Amis du jour bonjour^^

J'ai le très grand honneur de vous présenter le chapitre un corrigé par l'une de mes deux bêta du nom de Nimpossible97 dont je remercie infiniment

Sur ce je vous laisse découvrir ce chapitre corrigé, bonne lecture a tous !

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Le jour où tout avait basculé

Dans une large et vaste forêt verdoyante, aux arbres immenses, assis aux côté d'une rivière calme, se trouvait un jeune homme qui regardait paisiblement un lac, dont le ruissèlement de l'eau apportait bien être et réconfort à ce garçon, qui était assis sur l'herbe fraîche et humide de ce matin. Ce jeune homme avait la peau blanche porcelaine avec des cheveux blond platine et des yeux de couleur gris métallique. Ce jeune homme regardait tranquillement sans ciller la rivière. Son visage était digne d'un ange tant sa beauté était sublime. En cet instant notre jeune Drago Malfoy pensait encore une fois de plus aux moments où sa vie et celle de sa famille avait basculé.

A présent lui et sa famille se trouvaient dans le camp où ils avaient méprisé et cruellement rabaissé pendant tant d'années.

Drago n'avait jamais pensé un seul jour de son existence, qu'un jour il aurait rejoint le camp de Saint Potter, mais le destin en avait décidé autrement. Car au moment où Potter devait affronter le terrible Seigneur Noir, sa majesté Potter n'avait point réussi à le tuer.

A cet instant pendant que Drago regardait la rivière, un Elfe de Maison du nom de Kitty qui ne portait qu'un bout de tissus gris foncé qui avait vécue des jours meilleurs fit son apparition. Elle avait des yeux globuleux verts de la taille d'une balle de tennis. Elle dit à son jeune maître que la maîtresse l'attendait la où résidait à présent la famille Malfoy.

- Que veux-tu Kitty, demanda Drago d'un air ennuyé.

- La maîtresse désire vous parler, dit l'Elfe de Maison en s'inclinant face contre terre.

- Bien, j'arrive, dit Drago en se levant.

- Bien maître je vais en informé maîtresse, dit l'Elfe en transplanant.

Puis Drago retourna au camp, qui contenait plusieurs personnes, dont beaucoup de
sang-de-bourbes et de sang mêlés, mais Drago avait réussi à passer outre ces préjugés outrageants, et maintenant le Prince des Serpentard n'avait cure du statut de sang des personnes.

Une fois arrivé devant l'entrée du petit village, gardé par deux sorcier, Drago passa devant eux, salua chacun d'un signe de tête, puis continua son chemin pour aller voir sa mère qui l'attendait dans leurs modeste maison, enfin si on pouvait appeler cela une maison, se disait amèrement le jeune blond.

Car toute personne qui vivait dans ce village vivait dans les arbres, dans des sortes de cabanes en bois, d'ou les gens pouvaient monter dans leurs modeste demeure grâce a un système pratique, qu'avait inventé ces sorciers, pour avoir de quoi loger, pendant les nuits horriblement froides et humides.

Drago marchait tranquillement dans le village à présent, il voyait des jeunes enfants qui s'amusaient avec des balais pour jeunes sorciers, chacun avait son propre balai et ils faisaient des concours pour savoir lequel allait le plus vite, Drago ne pouvait s'empêcher de penser que ces jeunes enfants allaient grandir dans un monde où tous, sang-de-bourbes et sang mêlés qu'ils étaient, allaient être chassé et tués a cause de leurs sang "impurs" selon le Lord Noir.

Puis il arriva enfin à sa propre maison et transplana à l'intérieur. Assis sur un fauteuil, sa mère, Narcissa attendait l'arrivé de son fils.

- Ah, te voila toi! Tu sais que je t'ai fait chercher dans tout le camp, interrogea sa mère d'un air inquiet.

- Je suis désolé mère si vous vous êtes inquiétée, j'étais au bord de la rivière pour...

