Coucou tout le mon... Euh... Y'a quelqu'un? OUHOUH... ouhouh ouhouh ouhouh (c'est l'echo).

Bon alors euh... Ca fait... pfiou... très longtemps que j'ai pas publié de chapitre! Mon amie l'inspiration s'est fait la malle pour me laisser pondre Destructeurs de Vies et d'autre petites choses que j'espère un jour finir et publier!

Je ne sais pas si ça sert encore de le préciser (surtout qu'il y plus personne pour avoir attendu ce chapitre), mais bon, rien à moi tout à Mrs Rowling et je ne gagne pas d'argent avec l'horreur suivante!

Attention attention, il y a un lemon! Plus long que le premier, plus détaillé! J'espère que vous vous rincerez bien l'oeil!

Ce chapitre sera le dernier! Je n'ai pas franchement envie de rallonger encore plus le délai! Considérez-le comme un cadeau de la nouvelle année! En passant, BONNE ANNEE à tous et à toutes!

Cette fic est dédicacée à Nanie Nouche! Si tu lis ça Nanie, je peux clamer haut et fort que ce chapitre est bien plus long que les précédents!!

Voilà voilà! Je vous laisse enfin savourer ce truc que je ne peux même pas appeler fin parce que franchement...

Bonne lecture!


Dans un rêve particulièrement agréable, Harry sentit les mains de Severus lui caresser le visage puis elles furent remplacées par ses lèvres. Quand se fut au tour de sa bouche, il répondit au baiser avec ferveur. Il grogna de frustration quand le Severus de ses rêves stoppa le baiser. Mais il gémit quand l'homme pinça ses tétons. Son gémissement redoubla quand il se rappela que la bouche remplaçait les mains. Décidément ce rêve était parfait. Pendant que Severus s'occupait de ses tétons et du reste de son torse, les mains de Harry tentaient de toucher la peau de son amant imaginaire.

La texture de sa peau était exactement la même que dans la vie éveillée. Vraiment très réel ce rêve. Il frôla la peau de ses doigts déclenchant un grondement du maître des potions qui le fit vibrer. Le frisson remonta de son nombril, là où était posée la bouche de Severus, jusqu'à chaque bout du moindre de ses cheveux.

Il commençait à avoir des soupçons quant à l'irréalité de ces sensations, quand Severus prit son sexe en bouche. Alors il ouvrit brusquement les yeux, releva légèrement la tête et la reposa lorsqu'il vit que Severus était vraiment en train de lui procurer tant de plaisir. Entre ses halètements, provoqués par la prise de conscience de cette réalité et les attouchements si intimes, il réussit à dire :

- Oh Merlin ! C'était pas un rêve !

Severus ricana quand il l'entendit murmurer cette stupidité. Il continua tout de même ce qu'il était en train de faire, et il se rendit bientôt compte que c'était plus qu'approuvé par son amant. Mais quand il dirigea une de ses mains vers les fesses de Harry, après que celui-ci a jouit dans sa bouche, il hésita. Le souvenir de leur première cession débauchée le fit arrêter tout mouvement. Il n'avait pas prit conscience que, peut-être, Harry n'avait pas été d'accord ('Tu cherches la ptite bête Sevy') ou qu'il lui avait fait mal.

Il releva la tête et plongea dans les deux émeraudes de Harry, qui avait sentit son hésitation. Sous la force que Harry manifestait dans ses bras, malgré son récent orgasme, Severus remonta au niveau du visage aimé et le laissa balayer ses doutes dans un baiser époustouflant. Il enfouit son visage dans son cou et sentit un souffle chaud dans son oreille quand le jeune homme y murmura :

- Fais-moi l'amour, Severus.

Celui-ci se sentit frissonner de la tête aux pieds et il ne put résister plus longtemps. Il embrassa Harry tendrement tout en taquinant son intimité d'un de ses doigts. De son autre main, il retourna pincer les tétons érigés. Il avait envie de le faire languir un peu plus longtemps. Il savait que ce n'en serait que mieux. Il posa sa bouche dans le cou de Harry en même temps que son doigt entrait en lui

Le survivant se dit qu'il allait bientôt mourir. De plaisir. Avec un doigt, une main et une bouche Severus aurait pu le faire jouir encore une fois tout de suite. Mais il savait que les choses sérieuses n'avaient pas encore commencé alors il retint ses gémissements qui finissaient en sifflements indistincts. Il s'accrocha désespérément aux draps quand un second doigt entra en lui. Il sentit la main de Severus descendre en même temps que sa bouche, dont la langue s'enfouit dans son nombril, mimant l'acte sexuel. Puis un troisième doigt vint s'ajouter aux deux autres alors que son autre main se posa sur son sexe.

