Vive les vacances !

Mot de l'auteuse : RAH ! J'ai une excuse pour ça !!! J'étais… en vacances perdue dans un trou paumé ! Donc y a aucune raison que Mello et Near et Matt n'en profitent pas à leur tour ! Na ! … -se pend-

Disclaimer : Mello, Near, Matt et tout le reste sont à Takeshi Obata et Tsugumi Ohba, et pas à moi. Ils ont pas voulu me les vendre. Saletés.

Warnings : Pas shonen-ai... Boh, amitié poussée, disons. Fraternelle. [ euh ouais bon entre Mello et Near ça peut paraître space mais bon... xD

Music box : " Shooting Star" Home Made Kazoku

" Laura" Jantje Smit ( snif )

" Big in Japan" Alphaville

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Chapitre 1 : Stormy skies

Le soleil cognait dur. C'était l'été, c'était le sud de la France. Il était environs quatorze heures, le moment le plus chaud de la journée. La chaleur de l'après-midi faisait fondre le goudron en le transformant en matière noire liquide, visqueuse, collante et malodorante ; elle faisait chanter les criquets et miroiter les routes par des légers mirages. Le genre de température qui dessèche les plantes en les rendant dorées et craquantes, qui assèche les cours d'eau, et qui fait de l'intérieur des voitures une fournaise étouffante totalement invivable ; une température qui rend silencieux des villages entiers, comme morts, et qui rend impossible toute activité sportive intensive sous peine de déshydratation. Bref, une atmosphère infernale. Mello admira son emplacement -sa place de camping, l'endroit où il devait s'installer pour deux semaines- le regard empli d'une certaine fierté. C'était un petit coin d'herbe ombragé, pas très éloigné des sanitaires et entouré de grandes haies encore un peu verdâtres qui lui donnaient le maximum d'intimité possible. Mello aimait la chaleur et Mello aimait bien camper. Il aimait bien les vacances d'été, en général : il avait le droit de partir, de s'évader de la claustration de Wammy's House, le temps d'une quinzaine de jours. Bon, les autres pensionnaires étaient là aussi, dans le même camping, et ils étaient tous étroitement surveillés. Mello soupçonnait même le camping d'être privé, de leur être entièrement réservé, pour que personne ne les voit ou ne les prenne en photo par accident. Que de précautions stupides pour ces aspirants L… Mais bon.

Mello secoua la tête. Il avait envie de passer des vacances re-po-santes. … Il lui suffit pourtant d'une demie-minute de réflexion pour changer d'avis aussitôt. Se reposer ? N'importe quoi. L'été allait avoir son lot de ballades, de séances de sport et d'épreuves intellectuelles plus ou moins directes imposées par Wammy's House, et il le savait bien. Cela lui donnerait beaucoup d'occasions de doubler Near, de prouver qu'il était plus doué, et cela lui donnerait aussi des occasions de s'enfuir un peu avec Matt et les autres rebelles de l'orphelinat pour aller se baigner dans la rivière fraîche qui coulait au fond de la vallée. Alors qu'il salivait déjà à cette idée, une petite voix un peu nasillarde le sortit subitement de ses fantasmes.

« Tu comptes t'installer ici ? »

C'était Near, un sac sur le dos, un seau et une pelle rouge fluo dans les mains, qui lui posait cette question, les yeux vides et fixés sur le blond affalé dans l'herbe desséchée, qui lui répondit d'abord par un regard passablement mauvais. Il se demanda s'il avait vraiment besoin de dire quoi que ce soit. Near était parfois stupide.

« Non, non, je suis là assis à rêvasser, à l'ombre, au frais, dans un emplacement parfait, mon sac déjà à moitié dépaqueté, mais bien sûr que non, je ne compte pas m'installer ici. D'ailleurs, j'allais même joyeusement te céder la place !

- Tu parles beaucoup… Je venais juste te dire que tout le monde à déjà fini de s'installer, tu ferais mieux de te dépêcher.

- J'ai trop chaud, là !Je monterai ma tente quand j'en aurai envie. »

Near lui adressa un de ses petits sourires étranges dont lui seul avait le secret, et posa son sac à quelques mètres de Mello qui le regardait avec des yeux ronds, un sourcil haussé, les coudes posés au sol, ses mains soutenant son visage. Near se tourna vers lui, l'air apparemment content.

