Disclaimer :

JK : 7 ; Lasiurys : 0
Merci à EHP – Wikipedia – Google. Damocles : désolée.
Titre du chapitre : "Forever Yours", Nightwish ("Alors je serais toujours à toi")

Merci à ptitemel, vivi, jones17, Pau Eihm, nightshad, helvetius, Dyane(x2), Pauline, élyon, Valalyeste, Bergere, Soishii(x4), alexcmoa, guignou, Ilda, Alexandrine, Risa-Kyrahan, Lyane de Rivesen(x2), Luscinia, DreamOf, Tenshiroi, Kaomisha, turimulla, Link9, littleshootingstar123(x6), Anthales, Alatariel Melawen, France Malefoy, Snapinou(x3), K-tryn, justabook, , Ste7851, lillylabiche, Ys Awards, zinzinette, khalie, cixy(x2), Groumd, Miss Lilith Samael, et Eileen19 pour vos reviews ! Merci à mes Dalton, à mes lectrices, et à mes lecteurs !

Note importante : J'ai édité les chapitres 39 et 40 avec vos noms ! Désolée, désolée, de vous avoir fait attendre... je me suis tâtée jusqu'au dernier moment sur une certaine tournure de phrase ! Et voilà, c'est le dernier chapitre... Je vous laisse une note de fin... à la fin!

Note rusée : Pour vivre heureux vivons caché ? Oui, ça pourrait s'appliquer à Severus...
Moi, sadique ? Mais enfin, pas du tout! Je ne vois pas comment vous pouvez penser ça^^ ! Sérieusement? Bon, d'accord... Alors, machination, ruse, ou pas? Et surtout, est-ce que Lasiurys a finalement perdu la raison ? Bon, le mieux pour ça est de lire la suite... Désolée pour celles qui n'ont pas révisé leurs examens à cause du dernier chapitre !


--Chapitre 43 : So I'll be forever yours.

Elle trébucha sur le seuil, aveuglée par les larmes. Elle courut, dans l'escalier, dérapant sur les marches, finissant la montée à quatre pattes. Elle se releva en arrivant à son étage, chassant d'une main tremblante les larmes qui continuaient de rouler sur ses joues.

Et il était là, qui l'attendait debout, sa cape tombant doucement sur ses pieds, l'enveloppant délicatement. Son teint pâle ne paraissait pas maladif ; et il semblait qu'il était éclairé par une lune invisible, qui caressait son visage.

Il la regardait, calme, ses grands yeux d'obsidiennes brillant légèrement, lui souriant presque.

Elle s'arrêta net, les mains mouillées de ses larmes, les joues salies par la poussière.

- "Vous êtes mort", souffla-t-elle.

Il ne se troubla pas, continuant à la contempler, sans répondre.

- "Vous êtes mort !" cria-t-elle. Elle voulut se jeter sur lui, et elle dut s'arrêter –il avait mis en place le mur invisible des cinquante centimètres.

Elle frappa le mur, de ses deux poings, en le répétant –qu'il était mort, mort, mort !

Il leva une main.

- "Je sais", répondit-il, doucement.

- "Vous savez ? C'est tout ce que vous trouvez à me dire ?" s'étrangla-t-elle. "Mais vous êtes mort, et je ne m'en suis pas rendue compte, et vous êtes là ! Vous êtes là !"

- "Cherchez dans votre mémoire", répondit-il simplement.


Il entrouvrit ses yeux, qui étaient recouverts d'une brume trouble. Il écarta doucement les lèvres, pour lui dire quelque chose, mais il n'eut pas le temps –elle avait plongé dans le cœur de ses yeux. Et puis, elle en fut tirée par quelque chose, elle ne savait pas quoi, et elle vit ses yeux –vides, vides, désespérément vides, désespérément froids. Éteints. Morts.

- "Non !" hurlait-elle. "Non !"

Et elle martelait sa poitrine.

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- "Je vous présente mes excuses, Maître, mais je dois m'absenter pour ce soir."

