Titre : Petits thèmes

Auteur : lunny

Disclamer : Les personnages appartiennent à Clamp. Et moi j'appartient à moi-même, chouette ! …

Genre : drabble et drabble, yaoi plus ou moins explicite….

Avertissement :yaoi, donc homophobes : votre place n'est pas ici

Résumé : Le WatanukixDoméki se décline en plusieurs façons, donc en plusieurs thèmes… drabbles

Note : L'alphabet… allez savoir, plutôt les lettres. Un drabble sur toutes les lettres j'y arriverai ! Sinon je souhaite bon courage à tous ceux qui sont touchés par la grève des transports (comme moi quoi) Je suis avec vous !

Cinquième thème : Alphabet

Bonne lecture !

Amour

L'amour c'est compliqué. C'est ce qu'avait toujours pensé Doméki

Les amoureux sont des gens compliqués. C'est ce qu'avait conclu Doméki.

Et quand il voyait Watanuki tournoyer autour de Kunogi en lui lançant des Himawari-chan, il se renforçait dans cette idée. Quand le médium ne cessait de parler de l'élue de son cœur, alors cette évidence lui rentrait droit dans le cœur, l'amour était un sentiment mauvais. Car au lieu de se réjouir du bonheur incommensurable du médium, il venait à souhaiter qu'il se taise et cesse de parler d'amour.

Parce que son amour à lui ne le rendait pas heureux.

Baiser

Doméki était quelqu'un d'assez secret quand cela concernait ses sentiments.

Plus encore quand cela concernait Watanuki.

Ainsi, il ne lui avait jamais dit clairement qu'il l'aimait. D'ailleurs, il n'avait jamais dit quelque chose allant dans ce sens, bien qu'ils soient ensembles. Pourtant, le médium, le plus timide des deux, venait de se déclarer anxieusement dans le creux de son cou. Et le cuisinier attendait sûrement une réponse. Pourtant, l'archer ne pouvait pas lui répondre, il n'était pas doué avec les mots. Alors, il attrapa ses lèvres dans un baiser.

Pour qu'à travers leurs langues emmêlées, Watanuki puisse comprendre ses sentiments.

Cœurs

Le cœur est un symbole indissociable de l'amour.

Et Watanuki, dans son amour inconditionnel pour sa Himawari-chan observait le ciel à ses côtés allongé dans l'herbe. On dit que la vision abstraite de certaines choses dépendrait de l'état dans lequel on se trouvait. Ainsi, la jeune fille indiqua un nuage le désignant comme un cœur. Watanuki y trouvait plutôt un air de bonhomme de neige assez difforme il faut l'avouer. Et le soir, allongé au même endroit, il observait les étoiles, attendant semblait-il. Doméki vint s'allonger à ses côtés.

Et soudain les étoiles se transformaient en millions de petits cœurs.

Doutes

Il y a des choses que Watanuki n'arrivait à dire que difficilement à voix haute.

Par timidité et réserve, il exprimait rarement et maladroitement son attrait pour la personne qu'il aimait. Aussi, il lui était plus que difficile, insurmontable pour quelqu'un d'aussi pudique envers ses sentiments comme lui, d'exprimer de la bonne façon de ses inquiétudes concernant la personne qui partageait sa vie. Il gardait tout cela pour lui mais finalement, pris par ses doutes, il finissait par hurler contre Doméki.

Et pour ce dernier, il était par conséquent bien difficile de douter de la véracité des sentiments du médium.

Epilogue

« Après tant de sacrifices, après tant de disputes, après tant de moqueries, après toute cette relation, ils avaient réussi à comprendre la symbolique du fil du destin les liant ensemble. En voulant le briser en vain, ils avaient fini par comprendre la raison qui faisait qu'ils ne pouvaient se quitter. Et c'est gênés qu'ils s'attrapèrent les mains pour s'approcher et ne plus libérer l'autre…

Ils vécurent heureux et ne se quittèrent plus. »

L'archer referma le livre doucement.

