Ceci n'est qu'un chapitre test. Je vais évaluer si vous aimez l'idée. Si je ne reçois pas assez de reviews, vous pouvez oublier la suite… Mais j'aimerais beaucoup continuer à la publier. Bonne lecture!


Chapitre 1 : Une nouvelle vie.

J'ai toujours imaginé, depuis mon arrivée dans le monde magique, que lorsque j'aurais terminé mes études à Poudlard, je deviendrai soit aurore soit professeure. Il en est tout autrement.

La bataille finale eut lieu vers la fin de notre septième année. Après quelques longs mois de guerre, Harry réussit finalement à éliminer complètement le Seigneur des Ténèbres. Il eut beaucoup de blessés et de morts, parmi ces derniers il y a les jumelles Patil, Susan Bones, Dean Thomas et Ron. J'ai été témoin de la mort de Ron. C'est Lucius Malfoy qui l'a tué. Il pensait qu'il allait m'affaiblir, il a eut tort. La colère qui avait monté en moi lui a été fatale. Je l'ai tué de mes propres mains. Lorsque Harry en eut terminé avec Voledemort, il vint me rejoindre et aperçu le corps inerte de Ron ainsi que moi entrain d'étrangler Malfoy senior. Il m'a arrêté car il était mort depuis un bon moment. Draco arriva peu après et vit son père. Il devint rouge et essaya de me sauter dessus, mais les Aurors l'empoignèrent avant qu'il puisse fait un mouvement. Les Manges morts qui restèrent ont été jugés et envoyés à Azkaban. Tous sauf Draco Malfoy qui, malgré son père décédé, à toujours droit à des faveurs…

Donc, me voici cinq ans plus tard, diplômée avec mention d'excellence de l'École de Droits de l'Université Oxford, vivant dans le monde moldu dans une petite banlieue tranquille de Londres et à la tête du plus prestigieux bureau d'avocats de la capitale britannique. Dire que je me voyais tellement restée dans le monde magique. En fait, c'est Harry qui m'a convaincu de traverser de l'autre côté.

Flash-back

- S'il te plaît Hermione.

- Pas question, je ne retournerai pas dans le monde moldu. Je ne pourrais même pas trouver un travail convenable, je n'ai pas terminé mon primaire chez les moldus.

- Demande à Dumbledore, je suis sûr qu'il peut faire quelque chose. Il pourrait transformer le diplôme de Poudlard en diplôme moldu ou quelque chose comme ça. S'il te plaît, je ne veux pas vivre seul avec lui… Si Ron avait été là, il aurait accepté immédiatement lui… Demanda Harry.

- Ne mêle pas Ron à cette histoire. Dis-je en élevant légèrement la voix.

- Mais Hermione… Tu sais que je ne tiendrais pas une semaine avec lui. Il faut que tu sois là pour nous séparer.

- D'ACCORD! Je vais aller avec toi. Mais ne t'attends pas à ce que j'habite avec vous, je veux bien être une voisine.

- Merci, merci, merci, merci… Dit-il en me serrant dans ses bras.

Fin du flash-back

Le lui en question, c'est Draco Malfoy. Voilà la faveur, en quelque sorte, qu'il a eut. Il ne subit pas la prison, mais il est condamné à vivre dans le monde moldu, comme un moldu avec Harry Potter pour le reste de sa vie. Lorsque Ginny eut terminé ses études, elle emménagea avec eux. Ils se sont mariés et ont eut des jumeaux il y a quelque temps. En fait, le couple agit comme si le condamné n'était pas là. Ils se soucient de lui quand même, il faut s'entendre. Malfoy s'est très bien adapté, malgré les réticences qu'il avait au début. Il peut sortir à son aise, il n'a cependant pas le droit d'approcher le Chaudron Baveur. En gros, il a été banni du monde magique. Il n'a aussi plus le droit de pratiquer la magie. Il doit retourner chez les Potter tous les soirs et il doit être accompagné de l'un d'eux pour pouvoir sortir la nuit. Il a même un emploi; il est cuisinier dans un grand restaurant. Avouer que c'est étrange tout de même. Mais je dois admettre qu'il cuisine très bien. Et moi dans tous ça, comme promis à Harry, je suis la voisine, la personne à qui on demande de garder les jumeaux, parce qu'ils n'ont pas assez confiance à Malfoy pour lui confier des choses aussi précieuses. Je dois aussi accompagné Malfoy lors de ses sorties nocturnes lorsque Ginny ou Harry ne veulent ou ne peuvent pas y aller. Si nous ne voulons pas tous les trois, tant pis pour lui, il se reprendra un autre jour. Je n'ai jamais eu à accompagner Malfoy, mais avec l'arrivée des enfants, je crois que ça va arrivé de plus en plus. De toute façon, je profite de tous les moments que je peux passer seule. Je vois tellement de personnes à tous les jours que parfois la tête me tourne.