« Je me disais pareil que toi ! Il fait trop chaud pour faire quoi que ce soit.

- Il ne fait pas trop chaud pour réfléchir, il me semble. Je peux savoir pourquoi tu t'es mis à moins de dix mètres de mon coin ? demanda Mello d'un air suspicieux.

- J'aime bien cet endroit et il y a de la place. Tu peux partager.

- Je ne pense pas avoir envie de partager avec toi.

- Je ne pense pas t'avoir demandé ton avis. »

Mello s'était levé d'un bond et s'était emparé du col de la chemise blanche trop grande que portait Near et le menaçait de son poing. Il s'apprêtait à lui abaisser sur la figure quand Matt passa près de l'emplacement du blond, où la tente n'était encore qu'un ramassis de toile et de tubes métalliques.

« Oy Mello, ta tente n'est toujours pas prête, tu pourrais pas t'en occuper plutôt que d'embêter Near ?

- T'en mêles pas, Matt !

- Pas de violence, c'est les vacances.

- Ce sera jamais des vacances si l'autre empaffé vient squatter aussi près de chez moi !!!

- Je ne vais pas te manger pendant la nuit, déclara platement Near, risquant la pluie de coups plus que jamais.

- En effet… » soupira Matt en changeant nonchalamment et avec des gestes dénotant l'habitude la cartouche de sa console. Mello grogna et rejeta Near au sol. Le petit génie aux cheveux immaculés tapota sur son pantalon pour se débarrasser de l'herbe sèche qui s'y était accrochée, puis lança à nouveau son sourire à Mello.

« Bon, je vais monter ma tente ! »

Le blond serra les poings et saisit violemment son sac pour le mordre à pleines dents en grognant pour éviter de hurler. « Mais il me provoque, Matt !! T'as vu comment il me provoque ??! » Et Matt de soupirer encore. Il lui conseilla de se faire une raison et de l'ignorer. Near avait l'air de bien aimer la compagnie de Mello… Pourquoi ? C'était un mystère. Near dans son intégralité était d'ailleurs un mystère. Un mystère relativement envahissant et tête à claque, quand même.

Mello envoya valser son sac après l'avoir copieusement déchiqueté de ses dents, et tandis que Matt s'éloignait pour retourner à son propre campement, le blond décida qu'il était hors de question que la tente de Near soit montée avant la sienne. Celui-ci emboîtait tranquillement les tubes, les tordait parfaitement, comme s'il résolvait un puzzle, tout en jetant de temps en temps un coup d'œil curieux à Mello. Le fou furieux en question s'était précipité sur ses affaires et sa tente était déjà montée ; or un violent coup de vent souffla soudainement et renversa d'un coup l'habitacle de toile, permettant à la poussière du sol desséché et aux plantes mortes de s'y accrocher. Mello poussa un cri de rage : il allait perdre un temps précieux à nettoyer sa tente. Near soupira. Dans sa hâte, le blond avait omis de planter les sardines.

« Tiens Mello, ça pourrait t'être utile. »

L'interpellé lui arracha le maillet des mains. Il avait oublié le sien. Ca arrivait à tout le monde !... Il planta les sardines tout en lançant des regards ulcérés à son rival qui venait de finir de remplir d'air son matelas gonflable et qui rentrait à présent toutes ses affaires dans sa petite tente bleutée. Mello, lui, râlait plus qu'il n'avançait : il avait plantés ses sardines dans le mauvais sens, et les rares qui n'avaient pas été bloquées à moitié hors de la terre par des cailloux enfouis s'étaient tordues sous les coups un peu trop violents du blond énervé. Near le regardait faire : c'était pathétique. Mello avait déjà campé avant, mais sa rage lui faisait faire n'importe quoi.

Finalement, après maintes crises de nerfs justifiées ou non, la tente rouge de Mello fut prête. Encore en second. Near lui lança un sourire, puis ouvrit sa toile imperméable pour aérer l'intérieur de sa tente, protégée par une moustiquaire, jusqu'au soir.

« Il va sûrement pleuvoir dans la journée ou cette nuit, » marmonna Mello en finissant de gonfler son matelas. Near le regarda d'un air surpris.