Il se contenta de hocher la tête, sans lui demander de précisions, la regardant partir dans des robes noires, que Minerva lui avait fourni pour l'enterrement.

Elle transplana dans le cimetière de Londres. Le Ministère avait couvert l'événement, de façon à détourner les Moldus pendant quelques heures.

Elle se tenait debout, devant le cercueil. Elle n'avait pas voulu qu'ils ferment ses yeux. Comme elle avait été son apprentie pendant deux ans, la seule qui pouvait prétendre à le connaître, ils avaient fini par accepter. Elle regardait ses yeux, espérant qu'une étincelle les rallume. Ils restèrent éteints, et vides.

Les gens détournaient la tête. Personne ne voulait croiser le regard d'un mort.

Certains disaient que Severus Snape l'avait mérité. Que c'était sa punition. Un mangemort, un assassin, dont on avait laissé les yeux ouverts pour qu'il contemple à jamais le mal qu'il avait fait, et qui ne trouverait jamais le repos.

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Tous les messages de ses amis tourbillonnaient dans sa tête. Tous leurs messages de sympathie. Ils avaient su, eux, qu'il était mort.

Comment avait-elle fait pour passer au-delà ? Pour ne pas réaliser ce qui arrivait ?

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- "Venez voir, Maître", dit-elle, en lui désignant un morceau de vitre brisé.

Il s'approcha précautionneusement.

- "Vous ne verrez rien, Miss Granger."

- "Le verre n'est pas si sale, Maître", sourit-elle.

Mais il avait raison, comme d'habitude –il ne se reflétait pas… Les miroirs ne reflétaient pas les morts. Elle était seule à pouvoir le voir.

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Elle le voyait rajeunir, visiblement, ses traits étaient moins tendus, plus sereins. Il avait l'air plus en forme.

C'était facile, quand on était mort.


- "Je suis folle", dit-elle, et c'était à la fois une question et une affirmation.

- "Non", répondit-il. "Vous n'êtes pas folle".

- "Je vous vois… vous êtes mort ! Vous n'êtes pas vraiment dans cette pièce. Je suis en train de me parler à moi-même". Ses larmes coulaient jusque dans son cou, mouillaient ses oreilles, son col. Elle n'essayait plus de les retenir ni les essuyer.

- "Vous êtes seule à pouvoir me voir, Miss Granger, mais vous n'êtes pas folle."

Il essayait de lui suggérer quelque chose, elle le voyait, mais elle ne savait pas quoi. Elle était tellement fatiguée… elle ne savait plus quoi penser.

- "Vous vous êtes hypnotisée avec mes yeux, Miss Granger", dit-il doucement. "Et je ne les ai pas fermés."

- "Mais…" elle ne comprenait pas. "Dans ce cas, je me trouve dans votre corps… mort ?"

- "Non. C'est plus complexe que ça, Miss Granger !" Il se pinça l'arrête du nez, soudain excédé. "Lorsque je vous hypnotise, votre moi psychique se retrouve dans mon moi physique. En l'occurrence", il fit une pause, "mon corps est mort. Mais comme vous vous trouviez, bien vivante, dans mon âme à l'instant où je suis mort, vous avez entraîné mon moi psychique dans votre moi physique."

- "Mais donc… vous êtes vraiment là ?"

- "Mon âme est bien en vous. Cette représentation, en revanche", il désigna son corps, "n'est que le fruit de votre imagination. Ce qui ne veut pas dire", ajouta-t-il, "que je ne suis pas réel."

Elle le regarda, bouche bée. Elle devait avoir l'air vraiment stupide, mais son cerveau n'était pas capable de réagir. Elle essayait de comprendre ce qu'il venait de lui dire. Est-ce qu'il était vraiment là, ou pas ?

Est-ce que ça voulait dire qu'il restait avec elle ?

- "Miss Granger", dit-il, d'un ton qui la sortit de sa réflexion. "Vous vous rendez compte que je ne vis que dans votre imagination ? Je suis réel dans votre imagination, mais je suis imaginaire dans le monde réel. Je ne peux pas rester ici. Maintenant que vous avez compris, vous devez laisser partir mon âme, et vous serez libre."

