Auteuse: Howan
Base: Samurai Deeper Kyo
Titre: Interprétation, Réinterprétation ... Assimilation
Chapitre: 01
Genre: ooc, parodie et fantasme yaoiste
Rating: hein ? ... euh, pouvant monter jusqu'au pg-15 ... ou plus ... en fait j'en sais rien
Pairing: pseudo Shinrei/Yukimura, puis Shinrei/Hotaru
Disclaimer: les personnages ne m'appartiennent pas bla bla bla ... mais les situations sont suffisements équivoques pour me donner des idées chelous ...
Notes: attassion, cette fic a été écrite sous l'influence de produits illicites comme le thé noir et les carambars et très tard le soir (ou très tot le matin), mieux vaut protéger vos neurones avant de lire ce qui suit.
Le but de cette fic est de reprendre tout les évènements qui m'ont fait tilter en tant que pseudo-yaoiste de base, et de les expliciter à ma manière.
Dans ce premier chapitre, je reprend un passage du volume douze, lorsque Shinrei introduit un dragon d'eau dans le corps de Yuya, puis je continue l'histoire avec plus ou moins d'ellipses et flash-back douteux ... bon okay, j'avoue ... y a pas de scénar !
Mon sensei/béta étant en vacance, cette fic n'a pas encore été corrigée ... donc vous pouvez me faire remarquer toutes les fautes ... et je corrigerai avec plaisir !

Dédicace spéciale: à mon petit-kohai-nadoré-sandy Yume623 !! Joyeux annif' (franchement à la bourre) !!

01

Shinrei baissa la tête:

"- J'ai compris ... dans ce cas ..."

Avec une rapidité presque divine, le Mibu saisit la taille de la personne la plus proche de lui -et qui s'avérait être tout à fait par hasard Yukimura- l'attira contre son torse et plaqua ses lèvres contre les siennes, sa langue forçant le passage jusqu'à la bouche humide du brun qui n'en revenait manifestement pas.
Prit par surprise, le jeune ronin n'eut même pas le reflexe de se débattre ou de ne serait-ce que manifester son potentiel désaccord.
L'assassin en profita pour s'insinuer presque lascivement dans la cavité brûlante de sa victime, ne quittant pas celui-ci des yeux, se pressant encore plus contre lui jusqu'à pouvoir confondre les battements de leur propre coeur.
Leurs chairs se rencontrèrent en une caresse abrupte.
Puis aussi soudainement qu'il l'avait attrapé, il le repoussa sans douceur sous les yeux ébahis des autres protagonistes de l'histoire assistant passivement à la scène d'un tragique discutable. Sanada, le cul dans la poussière et les yeux en dehors des orbites hésita franchement sur la conduite à tenir.
D'un côté, il était furieux de s'être laissé baisé -sans mauvais jeu de mot- de cette manière et d'avoir participé au spectacle qu'il se contentait habituellement de provoquer, mais d'un autre côté il devait bien avouer qu'il n'avait pu s'empecher de savourer l'étreinte à sa juste valeur, comme tout bon hédoniste qui se respecte.
Après un temps relativement restreint de reflexion, il se décida finalement pour une attitude dite de "vierge outragée", mais alors qu'il s'appretait à couvrir son aggresseur d'injures bien senties, ses protestations s'étranglèrent dans sa gorge.

"- ...Que ... quelque chose est entré en moi ... "

Ses mains remontèrent jusqu'à son cou, là où un corps étranger venait selon lui de s'introduire, sans autorisation préalable de sa part. Yukimura se prit à rechercher l'origine et la nature du-dit intru en pensée. Peut-être Shinrei était-il apparenté à la race des lézards, et sa langue s'était-elle détachée pendant qu'il lui roulait son baveux patin ?

"- Je vais me retirer car maître Muramasa me l'ordonne, commença le guerrier d'une voix pompeuse, guère troublé par son acte et encore moins par ses conséquences , ... mais en échange, je vous met au défi !"

