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Note de l'auteur : Ceci est pour elyon, qui m'a tant fait rire avec ses « Télégrammes de Baker Street » ! Ici, c'est le même principe : c'est une parodie de Sherlock (BBC) en petits sketchs. Quand il y a juste le nom des protagonistes, ce sont des mails. Quand il est inscrit « De... à... », il s'agit de textos de portable. En espérant vous faire rire...

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L'IMITATEUR

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Science de la déduction (SH) : Bravo : deux parlementaires assassinés en vingt-quatre heures. Je vous tire mon chapeau.

Moriarty : Vous vous sentez bien, Holmes ?

Science de la déduction : Oh, allez, faites pas l'innocent ! Surtout quand vous signez vos forfaits sur le lieu du crime !

Moriarty : Je suis très flatté que vous pensiez à moi, mais je vous assure que je n'ai pas planifié le meurtre d'un parlementaire ces derniers temps !

Science de la déduction : Quoi ? Mais les cadavres avaient chacun un message signé « Moriarty » épinglé sur la poitrine ?

Moriarty : Eh bien, vous avez intérêt à demander au bon docteur Watson d'examiner votre flair de détective. Parce que là, vous vous trompez sur toute la ligne.

Science de la déduction : Attendez, ils avaient tous les deux le crâne explosé par une balle de fusil à longue distance ! C'est du Moriarty tout craché, ça !

Moriarty : Mais puisque je vous dis que c'est pas moi ! Pour une fois... Enfin, réfléchissez deux secondes : pourquoi je signerais mes méfaits pour vous dire ensuite que ce n'était pas moi ?

Science de la déduction : Peut-être que vous voulez me mettre sur une fausse piste. Me faire croire que c'est un imitateur alors qu'en fait c'est bien vous qui les avez tués. Ainsi, vous seriez insoupçonnable, pas vrai ?

Moriarty : ... Sérieusement, demandez à Johnny-boy de vous faire une consultation gratuite, vous commencez vraiment à me faire peur...

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ROU, ROU...

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John : Ai encore reçu un texto de ton frère. Dis lui d'arrêter de me harceler, ou je change de portable !

Sherlock : Qu'est-ce qu'il te veut ? Non pas que ça m'intéresse, bien sûr.

John : Il me dit de te convaincre de ne pas travailler sur l'affaire du lapin-vampire de Tanzanie... A propos, c'est quoi, cette affaire débile ?

Sherlock : Réponds lui que je suis un travailleur indépendant, et que le temps où il pouvait me foutre des baffes pour que je lui obéisse est terminé depuis belle lurette.

John : Y a pas marqué « La Poste » sur mon front, si ?

Sherlock : Non, juste « pigeon ».

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L'ESPION QUI ME HACKAIT...

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Anderson : Alors, on se voit, ce soir ?

Donovan : Ta femme n'est pas encore rentrée ?

Anderson : Non, son avion est bloqué à l'aéroport !

Donovan : Le malheur des uns fait le bonheur des autres, comme on dit... Bon, rendez-vous ce soir après le boulot, alors !

Anderson : Génial ! J'ai hâte... Et cette fois, je ferai gaffe au parfum, et tout !

Donovan : Tu fais bien. J'ai pas envie que demain, l'autre taré nous démontre encore par a plus b qu'on était dans telle ou telle position... Oups ! Deux secondes, je reçois un autre message dans ma boîte mail...

Sherlock (à Donovan) : Vous pouvez prendre toutes les précautions que vous voudrez, mais tant que vous ne vous rendrez pas compte que ça fait deux mois que j'ai hacké vos ordinateurs, vos efforts seront vains. Passez une bonne nuit !

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MR. BEANS.

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De Lestrade à John : Dites, vous savez où est Sherlock ? J'arrive pas à le joindre.

De John à Lestrade : En tout cas, il n'est pas au 221B. Et s'il y remet les pieds dans moins d'une heure, c'est moi qui m'en vais !

