Bonjour à tous!

J'ai essayé de corriger toutes les fautes de frappes et d'orthographe.

Attention, je ne dis pas qu'il y en a plus!

J'espère que ça ira mieux pour la lecture!

Chapitre 1 : Vacances à Privet Drive

Cornélius Fudge, ministre de la Magie

Collège Poudlard – Ecole de sorcellerie

Directeur : Albus Dumbledore

Commendeur du Grand Ordre de Merlin

Docteur ès Sorcellerie, Enchanteur-en-Chef, Manitou suprême de la confédération internationale des Mages et Sorciers

Cher Mr Dursley,

Nous avons le plaisir de vous informer que votre neveu, Mr Harry Potter, fait parti maintenant des sorciers de Second cycle...

"BlaBlaBla... Et puis quoi encore? Descend ici tout de suite, toi!

Un jeune homme, aux cheveux noir de jais en bataille et aux yeux verts émeraudes en amande, apparu quelques minutes plus tard dans le salon.

Je viens de recevoir une lettre de ton école de zoulous! Sais-tu ce que cela me dit?

Oui, Oncle Ver... Non, Oncle Vernon, fit-il, soudain intéressé. Il était en effet trop habitué à répondre "oui, Oncle Vernon" à chaque fois que celui-ci lui adressait la parole, ce qui se produisait peu de fois, et qui n'était pas sans lui déplaire.

Ils disent que "le Décret sur la Restriction de l'usage de la magie chez les sorciers de Premier Cycle", BlaBla... ne s'applique plus à toi. Qu'est-ce que cela veut dire ?

Que je fais maintenant parti des sorciers de Second Cycle qui peuvent faire de la Magie hors de Poudlard, sans être réprimandé par le ministère de la Magie, répondit-il joyeusement, en sortant sa baguette magique de sa poche.

Cela fit tout de suite de l'effet sur l'ensemble de la famille Dursley, composée de l'oncle Vernon, la tante Pétunia et son cousin, Dudley.

Pourquoi faites-vous ces têtes? Je ne vais pas vous manger! J'risquerai une intoxication alimentaire! Dit-il de plus en plus heureux.

Euh... Je tiens à te dire deux choses, mon garçon. D'une : nous ne t'empêcherons pas de faire tes tours de Magie et de toute façon, nous ne pourrions pas t'en empêcher. D'autre part, nous te demandons de ne pas trop attirer l'attention des voisins! Car...

Pardon? Répondit-il, stupéfait, croyant avoir mal entendu ou que l'Oncle Vernon avait sombré dans la folie.

Oui, tu as bien entendu, on te l'autorise. Mais tu n'as pas intérêt à toucher à un seul de nos cheveux, menaça-t-il.

Je n'oserai jamais le faire, même si l'envie ne manque pas certaines fois. A moins que vous ne vous mettiez à m'insulter, moi et mes parents comme le fait la Tante Marge!

Bien! Et justement, puisque tu parles de Marge, nous t'annonçons qu'elle vient nous rendre visite dans trois jours, pour une période d'une semaine.

Elle... QUOI? S'étrangla-t-il

Elle arrive mardi. Alors il serait préférable que tu n'exerces pas ta Magie durant son séjour parmi nous!

Mmm... Ok, mais elle a intérêt à ne plus nous insulter moi ou mes parents une fois de plus! Car là, je ne répondrais plus de moi, c'est clair !

Oui, oui, répondit l'oncle Vernon, tremblant.

Bien. Et il partit, emportant ses lettres avec lui."

Allongé sur son lit, il repensa à la dernière fois que la Tante Marge était venue leur rendre visite. Elle n'était d'ailleurs pas du tout sa tante, bien qu'on l'eu obligé à l'appeler "Tante" toute sa vie. Elle était la soeur du mari de la soeur de sa mère. Cette fois-là, après l'avoir entendue insulter et souiller la mémoire de ses parents, il avait perdu son sang froid et l'avait gonflée comme un ballon, par magie. Car en effet, comme vous auriez pu le deviner, c'était un sorcier. Et par n'importe lequel : c'était Harry Potter, le célèbre sorcier qui était venu à bout de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom.