- "Non !" elle recommença à paniquer. Il ne pouvait pas la laisser, pas maintenant ! Pas après qu'elle ait cru qu'elle l'avait retrouvé, pas quand elle avait cru qu'il était à elle pour toujours ! "Ne me laissez pas, Maître !"

Son expression s'adoucit un peu.

- "Je ne peux pas rester ici, Miss Granger. Vous finirez par véritablement devenir folle. Par ailleurs, vous ne pouvez que me voir. Je ne peux pas vous toucher, ni vous hypnotiser."

- "Pourquoi, Maître ? Je vous en prie, ne me laissez pas seule !"

- "Miss Granger… si je vous hypnotise, votre moi psychique ira comme d'habitude dans mon moi physique. Qui se trouve être le vôtre. Votre âme va s'y perdre, et cela entraînera la précipitation de votre corps dans mon âme."

Elle le regarda, sans comprendre. Il soupira.

- "Votre âme va reconnaître votre corps, réel, comme un corps de représentation qui va avec votre âme. Votre corps va donc suivre votre âme dans la mienne, qui se trouve être dans votre corps. Par conséquent, votre corps physique va s'annuler, disparaître. Vous ne pourrez plus interagir avec les vivants."

- "Vous voulez dire", demanda-t-elle lentement, "que si vous m'hypnotisez, je n'existerait que pour vous ? Nous n'existerons que dans votre âme ?"

- "C'est exactement ça, Miss Granger", souffla-t-il. "Vous devez me libérer. Vous ne pouvez pas rester avec moi."

- "Je resterais toujours avec vous ? Nos âmes ne seront pas séparées ?" continua Hermione sans faire attention à ce qu'il venait de dire.

- "Miss Granger !" s'énerva-t-il. "Vous ne pouvez pas me suivre. Vous avez complété votre apprentissage, vous devez revenir dans le monde, avec vos amis, avec votre vie. Oubliez moi."

Il lui tourna le dos et se dirigea vers la fenêtre.

- "Maître ! Ne me laissez pas !"

- "Je suis désolé, Miss Granger."

Il était presque arrivé aux vitres brisées. Elle savait qu'il allait sauter. Est ce qu'il pouvait sauter comme ça, hors de son corps ? Elle voyait sa cape commencer à s'envoler, comme si le brouillard, dehors, allait le happer, elle voyait ses cheveux commencer à flotter, elle sentait le vent sur son visage et –

- "Je vous aime !" bredouilla-t-elle.

- "Je vous demande pardon ?" demanda-t-il, en se retournant, ses yeux reflétant l'incompréhension la plus totale. Elle savait qu'il avait été trop surpris pour maintenir la barrière qui l'empêchait de le rejoindre.

Elle-même resta hébétée. Elle n'avait pas prévu de dire ça. Et pourtant, elle savait que c'était la chose à dire, la chose qu'elle avait vainement cherché sans la trouver pendant ces deux ans d'apprentissage. La phrase sonnait si juste, dans sa bouche.

- "Je vous aime…" répéta-t-elle, à moitié pour elle-même, et beaucoup pour lui.

Elle avait envie de le répéter jusqu'à la fin des temps. C'était la phrase, la chose qu'elle voulait lui dire, ce qu'elle avait voulu lui assurer.

- "Vous ne pouvez pas m'aimer, Miss Granger", lui dit-il d'une voix légèrement hésitante. "Oubliez moi."

- "Dites moi que vous ne m'aimez pas !" lui lança-t-elle.

- "Je ne vous aime pas, Miss Granger", déclara-t-il d'un ton neutre, sans ciller, la tête haute.

« Maître Severus peut mentir jusqu'à la mort si Maître Severus trouve que le mensonge est nécessaire à la sécurité de Maître Severus »

« Miss doit savoir que Maître Severus a peur de… »

Et elle comprit. Elle comprit enfin ce qu'Osty avait voulu lui dire, tous ces jours, toutes ces années auparavant.