Comprenant que Severus le faisait languir, Harry sentit une vague de colère et de frustration le balayer. Au moment ou il allait lui dire ce qu'il pensait, les doigts talentueux frappèrent sa prostate. Un gémissement sortit de sa bouche. Ne pouvant plus se contenir il siffla furieusement :

- Putain ! Qu'est-ce que t'attends ?

Les yeux voilés de désir, Severus arrêta tous ses mouvements. Entendre Harry parler Fourchelangue venait de lui faire l'effet d'un aphrodisiaque. Il retira ses doigts et présenta son érection devant l'entrée de Harry. Avec une lenteur affolante, il le pénétra, savourant sa moiteur et son étroitesse. Complètement submergé par ses sensations, il sentit à peine son amant renverser la situation. Maintenant, Harry le chevauchait, ses mains appuyées sur son torse alors que les siennes s'étaient posées d'elles-mêmes sur ses fesses. Il le souleva et le laissa s'empaler. Il grognèrent tous les deux.

Harry, tout en continuant à monter et descendre sur Severus, se pencha pour l'embrasser. Il prit une des mains posées sur ses fesses et la déplaça sur son sexe. Comprenant, son maître des potions fit des va-et-vient sur son sexe. Le Survivant gémit encore plus furieusement et réussit à penser, au milieu de son cerveau embrumé, qu'il n'avait jamais ressentit cette plénitude avec Draco. Il avait enfin l'impression d'être entier avec Severus en lui. Et il savait que Severus ressentait cette union aussi. Ils avaient l'impression de n'être plus qu'un. Deux âmes, deux auras dans un même corps. Magique !

Leurs respirations se firent de plus en plus erratiques, les grondements de Severus et les gémissements de Harry de plus en plus rapprochés. Les jambes de Harry le lâchaient et si il avait été debout, il se serait déjà étalé par terre. Il sentait que Severus augmentait encore le rythme, et malgré tout l'amour qu'il laissait échapper, les coups de reins se firent bestiaux. L'ex-Serpentard reprit le contrôle. Il bascula son amant sur le dos et quand il le sentit proche de l'extase, il ralentit le rythme. Il voulait faire durer l'instant le plus longtemps possible. Harry ouvrit les yeux qu'il n'avait pas eut conscience de fermer et lui jeta un regard frustré.

- Patience, petit Gryffondor.

Les jambes de celui-ci s'enroulèrent autour de sa taille et ses mains se firent caressantes dans son dos. Severus le fixa d'un air soupçonneux et l'air innocent de Harry ne le détrompa pas. Il entama un baiser des plus doux qui lui fit oublier ses suspicions. Harry en profita pour remplacer le bout de ses doigts par ses ongles et griffer, ainsi, sa colonne vertébrale. Severus haleta sous l'attouchement. Harry glissa sa bouche vers son oreille et susurra, en Fourchelangue, des mots qui finirent en gémissements quand Severus reprit la cadence sauvage. Il réussit à sourire à travers son plaisir en pensant qu'il lui avait fait faire ce qu'il avait voulut qu'il fasse. Il mordit l'épaule blanche quand il sentit la jouissance monter en vagues croissantes. Les doigts de Severus s'enfoncèrent profondément dans ses hanches, lui laissant sûrement des marques, mais il ne s'en soucia guerre. Son sexe frottait contre le ventre de Severus, qui frappait sa prostate et il n'en put bientôt plus. L'orgasme l'attrapa en plein vol. Il rejeta sa tête en arrière, planta sûrement ses ongles dans ses omoplates et cria le prénom de son amant. Amant qui sentit ses chairs se resserrer autour de son membre et qui le regarda s'abandonner à son plaisir. Alors abandonnant lui aussi la lutte il ne retint pas le « Harry » qui glissa de ses lèvres dans un grondement.