Mais Harry, lui, ne s'en souvenais pas, et honnêtement, il aurait préféré que cela arrive à quelqu'un d'autre. Il se souvenait juste d'une lumière verte, d'un rire glacial et d'avoir entendu les derniers mots de ses parents : James Potter avait dit à sa femme de s'enfuir, avant qu'il ne se fasse tuer et il se souvenait que sa mère avait supplier Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom de prendre sa vie, plutôt que celle de son fils. Et cela, il l'entendait à chaque fois qu'il entrait en contact avec un Détraqueur. Il était devenu orphelin à l'âge d'un an. Tout ça à cause d'un ami de son père, Peter Pettigrow, qui avait trahi Lily et James Potter en les livrant à son maître, de peur d'être tuer, faisant ainsi accuser un autre de ses amis, Sirius Black, de la trahison par un stratagème ignoble (Pour ceux qui ne savent pas, faut lire ou relire le tome 3!)

Sirius... C'était le meilleur ami de James Potter et le parrain de Harry. Jusqu'à l'an dernier, c'était le seul proche, à part les Dursley, qui lui restait. Et Harry l'aimait beaucoup. Il y a un an, une bataille avait explosée au ministère de la magie et Sirius n'y avait pas survécu (HP5).

Au lieu de rester dans ses sombres pensées, il décocheta les lettres qui lui avait été envoyées en même temps que celle de l'oncle Vernon. L'une était de Poudlard et l'autre de Ron Weasley, son meilleur ami. Il choisit de commencer par la lettre de Poudlard.

Cher Mr Potter,

Nous avons le plaisir de vous informer que vous pouvez maintenant vous servir de la magie chez vous, suite au règlement du ministère qui stipule que vous faites maintenant parti des sorciers de second cycle.

Veuillez prendre en compte que la nouvelle année commencera le 1er septembre. Le Poudlard Express partira en gare de King Cross à 11h précises.

Nous joignons à cette lettre la liste des fournitures scolaires à vous procurer cette année.

Veuillez croire, Monsieur, en l'expression de nos sentiments distingués.

Mr DuCroissant

Ministère de la magie, unité Poudlard

Harry plia sa lettre en se disant que c'était la dernière fois qu'il reçevait des lettres comme ça. L'an dernier, il avait obtenu une mention optimale à chacun de ses buses! Et cela, même en potions, ce qui semblait tenir du miracle! En tout cas, il était plus qu'heureux à cet instant. Il pensa alors qu'avec toutes ses mentions, son projet de devenir auror était encore d'actualité. D'ailleurs, Rogue avait du l'accepter à ses cours pour les sixième et septième année consécutives, à leur grand déplaisir réciproque.

Il prit l'autre enveloppe et l'ouvrit :

Salut Harry,

Comment ça va? Moi ça va. Le magasin de Fred et George connait un essor commercial exeptionnel. Ça ne m'étonnerai pas qu'il fasse concurrence à Zonko un jour prochain !

L'envoi de ma lettre n'est pas anodine. J'ai un service à te demander, où plutot à ton oncle et à ta tante. Voilà, je me lance : je t'inviterai bien à revenir cette année une fois de plus au Terrier (à part l'année dernière où on était chez Hermione), mais on a un problème. Voldemort continu de faire des siennes et mes parents ont de plus en plus de travail avec l'Ordre du Phénix, qui manque cruellement de membres de confiance. Ils doivent partir en mission et je ne te cache pas que je m'inquiète pour eux. Le problème, c'est que, tu les connais, ils ne veulent pas nous laisser seuls ici, moi et Ginny (et d'un côté, je les comprends parfaitement). Ginny, elle, va chez Luna Lovegood. Et moi, j'ai demandé à Hermione, mais pour l'instant, elle ne peux pas m'acceuillir car elle part en France avec ses parents, mais après elle pourra. Alors voilà.

Ca m'ennuie de demander à ton oncle et à ta tante qui n'aiment pas les sorciers, s'ils pourraient m'héberger quelques jours.

Mes parents vont passer chez eux pour les voir, mais il serait préférable que tu leur en touche deux mots avant.

Je te dis merci d'avance.