De Lestrade à John : Vous vous êtes encore disputés ?

De John à Lestrade : J'ai pas envie d'en parler, d'accord ? Bon, je vais demander à Mycroft s'il sait quelque chose, mais faudra pas trop compter là-dessus...

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De John à Mycroft : Votre cadet est introuvable et ne répond pas au téléphone. Une idée ?

De Mycroft à John : Une bouteille de champagne français, et on porte un toast !

De John à Mycroft : Non, je voulais dire... Vous avez une idée de l'endroit où il a pu aller ?

De Mycroft à John : C'est pas parce que je travaille au MI6 que je traque mon frère vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Je ne suis pas un GPS.

De John à Mycroft : Vous êtes quand même gonflé... Quand vous m'avez « enlevé », c'était pas pour surveiller Sherlock ? Y a pas pire « frère-poule » que vous sur Terre !

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De John à Lestrade : Mycroft ne veut plus me répondre, je crois qu'il a très mal pris mon dernier texto. De toute façon, je crois qu'il ne sait pas non plus où est Sherlock.

De Lestrade à John : Ne vous fatiguez plus : je l'ai trouvé.

De John à Lestrade : Ah oui ? Il était où ?

De Lestrade à John : Au supermarché du coin. Il a acheté plus de trente boîtes de haricots, vous y comprenez quelque chose, vous ?

De John à Lestrade : ... Oh que oui. Avant qu'il ne quitte le 221B en claquant la porte, je lui ai dit qu'il n'était pas si intelligent que ça, puisque qu'il ne comprenait pas que quand je dis « faut racheter des haricots », ça veut dire « va acheter des haricots ».

De Lestrade à John : Ben, je vous rassure : vous n'aurez plus besoin de racheter des haricots avant plusieurs mois.

De John à Lestrade : Ce type est quand même d'une susceptibilité...

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LE TOMBEUR.

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Sherlock : John, cette fois, c'est définitif : tu vas me fermer cette saleté de blog illico presto !

John : Et pourquoi, je te prie ?

Sherlock : Parce que ton « blog » a trop de succès ! Figure-toi que certains de tes commentateurs ont écrit des histoires à la con sur nous deux ! Des « fanfictions », qu'ils appellent ça ! Je t'envoie un lien vers leurs torchons.

John : ... Ah quand même ! Y a même une fiction sur moi en train de... Hem... Bref, avec Moriarty.

Sherlock : Te plains pas : je me tape tout le monde, moi ! Moriarty, Lestrade, toi, Molly, Anderson et même Mrs. Hudson ! Manquerait plus que la Reine d'Angleterre, et j'aurais encore plus d'amants que Lady Diana !

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EN SLIP OU EN CALEÇON ?

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Sherlock : John ! Lestrade est parvenu à retrouver des vieilles photos de Moriarty adolescent ! Je t'envoie ça, c'est mythique !

John : Jamais vu un pyjama aussi hideux. Ca, c'est ce qu'on appelle des photos compromettantes ! Sa réputation dans le monde du crime risque d'en prendre un sacré coup !

Sherlock : Allez, je ne résiste pas à l'immense plaisir de le charrier !

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Science de la déduction (SH) : Mon cher, je viens de trouver ces superbes photos de votre adolescence ! Que vous êtes mignon, avec vos joues dodues et ce pyjama à carreaux bleus !

Moriarty : Si vous me trouvez mignon rien que dans ce vieux pyjama, qu'est ce que ça va être le jour où vous me verrez à poil...

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John : Alors ?

Sherlock : Alors je passe. Ce type a un trop bon sens de la répartie pour moi.

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MR. POPPINS.

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De Mycroft à John : Dites, vous avez vu ça ? Tous les commentateurs de votre blog me comparent à Mary Poppins depuis que vous m'avez décrit comme portant toujours un parapluie !