Severus tenta de se retenir de s'effondrer sur Harry mais ses bras ne le portaient plus. Il s'écroula sur le corps essoufflé qui ne fit rien pour le déloger, bien que le poids lui coupa le souffle un peu plus. Ils restèrent ainsi quelques instants. Mais quand Severus voulut se retirer pour le laisser respirer, Harry resserra ses jambes autour de sa taille et lui murmura à l'oreille :

- Reste… S'il te plaît… J'aime te sentir en moi… Je… Je t'aime…

Severus le fixa dans les yeux et acquiesça avant de l'embrasser tendrement, amoureusement. Il le serra contre lui et le jeune homme soupira de bien-être. Pour lui rien ne valait une bonne dose tendresse après une intense séance de sexe. L'ex-Mangemort le vit peu à peu sombrer dans le sommeil. Il resta à le regarder, puis il marmonna un sort de nettoyage et, après qu'il fut sûr qu'il était endormit, se retira doucement de lui, sans pour autant desserrer son étreinte. Cette fois-ci c'est Harry qui le prit pour un ours en peluche. Sa tête se posa sur son torse et Severus glissa ses mains dans son dos. Puis, dans le silence de la chambre, il chuchota « je t'aime » avant de se livrer lui aussi à Morphée.

TOC TOC TOC

Severus émergea lentement du sommeil. Si d'habitude le moindre bruit ou le moindre signe d'intrusion le faisait bondir, ce matin il préférait rester, au lit, avec Harry, qui s'était retourné dans son étreinte pendant la nuit. Il enfouit son visage dans sa nuque et huma l'odeur des courts cheveux qui la parsemaient. Il allait se rendormir quand l'uluberlu qui l'enquiquinait réitéra son boucan infernal. Pensant qu'il allait bien finir par abandonner, il ne bougeait même pas le petit doigt, excepté pour plaquer un peu plus son amant contre lui. Mais après un énième coup à la porte, ledit amant se réveilla et poussa un grognement interrogateur. Soupirant, Severus se résigna à sortir de la douce chaleur de son lit. Seulement il sous-estima la puissance de son agresseur, qu'il entendit traverser ses appartements pour quasiment défoncer la porte de sa chambre. Il eut à peine le temps de se mettre assis dans son lit et de prendre soin de cacher ses parties intimes, qu'un Albus Dumbledore, paniqué comme un troupeau de Détraqueurs poursuivit par des Patronus enragés, lui hurla dans les oreilles :

- Severus ! Excusez-moi de vous dérangez mais Harry a disparu ! Miss Granger et Mr Malfoy m'ont dit que c'était vous qui l'aviez vu en dernier ! Vous ne l'auriez…

Il s'arrêta net et fini sa phrase dans une espèce de gargouillis pitoyable en voyant Harry émerger des couvertures, un air fatigué mais serein. Severus vit son très estimé directeur imiter un strangulot hors de l'eau, pour finalement rougir lorsque Harry passa ses bras autour de son torse et ses jambes autour de sa taille. Sentant tout le corps de son amant s'accrocher à lui comme un bigorneau breton à son rocher (NdA : clin d'œil à dekado et à sa fic Night and Day ), il se sentit près à affronter les foudres de son employeur. Seulement, Albus ne semblait pas pouvoir sortir de son choc et c'est après que Severus lui demanda de l'attendre dans le salon qu'il fit un geste. Il se résigna à devoir s'expliquer et il détestait s'expliquer sur ses gestes.

Il se dégagea de l'étreinte de Harry et commença à s'habiller. Il allait sortir quand il l'appela d'un petit chuchotis.

- Severus…

- Sshhh. Je reviens… Rendors-toi…

- Mmh…

Il se pencha et l'embrassa légèrement sur les lèvres avant de passer sa main dans les cheveux en bataille et sortir de la chambre.

Severus retrouva Albus dans le salon, assis dans un fauteuil devant la cheminée. Il souffla et 'assit à côté de son presque grand-père.

- Severus…

- Je sais ce que vous allez me dire, Albus. Je n'ai pas le droit de coucher avec un élève, cet élève là en particulier « Vous vous rendez compte ! Que va dire le ministère ! Le Survivant et un ex-Mangemort ! » Et vous avez raison. Je… Je vais dire à Harry que… c'était une erreur mais… pour une fois dans ma vie, j'ai envie d'être égoïste.

