Voici ma deuxième fic, la première n'est pas sur ce site mais sur un skyblog (mione-dray-whynot.)
Disclaimer : Les personnages sont à J.K Rowlings et l'intrigue est mienne.
Couples : Sirius / Hermione
BlaBla de l'auteur : Cette histoire à déja ce prologue et 7 chapitres d'écrit. La septième chapitre peut-être une fin, j'attendrais qu"il soit en ligne et de voir vos avis savoir si je fais une suite ou pas. Le total du prologue et des 7 chapitres fait 14 555 mots :p A peu près, sans compter les modifications de dernière minute Enfin voila, je ne vous retiens pas plus longtemps et vous souhaite une bonne lecture, n'hésitez pas à me donner vos avis, vos critiques, vos suggestions D
Prologue
C'était par une belle matinée d'un 1er septembre 1997 qu'Hermione Granger vérifiait une dernière fois ses valises. Il était 10 H 30 et Hermione entendait la voix de Mme Weasley montait dans les aigus à mesure que l'heure passait. Il ne fallait absolument pas arriver en retard. Aujourd'hui, c'était la rentrée en 7eme et dernière année à Poudlard, l'année des ASPICS et comme ci ce n'était pas assez stressant, Hermione avait été nommée préfète-en-chef. Le nom de ses 3 autres homologues lui était encore inconnu, mais pas pour longtemps à son avis. La valise vérifiée, les cheveux arrangés elle était fin prête. Elle scruta son reflet l'espace d'un instant pour voir si un détail clochait dans son apparence. Apparemment non, ses cheveux lisse grâce à un sort était bien calés derrière ses oreilles, ses yeux chocolat pétillants et tristement terne en même temps étaient bien mit en valeur grâce à un léger coup de crayon noir et ses lèvres, pulpeuses par le gloss ne présentaient aucun défaut. Ne vous détromper pas, Hermione Granger n'est pas totalement devenue papillon, on pourrat facilement trouver plus belle. Mais le fait est que sa beauté à quelque chose de mystérieux, peut-être est-ce son intelligence qui se reflétait sur ses traits, personne ne saurait le dire, mais ce qui est sur c'est qu'elle dégageait quelque chose d'irrésistible.
La voix de Mme Weasley lui parvint une fois de plus à ses oreilles et elle prit le partit de descendre avant de recevoir les foudres de cette dernière. Alors qu'elle descendait les escaliers en regardant ses pieds, elle se heurta à un dos. Ronald alias Ron. Elle croyait l'aimer, ils sont d'ailleurs sortis ensemble durant 2 mois, mais ils sentaient bien qu'ils n'y avait rien d'autre qu'une très forte amitié. Le cœur d'Hermione était alors libre depuis. C'était peut-être mieux ainsi, n'oublions pas, c'est les ASPICS cette année, pas question de se laisser distraire par de vulgaires histoires de cœur… De toute façon elle doutait pouvoir aimer un jour, elle doutait pouvoir redevenir heureuse depuis la soirée du 12 juillet de cette même année. La Bataille Finale. Le Lord noir était mort, mais aux prix de combien de vie ? Beaucoup évidemment, mais certaines vous font bien plus mal. Harry qui n'avait pas survécut au surplus de magie qui l'avait envahit, ses parents… Ses parents avaient souffert juste car Hermione était une alliée d'Harry. Aujourd'hui, tout se base sur les apparences, tout le monde fait croire que tout vas bien, que nous vivons dans le bonheur, mais tout le monde sait que c'est faux, tout le monde sait que la personne en face d'elle souffre derrière ses sourires qui sonnent tellement faux…
Le temps passe, nos rouquins et la brunette arrive au fameux train rouge qui les amènera à leur ultime année à Poudlard. Hermione dut se séparer de Ron et Ginny afin de se rendre au compartiment des Préfets-en-Chefs. Elle allait découvrir ses homologues, quoique qu'elle ait une certaine idée sur leurs identités. En poussant la porte elle vit qu'elle était la dernière. Le compartiment en question était décoré avec beaucoup de goût, les murs étaient recouverts d'une tenture blanche, 4 canapés couleurs chocolat courraient le long des murs de la salle. Chacun était occupé par un préfet. En face