Mais sa mère finit sa phrase à sa place

- Pour te changer les idées, oui je sais, dit sa mère d'une voix triste. Drago regarda sa mère d'un air désolé avec des yeux de chien battu, puis s'en approcha, lui pris la main et dit...

- Je suis désolé de te causer autant de soucis, mère, dit-il d'une voix morne.

- Tu n'as pas à l'être Drago, je comprends ce que tu ressens, se retrouver parmi des gens, dans un endroit où tu a passé de mauvais moments, sa ne dois pas être une chose facile a gérer, dit Narcissa.

- Non en effet, dit le jeune blond.

Narcissa regarda son fils avec un regard interrogatif, puis osa dire:

- Pourquoi tu n'irais pas parlé avec des autres jeunes de ton âge, mon fils, questionna Narcissa avec une voix plus joyeuse d'un coup.

Drago regarda sa mère avec un air déconcerté, ses yeux gris bleu reflétaient de l'incompréhension.

- Comment le pourrais-je, mère, questionna l'adolescent. Narcissa s'était attendue à cette réponse.

- Hé bien en commençant à se rapprocher d'eux déjà, cela serait bien tu ne trouves pas, car comment pourrais tu te rapprocher d'eux si tu passes ton temps près de la rivière, répondit sa mère.

- Ils se méfient tous de moi, ils pensent que je suis un espion, comment pourrais-je me rapprochaient d'eux s'ils pensent cela, demanda-t-il.

Narcissa était inquiète pour son fils, elle voyait bien Drago s'éloigner des autres adolescents, elle aurait aimé que son fils passe ces jours avec des jeunes de son âge.

- Tu dois leur faire voire, qu'ils se trompent, que notre famille n'appartient plus aux ténèbres, dit-elle.

- Je n'ai ni le besoin ni l'envie d'essayer, mère, dit il.

A ce moment-la, Narcissa commença à perdre espoir, elle devait en parlé à la seule personne qui pouvait convaincre Drago de changer d'attitude, et cette unique personne n'était autre que son parrain, Severus Snape.

- Tu devrais aller voir Severus dans ce cas, si tu ne désires pas en parler avec moi, dit sa mère d'un air triste. Drago n'aimait pas rendre triste sa mère, mais comment par Merlin parviendrait-il à lui faire comprendre qu'il n'avait nul besoin de la compagnie des autres adolescents.

- Je ne pense pas que Severus veuille m'aider, répliqua aussitôt le blond avec un doute dans la voix.

- Hé bien moi je lui en parlerais se soir qu'en dit tu, demandas-t-elle d'une voix allègre. Drago pris un air faussement déçu, car il aimait beaucoup son parrain : tout l'amour qu'il ne pouvait porter a son père, Lucius, était reporté a Severus.

- Fais comme il te plaira, dit aussitôt Drago tout souriant.

- Bien c'est décidé alors, se soir nous en parleront avec lui, dit-elle avec les yeux pétillants de joie.

Drago voulait bien voir son parrain ce soir, car il ne le voyait plus beaucoup ces temps ci, car depuis que lui et sa mère se trouvaient dans ce camp traumatisant, Severus n'avait pas le temps pour rester a leurs côtés. Etant un homme important de l'ordre du phénix, il n'avait guère le temps de se retrouver tous les trois ensembles. Avec tout le travail dont il disposait, avec potions et missions pour l'ordre, il ne pouvait se permettre de papoter avec Narcissa et Drago.

Au même instant dans une cabane ou se déroulait une réunion importante pour l'ordre du phénix, se trouvaient dans cette pièce Severus Snape, Minerva McGonnagall, Remus Lupin, Arthur Weasley accompagné de sa femme Molly Weasley avec leurs fils Bill et Charlie ainsi que les jumeaux Fred et George, Nymphadora Tonks, Rubéus Hagrid, se trouvait également les professeurs Fillius Flitwick professeur de Sortilège, Pomona Chourave professeur de Botanique et Sinistra Aurora professeur d'astronomie, ainsi que l'auror Kingsley Shacklebolt.