Mais il semblerait que la voix de Doméki raisonnait encore dans les oreilles de Watanuki quand il attrapa timidement sa main.

Fascination

La façon dont se mouvait Watanuki était vraiment étrange si on le regardait objectivement. Mais cette façon de mouvoir, de se déplacer, de se glisser doucement contre les autres sans les toucher et tournoyer, toutes ces choses devenaient magnifiques sous un air de musique. Son corps semblait ressentir chaque pulsation des instruments, effectuant des gestes gracieux, bougeant à son rythme effectuant une danse fascinante. Et c'est pourquoi, Doméki ne cessait de scruter les mouvements du médium qui s'énervait pour une raison des plus banales, sûrement à son sujet. Et il l'admirait fasciné.

Un petit air de musique dans la tête…

Gentleman

Doméki était ce qu'on pouvait considérer, toute la gente féminine le confirmera, un gentleman

Il se montrait simple, gentil et galant. Il aidait toutes femmes dans le besoin, portant leurs bagages trop lourds, leur tenant la porte ou leur indiquant galamment le chemin. Bon, il ne se montrait pas très bavard, mais il était très poli et agréable. Le cuisinier en était quelque fois jaloux, trouvant qu'il se préoccupait plus de ces inconnues que de lui. Mais Doméki se contentait de l'embrasser pour le faire taire affichant un doux sourire.

Et ce n'était qu'à Watanuki qu'il adressait de pareils sourires.

Hémorragie

Etrange comme son cœur semblait battre vite.

Comme il se sentait partir aussi.

Il voyait des formes indistinctes autour de lui. Il sentit une main se poser sur son ventre, essayant de faire pression pour empêcher l'épanchement de sang.

Etrange comme cette main tremblait.

Les visages se font un peu plus distincts et il croise des yeux bleus en pleurs. Le visage se forme sous ses yeux, les traits lui paraissent plus net.

Il est beau…

Mais sa tempe est couverte de sang.

Et dans un éclair de lucidité, il s'en veut de ne pas avoir su pleinement le protéger.

Incomplet

Il se sentait en sécurité dans ces bras qui l'enserraient.

L'impression intime d'être exactement à sa place, là où il souhaitait être. L'impression forte qu'il ne pourrait être plus heureux nul part ailleurs.

Il savait que ce sentiment ne venait pas uniquement du fait qu'il était amoureux de Doméki. Non, c'était quelque chose de plus profond encore, de plus magnifique. Et il chérissait cette chose profitant chaque jour de ce bonheur. Et il souhaiterait ce bonheur éternel. Que Doméki ne le quitte jamais.

Mais le sentiment d'être incomplet l'atteint tandis qu'une première gerbe de terre recouvre le cercueil de l'archer.

Joie

Il y a des sentiments que Watanuki ne cessait de ressentir tout au long de la journée.

La colère, la peur, l'appréhension, la douleur, la tristesse et encore d'autres. Tous ces sentiments finissaient par se manifester, plusieurs fois la plupart du temps. Rien d'effrayant en soi pensez-vous, Watanuki était un garçon hyperactif et sensible. Pourtant, il y avait un sentiment qu'il manifestait très rarement ces temps-ci. Et il était de plus en plus difficile de lui arracher un sourire sincère. Il ne riait plus.

Plus aucune joie n'éclairait son visage depuis que Doméki était parti faire des études à l'étranger.

Kimono

Watanuki rougissait doucement.

Il passa une main hésitante sur le tissu aux couleurs pastel. Il leva les yeux timidement vers Doméki. Celui-ci lui attrapa doucement les lèvres. Le médium hésite un instant encore. Puis doucement il détache la ceinture en tissu. Elle glisse doucement à terre dans un léger bruit. L'archer lui caresse les épaules et l'habit retombe doucement au niveau de ses coudes dévoilant son torse imberbe. Les mains tremblantes, le cuisinier écarte doucement la tenue rituelle et le fait glisser le long de son corps diaphane.