- Ecoutez-moi, mon garçon. Je n'approuve pas particulièrement que vous couchiez avec un élève, Harry qui plus est. Il est stipulé dans le règlement qu'une relation de ce type est parfaitement interdite. Cependant, je suis heureux que vous vous soyez avoué vos sentiments qui, il me semble, ne datent pas de la nuit dernière, n'est-ce pas ? –Severus acquiesça- Bien. Je ne vous incite donc pas à rompre avec Harry mais à attendre de poursuivre votre relation après ses examens. Et si, par un quelconque hasard, vous ne pouviez vous « retenir », faites-moi la grâce d'emmener Harry ailleurs et faites en sorte que je ne l'apprenne pas. Ni moi, ni personne d'autre d'ailleurs. Je ne pourrai retenir l'esclandre que cela pourrait engendrer.

Albus regarda avec curiosité le léger rose qui teintait maintenant les joues de son professeur des potions. Il se leva et se dirigea, aussi dignement que possible au vu de ce qu'il avait appris, vers la porte. Avant qu'il n'ait pu la refermer, Severus l'interpella.

- Albus ! Bien que cela me coûte de le dire… Merci.

Il le fixa un instant puis repris le chemin de son bureau en se disant qu'il lui faudrait au moins une tarte meringuée au citron entière pour s'en remettre.

Severus soupira en pensant que cela avait été plus facile qu'il ne le pensait. Il lui faudrait juste renvoyer Harry, jusqu'à ce qu'il passe ses ASPICs. Il laissa échapper un ricanement amer : connaissant le caractère de son amant, cela serait aussi facile qu'une séance de Doloris. Il prit sur lui et s'approcha, pas à pas, d'une discussion qu'il ne voulait pas avoir. Il s'assit sur le bord du lit et passa sa main dans les cheveux de Harry. Il se pencha et l'embrassa tendrement sur les lèvres pour le sortir de ses songes.

Harry papillonna des yeux et s'accrocha à son cou pour approfondir le baiser. Ils se séparèrent quand ils n'eurent plus d'air et il lui sourit d'une telle manière que Severus oublia pourquoi il l'avait réveillé. Et quand cela lui revint, son visage se ferma et le sourire de son amant s'effaça peu à peu.

- Qu'est-ce qu'il y a ?

- Harry… J'ai discuté avec Albus et…

- Il veut qu'on se sépare ?

Harry le regarda avec inquiétude quant à son hésitation. Il ne l'avait jamais vu hésiter et qu'il le fasse alors que ça les concernait tous les deux ne le rassurait pas vraiment.

- Pas vraiment…

- Pas vraiment ? Mais explique-toi au lieu de me faire mourir de peur !

- Il veut que l'on arrête de se voir jusqu'à ce que tu passes tes ASPICs.

Il examina le visage du Gryffondor avant de voir qu'il n'y avait pas le moindre début de colère qu'il s'attendait à voir. Il était plutôt résigné à devoir passer plusieurs semaines loin de lui.

- Je sais que ça va être dur mais je préfère ça à ce que l'on nous l'interdise.

- On pourra quand même essayer de se voir à l'extérieur de Poudlard.

- Oui… essayer…

Severus le fixa quelques secondes avant de le prendre dans ses bras. Ils s'agrippèrent l'un à l'autre comme à une bouée de sauvetage. Ils savaient que rester si loin et pourtant si proche serait difficile. Mais ils savaient qu'ils y arriveraient parce qu'ils avaient toute une vie devant eux.

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Après ses examens, Harry avait annoncé aux autres membres du quatuor sa relation avec leur professeur des potions. Et à sa grande surprise ce fut Ron qui le prit le mieux en le voyant si heureux, puis Hermione, après s'être évanouie sous le choc. Et Draco… lui avait tiré une tronche d'enfer. Le Survivant le soupçonnait d'être jaloux de Severus. Mais après tout, c'est Draco qui lui avait dit qu'il voulait rompre, alors qu'il ne vienne pas se plaindre. Finalement, Severus avait fini par lui dire au détour d'un couloir, que Draco pensait qu'il y avait trop de différence d'âge entre eux et qu'il avait peur de la réaction du monde magique. Et ce fut le sujet de leur première dispute en tant que couple vivant sous le même toit.