Tous se regardèrent dans les yeux, car tous devaient trouver une façon pour éliminer le Seigneur des Ténèbres.

- Nous ne pouvons rester cachés...

...indéfiniment dans ce camp, dirent les jumeaux qui n'en pouvaient plus de rester cachés plus longtemps dans cette forêt.

- Si vous désirez vivre des aventures au péril de votre vie, je ne vous retiens pas, répondit le Maître des Potions avec sa voix tranchante.

- Severus, comment osez vous leurs répondre cela? Vous savez très bien, comme moi, que ces jeunes garçons sont imprévisible et immatures, ils n'ont pas besoin d'encouragements, rétorqua Minerva avec un air effrayé.

- Alors que leurs suggérez vous, Minerva, questionna Severus avec son habituel rictus méprisant.

- Je vous demande de resté dans le camp messieurs Weasley, vous ne pouvez partir ainsi du camp qui est pour le moment en sécurité, reprit le professeur McGonagall.

Les deux frères se regardèrent un air espiègle, puis répondirent en cœur :

- nous souhaitons aider du mieux que nous le pouvons, vous le savez bien, vous pourriez nous donner des missions, dirent-t-ils ensemble.

A cet instant Arthur et Molly Weasley, qui, jusqu'à présent, n'avaient pas dit un seul mot, prirent la parole.

- C'est hors de question, vous m'entendez, commença Madame Weasley d'un air menaçant.

- Oui je vous interdis de sortir de ce camps, et c'est un ordre vous entendez, dit Monsieur Weasley.

- Oui papa, dirent les jumeaux d'un air blasé.

- Alors qui aurait un plan pour détruire Vous-Savez-Qui, demanda Nymphadora Tonks.

- Les choses ne sont pas si simple, Tonks, dit son mari Remus Lupin d'une voix faible, car la pleine lune approchait a grand pas.

- Mais nous devons trouver vite une solution, dit celle-ci.

- Miss Tonks, le jour ou un Gryffondor trouvera une solution rapide et efficace, faites moi signe, rétorqua Severus Snape avec un rictus mauvais sur ses lèvres fine.

- Ne commence pas, Severus, nous ne somme pas ici pour nous diviser, répondit le loup- garou.

- Alors toi écoutes-moi bien, le Lycanthrope, saches que je ne suis pas ici pour m'amuser, et que tu n'as pas à me faire la morale, dit Severus avec une voix fracassante.

- Assez, coupa le professeur McGonagall.

- Nous ne sommes pas tous ici de bon cœur, sachez le, dit-elle d'une voix ferme.

- Et nous sommes ici pour nous cacher des Mangemorts et du Seigneur des Ténèbres, afin de trouver une solution à ce problème, dit-elle, inflexible.

- Bien pour le moment je suggère d'écourter cette réunion et de la remettre à demain, proposa Kingsley Shacklebolt avec fermeté.

- Oui, je suis du même avis, dit Minerva.

- Demain sans faute, nous devrons trouver une solution qui soit efficace pour capturer quelque Mangemorts, afin de leurs extraire des informations capitales pour notre camp, dit Severus doucereusement.

- Oui, reposez-vous tous bien d'ici la, conseilla Minerva McGonagall.

- Oui Teddy doit nous réclamer Remus, allons le rejoindre je suis sure qu'il sera content de voir son Papa, dit-elle. Ses yeux pétillaient, à présent.

- Oui tu dois avoir raison, allons-y, dit Remus. Le reste des personnes présentes se levèrent et partir, seul Minerva McGonagall et Severus Snape restèrent dans la pièce.

- Nous devons vite trouver une solution, Minerva, nous ne pouvons rester, ainsi vous le savez, dit le Maître des Potions avec fatigue dans la voix.

- Je le sais bien, Severus, mais nous ne pouvons rien faire pour le moment, répondit-elle tristement

- Les sorts qui protègent le camp ne tiendront pas longtemps, nous devons faire face à ce problème et vite, dit-il las. Minerva le regarda et inclina faiblement la tête pour confirmer ses dires.

