Boris jette un regard inquiet à son ordinateur. Les données commencent à changer et les chiffres sont rendus méconnaissables.
- Merde, c'est en train d'échouer, murmure-t-il
- C'est impossible ! Tout était tellement parfait !!
La couche de métal qui entourait la cellule se brisa, et le LCL commença à se répandre partout dans la salle. Le spectacle était horrible à voir. Tala était toujours dans la cellule, mais la peau sur plusieurs parties de son corps avait été arrachée et ça saignait abondamment. Ses yeux pleuraient du sang et ses yeux étaient rouges. Le choc a du être énorme. Lentement, je m'approche de lui.
- Ne t'en approche pas ! C'est une horreur de la nature ! Un specimen raté ! s'écrie Voltaire
- Ta gueule ! C'est un humain comme un autre que vous vous êtes servis pour vos expériences stupides ! Personne ne méritait ça ! Même pas lui ! C'est impardonnable ce que vous avez fait ! Vous venez de saboter son existence !
- Il va mourir en agonisant, c'est tout.
- Mais ce n'est pas juste !
- Arrête de crier sinon je te fais subir le même sort que lui !
Je n'ajoute rien. Le regard de Tala se pose sur moi. On se regarde droit dans les yeux et si cette foutue vitre n'aurait pas été là, on aurait même pu se toucher tellement on était près l'un de l'autre.
Il tend lentement sa main en direction de la mienne. Les larmes de sang continuent à couler sur son visage qui autrefois était beau. Maintenant, on dirait que sa peau est en train de fondre. Ses yeux bleus ont perdu de l'éclat. Mais il sera toujours le même. Le Tala que j'ai toujours aimé.
Comme lui, je tend lentement ma main vers la sienne, jusqu'à ce qu'elle touche la vitre.
- Tala… murmurais-je en baissant les yeux
De son autre main, il retire son masque à oxygène et le laisse tomber dans le fond de la cellule. On dirait qu'il veut que je l'aide, mais c'est impossible. Il est en train de mourir et je ne peux rien faire pour l'aider.
- Arrête ce cirque !! s'écrie Voltaire, nous allons le tuer sur le champs !!
- Non ! S'il-vous-plaît, attendez une minute.
- Une minute et pas plus !
Je me retourne vers la cellule. Des larmes commencent à couler sur mes joues. Tala me fait un sourire forcé, comme pour me consoler. Il avance son visage vers le mien, à environ deux centimètres de la vitre. Je devine ses intentions. Je fais comme lui, et on reste environ deux minutes comme ça. Puis, il me sourit tristement. Il sait très bien que la fin est proche et qu'il va mourir après avoir agonisé.
Et je le sais aussi. J'aurais tellement voulu l'aider… Lentement, je retourne vers Boris et Voltaire. Ils ne disent rien, mais Voltaire a le goût de s'arracher tous les cheveux qu'il a sur le crâne. Si je l'aurais pu, je l'aurais foutu dans cette cellule et je l'aurais fait souffrir, comme il l'a fait avec Tala. Son expérience a complêtement ratée. Et elle a gâché la vie de quelqu'un.
- La prochaine fois vieux débile, tu feras tes expériences sur un animal au moins !
- Ah, ah, regardez-moi donc le petit frustré !
Là, je ne suis plus capable de me retenir. Je lui donne un bon coup de poing sur la gueule. Il vacilla puis tomba sur le derrière. Je fis exprès pour lui cracher dessus.
- Va en enfer, pauvre naze.
Avant de sortir, je lançai un dernier coup d'œil à Tala. Une larme me coula sur la joue. Il s'est effondré. Son corps continue quand même de saigner. Il est mort.
Puis, lentement, je sors du laboratoire, le cœur lourd d'émotions.
This was an accident, not the kind were sorrow sounds,
Never even noticed were suddenly crumbling.
Tell me how you've never, felt delicate or innocent,
Do u still have doubts that us having faith makes any sense.
Tell me nothing ever comes rationale or breaking down.
Still somebody loses cause theirs no way to turn around,
Staring at your photograph everything now in the past
Never felt so lonely I wish that you could show me love.
***
Jamais je n'aurais cru pouvoir perdre un ami aussi facilement. Enfin, un ami, entendons-nous… Oui, il était plus qu'un ami. Et il le sera toujours. Mais peut-être que, finalement, c'était mieux pour lui de connaître la mort, car comme ça, il va arrêter de souffrir. Il ne pourra plus être le jouet préféré de Voltaire.
Je crois qu'il préfère ça comme ça. Je serais comme ça aussi. Mais tout de même… Est-ce seulement une rude épreuve à surmonter ou bien est-ce seulement un simple obstacle ? Aucune idée. La vie va reprendre son court, mais différemment, cette fois-ci…
There's a face, searching far, so far and wide
There's a place, you dream you'd never find
Hold on to 'What if?'
Hold on to 'What if?'!!
*~* FIN
Alors, walà, c'est fini. C'est bizarre, uh ? J'suis désolée pour les fans de Tala… _ En tout cas, j'espère que vous avez apprécié ! Uh… merci de ne pas demander de suite car c'est fini au complêt ^^''.