De John à Mycroft : Vous portez bien un parapluie en permanence, non ?

De Mycroft à John : Certes, mais là n'est pas la question. Ils m'appellent « Mycroft Poppins ». Vous ne voyez pas à quel point c'est ridicule ?

De John à Mycroft : Ben quoi, je trouve ça très mignon ! Et c'est un compliment : sachez que j'adore Mary Poppins.

De Mycroft à John : ... Gay.

De John à Mycroft : PARDON ?

De Mycroft à John : Non, oubliez ça, j'ai texté mes pensées...

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LE DÉTECTIVE AGONISANT.

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De Lestrade à John : J'ai appris que Sherlock s'était cassé le bras... Comment c'est arrivé ?

De John à Lestrade : Cet imbécile a voulu faire une expérience pour résoudre une affaire. Il a placé son bras dans une presse à imprimer et a activé la machine pour voir si elle était capable de lui briser l'os. Vous devinez le résultat.

De Lestrade à John : Aïe... Et il va bien ?

De John à Lestrade : Lui ? Oh, il va très bien ! C'est moi qui suis au bord de la névrose !

De Lestrade à John : Comment ça ?

De John à Lestrade : Vous vous souvenez de la fois où il m'ordonnait de lui donner son portable... qui se trouvait dans la poche de son veston ?

De Lestrade à John : Oui, eh bien ?

De John à Lestrade : Eh bien maintenant qu'il ne peut plus bouger le bras, c'est pire.

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LE DÉTECTIVE AGONISANT II.

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De Sherlock à John : J'ai soif.

De John à Sherlock : Eh bien, bois.

De Sherlock à John : Aurais-tu oublié que j'ai la jambe dans le plâtre et que je ne peux par conséquent pas me déplacer ?

De John à Sherlock : Vu la façon dont tu me harcèles pour que je satisfasse tous tes caprices, y a pas de risque que j'oublie !

De Sherlock à John : Un verre d'eau.

De John à Sherlock : Tu m'emmerdes ! Il est onze heures et demie passées, attends demain !

De Sherlock à John : Un verre d'eau.

De Sherlock à John : Un verre d'eau.

De Sherlock à John : Un verre d'eau.

De Sherlock à John : Un verre d'eau.

De John à Sherlock : Ca va, je vais te l'apporter, ton verre d'eau ! Tu me ficheras enfin la paix, après ça ?

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De Sherlock à John : John ?

De John à Sherlock : Ah non, hein ! Je viens de t'apporter de l'eau ! Maintenant, tu me laisses dormir tranquille !

De Sherlock à John : Mais tu as oublié de reprendre le verre avant de partir...

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EXCÈS D'ENTHOUSIASME.

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John : Sherlock, je suis si soulagé de savoir que tu vas bien ! J'étais mort d'inquiétude ! Quand Lestrade m'a dit que tu avais été enlevé par Moriarty, j'avais peur qu'il te torture, ou que sais-je encore !

Sherlock : Brillant.

John : Hein ?

Sherlock : Cet homme est tout simplement brillant. Les puzzles qu'il a soumis à mon cerveau étaient vraiment tordus, j'ai même cru que je ne parviendrais pas à les résoudre !

John : Ah...

Sherlock : Pour la première fois depuis des années, quelqu'un parvient à me proposer de vrais challenges que je ne résous pas en trente secondes ! C'est incroyable !

John : Si tu le dis...

Sherlock : Jamais vu un criminel aussi intelligent ! Ou même, jamais vu un homme aussi intelligent ! Enfin, à part moi. C'est une bénédiction !

John : Euh, Sherlock ?

Sherlock : Et il soigne ses entrées ! En fait, tout ce qu'il fait, il le planifie minutieusement, c'est du calculé sur mesure ! Il prévoit même des plans de rechange en cas d'événement imprévu ! Mais de toute façon, il parvient à tout prévoir...

John : Youhou ? Allô, la Lune ?

