Bouhouhou ! Tout d'abord, je suis désolé de ne pas avoir poster la semaine dernière, j'avais un bac blanc à travailler, et mes potes sur msn m'accaparait le reste de mon temps. Je ne citerais pas de nom. Mais, voilà, le chap, et la fic, est terminée, corrigée et publiée.

Mais, vous avez de la chance, parce que, en ce moment, j'ai pas mal de problèmes amicaux, et cela aurait pu s'en faire ressentir sur la fic. Mais, tout est terminé, vous allez tous me manquer, car je ne serais plus là avant pas mal de temps ! J'ai pris beaucoup de plaisir a poster toute les semaines, et vous avez tous était géniaux. J'ai (enfin !) retrouvé Kitsune et ma LANA ! Je suis donc soulagée ! Et, je suis la béta-commentatrice, de Arkan ! Et, je vous conseille vraiment sa fic, voir la pub à la fin chap. En plus, ma fic atteints les 100 reviews ! Merci ma LANA chérie ! C'est toi qui l'as postée !! J'espère que se chap vous plaira!

Themissmalefoy : Oui ! Mon talent et de retour pour se dernier chap !!! Mon talent powaaa !!!lol. Merci du compliment

Magikal fairy : Oui, mais, le chap dernier était un peu un avant épilogue. Et, même si la fic est classé M, j'en connais un qui est assez jeune, n'est-ce pas Arkan !! Donc, si d'autre jeunes lisent cette fic, je ne veux pas qu'ils loupent quelque chose a cause d'un chap. alors, j'espère que tu te régalera de ce chap et que tu me pardonnera le dernier.

Sweetsueno : Ba alors Sweet ! C'est quoi sa ? Lire le chap 24 avant le 23 ! C'est pire que moi !lol. Et oui, j'ai bien rigolé !!!J'avoue !

Bulle-de-savon : Oui, elle va publier son journal ! Si tu fais gaffe, tu verra qu'elle le projet dès le début. Après tout, son envie n'est-elle pas de rétablir la vérité sur l'histoire d'Harry, Ron et elle ? Non, Max va très bien ! Promis ! Mais, aujourd'hui, il n'y aura pas de A suivre… Désolée. Mais tout a une fin ! Je t'adore ma puce !

Sakura : Oui, une fin tout en douceur… Une belle fin, je trouve. Comme j'aimerais être a sa place pour vivre heureuse jusqu'à la fin de ma vie !

Lana NEMESIS : Voici la fille qui a posté la centième review ! Merci ma grande ! C'est normal que je te laisse des petits mots, t'es une des première et la plus fidèle de mes revieweuses ! Après tout, même sans internet, tu trouves le moyen de me laisser des reviews ! Ce chapitre et long comme tu l'as vu ! J'espère qu'il te plair ! J'attends tes reviews avec impatience !Gros bisouxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx !!!!!!

Kitsune Maeda : Je vais faire une réponse regroupée pour toutes tes reviews ! Sa sera plus simple ! Ba, j'aime toujours ta fic ! T'as vu ! Il est trop bien Max ! Je le kiff trop ce mioche ! Je conclu aussi que le lemon t'a plus ! Ba non. Justement, comme le journal est fini, je ne vois pas je continuerai. La fic n'irait plus avecle titre et je pense qu'il est temps qu'elle se termine ! (C'est pas plus belle la vie !) Je peux faire trop de truc ! Sa ferait plus… Vrai ! Désolé de te décevoir. Gros bisoux

Attention ! Présence d'un autre lemon (mon deuxième XD). Ce qui serait susceptible d'être choqué sont prier de le passé !

Bien sûr, j'attend votre avis a propos de ce lemon !

Bonne lecture

Lyzabeth

Le journal d'une morte vivante

Chapitre 25 : Epilogue

Des rideaux en fin lin blanc se soulevaient devant une fenêtre ouverte, au rythme doux de la brise d'été. Le soleil éclairait délicatement la chambre, réchauffant doucement l'atmosphère. La chambre, spacieuse et claire, était envahie par un mobilier riche et ancien. Une petite table en acajou sculpté se tenait face à un grand lit à baldaquin. Cependant, un vieux coffre en solide bois de chêne les séparait. La chambre était peinte dans un ton vert clair, presque turquoise, et était parcourue de motifs blancs. En face d'un mur percé de plusieurs fenêtres, se tenait un bureau assez robuste sculpté dans du bois d'ébène. Rangées dessus, avec soin, se profilaient une pile de manuscrits où quelques feuilles étaient cornées, anciens marques pages, un cahier à spiral était ouvert et un stylo y était posé en travers. Au dessus, il y avait un petit carnet, maintenu ouvert par une boîte de crayon à l'équilibre précaire. Si on faisait un zoom sur ce bureau, on pourrait voir que le cahier était rayé par endroits, que des dessins ou des notes écrites d'autres mains le parcourraient. Le petit carnet lui aussi avait souffert de nombreuses ratures et pages arrachées ou réécrites, sauf qu'une seul écriture y était visible. Mais la propriétaire ne s'en plaignait pas, au contraire. Si ça tête était « rangée », elle ne pouvait s'empêcher un bazar incroyable dans ses affaires, même si elle les rangeait souvent.