See you next time ! ^_~
- Merde, c'est en train d'échouer, murmure-t-il
- C'est impossible ! Tout était tellement parfait !!
La couche de métal qui entourait la cellule se brisa, et le LCL commença à se répandre partout dans la salle. Le spectacle était horrible à voir. Tala était toujours dans la cellule, mais la peau sur plusieurs parties de son corps avait été arrachée et ça saignait abondamment. Ses yeux pleuraient du sang et ses yeux étaient rouges. Le choc a du être énorme. Lentement, je m'approche de lui.
- Ne t'en approche pas ! C'est une horreur de la nature ! Un specimen raté ! s'écrie Voltaire
- Ta gueule ! C'est un humain comme un autre que vous vous êtes servis pour vos expériences stupides ! Personne ne méritait ça ! Même pas lui ! C'est impardonnable ce que vous avez fait ! Vous venez de saboter son existence !
- Il va mourir en agonisant, c'est tout.
- Mais ce n'est pas juste !
- Arrête de crier sinon je te fais subir le même sort que lui !
Je n'ajoute rien. Le regard de Tala se pose sur moi. On se regarde droit dans les yeux et si cette foutue vitre n'aurait pas été là, on aurait même pu se toucher tellement on était près l'un de l'autre.
Il tend lentement sa main en direction de la mienne. Les larmes de sang continuent à couler sur son visage qui autrefois était beau. Maintenant, on dirait que sa peau est en train de fondre. Ses yeux bleus ont perdu de l'éclat. Mais il sera toujours le même. Le Tala que j'ai toujours aimé.
Comme lui, je tend lentement ma main vers la sienne, jusqu'à ce qu'elle touche la vitre.
- Tala… murmurais-je en baissant les yeux
De son autre main, il retire son masque à oxygène et le laisse tomber dans le fond de la cellule. On dirait qu'il veut que je l'aide, mais c'est impossible. Il est en train de mourir et je ne peux rien faire pour l'aider.
- Arrête ce cirque !! s'écrie Voltaire, nous allons le tuer sur le champs !!
- Non ! S'il-vous-plaît, attendez une minute.
- Une minute et pas plus !
Je me retourne vers la cellule. Des larmes commencent à couler sur mes joues. Tala me fait un sourire forcé, comme pour me consoler. Il avance son visage vers le mien, à environ deux centimètres de la vitre. Je devine ses intentions. Je fais comme lui, et on reste environ deux minutes comme ça. Puis, il me sourit tristement. Il sait très bien que la fin est proche et qu'il va mourir après avoir agonisé.
Et je le sais aussi. J'aurais tellement voulu l'aider… Lentement, je retourne vers Boris et Voltaire. Ils ne disent rien, mais Voltaire a le goût de s'arracher tous les cheveux qu'il a sur le crâne. Si je l'aurais pu, je l'aurais foutu dans cette cellule et je l'aurais fait souffrir, comme il l'a fait avec Tala. Son expérience a complêtement ratée. Et elle a gâché la vie de quelqu'un.
- La prochaine fois vieux débile, tu feras tes expériences sur un animal au moins !
- Ah, ah, regardez-moi donc le petit frustré !
Là, je ne suis plus capable de me retenir. Je lui donne un bon coup de poing sur la gueule. Il vacilla puis tomba sur le derrière. Je fis exprès pour lui cracher dessus.
- Va en enfer, pauvre naze.
Avant de sortir, je lançai un dernier coup d'œil à Tala. Une larme me coula sur la joue. Il s'est effondré. Son corps continue quand même de saigner. Il est mort.
Puis, lentement, je sors du laboratoire, le cœur lourd d'émotions.
This was an accident, not the kind were sorrow sounds,
Never even noticed were suddenly crumbling.
Tell me how you've never, felt delicate or innocent,
Do u still have doubts that us having faith makes any sense.
Tell me nothing ever comes rationale or breaking down.
Still somebody loses cause theirs no way to turn around,
Staring at your photograph everything now in the past
Never felt so lonely I wish that you could show me love.
***
Jamais je n'aurais cru pouvoir perdre un ami aussi facilement. Enfin, un ami, entendons-nous… Oui, il était plus qu'un ami. Et il le sera toujours. Mais peut-être que, finalement, c'était mieux pour lui de connaître la mort, car comme ça, il va arrêter de souffrir. Il ne pourra plus être le jouet préféré de Voltaire.
Je crois qu'il préfère ça comme ça. Je serais comme ça aussi. Mais tout de même… Est-ce seulement une rude épreuve à surmonter ou bien est-ce seulement un simple obstacle ? Aucune idée. La vie va reprendre son court, mais différemment, cette fois-ci…
There's a face, searching far, so far and wide
There's a place, you dream you'd never find
Hold on to 'What if?'
Hold on to 'What if?'!!
*~* FIN
Alors, walà, c'est fini. C'est bizarre, uh ? J'suis désolée pour les fans de Tala… _ En tout cas, j'espère que vous avez apprécié ! Uh… merci de ne pas demander de suite car c'est fini au complêt ^^''.
See you next time ! ^_~