Et le kimono tombe à terre le laissant nu devant son amour.

Légende

Il y a des légendes étranges qui trouvent leurs origines de récits antiques.

Et son grand-père lui en avait compté certaines.

Sa préférée restait celle concernant une fleur.

On dit que celui qui trouvera cette variété touchera la personne aimée jusqu'au plus profond de son cœur. Et qu'il emprisonnerait ainsi son âme pour le restant de ses jours.

Doméki n'avait jamais cherché cette fleur. Et c'est peut-être pour ça qu'il tomba dessus par pur hasard lors d'une mission. Mais bien qu'il la reconnut, il ne la prit pas.

Car il n'avait besoin de personne pour se faire aimer de Watanuki.

Mémoire

Doméki était quelqu'un qui possédait une mémoire hors du commun.

Ainsi il se souvint très facilement le numéro de casier à chaussure de Watanuki et se fit un plaisir de venir l'embêter de temps à autre. Il n'ignora pas que Watanuki faisait les courses le samedi et pu ainsi se présenter devant lui, ce qui ne cessait d'énerver le médium qui finissait par le faire porter ses courses pour la peine. Et il s'amusa à accumuler les informations sur le médium.

Donc Doméki se demandait comment il avait pu être stupide au point d'oublier leur anniversaire en tant que couple.

Négociation

- Demain tu n'auras aucun bentô !

Doméki s'arrêta net à cette soudaine exclamation du médium, qu'il considérait comme une attaque grave de la part du cuisinier peut-être même mortelle. Il lui lança un regard significatif auquel Watanuki répondit par un regard encore plus significatif. Doméki poussa un soupir de résignation et lâcha :

- Ok, on va au cinéma…

Watanuki qui répondit par un sourire heureux, il déposa un baiser papillon sur ses lèvres avant de se diriger sautillant vers la chambre.

Et Doméki avait l'impression de ne jamais pouvoir négocier correctement avec son petit-ami avec ce genre d'arguments.

Orage

L'orage éclata au-dessus de lui.

La pluie tomba soudainement accompagnée par un grondement sinistre. Il resserra doucement ses bras autour de son corps frêle avec un triste sourire. Bientôt il se mettrait à grelotter de froid s'il continuait à attendre ainsi. Déjà les premiers frissons lui parcouraient le dos. Puis soudain la pluie ne tombait plus, il leva les yeux vers le ciel pour y voir un parapluie, il jeta un coup d'œil à son propriétaire. Doméki soupirait le traitant d'imbécile avant de le prendre par la main et l'entraîner dans le temple.

Et soudain l'orage lui paraissait bien loin.

Peur

Il avait l'impression d'être dans une détresse immense et pourtant ce n'était pas lui qui était en danger, quel sentiment étrange et effrayant par son intensité. Sentir comme si on allait perdre la chose la plus importante dans son monde sans pouvoir rien faire pour l'empêcher. Et il pouvait seulement crier le plus fort possible les larmes aux yeux et tendre une main désespérée qui ne rattraperait personne. Et surtout pas lui.

Doméki basculait dans le vide entraîné par un esprit qu'il ne pouvait voir et Watanuki ne pouvait rien.

Sauf le regarder tomber dans une terreur plus que déchirante.

Question

- En fait j'ai un ami qui se demandait…

Et rien qu'en entendant le début de cette phrase Doméki eut un sourire moqueur qui irrita immédiatement le médium qui fit une moue boudeuse.

- Si tu as quelque chose à demander n'utilise pas ce genre de prétextes, déclara tranquillement l'archer.

Watanuki fronça les sourcils puis lâcha :

- Bien, je suis amoureux d'un sombre imbécile qui passe son temps à m'énerver. A ton avis est-ce qu'il m'aime ?