A plus

Ron

Harry n'en revenait pas de la lettre que lui envoyait son meilleur ami. Cela tiendrait du miracle si l'oncle Vernon et la tante Pétunia acceptait un autre sorcier ici! Mais à bien y réfléchir, ils avaient changés depuis l'été dernier, quand le professeur Lupin, Tonks, Maugrey et les autres leur avait dit d'arrêter de le maltraiter (bien que rien n'avait réellement changer dans la manière de se comporter avec lui). En plus il avait quelques arguments en poche. Et qui ne tente rien n'a rien! Il sortit de sa chambre en vitesse...

" Oncle Vernon?

Oui, mon garçon, dit il d'un oeil mauvais.

J'ai un service à te demander. Pourrais-tu héberger... Deux de mes amis pour quelques semaines, s'il te plaît?

Et puis quoi encore?

Harry s'attendait à ce genre de réaction. Il pensait à inviter aussi Hermione. Quitte à inviter Ron, pourquoi pas Hermione? (tant pis si elle refusait par la suite!)

Oui... Ecoute... Et il fit un résumé de la situation. C'est pourquoi ses parents demandent si vous ne pouvez pas l'héberger jusqu'à la rentrée.

Et puis quoi encore? Répéta sa femme

Ron et Hermione m'ont héberger les étés précédents, je vous le rappelle. Vous leur devez bien ça! En plus, songez que l'année prochaine, je ne reviendrai pas! Vous serez enfin libres Les trois Dursley le regardait d'un air septique. En plus, leur présence m'aiderait à supporter celle de la Tante Marge!

... Je ne sais pas, sérieusement, ce qu'il faut faire! Qu'en penses-tu Pétunia? Et sans lui laisser le temps de répondre : je n'ai absolument pas envie que des sorc... Enfin vos trucs volent partout dans la maison!

On ne fera pas de magie, sauf si on est obligé! En plus, Hermione, une de mes amies, est fille de Mol... De gens comme vous! Elle sait ce que c'est que la vie... Normale!

Une fille? Je ne veux pas de cochonneries sous mon toit, mon garçon!

Mais ce n'est pas ma petite amie, ni celle de Ron. C'est ma meilleure amie. Y'aura pas de cochonneries, je te le promets!

Bon...

Mr et Mrs Weasley vont prendre contact avec vous.

Quand? "PLOP"

Ils sont déjà là, derrière vous."

Les têtes de Mr et Mrs Weasley s'élevaient en effet des flammes. La tante Pétunia poussa un petit cri.

" Bonjour ! Fit Mr Weasley. Je suis Arthur Weasley et voici ma femme Molly. Bonjour Harry.

Bonjour Mr Weasley. Je viens de leur en parler.

Ah! Bien bien. Alors qu'en dites-vous?

Et bien... Je ne sais pas... (Il se répète, hein?)

C'est un service qu'on vous demande, dit Mrs Weasley. Comme Harry a du vous le dire, Voldemort est de plus en plus puissant et attaque de plus en plus, les moldus comme vous, ainsi que les sorciers. Personne n'est en sécurité : on vous demande juste d'héberger notre fils jusqu'à la rentrée, s'il-vous-plaît.

Euh... Fit l'oncle Vernon.

C'est d'accord! Coupa la tante Pétunia, livide.

L'oncle Vernon, Dudley et Harry eurent un sursaut.

Merci de tout coeur. Quand peut-on passer vous l'amener?

Quand vous voulez.

D'accord, on arrive après-demain alors.

Euh, Mr Weasley, intervint Harry, il serait préférable que vous arriviez en voiture! Donc, on vous attend après-demain!

Je comprends. A après-demain et merci encore! Et ils disparurent dans un PLOP.

Tout le monde regardait la tante Pétunia.

Tu es sûre de ce que tu fais Pétunia? Demanda l'oncle Vernon.

Vernon, en tant que soeur de Lily, qui était une sorcière, je sais de quoi Tu-Sais-Qui est capable! Et je te jure qu'il faut être solidaire entre sorciers et Moldus, car ce sorcier est pire que n'importe quel criminel que tu connais, je te le rappelle! Harry, tu dois me promettre que toi et tes amis ne ferez pas de magie ici sauf en cas de force majeure!

Oui, Tante Pétunia.

Bien. Toi et Dudley, montez dans vos chambres!"