"- Un défi ?"

"- Je viens d'introduire un dragon d'eau dans son corps ..."

Sanada soupira. Dommage, il aimait bien son hypothèse quant à la génétique reptilienne du Mibu.

"- ... Il va traverser ses veines et ... dans soixante jours exactement, il sortira de lui en déchiquetant son coeur ..."

A cet instant précis, un vent léger se mit à souffler dans la clairière, emportant avec lui quelques feuilles mortes indispensables au décors, qui vinrent se perdre en un ballet aléatoire dans la chevelure argentée de l'assassin. Ce dernier s'empressa d'ailleurs de raplatir ses mèches pour les empecher de venir lui chatouiller le nez ce qui l'aurait à coup sûr fait eternuer -chose extremement mauvaise pour son image de marque.
Il reprit d'un ton ostentatoire:

"- Je suis le seul à pouvoir arrêter ce dragon ... si vous voulez sauver la vie de cet homme, essayez d'arrêter l'ambition de notre clan ..."

Ayant finit sa tirade, il s'appreta à exécuter une sortie tout en panache mais cru déceler à l'aide de son ouie extremement developpée un faible ricanement en provenance de Kyo.
Il stoppa net et posa ses mains sur ses hanches.
Ce crétin se foutait de sa gueule !?
En observant les autres, il constata que l'attention nétait guère plus présente.
Yuya était agenouillée aux pieds de Muramasa qui s'affairait consciensieusement à repeindre le sol de son sang poisseux, Hidetada de son côté se repassait en boucle l'embrassade passionée subie par Yukimura se demandant si c'était du lard ou du cochon, tandis que Kyo se contentait de glousser betement dans sa barbe comme precedement cité.
Et personne ne daignait accorder la moindre attention au pauvre Shinrei à la limite de la frustration.

"- Shinreeeeeeei ...."

Enfin, presque personne. N'ayant rien d'autre à faire, l'interpellé se retourna vers le brun, un air suffisant plaqué au museau.

"- Quoi ..."

"- Pourquoi moi ?"

"- Pourquoi pas ..."

"- C'était très mal joué de ta part, railla Kyo qui se remettait difficilement de son fou rire, ... qui aurait envie de le sauver ?"

Tigre approuva silencieusement tandis que Sanada faisait mine de s'offusquer:

"- Merci les gars !"

Ayant enfin retrouvé une partie de son auditoire, la planète afficha un rictus narquois et ramena ses mèches rebelles en arrière dans un geste théatral -et théatralisé.

"- ... Je me suis dit que choisir la fille aurait fait un peu cliché ... pour Kyo et Muramasa ... je ne touche pas aux traitres, surtout lorsqu'ils sont vieux ... et ... Hidetada, c'est ça ? ... il y a des limites au masochisme ... Quitte à devoir embrasser quelqu'un, autant y prendre du plaisir ..."

A cette explication aux fondements des plus douteux, Yukimura roula des yeux et tenta de se persuader que les autres Mibu n'étaient pas tous comme ça, tout en se félicitant mentalement d'être une source de plaisr pour un autre.

"- Et surtout, reprit Shinrei, ça doit être pour vous un sacré conflit n'est-ce pas ... ? Chacun avec vos idéaux contradictoires ..."

Pour cette fois totalement satisfait de son audimat, il rangea minutieusement ses sabres dans sa ceinture -en faisant bien attention à ne pas se couper avec au passage, leur forme tordue étant des plus traitre- et effectua sa sortie tant attendue d'un gracieuse pirouette dans les airs pour se fondre en une myriade de fines goutelettes, puis en vapeur s'élevant jusqu'aux nuages et se laissant transporter par le vent jusqu'à des contrées lointaines où il retrouvera sa forme liquide afin d'irriguer les cultures destinées à nourrir une famille nombreuse dont l'ainé des enfants partit travailler en ville souffre de calvitie chronique due aux affres des mauvaises conjonctions lunaires influant également sur les marées et ... bref, il disparut laissant nos héros complètement abattus et l'auteuse au bord du suicide fictif.