Elle le rejoignit avant qu'il puisse réagir. Elle passa les mains derrière son cou, essayant de l'attirer vers elle. Il résista, les yeux paniqués, se libéra d'une secousse, recula à l'autre bout du grenier.

- "Vous devez partir, Miss Granger", et il fuyait son regard.

- "Vous ne pouvez pas partir, Maître ! Vous ne pouvez pas me laisser ! Vous existez dans mon esprit, vous ne pouvez pas partir !"

- "Je n'existe pas vraiment, Granger". Sa voix était basse. "Ne répétez pas mes erreurs, je n'existe que dans un rêve."

- "Alors je. veux. vivre. dans. un. rêve" dit-elle d'une voix hachée, chaque mot chevauchant l'autre, en essayant de refouler les larmes qui pointaient de nouveau au coin de ses paupières.

Il ne bougea pas. Obstiné. Pourquoi ne pourrait-elle pas faire ce qu'il avait fait toute sa vie ? Pourquoi ne pouvait-elle pas vivre elle aussi au fond de ses yeux ? Ce n'était pas juste. Le doute commençait à s'infiltrer. Peut-être qu'il avait dit vrai. Peut-être qu'il ne l'aimait pas. La panique serra sa gorge, et elle du secouer la tête. Elle ne voulait pas y penser.

Puisqu'il n'existait que dans son imagination, il était censé réagir comme elle voulait ! Comme elle voulait !

- "Vous n'êtes imaginaire que si je reste ici, monsieur", dit-elle avec un demi sourire, reprenant les mots qu'il avait utilisé. "Dans mon imagination, en revanche, vous êtes réel."

Il passa une main sur son visage, laissant ses cheveux le cacher à sa vue.

- "Mon rêve est un cauchemar, Miss Granger. Vous l'avez vu". Il secoua la tête lentement. "Ne commettez pas l'erreur de croire que la mort m'a accordé la paix, ou la rédemption".

Elle resta où elle était, essayant de capter son regard. Elle le sentit, plus qu'elle ne le vit, cligner des yeux. Elle savait qu'il était furieux.

- "Qu'est-ce que vous croyez, Granger ?" hurla-t-il. "Qu'il me suffit de mourir pour que le monde me pardonne mes erreurs ? Qu'il suffit que mon cœur cesse de battre pour que les gens pensent que j'en ai un ?"

Il fit deux pas vers elle, et ajouta, d'une voix plus calme, suintant l'amertume, tant qu'elle sentit son propre cœur se serrer : "Qu'il suffit que je passe à mon tour de l'autre côté du voile pour qu'Albus Dumbledore me pardonne d'avoir exécuté ses ordres ?"

Elle voulait lui dire qu'il était déjà pardonné –qu'il était seul à se refuser la paix… mais sa gorge était sèche, et les mots moururent sur ses lèvres alors qu'il se rapprochait à nouveau d'elle, redressant la tête pour que ses cheveux dégagent son visage, ses yeux agrandis.

- "Qu'il me suffit d'un suicide pour me libérer de moi-même ?" Sa voix s'adoucissait. Elle ouvrit la bouche, pour lui dire quelque chose, n'importe quoi, tout, mais il se rapprocha encore, et elle le touchait presque…

"Que ma mort est suffisante pour que je me pardonne d'avoir entraîné mon apprentie… d'avoir voulu la perdre en moi, pour la garder toujours, et d'avoir réussi ?"

Elle leva les yeux, le cœur battant, chercha son regard, et il l'évitait, toujours… Alors elle rompit la distance entre eux, se hissa sur la pointe des pieds, jusqu'à ce qu'il ne puisse pas faire autrement que de plonger ses yeux dans les siens, et elle sentait son souffle chaud sur ses lèvres alors qu'il lui murmurait "Vous êtes folle, Granger".