- Pour l'instant, allons nous reposer, proposa la directrice des lions.

- Comme vous voudrez, mais un jour ou l'autre, nous devrons leur annoncer cette nouvelle, dit-il.

- Oui mais pour l'instant, il n'est pas nécessaire de leur donner plus d'inquiétude, répondit-elle.

- Faites comme bon vous semble, Minerva, vous êtes bien le chef de l'ordre à présent, vous pouvez faire comme ce que vous voulez, dit Severus d'une voix morne.

Puis il partit pour se retrouver dans la cabane de Narcissa. Cela faisait quelques heures qu'il n'avait pas revu la blonde. Il voulait avoir de la bonne compagnie et se détendre un peu, avant de confronter une autre nuit blanche à confectionner des Potions et de se retrouver a la réunion du lendemain avec ces Gryffondor naïfs et incapables.

Au même instant dans le camp, dans la cabane des Weasley, se trouvaient dans une chambre l'élu et ses deux meilleurs amis, Ron Weasley et Hermione Granger alias Miss-Je-Sais-Tout, surnom donné amicalement par Severus Snape.

Se trouvait également dans cette pièce la belle rousse, Ginny Weasley, la petite amie du célèbre Harry Potter.

Ces Gryffondors se demandaient comment l'élu pourrait vaincre le Seigneur des Ténèbres, car pendant la septième année, au moment ou Voldemort avait détruit les sorts de protection puissants de Poudlard, le Lord Noir et Harry s'étaient affrontés. Harry n'avait réussi à tuer son adversaire. Au lieu de tuer le lord, il l'avait bien assommé d'un sortilège puissant, mais le survivant s'était retrouvé bien vite épuisé par celui-ci et s'était évanoui, comme son adversaire.

Dès lors, l'ordre du phénix avait battu en retraite, car ils ne pouvaient faire face à tous les Mangemorts présent dans Poudlard. D'une voix faible Harry prit la parole:

- Vous pensez qu'un jour je parviendrais à tuer Vous-Save-Qui ? demanda l'élu.

Ron et Hermione se regardèrent puis dirent en même temps :

- Bien sur Harry!

- Moi, je ne sais pas, nous avons détruits tous les horcruxes et je n'ai pas réussir a le tuer, dit-il en baissant les yeux sur le sol.

- Ne t'en fait pas, Maintenant il suffit juste que tu lui envoie un bon avada et le tour et joué mon pote, dit Ron calmement.

- Oui le plus difficile a été fait Harry, nous devons juste trouver le bon moment pour piéger et tuer le Seigneur des Ténèbres, dit Hermione en regardant L'élu, qui avait la tête baissé.

C'est alors que Ginny s'approcha du Gryffondor, lui prit les mains et lui dit :

- Harry, regarde-moi s'il te plaît!

Harry rencontra le regard de sa belle rousse, et fut heureux de voir tout l'amour qui se trouvait dans ces yeux magnifique.

- Je t'aime et tu parviendras à nous débarrasser de ce monstre, dit-elle. Harry la rapprocha de lui et l'embrassa avec tendresse.

- Nous allons vous laissez, dit Hermione qui rougissait en voyant son meilleur ami, qui embrassait tendrement la jeune femme rousse qu'il aimait. Hermione sortit de la chambre suivie d'un Ron blême, qui n'aimait pas voir sa petite sœur bécoter son meilleur ami devant lui-même. C'est ainsi qu'Hermione et Ron s'étaient retrouvés dans la cuisine de leur cabane qui avait due être agrandie, pour les besoins de la famille Weasley.

Puis au bout de cinq bonne minutes d'échange de salive et de langue, Harry et Ginny arrêtèrent de s'embrasser a pleine bouche, pour se retrouver front contre front. En enlaçant affectueusement sa dulcinée, Harry parla d'une voix plus joyeuse qu'auparavant.

- Ginny je t'aime, je ne sais pas ce que je deviendrais sans toi, déclara le brun aux yeux vert. Ginny rit et attira le brun vers elle à nouveau.