Juste à côté du bureau, une grande et lourde bibliothèque bien fournie occupait fidèlement sa place dans le coin formé avec le mur plein de fenêtres. Il n'y avait pas de lustre ou autre. C'était au plafond que revenait la fonction d'éclairage. Le fonctionnement était simple, il illuminait la pièce de la manière que la personne le voulait.

Hermione bloqua un soupir dans sa gorge. Elle ne devait pas trop bouger. Mais chaque fois qu'elle finissait son livre, elle réagissait de la même manière. Une vague de nostalgie, de tristesse et de bonheur en même temps la traversait de part en part. Et elle devait se faire violence pour empêcher un frisson d'agiter son corps. Elle ne devait pas bouger. Ils avaient encore une demi heure de calme avant qu'ils ne viennent, comme tous les dimanche.

Elle caressa nostalgiquement la couverture, retraçant les lettres rouge sang formant le titre de son livre : « Le journal d'une morte vivante ». Ce livre paraissait vieux. La couverture était usée d'être trop touchée, et les pages étaient cornées, souffrant d'être trop lues. Le livre était signé d'un simple Lyzabeth. Pseudonyme servant inutilement de couverture pour l'auteur. Mince espoir de ne pas être reconnue. Mais le monde magique n'y avait absolument pas cru. Peut être parce qu'Hermione n'avait même pas tenté de cacher son identité plus que cela. Après tout, son nom apparaissait dès la deuxième page. Elle tendit le bras et posa son livre sur sa table de chevet.

L'ouvrage avait bien marché, permettant à Hermione de faire connaître sa maison d'édition et son histoire, ainsi que d'assurer un futur stable pour Ginny et sa boîte.

Un courant d'air plus frais la fit frissonner, lui donnant la chair de poule. Ses longs cheveux parfaitement emmêlés comme les ronces d'un fossé, cascadèrent sur ses épaules couvertes seulement par une légère chemise de nuit blanche, presque transparente. Ses pointes fourchues caressèrent le visage endormi contre sa poitrine. Deux yeux gris papillonnèrent. Hermione se mordit la lèvre. Elle savait pourtant qu'il se réveillait pour rien. Après toutes les précautions qu'elle avait prises pour ne pas le réveiller. Cependant, elle ne pouvait pas s'empêcher d'être heureuse de le voir enfin éveillé. Un an qu'ils étaient ensemble, et elle l'aimait toujours autant, peut être même plus, si c'était possible.

Sa main caressa son ventre gonflé. Hermione frissonna. Le visage de son homme se fit attentionné d'un seul coup, toute fatigue l'ayant déserté. Il réitéra son geste… Trois mois… Trois mois qu'il ne lui avait plus fait l'amour, de peur de la blesser. Elle frissonna… Trois mois. C'est fou ce que ses sens étaient exacerbés. Il suffisait d'une simple caresse pour la faire trembler d'envie. Au bout de ses doigts, une petite lueur bleue s'alluma, créant des reflets sur l'anneau doré qu'elle portait à l'annulaire gauche. La magie commençait déjà à se développer. Il était précoce. Il serait puissant. Mais aucun des deux amants ne s'en était aperçu. Ils étaient partis loin.

Ce n'était pas la première fois depuis sa grossesse qu'il lui faisait le coup. Alors, Hermione craignait que, comme d'habitude, il ne s'arrête, la laissant un peu plus frustrée et blessée. Et elle avait raison. Drago se força à enlever sa main. Il ne devait pas, elle était trop fragile. Mais elle était tellement belle, tellement désirable !