« Tu me prêtes ton maillet, je te préviens qu'il faut pas laisser ta tente ouverte ; on est quittes.

- Ah… Oui… »

Near pencha la tête sur le côté. Incorrigible Mello.

L'après-midi passa relativement vite : le moment où l'on vient de s'installer mais où l'on est pas encore totalement installé, cette petite période d'adaptation à la vie à l'extérieur et à la chaleur, ce moment-là passe vite quand on peut se baigner dans une rivière congelée, et quand on s'empiffre de glaces : Mello adorait la première après-midi au camping. Il savait que les épreuves de Wammy's House ne s'éloignaient jamais, mais du moins avait-il alors l'impression délicieuse d'être un enfant normal en colonie de vacances. Il n'avait bien sûr pas manqué de renverser de l'eau sur Near pendant que celui-ci était aux toilettes, ni de lui taquiner les pieds avec la raclette qui servait à nettoyer le sol des douches quand le petit génie y fut : et il savoura aussi son tour préféré, celui qui consistait à placer une araignée énorme dans un des jouets de Near à l'intérieur de sa tente et de l'admirer sortir de celle-ci en tenant le jouet par les extrémités, les yeux apeurés. C'étaient des petits plaisirs simples de la vie. Near se vengeait en balançant le chocolat de Mello dans les toilettes ou dans la rivière ; il laissait ses vêtements en cuir ou ses vêtements noirs carboniser des heures en plein soleil, et par-dessus tout, il le battait à toutes les courses ou jeux qu'organisaient les autres Wammy's. C'était déjà en soi une vengeance tout à fait conséquente et qui suffisait à faire sortir le blond de ses gonds avec une rapidité effarante.

Bref, une première soirée tout ce qu'il y avait de plus classique.

Lorsque la nuit tomba, les enfants prirent congé les uns des autres et, remplis de bons souvenirs qu'ils ne pourraient peut-être que recréer l'année suivante, ils partirent se coucher. Les grillons et les crapauds rythmaient la nuit, et la brise nocturne fraîche qui soufflaient dans les arbres changeait radicalement de la température du jour. Les étoiles étaient invisibles : de gros nuages les cachaient. L'orage n'était pas loin. Mello se félicita intérieurement de ses capacités surnaturelles à prévoir la météo. Il pénétra dans sa tente restée agréablement chaude, et après s'être jeté dans un pyjama noir, il se précipita sous son duvet moelleux. Vive le confort. Son matelas lui empêchait les mouvements brusques, mais qu'importait ?

L'orage éclata deux heures plus tard. Il ne devait pas être plus de minuit, et Mello savoura d'être à l'abri alors qu'il pleuvait autant autour de lui. La pluie tapotait violemment sur la toile et Mello se laissa bercer par ce son harmonieux.

Dans la tente d'à côté, ce n'était pas la même sérénité qui régnait. Near avait remonté son duvet jusque sous son nez. Il venait d'entendre des craquements près de sa tête. La pluie ne faisait pas ce genre de bruit. Ni un humain non plus. Ce ne pouvait pas être le bruit du vent violent dans les arbres, ni le grincement de sa tente. Un animal ? Mais lequel ? Pourquoi ? Que faisait-il ? Encore ce craquement sinistre !

« Mello !

- Quoi ?! » Near fut soulage d'entendre qu'à dix mètres de lui, son blond préféré n'était pas encore endormi.

« J'entends des bruits bizarres.

- Et alors.

- Je ne sais pas ce que c'est.

- Et alors.

- Alors j'ai peur.

- Parfait ! Maintenant tais-toi, je dors.

- Mello, ça recommence !

- C'est le vent !

- J'ai déjà réfléchi à tout ce qu'il était probable que ce soit mais ça n'empêche pas que je suis un peu effrayé par…

- Tais-toi et dors.

- Mello j'ai peur, l'orage me fait peur, j'ai froid, il pleut et je suis sûr que ma tente est trouée.

- Near, j'ai sommeil, j'en ai marre de t'entendre et je suis sûr que je vais t'en mettre une si tu prononces encore un seul mot. Dors.

- Mello, j'ai oublié Bowbow.

- Tu veux quand même pas que je te propose de venir dormir à côté de moi pour que je remplace ta peluche de cinquante centimètres hideuse, hein Near ? C'est hors de question.