d'elle somnolait Ernie McMillan, sur celui à côté de la porte, Cho semblait rêvasser. Elle alla s'asseoir sur le dernier canapé libre et leva la tête, dans son champ de vision trônait Malefoy, son sourire suffisant sur le visage. Ses yeux autrefois ne contenant que du mépris avaient aujourd'hui une lueur de sincérité. Les gens pourraient s'en étonnés. Mais tout le monde avait eu le temps de s'y habituer. Bien avant la fin de la sixième année, Malefoy avait retourné sa veste et œuvrait pour le bien. La hache de guerre était enterrée entre lui et Hermione, mais on ne pouvait pas dire non plus que l'amitié subsistait entre eux deux. Hermione prit un livre et le feuilleta distraitement. Elle trépignait d'arriver à la salle commune des préfets-en-chef afin de découvrir la bibliothèque réservée uniquement à ses derniers. Elle pourrat enfin trouver des livres qu'elle n'eut pas encore lut. Sans qu'elle s'en rende compte, elle s'endormit sur son livre. Le compartiment était silencieux, tout le monde dormait, enfin presque. Malefoy était encore éveillé. Il regardait Hermione. Certains pourront croire qu'il la regardait avec amour, en se basant sur le proverbe « les contraires s'attirent » ou encore qu'il la regarde avec mépris, mais ce n'est aucun des deux sentiments qui se reflètent dans ses iris grises. Il la regardait avec un sentiment protecteur. Il se sentait comme un grand frère.
Durant la guerre il s'était plus ou moins rapprocher de certaines personnes. Il n'était pas ami avec Hermione, mais il ne pouvait s'empêcher de vouloir la protéger comme une sœur, peut-être parce que malgré le fait qu'il était un mangemort, qu'il l'avait fait souffrir elle avait accepté de l'écouter lorsqu'il avait voulut changer de camps, elle avait accepté de parler à Dumbledore et l'avait même appuyé dans sa défense. Mais ils n'étaient pas amis. Ou peut-être un peu, quoi qu'il en soit c'était compliqué. Il se sentait peiné quand il la vit s'agitait dans son sommeil, il se doutait bien qu'elle repensait à cette soirée ou elle avait beaucoup perdu… Il espérait pour elle qu'elle trouverait quelque chose pour lui remonter le moral, car dans l'état ou elle est, elle risque de se laisser mourir ne trouvant rien pour la retenir dans ce monde. Et ça, il se le refusait.
Le train sifflait signe qu'il arriverait en gare dans une dizaine de minute. Draco s'approcha d'Hermione et la réveillât doucement en lui susurrant de s'habiller et qu'ils arrivaient. Lentement elle émergeât, gratifiant Draco d'un sourire, et se leva, récupérant sa valise. Cette année l'uniforme n'était pas obligatoire. Hermione n'était ni pour ni contre, évidemment elle préférait ses habits moldus qui l'avantageait plutôt que ses robes qui ne montraient en rien ses formes… Mais elle avait du mal à s'extasiait sur des choses insignifiantes comme des bouts de tissus. Une fois le train arrivé, elle se dirigea vers les portes et descendit sur le quai. Elle aida les premières années à se retrouvés et les envoya vers Hagrid, puis elle monta elle-même dans une diligence avec les autres préfets-en-chef. Le voyage se passa rapidement, sans aucunes paroles échangées, les jeunes gens étaient encore légèrement somnolant après leur sieste dans le train.
Comme chaque année, tout le monde se rassemblât dans la grande salle afin d'assister à la répartition des premières années.
Une fois cela fait, Dumbledore se leva. L'ambiance n'était pas aussi joyeuse que d'habitude, les places libres sur les différentes tables rappelaient les gens qui on périt pour la liberté. Dumbledore semblait vraiment vieux à cet instant, comme affaiblit par toutes ces pertes. Blasé de la vie, il était rare de le voir ainsi. Il n'eut pas besoin de demander le silence, en cette soirée il était maître de toute façon. Après avoir toussoté il commença son discourt, en ne réussissant pas toutefois à empêcher une larme de couler. Cette vision bouleversa toutes les personnes présentes, élèves comme professeurs.