Sherlock : Un véritable génie, ce gars là. Imbattable et irrésistible.

John : Je crois que je vais aller me jeter dans la Tamise...

Sherlock : J'en suis encore soufflé ! Il nous avait encore bien caché son jeu !

John : Je plaisante pas, je vais vraiment le faire, là !

Sherlock : Si seulement il n'était pas criminel consultant... Je devrais peut-être lui proposer de devenir mon partenaire en tant que détective ?

John : J'ai trouvé une grosse pierre, ça pourra me servir de boulet...

Sherlock : En plus, avec sa prestance et son charme naturel, je suis sûr que les clients vont affluer !

John : A ton avis, à cette heure-ci, c'est marée haute ou marée basse ?

Sherlock : ... Pourquoi tu me demandes ça ?

John : T'as vraiment rien suivi de mes mails ? J'ai dit que j'allais me jeter dans la Tamise !

Sherlock : John, tu as toujours des réactions si excessives... Essaye d'être froid et logique, comme moi !

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PETAGE DE PLOMBS.

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Blog de John : Pour Sherlock, elle est la femme. Il la juge tellement supérieure à tout son sexe, qu'il ne l'appelle presque jamais par son nom. Avec sa voix suave qui montait parfois dans les aigus, ce mouvement des hanches et cette séduction qui émanait de sa personne... Oui, Jim Moriarty est et restera la femme.

J'avoue, c'est une blague : je voulais juste me moquer de Sherlock, pour avoir dit que les femmes n'étaient pas son rayon, et de Moriarty pour m'avoir appelé « chien-chien ». Que mes lecteurs m'excusent...

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Un commentaire : J'ai beau détester me salir les mains et me montrer grossier, je ne dirai que ceci : BOUGE PAS, CHIEN-CHIEN, JE M'EN VAIS TE PETER LA GUEULE !

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'IT'S A DRUG BUST!'

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De Lestrade à Sherlock : Non, Sherlock, je suis désolé mais là, je ne peux rien faire. T'avais qu'à ne pas te faire chopper.

De Sherlock à Lestrade : C'était même pas pour ma consommation personnelle ! C'est un de mes mouchards qui a volé ces sachets chez mon suspect, et je voulais les analyser dans mon appartement ! Je comptais les déposer au Yard après, je le jure !

De Lestrade à Sherlock : La belle excuse... Surtout compte tenu de tes antécédents...

De Sherlock à Lestrade : Je-suis-clean ! Ce qui n'est pas le cas de Mrs. Hudson avec ses plantes soi-disant pour calmer ses douleurs à la hanche...

De Lestrade à Sherlock : Sherlock, n'aggrave pas ton cas : je déteste les balances !

De Sherlock à Lestrade : Dans ce cas, je suppose que vous n'apprécieriez pas que je parle à votre Superintendant de vos problèmes d'alcool ?

De Lestrade à Sherlock : ¤£/#*$ !

De Sherlock à Lestrade : Vous énervez pas, je vais retourner le voir pour lui dire qu'en fait, c'était une fausse rumeur...

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PSYCHOLOGIE DE COMPTOIR.

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(inspiré par un extrait du film "Dead Bodies" avec Andrew Scott)

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Moriarty : Sherlock, si tu devais être un héros, tu serais plutôt qui : Batman, Zorro ou Spiderman ?

Science de la déduction : Ca vous prend vraiment comme une envie de pisser, ou quoi ? Et arrêtez de me tutoyer, on n'a pas gardé les cochons ensemble.

Moriarty : Vous, vous utilisez vos méthodes de déductions pour comprendre les gens, moi, j'utilise la psychologie. Alors, je répète : Batman, Zorro ou Spiderman ?

Science de la déduction : Qu'est-ce qu'il faut pas entendre... Batman.

Moriarty : Hum... Batman... Ténébreux, torturé et secret. Je m'y attendais.