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Cela faisait un petit moment déjà que Shinrei avait décidé d'aller en finir à la main avec son adorable mais intenable petit frère. Ce dernier avait encore trouvé le moyen de se faire remarquer en revenant sur le dos de Chinmei, un bras en moins, et son sanglant maquillage de guerre coulant sur son visage tuméfié, bref, en bien piètre état. Dire qu'il avait projeté de battre Kyo en deux temps trois mouvement, le voilà qui revenait la queue entre les jambes.
Et trop, c'était trop pour le pauvre Shinrei, son poing commençait sérieusement à le démanger. Bizarrement il avait toujours adoré taper sur le blond, qui le lui rendait d'ailleurs fort bien.
L'ainé des deux frères errait donc à travers les couloirs interminables du palais Mibu à la recherche de Keikoku dans le but avoué et avouable de le coincer dans un coin sombre pour lui apprendre la vie et l'honneur du clan à grands renforts de coups de sabre dans le derche.
Manifestement la chance était de son côté. Voilà donc l'insouciante planète parcourant avec allegresse le corridor, le regard vitreux et le kimono aggrafé à l'envers, sans se douter de la présence d'un horrible aggresseur l'attendant au tournant.
Shinrei se planta devant le blond, les sourcils froncés. Il commença d'un ton aggressif:

"- Keikoku ... tu m'enerves ... bat-toi !!"

"- ... Ah ..."

Pas plus impressioné que cela, le plus jeune pivota sur lui-même et fit un pas en sens inverse avant de stopper net suite à un tilt monstrueux. Il fit de nouveau volte-face et s'approcha du maitre des eaux pour lui planter un doigt accusateur dans la poitrine, l'expression de son visage toujours aussi impassible.

"- Pourquoi tu ne nous as pas parlé du dragon que tu as introduit dans le corps de Sanada ?"

"- ... Cela ne présentait aucun interet pour vous.", mentit le Mibu.

"- Ah ..."

"- A mon tour, pourquoi es-tu rentré avec un bras en moins ?"

"- ... Un bras ... quel bras, il baissa les yeux pour regarder successivement son membre postérieur gauche puis le droit, ... j'ai tout mes bras ..."

Shinrei faillit presque en tomber à la renverse. Il ne devait pas se laisser avoir par le jeu destabilisant de l'ennemi, sauf qu'en l'occurence, ce n'était ni un jeu, ni un ennemi, mais juste son crétin de demi-frère né avec seulement la moitié d'un cerveau.

"- Non laisse tomber ... je ne suis pas là pour parler ..."

"- Quoi, tu veux te battre ?"

Occultant le fait qu'il avait déjà explicité ses intentions quelques lignes plus haut, le plus agé des deux Mibu aquiesca vigoureusement avant de saisir le poignet du blond pour le projeter avec violence contre un pan de mur ... qui s'avéra être une porte mal fermée -ou peu solide vu la force du jeune homme.
Un craquement suspect se fit entendre et Hotaru se vautra elegamment les quatres fers en l'air dans une pièce ressemblant plus à un décors de tournage pour le film Dracula qu'à une chambre -même innocupée- de palais.
Le blond eternua une fois, deux fois et s'etouffa lors de la troisième sous le regard mi amusé, mi consterné de son frangin. Le petiot était donc allergique à la poussière, navrant pour une des cinq planètes pensa Shinrei avec désolation.
Il s'avança à son tour dans la pièce et se planta avec dignité devant le maitre du feu, le surplombant de toute sa hauteur.
Keikoku se gratta la tête et epousseta ses vétements provoquant ainsi une deuxième crise d'eternuement incontrolable.

