Titre : Ce que veulent les Kyos. (Version 2)
Auteur: Moi, Allezhopunptitverredesake, quatre ans plus tard... Ahah...
Disclaimer: Rien ne m'appartient! Même pas la forêt vers Shigure... C'est triste, je sais!
Couple : Kyo x Akito
Rating: Oui, euh, je n'ai plus quatorze ans, du coup... Tout risque de devenir un peu plus... Voilaaaa. Donc M
Avertissement : Me revoilaaa! En ce quatre janvier 2010, alors que j'étais innocemment sur , j'suis allé voir mon profil, comme ça. (oui, j'fais des trucs bizarres quand je m'ennuie....) Et c'est là que j'ai vu cette fic, en particulier. Je dois être une des seules auteurs à avoir réussi à caser un "XD" dans le titre. Du coup j'ai commencé à me dire :"Oh mon dieu la honte" et de fil en aiguille, j'ai réécris le chapitre. Bon, je suis pas douée à la base, et c'en est la preuve. C'est juste un peu moins... Fangirl. L'humour est toujours aussi nul, en fait, c'est juste pour me donner bonne conscience que je réécris ce truc. Voila! Merci à ceux qui ont suivi cette fic à la bonne époque, et si vous retombez dessus, j'espère que cette version vous plaira si ce n'est plus, autant! Bye!
Chapitre 1 : la pire chose qui ne soit jamais arrivée à Akito
« C'est bon, vous êtes guéri. » La voix d'Hatori résonna dans le cabinet resté silencieux pendant plusieurs longues minutes. Il posa son stéthoscope sur son bureau laissant à son chef de famille le soin de se rhabiller.
« Tant mieux je commençait vraiment à en avoir assez » répondit son cadet en réajustant son kimono. Il avait été malade pendant une longue semaine se demandant chaque jour s'il allait avoir la chance de voir le suivant. Merveilleux.
« Pour fêter ça » continua-il d'un ton sans joie « je vais aller rendre visite à ce cher Yuki. »
Hatori soupira. il s'attendait à quelque chose du genre, et il détestait être le seul à être au courant des manigances du dieu. Il ne pouvait rien faire, comme d'habitude, et devait laisser le jeune homme aller terroriser le rat. Tais-toi et obéis. C'était si bon d'être un maudit.
« Couvrez-vous bien, ce serait stupide et dangereux de retomber malade. » Ajouta-il sans penser le quart des mots qui avaient emprunté sa bouche. C'était par automatisme qu'il proférait ce genre de paroles. Bon dieu, Akito pouvait bien mourir sous un camion dans trois minutes, il en aurait été plus heureux qu'attristé.
« Je ne suis plus un gamin » répondit sèchement le brun.
Le dragon regarda vaguement Akito s'éloigner. Il pouvait toujours appeler Shigure pour lui dire d'éloigner Yuki de la maison pendant quelques heures. Ça ne semblait pas être une si mauvaise idée. Et il savait parfaitement que son meilleur ami était capable de tenir sa langue. Après tout, il s'était juré de tout faire pour protéger les plus jeunes. Pour qu'ils conservent cet espoir qui les avait quittés, eux, les plus âgés.
oOo
Akito se sentit stupide (et il n'aimait pas ça. Vraiment pas.) Pressé d'aller rendre visite aux idiots qui osaient encore lui tenir tête – à distance, certes, mais le fait était là…- il s'était dépêché comme un fou, ne prenant absolument pas en compte le fait que, par exemple, il venait de sortir d'une maladie plus qu'éprouvante. Après dix minutes de marche bien trop rapide pour ses faibles poumons, il commença réellement à douter de sa capacité à atteindre la maison de ses cousins. Chaque goulée d'air lui brulait le thorax, et perdu dans la forêt comme il était, il ne donnait pas cher de sa peau. On allait le retrouver dans cinq ans et il ne serait plus qu'un squelette décomposé, personne ne pourrait l'identifier et il serait donné à une école pour les cours de biologie.