C'est un sujet auquel ils n'avaient pas vraiment songé même si il avait traversé la tête de Severus une ou deux fois. Parce qu'après tout, Harry n'avait que dix-huit ans et lui trente-huit.

- ARGHHH !!! Mais je te dis que je t'aime et toi, tu m'envois balader ? T'es malade ?

- Je ne t'envoie pas balader, je t'explique seulement que la différence d'âge pourrait poser des problèmes. Tu sais ce que ça représente vingt ans ? Je pourrais être ton père !

- Mais tu ne l'es pas ! Et arrête de te dire que je pourrais te quitter du jour au lendemain parce que je suis jeune et que les jeunes on besoin de changer de partenaire comme de chemise. D'accord, je ne te garantis pas un amour éternel, mais jamais je ne te quitterais sans explications ! Tu sais comme je suis ! Je ne suis pas un Serpent moi, je fais face à toutes les situations possibles et inimaginables !

- Je sais mais… Tu es si jeune et si beau. A chaque fois, je me dis qu'un jour tu vas te réveiller pour t'apercevoir que tu n'as rien à faire avec moi. Et tu trouveras un amant plus jeune, plus beau, sans passé sanglant et…

Harry s'approcha de lui et posa ses mains sur ses joues, qu'il caressa, ce qui fit taire Severus. Puis il fit courir ses doigts sur le front, les tempes, les pommettes, les paupières qui se fermèrent sous l'effleurement, les lèvres. Pour revenir sur les joues. Il fixa ses émeraudes dans les onyx et lui dit, tendrement et fermement à la fois :

- Je t'aime. Je vis depuis quelques jours avec toi et pas un autre. Et tous les matins, j'ouvre les yeux sur ton magnifique visage et je me dis que c'est moi qui ai de la chance. A chaque fois que tu me fais l'amour, je n'ai pas conscience que tu as vingt ans de plus que moi, parce que c'est moi qui m'endors tout de suite après et toi qui me veille. Quant à ton passé, lorsque je dis que je t'aime, c'est toi tout entier, avec tes erreurs et je ne suis pas naïf au point de croire que tu n'as jamais tué. Mais c'est ce qui t'as fait toi, comme tu es maintenant, et je ne voudrais pas d'un autre Severus, niais à en vomir.

Harry posa ses lèvres sur celles de Severus et se retira juste après. Il passa ses mains dans les longs cheveux noirs et glissa sa joues contre celle de son amant.

- Maintenant, j'ai envie de toi alors, pour une fois, je vais te faire l'amour et tu vas savourer, sans te poser de questions.

Le moment qu'ils passèrent après cette dispute se passera de tout commentaire. Il se firent l'amour, tout le reste de la journée et une bonne partie de la nuit.

Le lendemain, ils décidèrent de l'annoncer au reste du monde sorcier. Comme l'avait prévu Draco, la nouvelle déclenchèrent toutes sortes de réactions : les beuglantes pour Severus, les nombreuses lettres de sorciers gays voulant tenter leur chance, des centaines de cartes à cœur et autres niaiseries qui donnaient toutes un rendez-vous à Harry pour qu'elles puissent « montrer » l'énorme erreur qu'il avait faite, j'en passe et des meilleures. Mais absolument rien, ne vint ébranler la confiance et l'amour qu'ils avaient l'un dans l'autre. Au contraire, ça les rapprocha et ils affrontèrent tous les discours que les gens avaient put leur tenir. Ils ne sortaient jamais l'un sans l'autre, et toujours la main dans celle de l'autre. Ils donnaient l'impression d'être seul et de nombreux couples homosexuels avaient pris leur exemple.

Le reste de leur histoire n'appartient qu'à eux.


Voilà voilà! Je sais je sais, c'est très niais et pas super pour avoir autant attendu de temps! Mais y avait quand même un lemon sensiblement plus long que le premier!

Bon, comme j'ai mis... huit mois à finir cette fic' je vous dispense de mettre des reviews si vous êtes vraiment fachés! Mais sinon je crache pas dessus!

Kissous tout plein et à bientôt pour une nouvelle fic ( j'espère )!