Harry monta donc dans sa chambre, sonné. La Tante Pétunia l'étonnait. Décidément, elle en connaissait beaucoup sur le sujet! Au début de la cinquième année, elle leur avait déjà donner ce genre de surprise. Mais ce qui avait été étonnant, c'est que pour la première fois de sa vie, elle avait considéré Harry comme son neveu. Elle l'avait appelé "Harry", ce qu'il n'avait jamais entendu prononcé dans cette maison. Généralement, on l'appelait "Toi", "Mon garçon"...

Il prit donc un feuille de papier:

Chère Hermione,

Tu vas bien? Moi, ça va. Je t'invite pour le reste des vacances chez mon oncle et ma tante, à Privet Drive. Comment est-ce possible me diras-tu? Je n'en reviens toujours pas moi-même! Je t'envoie un autre feuille qui va te résumer ce qui c'est passé.

J'espère que tu pourras venir, même si tu vas en France, et le plus tôt serait le mieux. Ron viens lui aussi. Appelle quand tu veux.

Amitiés.

Harry

Il prit une feuille de papier et sa baguette, parvenant ainsi sans mal à retranscrire toute l'histoire par un sort. Il confia ensuite la lettre à Hedwige, sa chouette, qui s'envola majestueusement vers sa destinataire.

Harry s'allongea et repensa à ce qui s'était passé l'année précédente. Grâce à l'aide de l'Ordre du Phénix, il avait réussi à attraper Queudver et ainsi honorer la mémoire de Sirius. Et il s'était retrouvé une fois de plus devant Voldemort en fin d'année. Le duel entre deux avait été très intense et chacun d'eux avait reçu un bon nombre de coups et de sorts jusqu'à ne plus pouvoir se battre: il n'y avait pas eu de vainqueur. Harry s'était beaucoup amélioré.

Il avait en effet maintenu les cours de L'AD, qui étaient devenus très populaires depuis l'annonce du retour de Voldemort par le ministère de la Magie. Harry avait bénéficié de l'aide des professeurs Dumbledore, McGonagall et Lupin pour assurer ses cours qui se déroulaient maintenant dans la Grande Salle. Cet entraînement avait porter ses fruits. Neville Londubat avait ainsi réussi à aider les membres de l'Ordre, de plus en plus nombreux eux aussi, à arrêter Bellatrix Lestrange et son mari, ceux qui étaient responsables de la folie de ses parents, lors de la bataille à la fin de l'année contre Voldemort.

Mais bien sûr, aucun Serpentard ne faisaient partie de l'AD, et il ne s'en portait que mieux.

Entre lui et Cho Chang, les choses s'étaient clarifiées : il n'était pas ou plus amoureux d'elle, tout comme elle de lui (elle s'en était rendu compte quand ils avaient appris que Cédric Diggory était le nouveau fantôme de Poufsouffle : elle l'aimait toujours). Mais ils étaient restés bons amis. Après tout, elle resterait la première fille qui l'avait embrassé.

Il se laissa ainsi tombé dans le sommeil.

Le lendemain, la Tante Pétunia, qui l'avait laissé dormir toute la nuit, vint le réveiller en douceur (étonnant!).

"Harry, réveille-toi! Dit la Tante Pétunia.

Hein? Que? Quoi?

Viens avec moi, on va préparer votre chambre à toi et ton ami.

Que?...

J'ai décidé avec Vernon que Hermione, c'est ça? Dormirai ici et que toi et ton ami dormirez au grenier.

Au grenier? Mais je n'ai jamais eu le droit d'y aller!

Normal! Mais ça fera l'affaire, je pense. Allez viens! Ordonna-t-elle."

Harry se demanda ce qui pouvait bien être "normal" dans le fait d'aller au grenier et aussi dans quel état il pouvait bien être. Il s'attendait à voir de la poussière et des toiles d'araignées partout (et dans ce cas, c'est sûr qu'il faudrait nettoyer vu que Ron déteste les araignées) mais ce ne fut pas le cas. Il y était déposé plusieurs objets sorciers, ce qui était étonnant! Devant son air ébahi, la Tante Pétunia expliqua:

"On ne te l'a jamais dit, ni à Dudley, mais c'était la maison de mes parents et ici c'est, enfin c'était la chambre de Lily. Je te laisse t'occuper ici. Je t'apporte ton petit déjeuner et les draps tout à l'heure. Je pense que tu as besoin de rester seul."

