Titre : Je rêve d'être éternellement à tes côtés
Auteur : ImagineTwilight
Tous les personnages sont la propriété de Stephanie Meyer moi je ne fais que me marrer avec ^^.
Sur ce : Bonne LECTURE !
Chapitre 1 : Entretien avec un vampire.
Point de vue Bella :
Lactescente et meurtrie par le remord. C'est ainsi que je revenais de ma « balade » coutumière. Le soleil semblait se cacher dans les vallées pluvieuses de Forks. Charmante petite bourgade de l'état de Washington qui compte près de 3 120 habitants. C'est ici que j'ai emménagé. Deux. C'est le nombre de jours, que ma famille et moi sommes là.
Tous se réjouissaient de cette nouvelle expérience. Tous à une exception, moi. Volterra me manquait. La paix ainsi que la tranquillité qui y régnait me manquait, bien que le soleil m'empêche certains divertissements j'avais trouvé une certaine… stabilité. Si je puis dire.
La seule penser qui me consolait, fut la séparation avec les Volturi et en particulier avec Alec. Je devais avouer qu'en près de deux cent ans d'existence, j'appréciai avec ferveur les joies de la solitude. Bien que contradictoire avec mon état. De plus la pression incessante qu'exerçaient les Volturi, sur mon frère Jasper et moi, avait posé en quelques sortes, notre famille à un exil.
Nos dons étaient devenues au fil du temps, des malédictions, qui nous rappelait quelles sortent de monstres nous sommes. A chacune de ses penser, je fermais instinctivement les yeux en espèrent entendre de nouveau mon cœur battre. Ceci voudrait dire que je suis périssable. Ceci voudrait dire que je pourrai vivre.
Mais aucun aboutissement concret.
Toujours cette douleur fulgurante que je m'inflige comme une nouvelle addiction. Une pénitence éternelle qui me tua lentement mais surement. J'en crève de ne pouvoir mourir.
C'est sans doute pour cette raison que ma haine envers les humains était nourrit. Pourtant végétarienne, je leur vouais une animosité sans borne. A les entendre se plaindre de leurs fragiles petites vies. Pourtant si facile. Un flingue, un couteau, un morceau de verre… Je les envies…
A chaque pensée qui me traversait l'esprit, j'espérai, sans cesse, sans répit, que celle-ci provienne d'une part d'humanité qui me restait et non celle du monstre abjecte qui se délectait de l'effluve de sang qui coulait dans sa gorge.
A chaque pas qui foulait le sol, pour me mener à la villa de mes parents, je sentais la terreur se dégager de ma personne comme une onde envers les habitants du bois. C'est en soupirant, mains dans mes poches de jeans, que j'allai retrouver ma famille.
Je vis, adossé au mur de la villa, Jasper, mon frère, se tendre comme un arc en fixant le sol avec acharnement. Immédiatement, je passai ma main sur mes lèvres en remarquant les quelques goutes de sang de puma, loger dessus. D'un coup de langue, je les fis disparaitre en ressentant irrémédiablement, le venin brûler dans ma gorge, réclamant plus de cette ambroisie.
« Merci Bella »
Je m'adossai à ses côtés en savourant sa présence.
« Je t'en pris, mais j'aurai du faire plus attention, sa m'aurait évité de me servir de se bouclier » répondis-je en sortant mon paquet de clopes.
« Tu fume encore ? » Sa voix était pleine de reproche mais aussi désespérer.
« Tu as peur pour le cancer ? T'en fais pas, sa fait plus de cent ans que je fume ce n'est pas aujourd'hui que je vais avoir un problème de santé. » M'esclaffai-je en allumant la cigarette tout en protégeant la flamme du briquer avec ma main de libre.
« Tu sais bien qu'Esmée n'apprécie pas que tu fume. »
J'ôtai la clope de ma bouche, après avoir tiré un bouffer dessus.
« Ouais, je sais » soupirai-je tout en passant une main sur mon visage.
Je lâchai une bouffer de fumer en formant un « o » avec les lèvres de manière à obtenir de parfait cercles éphémères. Esmée. Cette femme, douce et aimante était l'une des choses que j'apprécie le plus dans ma vie. Elle qui osait rêve de constituer une famille avait réussit, en me prenant sous son ail ainsi que mes frères et ma sœur. Bien évidemment, aucun lien de sang ne nous unissait mais abstraction fait de cela, nous nous protégions mutuellement.