Présentement, je suis dans le métro, en route vers ma demeure. Le wagon est bondé, comme d'habitude, j'y suis donc habituée. Le train approche de ma destination, je me lève donc et essaie de me frayer un chemin dans la foule et juste au moment où j'allais traverser les portes, elles me ferment au nez. Je jure silencieusement et attends la prochaine station. Je marcherai dix minutes de plus c'est tout. Je passerai à la pharmacie en même temps, il va me manquer de shampooing et de revitalisant. Lorsque les portes s'ouvrent de nouveau, je me précipite vers l'extérieur du wagon. Une fois rendue au grand air, la pluie fait son apparition. J'ouvre ma mallette et prends mon parapluie. Je me rends à la pharmacie et achète ce dont j'ai besoin et me remet en marche vers chez moi. J'étais rendue à la moitié de mon trajet, lorsque j'entendis quelqu'un m'appeler.

- Granger !

Faites que ce ne soit pas lui. Je me retournai et le vit j'approcher de moi en courant.

- Malfoy.

- Que fais-tu ici? Tu sors à l'autre station habituellement.

- Je l'ai manqué. De toute façon, je devais passer à la pharmacie. Dis-je sur un ton désinvolte. Toi, tu as fini de travailler?

- Oui, c'était vide cet après-midi.

- Ah bon.

Le reste du trajet a été très silencieux. Malfoy et moi n'avons jamais été vraiment proche. Comparativement avec Harry, avec qui un lien d'amitié s'est créé rapidement. C'est normal, je veux dire, ils habitent ensemble après tout. Cependant, je sens que Malfoy essaie de se rapprocher moi.

- Je crois que nous devrions devenir amis.

- Pardon. Dis-je en sortant de mes pensées.

- Je disais que nous devrions devenir amis. Depuis que Harry et Ginny ont eut les jumeaux, je commence à m'ennuyer. Et puis, je voudrais bien sortir ce soir.

- Je suis d'accord avec la partie où tu veux que l'on devienne amis. Mais pour sortir, je ne sais pas, j'ai des dossiers à revoir.

- Aller, c'est vendredi, tu peux les revoir pendant la fin de semaine. Tu m'as l'air tendue, repose- toi. Dit-il en me massant le coup.

- Lâche-moi. M'exclamai-je

- Ok, Ok!

- C'est d'accord, je vais y aller avec toi.

- Je savais que tu allais accepter. Je passe te prendre à vingt et une heures.

Je soupira et le regarda.

- Tu as une idée derrière la tête toi.

- Non, qu'est-ce qu'y te fait dire ça?

- Tu veux que l'on devienne amis.

Je me retourna et aperçu que nous nous étions arrêter devant chez moi.

- À vingt et une heures Malfoy?

- Précise

- À toute à l'heure d'abord.

- Bye.

Je m'avança vers la porte d'entrée, la débarra tout en prenant le courrier et finalement entra dans la maison. Je me dirigeai vers la salle de bains pour y déposer mes achats et par la suite vers mon bureau pour y déposer ma mallette et le courrier. J'ôtai mon veston, que je déposai sur le dossier de la chaise de cuir et descendis à la cuisine pour manger un peu. Tout à coup le téléphone sonna. Je soupira bruyamment et me alla répondre.

- Oui bonjour.

- Miss Granger, ici Frédérick du bureau, est-ce que je vous dérange?

- Non, pas vraiment. J'allais seulement me faire à manger.