"- Relève toi !", ordonna Shinrei d'une voix autoritaire.

"- Ne me donne pas d'ordres ou je te tue."

"- ... Je demande à voir ... donne moi cinq minutes et tu seras de nouveau à mes pieds."

Le blond se redressa souplement et annona vaguement:

"- La vantardise a toujours été ton plus gros défaut, Shinrei."

Sans prévenir, il abattit son sabre sur son ainé qui esquiva sans problèmes avant de lui-même contre-attaquer. Le combat dura ainsi plusieurs minutes sans qu'aucun des deux ne prenne réellement le dessus sur l'autre. Puis Keikoku s'effondra soudain, un genoux à terre.

"- Alors ?", fanfaronna le vainqueur.

"- Tu avais dit cinq minutes ..."

"- C'est le résultat qui importe ... pas le temps."

"- Et que comptes tu faire maintenant ?"

Shinrei tiqua net. Pour tout dire, il n'avait rien prévu d'autre que de se défouler un peu et de soumettre son frère à sa puissance devastatrice. Mais en y reflechissant, il pouvait toujours tenter de profiter de la situation.

"- Hum ... relève la tête, regarde-moi ..."

Le bond s'executa avec mauvaise grace, puis trouva finalement très drole de fixer son frère droit dans les yeux pour le faire enrager.
Et l'autre bouillonnait littéralement; il detestait qu'on le provoque ainsi ... il detestait surtout quand le "on" en question était Hotaru. Il se cramponna à son sabre, le serrant presque à le briser, pour se calmer et éviter de commettre un acte de l'ordre de la connerie pure et fabriquée main.
Keikoku s'apperçu de son manège et sourit du regard -sa bouche ne connaissant pas la procédure à suivre pour y arriver.
Ce fût le bouquet pour Shinrei qui envoya valser ses joujoux coupants et enserra la nuque fragile du blond d'une main avide - l'autre passée dans le bas de son dos.
L'ancien sacré du ciel equarquilla mentalement les yeux comme des soucoupes lorsque son frère écrasa ses lèvres contre les siennes, mais ne fit pas un mouvement pour se libérer, trop tétanisé pour réagir, ou alors simplement trop occupé à reconnecter et cabler correctement ses neurones entre eux.
Shinrei pritce manque de protestation pour un consentement et commença à mordiller les lèvres du blond pour accéder enfin à sa bouche qu'il esperait acceuillante.
Hotaru -qui nageait vingt mille lieux sous les mers, sans palmes ni tuba- dessera machinalement les dents et laissa sa langue penetrer en lui, caresser impatiemment son palais, se meler à sa muqueuses. Alors qu'il projetait d'envoyer paitre son ainé et de l'assomer de coups de sabres bien sentis pour lui apprendre à lui sauter dessus, le-dit ainé accentua sa prise sur sa taille et osa même glisser sa main son son kimono plus qu'à motié débraillé.
Le coeur de Keikoku loupa un battement puis repartit à toute vitesse.
Il fallait dire aussi que l'apné n'était pas son fort -contrairement à Shinrei qui passait le plus clair de son temps sous la flotte- et qu'il commençait à serieusementmanquer d'air.
Bref, toutes ces données mises à la suite -le brusque bug de la pompe vitale du blond et son mauvais ravitaillement- perturbèrent passagèrement les quelques programmes en cours chez le Mibu, dont la commande "réaction violente" qui se métamorphosa en "pas de réaction" voire même en "réaction animale".
Hotaru -à ce stade de l'histoire complètement dominé par ses hormones defectueuses- rompit brusquement le baiser, avala une grande goulée d'air et reprit là ou ils s'étaient arretés avec une passion inhabituellement débordante.
Les deux garçons s'écroulèrent sur le sol froid et poussièreux, enlacés, voire carrément emmelés l'un dans l'autre, le blond Surplombant Shinrei.
Leur chute avait encore remué la poussière, et Keikoku relacha les lèvres de son frère, se préparant au pire qui ne tarda pas à se manifester.
Dans un magnifique eternuement, le plus jeune des deux postillona joyeusement sur le visage de son ainé qui haussa un sourcil perplexe avant d'éclater de rire au grand soulagement de l'allergique.
Ce dernier lui essuya consciencieusement les joues d'un bout de manche puis le fixa sans rien dire, toujours assit à califourchon sur lui.
Shinrei posa une main hésitante sur les hanche du blond, presque indécis.
A dire vrai, ce n'était pas exactement ce qu'il avait prévu en projetant de profiter de sa victoire. Il n'allait tout de même pas se serrer son demi-frère à même le sol, alors que celui-ci tentait de contenir un énième eternuement en fronçant le nez à la manière de ma sorcière bien aimée, dans une attitude des plus tragiquement risible.
Alors que le blond essayait d'éviter tant bien que mal d'asperger à nouveau le maitre des eaux, tout en gardant son impassibilité habituelle, Shinrei faisait tout pour se convaincre d'arreter d'hypnotiser les moindres faits et gestes de son frère comme si il s'eu agit d'un amant potentiel. C'est vrai quoi, il étaient censés se hair viscéralement.