Il la soulevait de terre, elle était entre ses bras alors qu'il la serrait violemment contre lui, et elle s'accrochait à lui, pour ne pas tomber, pour qu'il la tienne toujours, pour qu'il ne la lâche pas, et elle sentait sa poitrine contre la sienne, et elle sentait ses mains, et elle sentait ses lèvres pressées contre les siennes. Ses lèvres ! Elle en avait rêvé, et ses lèvres étaient là qui prenaient les siennes dans un baiser passionné, allumant un brasier dévorant en elle alors qu'il l'embrassait éperdument, sa langue caressant doucement, rageusement, la sienne, et il la serrait toujours plus près, toujours plus fort, et elle ne voyait que ses yeux, ses yeux si noirs, qui l'attiraient, l'entraînaient, l'enlevaient dans leurs sombres profondeurs, l'emmenant dans le cœur de Severus Snape, derrière la barrière de glace, tout au fond, au milieu des ombres, là où rien, ni personne, ne pourrait plus jamais l'atteindre.


On ne retrouva pas la trace d'Hermione Granger.

Ils dirent qu'elle était partie pour l'Australie.

Ils dirent qu'elle était morte dans un accident de potion, une explosion, un empoisonnement, peut-être.

Ils dirent qu'elle s'était suicidée. Ils dirent que le regret d'avoir laissé son Maître les yeux ouverts dans sa tombe lui avait fait perdre la tête, qu'on ne plaisantait pas avec les morts.

Ils dirent qu'on ne revenait jamais du professeur Snape.

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.FIN.

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Note de fin : Salut à toutes (et à tous, bien sûr...) Trois heures du matin, 24 avril 2009, et j'écris ma note de fin !

Déjà, j'espère que vous avez aimé cette petite fic, et que la fin ne vous a pas déçu... Toutes les questions que vous m'avez posées depuis le début ont aujourd'hui trouvé réponse, mais s'il y a quelque chose que vous n'avez pas compris, je peux à présent vous l'expliquer avec tous les détails et les indices ! (c'est bien connu, Lasiurys a un esprit tordu). Merci à tous les groupes de musique qui ont fourni des citations pour les titres de chapitres, merci à JK pour Severus, merci à Google pour son aide à propos des potions...

Concernant la fin, il y a plusieurs explications possibles. Est-ce qu'Hermione est vraiment folle, ou pas ? Personnellement, je ne le vois pas comme ça, mais vous pouvez interpréter ça comme vous voulez !

Pour répondre à des questions fréquentes : oui, vous pouvez utiliser ce qui concerne les potions dans une de vos fic', bien sûr... tenez-moi au courant, que j'aille lire ! Oui, ça me ferait très plaisir que vous écriviez une fin alternative ou des chapitres alternatifs ! Et oui, j'ai d'autres projets de fic !

Reviews anonymes : laissez une adresse si vous voulez que je réponde... sinon, j'éditerais peut-être ce chapitre avec vos RAR, mais la mise à jour ne sera pas notée sur le site.

Et puis surtout, ce que je voulais vraiment vous dire, c'est merci... Merci à toutes d'avoir reviewé à chaque chapitre, de m'avoir abreuvé de compliments et de théories, et merci d'avoir suivi chaque jour ! Merci à toutes celles qui ont pris le temps de reviewer plusieurs chapitres en une fois, merci à mes Dalton... Merci à justabook d'avoir posté la première review, merci à littleshootingstar123 d'avoir posté la millième, merci à toutes d'avoir battu le record de reviews sur ce site pour le hg/ss français, merci aux reviews anonymes qui ont subi mes "ruses" à chaque chapitre ! Merci à celles qui ont mis la fic/moi en favoris, et à celles qui l'ont mise en alerte ! Merci à celles qui ont fait des pronostics foireux (ou pas!), ont donné des conseils à Hermione (le gastéropode!) pour qu'elle perce la carapace de Severus, se sont occupées de trucider Ron, et ont analysés le comportement de Severus! (avec son hypogriffe en peluche). Vous allez toutes me manquer... Vous lire chaque jour était vraiment génial, et je vous dédie cette fic' à toutes ! J'ai les meilleures revieweuses du monde!

Bisous à toutes, et au plaisir ! Ah -et puis oui, vous pouvez me tuer, maintenant!

Las/ys