- …

- Je t'interdis de t'approcher.

- …

- Je te l'interdis t'entends ?

- Mello ?

- Arrête !

- Mello ?

- NON !!!

- Mello ?

- Dépêche-toi sinon tu vas tremper mon duvet !»

Near ne se fit pas prier : la pluie l'agressa dès sa sortie de la tente et il se précipita vers celle de Mello, dans le noir, sous l'eau, dans le froid. Near détestait avoir froid. Il ouvrit la toile imperméable de l'autre tente, et se dépêcha d'ouvrir la suivante et de les refermer toutes les deux, d'une main, l'autre serrant fermement son duvet.

Il savait que Mello n'allait pas refuser de l'aider : ça l'amusait trop de savoir que le petit prodige albinos avait peur. Il pourrait se moquer de lui à loisir le lendemain. Mais peu importait. Le blond alluma sa lampe de poche et lança à l'autre petit un regard assassin. Il ne lui adressa pas la parole mais lui montra impérieusement la zone où il pouvait se coucher, et il éteignit sa lampe. Au-dessus d'eux, un éclair illumina l'intérieur de la tente, bientôt suivi un coup de tonnerre qui en retentissant fit sursauter Near ; il se coucha vite près de Mello et se colla près du dos de celui-ci, qui lâcha un grognement bruyant avant de le recouvrir avec une partie de son propre duvet. Rassuré, Near put enfin fermer les yeux et plonger dans le sommeil. Mello grommelait. « Qu'est-ce-qui-faut-pas-faire-pour-avoir-le-silence-j'vous-jure ». La pluie continuait de marteler violemment les parois de leur tente, mais Near n'avait plus froid. Mello tenta d'oublier la présence envahissante de son rival à côté de lui pour s'endormir, quand il entendit une voix l'appeler de dehors.

« Mello, crétin profond, tu dors déjà ? J'ai ramené des bières ! Ouvre, je suis sous la pluie là ! »

Le blond ricana en ouvrant rapidement sa tente. Matt sécha ses lunettes en entrant et posa le pack de bière près de l'entrée où il avait aussi déposé ses chaussures boueuses.

« Rah, tu gères, Matt ! Je me disais aussi qu'on s'était couché beaucoup trop tôt ! fit Mello avec un sourire carnassier.

- Ouais, on aurait pu aller s'éclater dehors en temps normal, mais là, vu la météo… Donc je me suis dit qu'une petite visite s'imposait ! »

Les deux garçons ricanèrent en décapsulant leurs bouteilles. Matt aperçut alors le petit corps fragile de Near qui gisait près de Mello, recroquevillé sur lui-même, apparemment encore endormi. Matt lui lança un regard attendri : Near avait toujours eu peur de l'orage. Il ne posa pas plus de questions : et ils avaient déjà entamé leur cinquième bouteille quand Near les entendit rire comme des baleines et s'éveilla en maugréant.

« Mais qu'est-ce que vous faites ?!

- Bah on s'amuse, tu vois pas ? T'en veux une ? » s'exclama Mello en lui brandissant une bouteille sous les yeux. Matt s'esclaffa, ce qui provoqua un fou rire des deux garçons. Near haussa un sourcil dédaigneux, et, la tête encore un peu dans les vapes, il tenta de se rendormir. Or Matt et Mello faisaient un boucan de tous les diables, en riant, en parlant, et quand Mello proposa de détruire une bouteille sur la tête de Near pour voir si il y résisterait, le petit génie leur confisqua la boisson et la posa hors de la tente. Les deux autres n'étant plus tout à fait dans leur état normal, ils se contentèrent de râler, mais continuèrent de s'amuser sans boire. Near se boucha les oreilles avec son duvet et se coucha dans celui de Mello et tenta de dormir. Mello, malgré son état, constata que Near n'avait pas eu la saine idée de retourner dormir dans sa tente.

La pluie avait cessé depuis plusieurs heures, et le soleil commençait à se lever quand Matt constata qu'il avait un peu mal au crâne et qu'il ferait bien d'aller dormir : Mello le traita de mauviette, mais le roux à lunettes oranges venait de s'effondrer de sommeil sur les jambes de Near. Il ronflait déjà bruyamment quand Mello, dépité, se coucha près d'eux en tentant tant bien que mal de récupérer un bout de son duvet.