Je ramenai la cigarette à ma bouche pour le tenir au coin de mes lèvres tout en fixant Jasper.
« Pas trop nerveuse ? »
« Franchement ? »
Il acquiesça avec son air impassible.
« Pas me moins du monde » Rétorquai-je en affichant un sourire en coin. « Il n'y a pas de raison à être nerveux Jazz. On a fait sa des centaines de fois. C'est grisant les premières fois mais sa passe très vite. » Le rassurai-je.
« Je sais bien. Mais toi, tu as une capacité d'intégration parmi les humains plus aisé que la mienne.»
« Ton sevrage est encore difficile à gérer. Personnellement je commence à m'y faire. »
Il ria doucement en regardant droit devant lui.
« J'espère pour toi Bella. Depuis 1900, sa devrais être contrôlable. »
« Ouais… »
« Tu y pense encore ? » Murmura t-il. Je me rendais bien compte qu'il choisissait avec précaution ses moindres mots pour ne pas me froisser.
« Comme toujours. En même temps, difficile d'oublier, tu ne pense pas ? » Il fronça les sourcils en tournant son regard vers moi et souria. « Jasper ne fait pas sa. » Soupirai-je irritée en tirant une nouvelle bouffé.
« Ne fais pas quoi ? »
« M'envoyer tes ondes. Tu sais parfaitement que j'ai horreur de ça. »
« Désoler. Mais je n'aime pas te voir dans cet état. Te voir erré seule, pour compagnie le silence. Tu vas finir par devenir folle Bella.»
« Je vais parfaitement bien ! Et puis je ne suis pas la seule à être une célibataire endurcie. T'es plutôt pas mal dans ton genre aussi. »
« Tu sais bien qu'avec Maria, c'était compliquer ».
Je me mordis la lèvre inférieure. Oui c'est vrai qu'avec Maria, Jasper fut déstabilisé. Ce monstre qui avait transformé cet homme dévoué à son pays et à l'autre en cet être assoiffé de sang. Il était resté ensemble avec les sœurs de Maria afin de créer une armée de nouveau né. Lui, était fou amoureux de cette femme, au point de massacrer un village pour ses beaux yeux.
Contrairement à elle, qui le manipulait comme un vulgaire pantin afin d'arriver à ses fins. Ce ne fut que lorsqu'il rencontra Esmée et Carliste qu'il avait prit conscience de la situation. Ce fut aussi la première fois que je me battais contre une personne de mon espèce.
Une fois adopté, Jasper et moi nous sommes liées très rapidement par le même point commun : le meurtre. Le carnage et le plaisir qu'il nous prodiguait. Depuis 1900, nous nous soutenons contre ses cacophonies qui nous scies la tête, contre ses visages marquer par la terreur, contre ses cries stridents annoncent notre délectation au sadisme. Ensemble, le sevrage devenait plus accessible.
« Carlisle m'a annoncé que nous serions seulement tout les deux à intégrer le lycée de Forks ».
« Sa m'aurait étonnée que Rosalie et Emmett daigne sacrifier une année avec nous. »
« Tu connais Rosalie, elle ne veut pas refaire la terminale. »
« Et Emmett la suit comme son ombres. Ils vont donc étudier à Dammonth. » Déduisai-je en pensant à ses deux là. Le parfait cliché.
« En même temps, ce n'est pas plus mal. On aurait moins de chance à subir un faux pas. »
« Oui se serra plus simple… »
J'écrasai ma cigarette au sol à l'aide de mon pied en souriant. Je voyais déjà d'ici le tableau. Les nouveaux. L'étiquette que nous portions à chacun de nos transfère. Les parias du lycée. Sans aucunes attaches à leurs camarades et aux inexorables connaissances.
Connaissant l'état d'esprit des adolescents de cette époque, l'hypothèse de l'inceste entre Jasper et moi, serait inévitable. Raison de plus de ne se lié avec aucun humain. Ils sont beaucoup trop insipides et fourbe pour leur faire confiance.
Moi, Isabella Marie Cullen, née en 1814, morte assassinée en 1831 allait devoir, une fois de plus, endosser le rôle de la chose don j'avais le plus de dégout : l'être humain.
Salut ! Et oui je n'ai pas pu m'empêcher d'écrire une autre fiction. Enfin de débuté : D alors ? Votre avis ? Je dois dire comme toujours : je suis stresser de poster : D Je vais faire comme Alicee m'a conseiller : c'est-à-dire écrire plusieurs chapitre en avance ) aller je vais écrire la suite ^^.