"- Keikoku ... vire-toi de là !!", fût tout ce qu'il trouva -fort stupidement- à dire.

Le blond le toisa méchament de ses iris enflammés:

"- ... Quoi ?"

A la voix sourde, menaçante de son cadet, Shinrei se rendit compte de son erreur stratégique, voire même de son manque certain de subtilité psycho-sociologique, bref, il gloupsa mentalement et fixa le jeune homme avec apréhension. Celui-ci n'avait visiblement pas apprécié la dernière réplique de son ainé et le regardait comme si il allait l'égorger sur place, chose qui ne tarderait d'ailleurs pas à se concrétiser dans une gerbe de sang et de flammes.

"- Hotaru ... tu ... peux descendre de mes cuisses ?", reprit Shinrei plus poliment.

"- Non."

Le blond semblait catégorique. Il croisa ses bras devant lui et arbora une mine à la fois boudeuse et capricieuse totalement adorable.

"- Et pourquoi ?"

"- Pour ça ...", Keikoku se pencha sur son demi-frère et déposa un baiser papillon au coin de ses lèvres.

Shinrei soupira. Décidément le blond l'étonnerait toujours. Etre capable de passer ainsi de la machine de guerre sanguinaire à l'amant hésitant, en passant par le stade "jardin d'enfant" relevait de l'exploit, à se demander si il n'avait aucun antécédent de schyzophrénie latente.
Ne constatant aucune réponse de son ainé, le jeune maitre du feu continua:

"- Tu es bien indécis ... tu n'as pas envie de moi ?"

"- Subtilité, tu connais ?"

"- Plus que toi, railla le blond en faisant allusion à la raison de leur position actuelle, ... et tu ne m'as pas répondu."

"- Tu veux vraiment savoir ? J'ai envie de te retourner ici et maintenant ... de te faire hurler et trembler dans mes bras jusqu'à ce que tu me supplie d'en finir !"

"- ça a le mérite d'être clair ... et pourquoi tu ne le fais pas ?"

"- Il y a une différence entre fantasme et réalité."

"- ... Et il y a une différence entre toi et moi ... ce que je désire, je l'obtient, que ce soit de l'ordre de mes fantasmes, ou de la réalité ..."

Accompagnant ses paroles, Hotaru se saisit de son sabre tombé à côté et le fit glisser sur la gorge de son frère. A nouveau, il se métamorphosa en machine programmée au combat, écrasant tout sur son passage, surtout ce qui n'a pas lieu de l'être.

"- ... j'attend de voir ...", souffla l'ainé, complètement hypnotisé.

À suivre ...