Bergère → Heureuse que tu aime Elspeth, on va continuer à la voir pendant un petit moment !

Diox Veritae et Camille13 → J'espère que ce chapitre sera plus clair et que la relation vous semblera mieux se passer

Elayan → Euh… comment dire… ma béta a déjà corrigé ce chapitre… Je ne pouvais pas savoir qu'ensuite elle s'apercevrait qu'elle avait oublié certaines choses… Je lui fais confiance moi ^^

Chapitre sixième

Minerva se trouvait assaillie par les danseurs. Assaillie était le mot, elle ne pas faire un pas sans voir un nouveau visage. C'était le choix des dames et tous la presser de se prononcer – en les choisissant, bien sur.

-j'ai l'âme d'un danseur, Madame, jamais vous ne trouverez mieux ! Avait commencé Aberdeen.

-Je maîtrise au choix la valse à 3 et 5 temps. Choisissez-moi vous en serez contente, avait continué Bannock.

-Messieurs, Messieurs, calmez vous ! Il y a d'autres femmes, laissez moi me retirer pour celle là !

-Alors que toute femme veut le droit de vote…

-…pourquoi la plus belle ne veut pas faire de choix ?

-Choisissez Bannock.

-Choisissez Aberdeen.

-Ce sera le meilleur choix !

Du coin de l'œil Minerva vit Albus qui s'en allait. Un sourire lui vint aux lèvres tandis que ses deux prétendant continuaient.

-Je suis tout ce qu'il y a de plus équilibré…

-Je ne vous marcherais pas sur les pieds…

Et ils continuaient… Elle cherchait du regard quelqu'un ou quelque chose pour la sortir d'embarras. La porte principale s'ouvrit soudain, laissant passer Albus accompagné de nombreuses femmes qui se précipitèrent sur ses cavaliers potentiels. Elle retint un soupir de soulagement et s'écarta de la piste de danse. S'asseyant près d'une fenêtre, elle contemplait son ancien professeur de métamorphose qui chantait un thème de valse avec l'orchestre. Sa chaude voix de baryton provoquait des frissons le long de ses bras. Soudain, ses deux poursuivant les plus insistant apparurent à ses côté. S'ils n'avaient pas était moldus, elle les eut soupçonné d'avoir transplané.

-Allons, Madame, il vous faut dès maintenant vous prononcer. Choisissez-moi ! l'exhorta Aberdeen.

-Plutôt moi ! l'interrompis Bannock.

Minerva se détourna des deux hommes lorsqu'elle sentit une main se poser sur son bras. Elspeth Dippet se tenait à côté d'elle tenant Lord Courteson par le bras.

-Je vous désigne un autre concurrent. J'ai testé pour vous sa valse, son boston, son cotillon ! Je vous l'ai gardé, vous l'ayant choisie, pour vous donner madame le seul que fut digne de danser avec vous.

- Choisissez-moi,-moi,-moi. répétaient-ils tous.

Elle se leva en leur faisant signe de se taire.

-Très bien messieurs. Je vais me décider.

Elle posa son regard sur chacun des hommes voulant danser avec elle.

-Je danserais avec celui qui ne veut pas s'intéresser.

Elle s'avança en direction du directeur de Gryffondor.

-Offrez-moi votre bras.

-Je ne danse pas, répondit ce dernier.

-Vous refusez ?

-Je n'ai pas dit cela. La danse est bien à moi ?

-Oui, mais je ne vois pas…

-Je puis en faire ce que j'en veux donc ?

-Eh bien… Oui.

-Dans ce cas, je la mets aux enchères. Au profit de la Sauvegarde de Confiserie Moldue. 100 gallions pour la première enchère.

-100 gallions, s'écria quelqu'un

-C'est beaucoup, s'écria un autre.

-Pas du tout. Pour seulement ce prix la danse peut-être à vous.

Minerva était tellement choquée qu'elle ne savait que dire.

-Payez-le, murmura Elspeth à Courteson.

Les danseurs quittaient peu à peu la salle pour être sur de ne pas payer. Albus se rapprocha de son ancienne élève.

-Vous voyez, madame, la simple mention de payer les fait fuir. Personne…

-Pardon, l'interpella Courteson. Mais cent gallions, je trouve que c'est lui faire offense, c'est bien trop peu, je vais…

Elspeth lui attrapa violemment le bras.

-Essayez un peu !

Elle l'entraina dehors à sa suite. Seuls restaient Albus et Minerva, qui d'ailleurs lui tournait le dos. Il posa sa main sur son épaule.

-Nous sommes seul, maintenant. M'accorderez-vous cette danse ?

Elle se dégagea.

-Certes non.

-Pourtant, vous m'aviez choisie.

-Je ne veux plus.

Elle ne le regardait toujours pas.

-Entendez cette musique… Elle semble si douce, il ne faut pas qu'on la repousse.

Elle fit un pas en avant, s'éloignant de lui. Il sourit en faisant de même. Le sentant elle fit un pas sur le côté et il s'empressa de l'imiter, s'approchant jusqu'à ce qu'elle puisse le sentir dans son dos. Il passa son bras gauche autour de sa taille et lui prit la main droite dans la sienne.

-Non, je ne veux pas ! tenta-t-elle d'argumenter.

Il commença pourtant un pas de valse qu'elle suivit bien que lui tournant toujours le dos. Soudain d'un habile mouvement, il la retourna et la plaqua contre sa poitrine.

-Vous êtes un goujat ! Mais vous dansez très bien…

Il rit tandis qu'ils continuaient à valser.

Fin du premier Acte.