« Cher élèves, cher professeurs. Une nouvelle année débute à cet instant. Elle sera placé sous le signe de la paix mais aussi de la douleur dut à la perte d'êtres chers. J'aimerais voir, en cette nouvelle aube, les maisons se rapprocher, des alliances se créée afin que les combattants qui sont tombés cette été et depuis le début du terrible règne de Lord Voldemort ne le soient pas en vain. Nous venons de sortir d'une guerre, ce n'est pas pour en créer une autre. Je vous pris de reconsidérer vos camarades, de ne pas vous arrêter à leurs couleur, leurs origine, leur sang ou encore leurs maisons afin de vous lié d'amitié avec quiquonque présent dans ce châteaux. Le temps est comme je l'ai dit aux alliances, nous devons pouvoir compter les uns sur les autres pour passer cette épreuve plus que difficile pour n'importe qui, surtout pour vous qui avaient déjà vu tant de chose avant même d'être adulte. Sachez que parlez vous fera du bien, les professeurs, Mme Pomfresh ou même vos amis sont là pour vous. J'aimerais qu'on porte un toast a nos libérateurs, à tout ceux qui sont mort au combat et aussi à Harry Potter qui à éliminer toutes menaces sur nous. »
Comme un seul homme, tous les élèves et les professeurs levèrent leurs verres. Plusieurs minutes de silence furent accordées, perturbées par les reniflements et les sanglots étouffés ça et là. Au bout d'un long silence, les Griffondors commencèrent à applaudir, puis les Poufsouffles, les Serdaigles et même les Serpentards, bien qu'ils soient peu nombreux. Seul ceux qui on retourner leurs vestes à temps ou bien qui n'étaient pas issu de parents mangemorts trônait sur la table des verts argents. Cela se résumé à 10 tête environs. Minerva McGonagall passa parmi les différents tables afin de récupérer les préfets-en-chefs pour leurs expliquer leurs obligations tout en les amenant à leurs dortoir. Après avoir expliqué qu'ils devraient préparer 4 bals, faire parti du conseil trimestriel des professeurs et mettre en place diverses animations, les 4 adolescents et leurs professeurs étaient arrivés au 5ème étage devant une toile montrant l'emblème de Poudlard.
Chaque préfet devait appuyer sur l'emblème de sa maison pour entrer dans le dortoir. L'intérieur de la salle commune était d'un très bon gout, dans les mêmes tons que le compartiment du train. Les tentures au mur était blanche, la moquette était également blanche avec un soupçon de crème, les canapés, fauteuils et poufs qui trainait ça et là étaient chocolat. Une table en verre trônait au milieu de la pièce, avec 4 chaises à ses contours. La fameuse bibliothèque courrait le long d'un mur, faisant face à un magnifique feu qui réchauffait toute la pièce. 4 escaliers étaient encastrés dans le mur. Au bas de chaque escalier se trouvait un paillasson illustrant l'emblème du propriétaire. Hermione se dirigea directement vers la bibliothèque, prit 3, 4 livres au hasard, dit bonne nuit à tout le monde et monta dans sa chambre. Une fois dans son antre, elle rangea ses affaires dans l'armoire à droite de l'entrée et se jeta sur son lit à baldaquins couvert de couverture de soie rouge et or. Elle prit les livres qu'elle avait remonté d'en bas et étudia les couvertures. Elle décida de s'intéressait à un livre d'apparence ancienne dont le titre l'intriguait au plus haut point. « La Magie du temps et de l'espace ». Elle lisait et lisait encore sans faire attention aux heures qui passaient… Le grondement de son ventre la rappela à l'ordre, elle tourna son regard vers l'horloge d'or qui trônait au dessus de la porte et vit qu'il était déjà cinq heures du matin. Elle décida d'aller prendre un bout à la cuisine de l'école et ensuite de dormir pour profiter de son dimanche matin au lit. Sur le chemin des cuisine elle se récita une formule de son livre, tout en imaginant le bonheur que ce serait de retourner dans le passé, avec Harry et ses parents, ou même plus loin encore pour rencontrer les parents de son défunt ami. Sans faire attention elle récita la formule à voix haute, en jouant avec sa baguette et en pensant aux maraudeurs. Sans signes avant coureurs elle sombra dans le néant…