Une minute plus tard, alors qu'il envisageait sérieusement d'arrêter de marcher et de s'asseoir par terre en priant qu'une crise d'asthme ne vienne pas le déran…Oh non, il n'avait même pas pris son inhalateur… S'il avait une crise d'as… Oh mon dieu, il sentait sa gorge se serrer d'une manière plus que significative… Et son cœur, il commençait une arythmie. Il s'arrêta, sa vision commençant à se troubler. Il porta les mains à sa gorge, était-ce son syndrome de Münchhausen ou est-ce qu'il allait réellement mourir comme le dernier des imbéciles dans une forêt ? Il sentit ses jambes faiblir et son corps basculer vers l'avant. Et Hatori qui n'était jamais là quand il le fallait ! Quand il était dans une position honteuse, qui arrivait ? Hatori ! Quand il essayait d'apprendre à un des stupides oiseaux qui passaient la journée vers lui à parler, qui arrivait ? Hatori ! Quand il s'amusait à draguer des vieux pervers sur des sites internet, qui arrivait derrière lui ? Hatori ! Mais quand il était en train de mourir à des années lumières de la première habitation ? Qui arrivait ? PERSONNE. Oh, il allait lui payer. S'il s'en remettait, il allait lui faire payer. Il se prépara à sentir le sol sous ses genoux, mais il fut rattrapé de justesse par des mains, sous les aisselles. Oh, il détestait qu'on l'attrape comme ça. Il commença à maudire son sauveur avant que l'information principale survienne (c'est-à-dire, qu'il n'était plus tout seul, perdu au milieu de nulle part) et il ouvrit les yeux, moitié agacé (qu'elle situation dramatique, quand même il n'allait pas pouvoir en avoir d'aussi convaincante avant un bon moment,) moitié curieux.
Il leva les yeux et croisa ceux de son sauveur (ou future victime) : Carmin. Presque comme ses cheveux…
Des cheveux rouges, des yeux oranges, euh non le contraire…Pensa-il avec grande perspicacité. Ça lui disait vaguement quelque chose, bien sûr, mais comme il avait été occupé à faire semblant de mourir quelques secondes auparavant, il avait un peu du mal à assimiler les informations qui auraient pourtant lui sauter au cerveau… Yeux rouges, cheveux oran…Kyo !
Akito soupira franchement, et se prépara à anticiper la chute lorsque le chat-démon se rendrait compte que c'était son au combien haï chef de famille qu'il soulevait. Finalement, la situation recommençait à devenir suffisamment dramatique pour être considérée comme satisfaisante.
«Self-control, self-control. Le prendre sauvagement contre un arbre n'est franchement pas une bonne idée. Même si c'est horrrrriblement tentant ! »
Akito sursauta. Il était habitué à se parler à lui-même (il fallait bien qu'il puisse parler à quelqu'un des découvertes absolument fascinantes qu'il faisait en jardinerie !) mais jamais, au grand jamais il n'osait se dire des choses pareilles ! Ou alors, il y avait un contexte ! Des vidéos visionnées, Yuki dans la même pièce… Bref, la voix qu'il avait entendu ne lui appartenait pas. Il en était absolument certain! Mais les lèvres de Kyo n'avaient pas bougée. Et il espérait de tout son cœur que le roux n'oserait jamais, jamais proférer de telles paroles devant lui !
Mais alors… Qui avait parlé ?
Dans la première version j'avais écris un truc qui me paraît au combien avisé aujourd'hui: Hum…il y a des gens (comme moi) qui s'acharne à faire des trucs pour lesquels ils ne sont pas doués… (En l'occurrence les fanfics) hum bon…on va dire que ça m'amuse de polluer le site avec mes fics pourrie ! - Ahah, j'ai enlevé les "lol" ... ça m'effraie un peu, en même temps... Mon dieu...-
Merci à ceux qui ont pris la peine de relire cette version! A bientôt pour le chapitre deux! Ahah