Doméki eut un autre sourire mais tendre cette fois et il l'embrassa puis murmura :

- Arrêtes de poser des questions stupides…

Ruse

Savez-vous le nombre de stratagèmes idiots que l'on peut monter par amour ?

Si vous ne l'ignorez, adressez-vous à Watanuki là bas. Il vous hurlera dessus affirmant qu'il n'est absolument

pas amoureux de l'archer Puis, il reprendra sa recherche de ruses pour amadouer le même archer. Il avait déjà essayé la boîte de bentô en forme de cœur, le petit mot dans son casier et d'autres petites attentions. Doméki ne les perçut que comme des signes d'extravagances. Mais Watanuki ne désespérait pas de se faire comprendre.

Il ignorait que la meilleure des ruses en amour était sans doute la franchise.

Sourire

Doméki n'était pas quelqu'un qui éprouvait du bonheur facilement.

C'était le sentiment intime de Watanuki. C'est pourquoi le cuisiner inventa de multiples stratagèmes pour qu'enfin Doméki lui sourie réellement. Il multiplia ses pitreries incessantes. Il devança ses envies culinaires. Il assista à toutes ses séances d'entraînement. Mais Doméki ne lui souriait pas. Cependant, pas démoralisé pour autant, Watanuki persévérait. Et encore là, en s'endormant, il songeait à ce qu'il pourrait faire. L'archer déposa un léger baiser sur le front de son amant.

Il s'accorda un doux sourire.

Parce que contrairement à ce que pensait Watanuki, il était heureux avec lui.

Tante

Il y a des choses que Watanuki avait appris au fil du temps.

La plupart de ces choses concernaient Doméki.

Ainsi en triant leur courrier, il tomba sur une carte envoyée par Mlle Koneo. Il apprit de l'archer que c'était sa tante, alors lui qui n'avait plus de famille, proposa de l'inviter chez eux malgré ses protestations. Il apprit de cette erreur après l'arrivée de cette tante. Elle ne cessa de critiquer sa façon de faire. Et bien plus que cela, elle lui signifiait qu'il ne méritait pas son neveu.

Et cette insinuation, plus que les autres, le blessait profondément.

Union

Doméki resserra sa main sur celle du médium.

Comme s'il avait peur de le perdre…

Comme s'il ne fallait pas briser cette union.

Il se sentait las et vide, il ne ressentait plus rien. Comme s'il n'existait plus.

Il ne restait plus que cette main. Il n'existait plus que ça.

Cette main qu'il serrait presque désespérément.

Qui le reliait encore ici.

Sa seule raison de se battre encore.

Mais la main devient froide dans sa paume fermée.

Il se sent partir.

Et il ne peut plus qu'espérer qu'ils se présenteront ensemble devant les portes de l'au-delà.

Unis par leur main.

Vérité

« Dis-moi la vérité ! »

Et c'était bien la voix autoritaire de Watanuki qui résonnait dans cette chambre d'hôpital. Et lui, il ne savait pas quoi répondre.. Il ne savait pas ce que l'autre voulait entendre. Sinon, il lui aurait suffi d'accéder à ses désirs. Mais tout ce qu'il aurait pu dire d'autre l'aurait mis dans l'embarras. Alors il resta silencieux. Soudain l'autre cria :

« Arrête de me mentir ! »

Et il éclata en sanglots trop longtemps retenus, d'inquiétude, de fatigue et de peur.

Et Doméki ne pouvait que l'observer impuissant.

Car certaines vérités devaient rester secrètes…

Western

Watanuki essaya de ne pas paraître ni septique ni hargneux quand on lui proposa de regarder un Western chez l'archer en compagnie de Yûko et Himawari.

Ainsi la soirée débuta par la projection du film. Le film étant sans doute un des plus grands navets de l'histoire du cinéma, personne ne put résister à boire et se resservir en se disant que voir trouble améliorerait le film. Et finalement, des rires éméchés résonnaient et tout le monde semblait légèrement pompette.

