Auteur: Bel Uriel Disraeli ou Sekiryou Madhatter

Disclaimer: Les persos ne m'appartiennent pas, si ce n'est pas triste! Et dire que cette radine de J.K Rowling refuse de m'en faire don! Pfff...

Dédicace: A MA LUMI QUE J'AIME! Ma moitié que je ne vais pas tarder à retrouver sous peu en traversant l'océan qui nous sépare ! BISOU !

Résumé:

Dépendance: Rapport qui fait qu'une chose n'existe que par rapport à une autre, il résulte le manque lors de l'absence de cette chose nécessaire, rendant le sujet accro' puisqu'il ne peut s'en passer.

DEPENDANCE

Chapitre IV : Demande en mariage ?!

La porte claqua derrière Harry, il avait eut un mal fou à quitter le blond... Entre des baisers et des caresses prometteuses, il avait filé lorsqu'on avait sonné, tombant de nouveau sur Zabini, Harry espérait que Draco réussirait à calmer la curiosité de celui-ci. Le survivant rajusta ses lunettes et alla s'affaler dans un fauteuil, il songea à aller prendre un bain mais la perspective de se prélasser au coin du feu l'intéressa plus, la tête contre l'accoudoir il se mit à somnoler comme un chat repus, Morphée lui proposa une escale qu'il accepta, une vingtaine de minutes passèrent. Molly qui passait s'arrêta, abasourdie. Lupin désappointé de voir sa route bloquée allait pour lui demander des comptes lorsqu'elle lui fit signe de garder le silence, pointant Harry du doigt. C'était un miracle! Le voir dormir aussi paisiblement tenait du domaine de l'improbabilité absolu!

-Que Merlin soit bénit de faire enfin dormir ce petit.

Toute heureuse, elle se proposa d'aller chercher une couverture mais renonça à l'idée de le réveiller, Snape discutait avec agacement avec Tonks fit irruption à son tour.

-Pourrait on savoir pourquoi vous bloquez le passage, Molly?

-Chut! Regardez!

Tonks parût enchanter, Séverus leva les yeux au ciel en bousculant la femme de Lupin pour passer.

-Pitié! Vous n'aller pas rester là à l'admirer!

Harry sursauta, leva la tête en baillant peu élégamment.

-Voilà! Vous l'avez réveillé! Snape! Vous êtes content de vous? S'insurgea Molly.

-Il y a des chambres pour ça! Je ne vois pas pourquoi je devrais m'extasier face à Potter dormant dans le salon. Répliqua t-il froidement à la mère Weasley.

-Je ne dormais pas, je somnolais... Harry s'étira.

On aurait put entendre le silence d'admiration qui accompagnait l'action du golden boy.

-Bonjour Molly. Lança d'une voix presque douce Harry.

-Ça va Hary? S'enquit Tonks presqu'aussi ébahit.

-Hum... Oui, merci. Le golden boy se gratta la tête puis le nez.

-Quelle heure est-il? J'ai faim... Il baragouina pour lui-même en songeant à son estomac.

Mais se fut un branle bas de combat pour Molly.

-Je vais préparer le dîner!

Snape se pinça l'arrête du nez, pour la première fois depuis des mois Harry semblait aimable! Et semblait était un grand mot ! Le dîner fut confectionné et servit manu militari, sans que personne ne comprenne. Et le voir engloutir son plat mit de bonne humeur tout ceux qui le connaissait et qui y assistèrent.

-Qu'allez vous faire professeur? Vous présentez à Poudlard pour récupérer votre poste? Lança avec ironie Potter.

-Non. Demain j'irais au ministère.

Le silence se matérialisa à la table.

-Dans quel but.

Pour tout le monde la nouvelle fut difficile à avaler. Seul Harry semblait pouvoir tenir la discussion.

-Rétablir la réalité. Fit platement le survivant.

-Que vous êtes vivant? Je crois qu'il suffira de vous présenter à Poudlard pour qu'on l'admette. Hasarda avec scepticisme Harry.

-Toujours autant d'humour Potter... J'ai la preuve qui permettra de vous laver de tout soupçon.

