allaient pas s'en plaindre !

.

Vingt-trois heures. La boisson n'aidait pas les plus jeunes à tenir debout, et les plus vieux étaient déjà partis vaquer à leurs occupations... Plus ou moins sportives.

Les personnes encore raisonnables emmenèrent les plus petits se coucher, quitte à les porter si nécessaire, et partirent dormir en même temps.

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Minuit. Ils auraient dû aller se coucher. Alice le savait. Mais elle ne pouvait pas se permettre de laisser les autres se débrouiller dans la dispute qui allait arriver. Et elle était arrivée.

En effet, Edmond et Draco, tous les deux laissés par leurs partenaires, Ginny parce qu'elle était trop fatiguée, et Oscar qui l'avait emmenée dormir, se regardaient en chien de faïence.

Victor était parti, assommé par l'alcool, Remus et Sirius ne surveillaient plus grand chose, occupés comme ils étaient par des sujets plus... musclés, les autres champions étaient allés dormir et les élèves avaient déserté la grande salle.

Ne restaient donc plus que la Lumière, Bill, Charlie, Fleur et Naëliys.

Et Edmond et Draco s'engueulaient.

-Pourquoi tu as fait ça ? Demanda Edmond, un semblant de calme dans la voix.

-Ça te regarde, peut-être ?!

-Et reste calme, s'il te plaît, crier ne sert à rien !

-Ah parce que tu trouves que j'exagère ?! Tu t'insinues dans ma vie ! Tu essayes de m'imposer des choix ! Qui est en train d'imposer sa loi ? Toi !

-Je n'impose rien du tout ! C'est toi, qui à fait ça uniquement pour m'énerver !

-Arrête de te prendre pour le centre de l'univers, Edmond !

-Grandis un peu ! Tu as fait ça pour me rendre jaloux ! Assume, au moins !

-Assumer ? Assumer ?! Oui, j'ai embrassé Oscar ! Oui, je l'apprécie ! Ça te pose un problème ?

-Évidemment, que ça me pose un problème !

-Et je peux savoir pourquoi ?!

-Mais...parce que... tituba le Gryffondor.

-Et Voilà... C'est toujours la même chose... et ça se dit Gryffondor ? Le serpentard ricana durement.

Draco baissa les yeux. Il savait qu'il faisait ça pour le rendre jaloux. Il savait que sinon, il ne serait jamais venu avec le français. Il serait tombé sur Krum dans les couloirs, ce jour là, il y serait allé avec. Mais tout ce qu'il voulait, c'était qu'Edmond admette ses sentiments.

Le blond serra les poings et tourna les talons, rageur.

Et cette fois, le brun lui courut après.

-Draco !

Il ne se retourna pas.

-Draco ! Répond moi ! Écoute moi, au moins !

Le garçon ne lui prêta pas attention et pressa le pas. Il se mit à courir.

C'est dans le parc de Poudlard qu'Edmond le rattrapa enfin. Les deux s'écroulèrent dans l'herbe, épuisés et frigorifiés.

-Draco...prononça Edmond, essoufflé.

Un poing l'atteignit au visage et une douleur sourde se propagea dans sa mâchoire.

Il sentit du sang s'accumuler dans sa bouche mais déclara tout de même :

-Draco, je t'aime !

Le second coup qu'il allait recevoir s'arrêta juste devant lui, et il sentit un poids le faire basculer en arrière, dans l'herbe gelée.

-C'est quand même pas trop tôt... lui dit Draco, les yeux débordants de larmes.

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Une heure. Hermione tentait tant bien que mal de résister aux avances que lui faisaient les deux jeunes filles en face d'elle.

Quand elles se hurlaient dessus, c'était beaucoup plus simple de les faire dégager, mais maintenant qu'elles s'y mettaient à deux, elle avait énormément de mal à leur dire non.

En même temps, quand une vélane et une naïade vous demande de sortir avec elle, déjà en temps normal, vous ne refusez pas. Alors quand les deux vous le demande en même temps, le niveau de difficulté augmente en conséquence.

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Deux heures. Tout le monde dormait. Ou du moins, tout le monde était dans son lit.

Loin de là, très loin de là, une sombre magie était en œuvre.

À des kilomètres de cette sombre magie, une puanteur s'élevait du sol, polluant l'air de ses émanations toxiques.

Encore plus près qu'on ne le pensait, quelqu'un souriait avidement, ravi de pouvoir aider son seigneur une nouvelle fois. Ravi de pouvoir sauver sa vie. Ravi de pouvoir trahir tout un peuple sans le moindre remord. Ravi. Mais qui était-ce ? Son rire rauque résonna dans les couloirs du château.


Alors, vous en avez pensé quoi ?

Un chapitre un peu transition encore, mais eh, ça arrive doucement.

Bon, par contre, mon problème est toujours là... celui d'être une midinette ! Je sais pas vous, mais même si je l'avoue pas des masses, j'aime bien ça moi, les histoire à l'eau de rose. Malheureusement pour ma réputation...

Dites-le moi si vous voulez des backgrounds de personnages, ou des évolutions des couples, parce que je vais peut-être pas parler de toutes les étapes de tous les couples développés... sauf si vous le demandez, car je suis faible... :)

Enfin, voilà, j'espère que ça vous aura plu. Des théories sur qui pollue l'environnement et sur qui ricane bêtement tout seul dans les couloirs ? J'attends ça avec impatience !

Cœur sur vous,

~Sh'Ak.