La lueur au bout des doigts d'Hermione se fit plus puissante et vira au rouge. Elle se redressa, saisit les poignets de son époux, les plaquant au-dessus de sa tête, et s'assit à cheval sur son ventre, ses lèvres à quelques centimètres de celles de Drago. Un petit sourire sur les lèvres, elle commença à bouger ses hanches en rythme. Rapidement, un soupir de satisfaction franchit les lèvres de Drago. Peu à peu, il perdait pieds… Trois mois… Ses soupirs se muèrent en gémissements, et son érection était à présent douloureuse. Le sourire d'Hermione s'intensifia. Elle déposa ses lèvres sur celles de Drago et bascula sur le côté, se relevant. Elle se tenait dos à Drago, sa chemise transparente dans les rayons du soleil. Drago se demandait encore se qui se passait quand elle prit la parole :

-C'est frustrant n'est-ce pas ? Passe une bonne journée mon amour.

Et elle fit un pas pour s'éloigner du lit. Elle sentit la poigne ferme de Drago sur son poignet et, d'une secousse, elle se retrouva sous Drago, ce dernier parcourant son corps de baisers enflammés. Il redécouvrait son corps au ventre rond et aux seins gonflés.

Hermione rejeta la tête en arrière. Elle n'était plus que gémissements et frissons de plaisir. Drago était partout en même temps, léchant, caressant, pinçant, mordant… Affolant ses sens. Elle senti vaguement sa chemise de nuit disparaître. Ses hormones l'influençaient et doublaient son plaisir. Enfin, Drago lui écarta les jambes et se glissa entre elles. Il frotta son sexe tendu contre son intimité.

Hermione en voulait plus, mais lui, hésitait. Les doigts d'Hermione, illuminés d'une lueur blanche puissante, se mirent en mouvement. Elle attrapa le sexe de son mari et, d'un mouvement de hanche, elle l'obligea à la prendre. Drago embrassa Hermione et commença de lents vas et viens. Mais Hermione avait était trop patiente… Trois mois… Alors, elle força les choses, accélérant ses coups de rein, rejetant la tête en arrière et criant son plaisir. A partir de ce moment, ce fut la passion et le plaisir qui les guidèrent, les enfonçant dans une félicité sans nom… Trois mois…

Drago jouit en premier, mais continua ses mouvements, et Hermione le rejoignit bientôt. Il se retira et roula aux côtés d'Hermione, la prenant dans ses bras. Elle s'y blottit avec joie, reprenant son souffle. D'un geste lent, il tendit sa main et attrapa sa baguette. En deux gestes, la sueur avait quitté leur corps et l'odeur de sexe et de sueur avait quitté la pièce. Hermione ressentit le contact familier de sa chemise sur sa peau, mais n'y prêta pas attention.

Ils allaient sombrer dans le sommeil lorsqu'ils entendirent, comme venant de loin, des pas dans leur chambre. Hermione eut juste le temps d'ouvrir difficilement un œil, que deux poids sautèrent sur le lit, criant et riant de toutes leur forces pour les réveiller. La fatigue reflua, Drago se redressa, attrapa les deux enfants et se mit en devoir de les chatouiller.

Hermione se contenta de les regarder jouer tendrement. Elle finit par se lever, de peur de prendre un coup. Elle leur envoya un bisou de la main. Les deux enfants, un roux et un blond, lui rendirent un sourire heureux. Ces deux là ne se séparaient plus, multipliant les blagues à Poudlard où ils étaient ensemble à Gryffondor. Drago avait bien ri en apprennant la nouvelle. Leurs activités préférées étaient de faire tourner en rond Rusard et sa chatte, et de jouer au quidditch, où Max était attrapeur et Aramy gardien. Cependant, ils ne négligeaient pas leurs études. Et après tout, pour Hermione, c'était le plus important. Ils étaient jeunes, qu'ils en profitent. Qu'ils vivent, ils auraient tout le temps d'être sages après.

Hermione ferma la porte derrière elle. Elle enleva les bretelles de sa chemise de nuit et celle-ci glissa tranquillement le long de son corps pour s'échouer presque sans bruit sur le sol.

Elle se regarda dans la grande glace qui lui faisait face. Naturellement, elle pivota, offrant son profil à son reflet. D'un geste calme et tendre, elle caressa son ventre rebondi. Cinq mois qu'elle l'attendait. Plus que quatre. Et au bonheur qu'était sa vie, s'ajouterait celui d'être de nouveau mère. Elle avait l'agréable sensation de se trouver au bord d'un train qui fonçait à toute vitesse. Les évènements s'étaient enchaînés à une vitesse ahurissante. L'aménagement chez Drago seulement quelques semaines après leur première nuit, puis la demande en mariage, le-dit mariage, les couverture de magasines (qu'elle détestait), sa maison d'édition, son livre qui cartonnait, l'entrée des garçons à Poudlard, et, enfin, l'enfant qui grandissait en elle. Oui, la vie avait était belle jusqu'ici. Les grandes vacances étaient enfin arrivées, et elle en était heureuse. Elle pouvait profiter de ses enfants.