Harry posa ses couverts. La tension était palpable et l'intérêt de tous omniprésent.

-J'ai peur de ne pas comprendre professeur. Finit par annoncer Potter.

-Dumbledore n'espérait pas sans doute que je ramène la preuve de votre innocence, puisqu'il n'y a aucun doute Potter, vous n'êtes plus un horcruxe.

A table on se regardait, Harry prit son verre, sarcastique.

-Et comment allez vous le prouver, avec vos certitudes sans doute.

-Par votre lien Mr Potter, tout ce qui fait que vous soyez dans cet état aujourd'hui.

Harry devint livide et reposa son verre qui sonna, alors que Snape continuait de manger.
-Vous ne pouviez plus contenir l'horcruxe depuis votre septième année et Dumbledore le savait.

Le palais du survivant s'assécha.

-Personne ne savait. Sa voix était aussi pâle que lui.

-Si... IL savait. Sinon il ne m'aurait pas envoyer là-bas. Il nous a roulé jusqu'au bout ce vieux débris. Cracha un peu acide le maître des potions.

Les témoins de la scène ne comprenait pas grand chose, Harry semblait suffoquer de rage.

-Dumbledore ignorait tout! Sinon pourquoi n'a t-il jamais agit pour briser notre lien? S'insurgea Harry en repoussant sa chaise.

-Navré de vous décevoir Potter... Qui vous dit qu'il n'a jamais eut connaissance de votre lien?

Snape releva un sourcil, dédaigneux et narquois.

-C'est impossible!

-Vous m'agacez Potter! A toujours niez ce qu'on vous dit, c'est que j'en ais la preuve.

Ce gamin lui tapait un peu trop sur les nerfs, il n'avait pas beaucoup dormit et digérait encore mal ce qu'il avait découvert.

-C'est absurde! Je suis le premier concerné, s'il avait fait quoique ce soit je l'aurais remarqué!

-Ne soyez pas stupide Potter!

Il posa ses couverts et se pinça l'arrête du nez en sifflant.

-Comment l'ai-je découvert moi?

Harry se raidit, il poursuivit.

-Ne pensez vous pas que dans son bureau il pouvait se trouver quelques inventions assez farfelue pour vous dénoncer?

Il n'arrivait pas à l'admettre, c'était impossible!

-Il a toujours sût Potter! Dès la secondes où le lien c'est tisé! Il a sût tirer l'avantage de la situation, c'est en ça, sans doute, que ce concentrer de plan perfide en tout genre est un génie.

Séverus n'arrivait pas à employer le passé en parlant de lui... Pas après avoir comprit qu'il tirait les ficelles.

-L'héliomètre qu'il trifouillait à tord et à travers à quoi servait-il d'après vous?

Ils avaient tous décroché, Harry revit l'objet ridicule aux allures de systèmes solaire miniaturisé en confiserie que le vieux choyait à tout heure. Lui non plus ne savait pas, pas une seconde il n'avait porté une véritable importance à cet objet...

-Il inverse les pôles Potter.

Le sursaut du brun fut tel qu'on croirait qu'on l'avait frappé.

-Votre lien est un magnétisme pur, il inversait à volonter, la force de vos deux polarités.

-Non! C'est absurde, pourquoi il...

Les mots moururent sur ses lèvres.

-Votre flu magique soumit à l'attraction que vous aviez, l'autre ne pouvait plus vous utiliser. A votre sortie de Poudlard, combien de fois avez vous essuyez des intrusions du mage noir?

Harry ne répondit pas, sachant que la réponse reviendrait à aucune, il avait passé son temps courbé dans les crises de manque ou à pourchasser les horcruxes. Il n'arrivait pas à imaginer le Directeur de Poudlard lui causant volontairement de telle souffrance.

-Il l'a fait dans l'ultime but de vous briser Potter. N'imaginer pas qu'il voulait vous aider, ni vous protéger. Dumbledore vous avait déjà désigné pour mourir, c'est en quoi vous avez dû le contrarier tout ce temps.