-Je sais, je suis irrésistible, dit elle en embrassant à nouveau son petit copain, avec ardeur cette fois-ci. Puis Ginny s'arrêta d'embrassé l'élu de son cœur et dit.

- Harry tu le crois toi, que Drago Malfoy et sa mère soit de notre côté ?

- Oui, car Snape affirme qu'ils sont de notre côté, dit-t-il.

Ginny était tout de même suspicieuse, car elle se méfiait de cette famille, les Malfoy et les Weasley étant connue pour être ennemies

- Tu sais Ginny, si les Malfoy étaient du côté de Voldemort, la mère de Drago aurait annoncé le soir de la bataille de Poudlard, que j'étais vivant et non mort, comme elle l'a fait croire à son Maître dans la forêt interdite quand celui-ci le lui a demandé, déclara le brun aux yeux vert.

- Oui tu dois avoir raison, je suppose, dit-elle suspicieuse.

- Mais je ne comprends pas pourquoi le Prince des Serpentard ne passe pas les journées avec nous dans le camp, dit-elle.

- Je ne sais pas pourquoi Malfoy nous évite, j'en parlerais avec Remus demain après midi,
dit-il.

- Oui tu ferais bien d'allé en parlé avec Remus, parce que les autres dans le camp pense que les Malfoy jouent un double jeu, dit la rousse.

Et c'est ainsi que le jeune couple descendit dans la cuisine, main dans la main heureux d'être présent l'un pour l'autre et amoureux.

En cette fin de soirée Severus se retrouva dans la cabane de Narcissa, il entendit du bruit venant de la chambre de cette belle femme, alors il appela la mère de Drago par son prénom.

- Narcissa est-tu la ? demanda le professeur ténébreux.

- Oui j'arrive, une seconde, cria la belle blonde a travers la porte de sa chambre. Une minute plus tard, une Narcissa détendue et sublime, avec ces cheveux détachés, faisait son apparition dans la petite pièce qui faisait office de salon dans la petite cabane.

- Enfin, tu nous honore de ta présence, ricana-t-elle.

- Je n'ai pas beaucoup de temps pour me distraire, tu le sais bien répliqua-t-il avec une pointe d'amertume dans sa voix.

- Oui, je le sais bien, confirma-t-elle. Je suis contente que tu sois venue ce soir car je voulais te parler, c'est au sujet de Drago

- Que se passe-t-il avec Drago ? s'inquiéta-t-il.

Narcissa sourit intérieurement : Malgré ses airs de professeur mal léché, Severus aimait Drago comme son propre fils.

- Il passe ses journées tout seul, s'isole du camp et des adolescents de son âge, dit Narcissa la voix inquiète a nouveau.

- dans ce cas, une conversation s'impose, dit le Maître des Potions.

- Oui j'aimerais que tu aille lui parler et le raisonner, pour l'amour de Merlin! Il doit apprendre à se faire des amis, autre que les Serpentard qu'il avait à Poudlard, et a surmonter l'épreuve qu'il subit! Je sais qu'avec toi, ce sera plus facile de lui faire entendre raison, dit la blonde.

- Je l'espère, soupira Severus.

Narcissa était triste et désemparée face a la situation précaire dans laquelle elle son fils Drago se trouvaient, car la belle aristocrate avait laissé tomber son époux lors de la bataille sanglante qui avait fais rage dans l'école de Sorcellerie Poudlard.

Narcissa aimait son époux Lucius, mais ce dernier la délaissait pour accomplir les missions que lui donnait le Maître à son époux. Ainsi Narcissa avait demandé à Severus d'apporter à l'ordre du phénix la requête que son fils ait la vie sauve, en échange d'informations.

Quand Severus avait appris à l'époque, que la grande et belle Narcissa désirait se ranger du côté de la lumière, il était resté sans voix, chose rare pour le Maître des Potions. Ainsi depuis la nuit ou Narcissa lui avait demandé de passer un serment inviolable pour protéger son unique enfant, Severus et Narcissa s'était rapproché bien plus qu'il ne l'aurait imaginé.