Elle ouvrit le robinet de la douche et attendit que l'eau soit chaude. A bonne température, elle se glissa sous le jet, frissonnant sous la chaleur de l'eau. La buée ne tarda pas à s'accaparer les lieux, rendant l'air suffocant et lourd. Hermione se lava doucement, prenant son temps.

Deux bras encerclèrent sa taille ronde, et une tête se posa sur son épaule. Elle inclina la sienne reposant sur celle de Drago. Ils restèrent un long moment enlacés, l'eau chaude percutant leurs peaux qui viraient au rouge de seconde en seconde. Enfin, Hermione tendit la main et éteignit l'eau. Drago se redressa, la fit pivoter pour qu'ils soient face à face, et l'embrassa.

Un sourire heureux se fraya un chemin sur ses lèvres rouges.

OooOooO

L'avion décolla en partance pour New York. Ginny attacha distraitement ses longs cheveux roux en un chignon lâche. Un crayon dans la bouche, elle attrapa sa petite mallette et en sortit, sous les yeux stupéfaits de son voisin, une grande pochette qui contenait plusieurs dessins et quelques documents. Pour l'homme, il était parfaitement anormal que cette toute petite mallette puisse contenir autant de choses. Ne voulant pas se causer une migraine inutilement, il décida qu'il n'avait rien vu, et cacha sa vue grâce aux lunettes de mousse pour dormir.

Ginny compulsait ses documents et corrigeait ses dessins. Elle sentait le stress augmenter d'heure en heure. A New York, elle avait rendez-vous avec un important styliste moldu et un autre un peu plus tard avec un autre styliste, sorcier. Elle ne devait pas se louper, elle n'aurait pas d'autre chance…

Ginny jeta sa mallette sur le lit de sa chambre d'hôtel. Elle était vannée. D'un geste de baguette, elle attira un soda, et d'un autre, elle changea son costume strict en un bon vieux jean, tee shirt. Elle vida sa boisson d'un trait et rota.

Elle se laissa tomber sur son lit, un grand sourire aux lèvres. Elle avait réussi. Elle attrapa le téléphone posé sur sa table de nuit et composa automatiquement un numéro. Son interlocuteur répondit aussitôt :

-Hermione, s'il vous plait.

Elle patienta quelques secondes et Hermione la récupéra :

-Alors ? Demanda aussitôt son amie.
-A ton avis ? Répliqua la rouquine dans un grand sourire, invisible pour son interlocutrice.

Un cri strident résonna dans le combiné. Avec une grimace enfantine, Ginny repoussa le téléphone quelques secondes puis se reprit :

-Hermione, je sais que c'est génial, mais pourrais-tu épargner mes pauvres tympans s'il te plait.

-Oh, oui, pardon, excuse-moi, répondit Hermione, penaude. N'empêche, c'est un super truc pour toi ! J'espère que ça va durer.

-Il n'y a pas de raison. Bon, je pense que je vais me coucher, je suis larguée. Bonne nuit Hermione, prends soin de mes neveux !

-Ouais, rit Hermione. Mais tu sais ce que je ne peux m'empêcher de penser ?

-Non.

-Que la vie est sacrément bonne pour nous en ce moment.

-Oui, tu as raison. Et j'ai le pressentiment que ça va durer. On l'a mérité.

-Oui, j'espère que tu as raison. Bonne nuit Gin'.

-Bonne nuit Hermione.

De l'autre côté de l'Atlantique, Hermione raccrocha, souriante. Elle se promit que, quoi qu'il arrive, elle ferait tout que cela reste tel que c'était.

La vie continue, le bonheur reste…

FIN

PUB FIC

Titre : Je ne te ferais jamais de mal

Auteur : Rafael D. Béta : Moi (même si je suis plus commentatrice !)

Catégorie : K

Couple : Hermione, Drago

Résumé : Hermione porte le deuil de ses amis décédés quand un certain blond se décide à lui parler...

Avis : Belle fic, même si je ne connais pas la fin snif ! Franchement, je fais tout pour que cette fic reste le plus 'réaliste' possible. Sans pour autant dégrader les idées de l'auteur. En fit, je lui pose des question et c'est lui qui voit s'il modifie ou pas ! J'espère qu'elle vous plaira. En tout cas, moi, j'en suis accro !