Science de la déduction : Vous n'y êtes pas du tout. C'est surtout qu'il n'a plus de famille pour l'enquiquiner, ce veinard.

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LE TRAÎTRE.

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De Lestrade à Sherlock : Qu'est ce que j'apprends, Sherlock ? Tu corresponds avec Moriarty ?

De Sherlock à Lestrade : Ben, oui, pourquoi ?

De Lestrade à Sherlock : Je t'en ficherai, des « pourquoi » ! Alors comme ça tu te tapes la causette avec un criminel ? Eh ben bravo. Mes compliments.

De Sherlock à Lestrade : De une, c'est pas vos oignons, de deux, je converse avec qui je veux, de trois, c'est mon meilleur ennemi, quand même !

De Lestrade à Sherlock : Oh, dans ce cas, toutes mes excuses ! Tiens, et si tu l'invitais prendre un thé à Baker Street ? Vous pourrez bavarder tranquillement, et peut-être même faire un tennis quelque part !

De Sherlock à Lestrade : Mais vous êtes tous jaloux, ou quoi ? John m'a servi le même discours quand il s'est rendu compte que j'envoyais un mail à Jim !

De Lestrade à Sherlock : Ah, parce que c'est « Jim », maintenant ? Eh ben, je vous savais pas si proches, mon cochon ! Enfin, passons. Je considère ça comme pactiser avec l'ennemi et je t'avertis, Sherlock, que si tu continues ainsi, je me verrais obliger de te déclarer comme étant complice de Moriarty !

De Sherlock à Lestrade : Mon Dieu, j'ai l'impression d'être dans « Roméo et Juliette » version XXIe siècle... Notre amour supportera-t-il cette douloureuse épreuve ?

De Lestrade à Sherlock : ... Non... Ne me dis pas que... Vous êtes vraiment ENSEMBLE ?

De Sherlock à Lestrade : Mais non, enfin, déconnez pas ! Je plaisantais ! Cela dit, méfiez vous ! Je pourrais bien me mettre en couple avec lui dans le seul but de vous faire chier !

De Lestrade à Sherlock : ... Je n'en doute pas.

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LES PULLS DE JOHN.

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De Sherlock à John : John, tu t'es encore acheté des pulls ?

De John à Sherlock : Incroyable ! T'arrive à faire des déductions même quand je suis pas là ? C'est fantastique !

De Sherlock à John : Tu as laissé tes nouveaux pulls sur le canapé et y a le ticket de caisse dessus, imbécile ! Mais franchement, arrête d'acheter ces pulls en laine ridicules, ça te donne des allures de gamin !

De John à Sherlock : Promis, maman.

De Sherlock à John : ... Tu te fous de ma gueule, c'est ça ?

De John à Sherlock : Moi ? Nooooon ! Je ne me permettrais pas.

De Sherlock à John : Pourquoi tu ne mets pas des chemises plus souvent ? Ca t'allais bien, l'autre jour, et au moins tu ne ressemblais pas à une grosse peluche !

De John à Sherlock : Si tu parles de la fois où j'ai mis un costume pour aller à un entretien d'embauche, je te rappelle que les boutons de la chemise n'arrêtaient pas de se défaire, pour le grand plaisir de la secrétaire. Alors non merci !

De Sherlock à John : En attendant, qu'est-ce que je fais de ces trucs ? Poubelle ?

De John à Sherlock : T'as pas intérêt ! Laisse-les sur le canapé et n'y touche plus !

De Sherlock à John : Comme tu veux. Au fait... Le pull à motifs floraux...

De John à Sherlock : C'est pour Harry, celui-là ! C'est bientôt son anniversaire.

De Sherlock à John : Quoi ? Elle aussi, elle porte des pulls tout le temps ? Et est-ce qu'elle a aussi une immonde paire de pantoufles bleues ?

De John à Sherlock : Et Mycroft, il a aussi une collection d'écharpes mitées ?

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