Bonjour à tous ! Je vous retrouve chers lecteurs, pour une nouvelle fanfiction basée sur twilight, un univers qui ne me plait pas trop, mais dont les personnages (surtout du film) m'ont marqué par leur platitude. J'écris donc cette fiction pour les tourner en dérision. En espérant que ça vous plaira. Bonne lecture !
Edward=humain
Jacob=vampire
Bella=loup-garou
Je tiens à préciser que les personnages ne m'appartiennent pas. Ils sont à Stéphanie Meyer.
Chap 1 : Une ville plus qu'étrange
J'étais contraint de quitter ma chère et tendre ville chérie, Phoenix, où j'avais tout mes amis, une superbe réputation de beau gosse et une vie plutôt pas mal, pour m'installer dans une petite ville dont le nom m'ai complètement sorti de la tête. D'après ce que j'avais entendu, il n'y fait jamais chaud et le soleil fait l'objet d'un avis de recherche toute l'année, sans jamais avoir été retrouvé. Mais je ne pouvais malheureusement rien y faire. Mon père était muté dans un hôpital de la région et la seule maison que nous avions trouvée pour tous nous accueillir se situait dans la ville dont j'ai oublié le nom. Pourquoi avoir acheté une grande maison ? Il faut dire que nous sommes une assez grande famille.
Tout d'abord mon père Carliste qui est médecin, c'est d'ailleurs à cause de lui que nous déménagions, c'est un homme calme et simple, il est très rare de le voir en colère ou s'énerver ; ma mère, Esmée, est décoratrice d'intérieur, c'est une femme douce et sans complexe ; il y a Emmett, l'aîné de la famille, grand fan de Baseball et de blague à l'humour douteuse ; sa fiancée, Rosalie, une pétasse blonde qui n'aime personne d'autre qu'elle et mon frère, une vrai plaie cette fille ; Jasper, mon deuxième frère, tellement timide que pour certains il était muet et n'existait pas, il avait beau être mon aîné de deux ans, il réagissait comme un garçon de trois ans mon cadet. Il était tellement timide, que si une personne lui adressait la parole, il réagissait comme une collégienne en mal d'amour. Sa jumelle, Alice, était son exact opposé. Tandis qu'elle était souriante, pétillante, joyeuse et sociable, il était taciturne. Elle était brune, il était blond elle était extrovertie, il était introvertie. Puis il y a moi, Edward, le dernier de la famille, plutôt beau gosse, je fais tomber toutes les filles sur mon passage, certaines d'entre elle faisant même des malaises quand je leur adresse la parole. Pour elles, je suis un Dieu, pour les autres, je suis juste un garçon qui se la joue. Bien que mon objectif ne fût pas de faire tomber toutes les filles de mon bahut raide dingue de moi, j'avoue que cela me plaisait.
J'étais donc arrivé dans cette ville, dont je ne connaissais toujours pas le nom, et aujourd'hui était mon premier jour dans le nouveau lycée. Inutile de vous dire, que mon frère et ma sœur étaient avec moi. Pour moi, ce lycée allait être une torture. D'une part car dans un lycée de campagne on n'y trouve pas des gens super sophistiqués, d'ailleurs je me demande s'ils sont cultivés, et d'autre part, les cours sont de mauvaise qualités. Mais je devais faire avec, en espérant qu'il y aurait des gens assez bien pour moi.
Les cours se déroulaient normalement contrairement à ce que je pensais, et je m'en étonnais. Mon charisme et ma beauté froide avait fait leur petit effet comme je le pensais, et je me retrouvais déjà avec un fan club constitué à 99% de filles. Ce fut donc avec une procession, que je me dirigeais vers la cantine, pour me restaurer, Alice et Jasper m'avaient rejoins en cour de route et furent étonné par le petit groupe qui me suivait.
« - Et bien Edward, je vois que tu es très réputé.
- Comme toujours.
- C'est une chose qui ne changera pas.
- Et de votre côté, sa se passe comment ?
- J'ai réussi à me faire des amis de tout genre et Jasper comme d'habitude n'ouvre pas la bouche. »
Je rigole tandis que je me sers un repas. Alors que nous cherchions une place où s'installer, je sens que quelqu'un m'observe. C'est une sensation très désagréable. Je tourne la tête pour savoir à qui appartient ce regard, et tombe sur un garçon à la peau mâte et aux yeux dorés. Ce regard me captive et je ne peux me détacher de lui. Je suis tellement captivé, que je ne fais pas attention où je marche. Naturellement j'arrive par on ne sait quel moyens à me prendre les pieds dans une lanière de sac, je manque de tomber, mais heureusement je retrouve mon équilibre juste avant. Qui a laissé son sac trainer dans le passage ?! Je me retourne pour voir une fille s'excuser du bout des lèvres. Comme je m'en doutais c'est encore une intello qui fait ses devoirs en plein milieu du repas ! Je m'installe à la table choisie par les jumeaux qui se moque de moi, et regarde vers l'endroit où se trouve la personne, qui n'est plus là.
Je me retrouve en salle d'économie, pour le premier cour de l'après-midi et la seule place disponible est à côté de ce gars. On n'allait tout de même pas me faire croire qu'il ne restait que cette place ! Mais ne voulant pas être remarqué par les professeurs, ce serait un comble, j'allais m'y asseoir. Le gars ne m'adressa aucun regard, mais j'avais l'impression qu'il était mal à l'aise, il se dandinait sur sa chaise et je me demandais s'il n'avait pas envie d'aller aux toilettes. Cela en devenait tellement agaçant que je me mis à lui jeter des regards noirs. A un moment, il se leva pour sortir en vitesse de la salle. Apparemment il ne pouvait plus se retenir d'avantage. Désespérant.
Enfin, la délivrance. Les cours étaient terminés et j'attendais les deux autres pour rentrer chez nous, dans notre coupée sport. Je voyais au loin, un groupe de jeune qui se tenait à l'écart des autres. Ils portaient tous un uniforme et je me demandais pourquoi mes parents ne m'avait pas inscrit dans ce lycée, qui me semblait beaucoup plus réputé. J'appris par les autres que c'était le lycée de la réserve et que l'on ne pouvait y entrer que si nous en faisions parti. Il y avait dans ce groupe, une fille brune qui se détachait des autres. Elle me paraissait maladroite, empotée mais fière d'elle. Je les trouvais étranges, d'autant plus quand je vis qu'ils faisaient un concours de force en soulevant leurs voitures. Je du détacher mes yeux de ce spectacle, quand enfin, les jumeaux me rejoignirent.
Quand je fus chez moi, je me fis la remarque suivante : « Cette ville est étrange. »
Voilà pour le premier chapitre. N'hésitez pas à me laisser des commentaires.