Endormis les uns contre les autres, les trois meilleurs élèves de Wammy's House furent réveillés à peine une heure plus tard par le soleil qui faisait chauffer méchamment l'intérieur de la tente. Mello poussa un hurlement sonore en constatant que Matt s'était endormi sur sa ration quotidienne de chocolat et l'avait fait fondre, et il cria encore plus fort quand il constata que Near avait dormir dans son duvet. « Non mais, déjà que j'accepte ton insupportable présence dans ma tente pour que t'arrêtes de me casser les oreilles, mais faut en plus que tu m'empêches de passer une nuit convenable ?! » Near ne tenta même pas de discuter du fait que s'ils n'avaient dormi qu'une heure, c'était à cause de leur alcool ; ni même du fait que s'il était reparti dans sa tente, il les aurait entendu toute la nuit quand même… S'il était resté, c'était parce qu'il préférait les entendre en ayant chaud qu'en gelant dans sa tente. Mello lui mit un violente calotte à l'arrière de la tête, et Matt bâilla bruyamment.

« La prochaine fois c'est toi qui paye les bières Mello, tu m'as tout sifflé !

- Eh oh, c'est toi qui en a bu le plus, espèce d'alcoolique chronique !

- Ca m'apprendra à partager avec le type le plus radin de l'univers !

- Crétin !

- Abruti !

- Vous pourriez me laisser sortir de cette tente abritant deux imbéciles finis s'il vous plaît ? demanda Near en roulant des yeux.

- Ouais, allez dégagez tous les deux, et revenez d'ici une demi-heure, j'ai une envie folle d'aller visiter le château en haut de la montagne.

- Mello, c'est officiel, tu es cinglé, s'exclama Matt en se frottant les yeux, encore endoloris de n'avoir pas assez dormi.

- Pas de discussion ! Si vous ne venez pas avec moi, vous restez ici avec les autres crétins de Wammy's House à obéir aux ordres qu'on vous donne pour prouver que vous êtes des petits génies et qu'on va pouvoir vous utiliser pour le bien de l'Humanité et…

- C'est bon, Mello, je viens.

- Génial ! Et… toi, Near ? Trop faible pour escalader une petite colline de bon matin ? murmura Mello d'un air sadique.

- … Bien sûr que non. Je vous accompagne. »

Mello fit un rictus mélangeant la déception et la joie d'avoir réussi à forcer Near à faire quelque chose qu'il ne voulait pas sans la moindre difficulté. Matt bâilla et sortit de la tente, le pas lent, avec le pressentiment que la journée n'allait pas être de tout repos.

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Fin du premier chapitre.

J'espère que vous ne vous ennuyez pas trop… et si oui, dites-moi ce que je pourrais faire pour améliorer tout ça, je suis ouverte aux critiques constructives n.n

PS : Pour répondre à Cari-ni, si tu lis cette fic aussi : « Brûle ce que tu as adoré et adore ce que tu as brûlé » est une phrase connue, religieuse il me semble… Chantée aussi d'une certaine façon dans une chanson de Jenifer il me semble.. XD on voit mes références musicales lol.

PS 2 :Merci pour toutes vos reviews qui me font tellement plaisir !! T3T Si jamais j'ai omis de répondre à l'une d'entre vous, je m'excuuuseuuuuuuh !!!! D : C'est qu'en les lisant, et en faisant autre chose après, je ne me souviens plus si j'ai déjà répondu ou non… donc je n'ose pas renvoyer de mail de peur de radoter u.u

PS 3 :Il y a sûrement des fautes de frappe ou de mots divers. Si vous en voyez dites le moi, que je les corrige xD

Et pour tous ceux qui aiment les fics anglaises, je vous ordonne de lire Mello's ABC de whitetyger123 !

C'est le truc le plus stupide de l'univers, et j'ai explosé de rire au moins dix fois rien que dans les trois premiers chapitres xD . C'est stupide. Mello est taré. C'est trop bon xD

Music box moins dépressive que la première :

" Yet another dizzly rain" de ?

" Captain Hook" de Chipz [ lol Maria

" Dream on black girl " ( Techno ) Kash VS Inxs

" Le Madison"