Et dans ses souvenirs troubles, le cuisinier se souvenait encore du goût âpre de l'alcool sur les lèvres de Doméki.

Xipho (petit poisson du Mexique)

Doméki était septique, Watanuki observait avec émerveillement les poissons flottants autour d'eux.

Où qu'ils soient, cet endroit semblait vraiment étrange. Un poisson frôla le cou du médium qui rit doucement. Doméki esquissa un sourire et se rapprocha. Il sent un poisson lui frôler le poignet, ce n'est pas vraiment agréable, mais pas écœurant non plus. Leurs regards se croisèrent, Watanuki lui fit un doux sourire, l'archer s'approcha encore jusqu'à ce que leur souffle s'emmêlent. Leurs lèvres se rejoignirent.

Et Doméki ouvrit doucement ses yeux encore ensommeillés, se réveillant totalement.

Dans le bocal, le xipho que lui avait offert Watanuki l'observait.

Yakuza

- Tu fais parti des leurs ? » interrogea vivement le médium posant brutalement sa tasse de café sur la table.

Doméki posa un regard insondable sur sa personne avant de répondre nonchalamment

- D'une certaine façon.

Watanuki posa alors à la fois un regard inquiet et colérique sur l'archer.

- Mais pourquoi ?

Doméki lui jeta un regard indéchiffrable avant de se lever de la table du café et s'aventurer dehors.

Il ne voulait pas d'une scène inutile.

Et il ne pouvait pas dire que c'était pour le sauver qui les avait rejoint.

Car l'autre se serait senti coupable.

Zéphyr

Ses cheveux noirs et raides s'agitent lentement sous le vent.

Il frissonne d'anticipation, un rire nerveux le parcourant.

Le vent est doux et léger, presque irréel,

Comme ses yeux qui l'observe sont décidés.

Il avoue du bout des lèvres,

La confession atteint ses oreilles,

Et le silence se prolonge,

Tous les deux timides le rallongent.

S'en suit une discussion pleine de non sens,

Pour ne pas dévoiler ce que l'on pense,

S'en suit la vérité,

Pas toujours bien exprimé.

Et finalement ne trouvant plus rien à dire,

L'union secrète commence,

Seule témoin de son existence,

Un vent léger appelé zéphyr.

Fin du thème : alphabet

L'auteur (levant le bras en signe de victoire ) :

- Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu ! Ça m'a pris énormément de temps et de concentration mais enfin j'y suis arrivé ! J'espère que ça vous plaira parce que…

Watanuki (pousse l'auteur sur le côté) :

- Je tiens à porter plainte !

L'auteur (toujours à terre) :

- Mais qu'est-ce qu'il a encore ?

Watanuki (ignorant l'auteur) :

- Je trouve qu'il est inconcevable, voir complètement débile de dire que Doméki pourrait devenir Yakuza ! Voyons soyons réalistes si ce mec devenait Yakuza alors moi je pourrai devenir femme a foyer !

Doméki (septique) :

- Et depuis quand tu prends ma défense ?

Watanuki (hurlant) :

- Mais qu'est ce que tu raconte ? Je ne te défends pas ! Je dissuade juste ces pauvres gens qui pensent que tu es quelqu'un de téméraire alors que c'est absolument faux.

L'auteur (mettant son grain de sel) :

- Oui mais d'un côté tu es déjà un peu femme au foyer alors ton hypothèse ne tient pas.

Watanuki (criant) :

- Comme ça « déjà un peu comme une femme au foyer » ?

Doméki (hochant la tête) :

- Oui, disons que tes dispositions pour les tâches ménagères sont… aberrantes ?

Watanuki (attrapant Doméki par le col) :

- Tu insinues que je suis féminine ?

Doméki (secoué dans tout les sens) :

- Non… Je le penses réellement.

Watanuki (sort de la pièce en hurlant) :

- Bande de tarés !

L'auteur (soupirant) :

- Bon une petite review ?