C'est ainsi que lorsque Severus entra dans la chambre de son protégé, il oublia les moments difficiles de cette année. Severus entra dans la chambre de Drago et vit que celui-ci lisez un livre ancien en cuir relié, dont le titre était écrit en lettre dorés.

- Bonsoir, souffla-t-il.

Drago parût surprit, se redressa puis sourit a son parrain.

- Bonsoir Severus, salua le blond.

- Que lisais-tu ? Questionna son parrain.

- Un livre très intéressant, répondit le blond radieux de voir que son parrain était venu passer un moment avec eux cette nuit.

- Je n'en doute pas, répondit l'homme ténébreux en s'approchant de son filleul, en s'asseyant sur le lit du blond.

- Pourrais-je voir ce livre ? demanda Severus.

- Bien sur, répondit Drago. Severus prit le livre que lui tendait son filleul blond, et Severus vit avec stupéfaction que ce livre était rare est unique, il regarda le livre puis Drago, et annonça.

- Ou a tu trouvais ce livre? demanda le professeur de Potions, surpris.

- Mon père me l'avait offert, en disant que chaque membre de la famille Malfoy devrait le lire à tout prix et ne devrait surtout pas le perdre, pourquoi Severus qu'y a-t-il ? Questionna Drago.

Severus ne savait pas comment la famille Malfoy avait obtenue ce livre rarissime, mais il se reprit bien vite, car les Malfoy étaient les mieux placés pour avoir ce genre de livre rare, étant donné qu'ils étaient une famille de sang pur depuis fort longtemps.

- Ce livre n'a qu'un exemplaire dans le monde Magique, Drago sais-tu cela ? demanda son parrain tout excitée a présent en voyant ce livre rare entre ces mains.

- Non je l'ignorais, répondit le blond.

Severus se dit qu'après tout, il avait bien eue de la chance aujourd'hui. En début de journée il avait dû être obligé de supporté ces imbéciles de Gryffondor tout au long de la journée, surtout pendant la réunion désastreuse qu'il avait dû obligatoirement supporter, mais tout compte fait cette fin de soirée s'annonçait fructueuse avec la découverte de ce livre, qui parle des Neuf Mondes.

Severus dit à haute voix...

- Les Neuf Mondes… sa voix était émerveillée de pouvoir tenir ce livre extraordinaire et fort intéressant, demain a la prochaine réunion il aurait un argument de choc, avec ce livre fort intéressant pour leurs avenir et pour les aider face au puissant Seigneur des Ténèbres.

Severus imaginé déjà les têtes que feraient ces collègues en voyant avec lui, le livre qui pourrait leurs apporter une aide inespérée, dans ces temps troublés.

C'est avec une voix radieuse et neutre que Severus dit a son filleul :

- Drago, je crois que nous avons la un élément de choc, qui va rendre muets ces bons a rien de Gryffondor, ricana Severus.

Drago lui était ravie d'avoir pour une fois d'avoir le pouvoir de rabattre le caquet à ces Gryffondor stupides.

- Je suis heureux, de t'entendre dire cela, je vais pouvoir enfin m'amuser un peu avec ces lions fainéants, répondit le jeune aristocrate blond avec un sourire béat sur son visage.

- Demain promet d'être un grand jour, dit le Maître des Potions.

Drago rit ouvertement et dit...

- Oui j'ai hâte d'y être, ricana le blond aux yeux gris.

Et c'est ainsi que le lendemain, les braves et courageux Gryffondor allaient être bouleversés par cette découverte grandiose qui allait changer leurs vies.

Et ils devraient alors prouver leurs bravoures et leurs courages qui caractérisait tant la maison a laquelle ils appartenaient, la célèbre Maison de Godric Gryffondor.

A suivre …

Alors comment avez-vous trouvez ce premier chapitre corrigé par l'une de mes deux bêta^^

Je compte sur vous, pour me donne vos impressions