- AH! Tant mieux, parce que je voudrais que l'on parle du dossier Mackenzie King.

- Je n'ai pas encore lu le dossier. J'avais prévu le lire ce soir, mais j'ai un empêchement de dernière minute.

- OH! Vraiment? Dit mon interlocuteur avec un ton déçu.

- Exact, je ne l'ai pas lu. Y a-t-il un problème quelconque avec ce dossier?

- Euh… oui… euh, je… je n'aurais pas dû vous appeler alors.

- Délivrez la marchandise, Frédérick, le mal est fait. Dis-je quelque peu énervée.

- Mais je ne voulais pas gâcher votre fin de semaine madame. Répondit-il avec une petite voix.

- Vous aller la gâcher si vous ne me dites pas immédiatement ce que c'est.

- J'ai entendu par des amis qui travaillent dans le cabinet adverse, que l'accusé aurait quitté le pays.

Je criai tellement fort que j'ai l'impression que Harry et Ginny m'ont entendu. Je n'arrive pas à croire que ce salaud a fait ça. Je dis à Frédérick que j'allais m'arranger avec l'autre cabinet, puis je raccrochai. J'appela au cabinet en question et argumenta avec la personne qui s'occupe du dossier qui se trouve être mon ancien amant, Brian. Il me dit qu'il voudrait tellement me revoir et moi je l'envoie promener. Je lui hurle dessus, argumente avec lui pendant des heures, en lui demandant comment son client peut avoir quitter le pays.

Soudain, je fus dérangé par la sonnette et là ça me revient. Je dois sortir avec Malfoy. Je me dirige pour lui ouvrir la porte tout en criant à Brian des bêtises. Je fis signe à Malfoy d'entrer et d'attendre une minute pour que j'aille me changer. Je monte à ma chambre et prends ce qui me tombe sous le nez, soit une mini jupe noire avec un corsage rouge. Je me maquille légèrement, remplace mes souliers pour le bureau par une paire de sandales à talons aiguilles noires, puis redescends retrouver Malfoy, toujours en parlant au téléphone. Une fois devant lui, je lance une dernière injure à Brian et raccroche le téléphone. Malfoy me regarde ébahit, soit parce qu'il ne m'a jamais vu aussi en colère, soit c'est à cause de ce que je porte. D'après les regards qu'il me lance, je crois bien que c'est les deux. Je m'approche doucement et lui dis :

- On y va?

- Euh… Oui.

- Viens, on va prendre ma voiture… non, on va y aller en métro, ça sera plus sûr.

- Plus sûr?

- Tu vas voir une fois rendu.

Une fois assis dans le wagon, mon cellulaire sonna

- Je ne pourrais pas passer un vendredi tranquille pour une fois. M'exclamai-je.

- On dirait que non. Me dit Malfoy.

Je répondis d'une manière douce malgré l'énervement qui montait.

- Oui, bonsoir!

- Vous allez bien madame?

Je crois que c'était trop doux.

- Ah! Frédérick. Oui, ça va. Ça va même très bien. Dis-je sarcastiquement

- Tant mieux. Je voulais savoir comment vous vous êtes arrangé avec monsieur Appleton.

- Je ne veux plus parler de ce dossier pour le reste de la fin de semaine. Je vais le lire et m'occupé de ça lundi, est-ce bien clair monsieur Wright?

- Bien madame, passez une belle fin de semaine, madame.

Et il raccrocha. Je replaça mon cellulaire à la ceinture de ma jupe et ferma les yeux pour me calmer les nerfs.

- Ça va mieux Granger? Me demanda Malfoy.

- Un peu, mais ça va vraiment aller mieux une fois rendu au club.

- D'accord, de toute façon, on sort à la prochaine station.

- Tant mieux.


Voilà c'est fini. Je vous rappelle que ceci est chapitre test. Si je n'ai pas assez de commentaires, je verrai si je publierai le prochain chapitre. Alors j'espère que vous voyez l'encadré en bas qui dit submit review. Oui? Eh bien cliquez là-dessus. N'ayez pas peur, le bouton ne sortira pas de votre écran pour vous manger. Comme on dit par chez nous, les petites bibittes ne mange pas les grosses….