Et elle s'éloigna, laissant Harry seul, et il l'en remercia : il était dans la chambre de sa mère! Jamais il ne se serait douté que tous ces objets étaient disposés là depuis des années! Il y avait plusieurs cartons qui avaient été disposés là à la va-vite semble-t-il. Il y avait une lettre dessus, adressée à sa tante. Harry n'avait pas besoin de la lire car il se doutait déjà ce qu'elle disait et ce qu'il y avait dans ces cartons : c'est ce qui se trouvait à Godric's Hollow, avant... Tout ce qu'il restait de la maison de ses parents.

Il entreprit donc d'ouvrir tous les cartons et examina chaque objet sauf les paquets de photos, qu'il examinerai plus tard, dans son lit, exceptées celles encadrées. Il y en avait une qui le représentait le jour de son premier anniversaire. Il était sur les genoux de sa mère et riait, son père apportait les cadeaux. A leur côté se trouvaient Remus Lupin, Queudver et une autre femme qu'il n'avait jamais vu. C'était Sirius qui avait du prendre la photo. Sur une autre photo, Sirius tenait Harry dans ses bras.

Harry eu un pincement au coeur. Ils avaient tous l'air heureux sur ces photos. Personne ne se doutait ce qui allait arriver trois mois plus tard...

Son attention fut attirée par un carton où il y avait marqué "Pour Harry". Il l'ouvrit et découvrit plusieurs objets : des jouets (qui avait du lui appartenir), des nounours, une gourmette à son nom, ainsi qu'un médaillon au nom de sa mère et une bague. Mais ce qui attira le plus son regard, c'était ce qui occupait la majeur partie du carton : une pensine!

Sans avoir pris le temps de réfléchir, il plongea la tête la première dedans. C'était les pensées de ses parents, plus exactement les moments les plus heureux qu'ils avaient vécus : leur mariage, la naissance de Harry, ses premiers sourires, ses premiers rires, ses pemiers mots... (je laisse vagabonder l'imagination de chacun). Tous les instants de bonheurs qu'ils avaient vécus ensemble. Il resta dans la pensine toute l'après midi à voir et revoir ces moments jusqu'à ce que la Tante Pétunia entre dans la chambre :

"Eh bien! C'est pas très rangé tout ça!

Je vais utilisé un sort pour que ça aille plus vite!

Hermione se contentera de ta chambre, n'est-ce pas?

Oui bien sûr, mais je ne suis pas sûre encore qu'elle vienne...

Ses parents ont appelés tout à l'heure mais tu étais tellement absorbé par cette pensine que je t'ai laissé. Tiens, au fait, tu dois avoir faim, dit-elle en lui donnant un plateau-repas.

Merci, Tante Pétunia, puis il prend le plateau et commence à manger. Dis-moi, comment se fait-il que tu connaisses tout ça à propos de mon monde? Osa-t-il demander.

Je te rappelles que ta mère, ma soeur était une sorcière. A chaque fois qu'elle revenait, l'été, elle nous racontait à nos parents et à moi tout ce qu'elle avait appris pendant l'année et à quoi servait les objets magiques. Elle nous avait aussi mis en garde contre Tu-Sais-Qui : elle nous disait tout! Même quand je me suis mariée et que je ne voulais plus la voir, elle m'envoyait régulièrement des nouvelles.

Harry eu l'impression que la voix de sa tante s'était cassée, mais peut-être n'était-ce qu'une impression. Quoique, après tout, Lily Potter était sa soeur!

Euh, quand arrive Hermione? Dit-il pour changer de sujet.

Demain, elle aussi. Ses parents partent en France dans la nuit de demain soir. Bon, on la range, cette chambre?

Ok!"

En conjuguant leurs efforts (huile de coude et magie), ils rangèrent la chambre de Lily et l'aménagèrent afin qu'elle puisse acceuillir Harry et Ron. Puis, ils descendirent dans la petite chambre de Harry, pour l'aménager pour Hermione. La soirée fut ensuite comme les autres, mis à part que Harry avait pour la première fois de sa vie apprécié la compagnie de sa tante, ce qui était réciproque.