Implacable, le vielle homme savait qu'il devait en arriver là, et pas une seule fois il ne c'était écarté de cet objectif.

-Pourquoi?

Toutes ses révélations consternèrent la plupart, la dissension au cœur de l'Ordre étaient survenu dès le lendemain de la victoire, lorsqu'on arrêta le survivant... Personne n'avait comprit pourquoi il n'était pas intervenu, pourquoi il c'était si ostensiblement détourné de lui...

-Parce que tout ce qui est lié au mage noir devait mourir. Il s'attendait à ce que le gamin faiblard qui avait accueillit une part du mage noir, meurt avec lui l'horcruxe doit disparaître en son entier, contenant et contenu.

Albus avait vue dans ce lien un moyen de l'anéantir, rien de plus.. Et il avait fallut que Snape risque sa vie là-bas pour le comprendre, pour relier entre eux les fils d'Arianne...

-Que c'est il passé? Finit par demander Harry.

-Le nouveau lien qu'il utilisait c'est renforcé au point d'écarter celui du mage Potter, vous n'étiez plus le véritable contenant, en voulant vous briser il a assuré votre indépendance à cette part. Il s'en est rendu compte trop tard... Sans doute en voyant que vous n'étiez pas mort.

Harry se leva, il en avait trop entendu.

-C'est faux! S'il en était la cause, pourquoi même après sa mort, le lien subsiste?

-Vous me demandez pourquoi vous respirer Potter... C'est parce que c'est nécessaire.

La nausée lui monta au nez.

-Et vous croyez réellement qu'on rétablira le survivant! Ouvrez les yeux professeur, lorsqu'on saura la vérité sur moi et sur lui, vous ne ferez que nous condamner aux yeux de la loi et de l'assistance public. La fusion complète de deux flux est une anomalie et une dégénérescence!

Si le début du dialogue était une véritable brume, le doute ne subsistait plus à la fin, les autres membres reçurent la nouvelle comme une masse.

Snape fronça les sourcils.

-Je vous permet de sortir de l'ombre Potter...

Déjà Harry avait quitté la table, il dû le rattraper.

-Potter! Pourquoi refusez vous que je vous aide! Pourquoi voulez vous continuer à vivre ainsi?

Le brun lui fit volte face.

-Il n'y a pas que moi dans l'histoire, ce sera un miracle si les médias ne brisent pas sa carrière, vous y avez pensée!

Il se sentait acculer tout d'un coup, furieux contre lui-même.

-Il faudra un nom à mettre dans vos révélations, je risque de briser sa vie, tout ce pour quoi il c'est battu jusqu'ici, il risque d'aller à Azkaban si on découvre que tout ce temps où j'étais recherché il ne m'avait pas livré! Je ne peux pas professeur, je ne peux pas lui faire ça.

Le maître des potions le dévisagea, le golden boy ne voulait pas prendre ce risque.

-Tout ça pour la gloire, tss.. J'n'en veux pas, je me fiche de ma situation, je me fiche d'être jugé seul! Mais je refuse de le faire tomber dans la boue.

Snape eut du mal à taire son étonnement, encore une fois le gryffondor le surprenait.

-Pas obligatoirement.

-Vous avez perdu la tête! Jura de colère Harry.

-Il y a une alternative...

L'autre était mortellement sérieux, il n'avait envisagé ce cas de figure que comme un extrême. Harry était près à n'importe quoi.

-Laquelle?

-Il suffirait de...

Draco avait présenté de plate excuse qu'on accepta à son bureau, quant à la curiosité de Blaise... Il ne concéda qu'une seule chose, admettre qu'il avait un amant.

-J'en étais sûr! Tu est gay!

-Bi, j'aime aussi les femmes... Tenta vainement Draco.

-Arrête tu veux! Ta dernière conquête féminine remonte à Poudlard, septième année. Une jolie serdaigle si j'ai bonne mémoire. Il ne reste plus qu'à le dire à papa et maman!

Là, il saturait, s'en était plus que son quota ne pouvait supporter.

-Blaise, dehors.

Et il avait été très modéré, si le métis n'avait pas été son meilleur ami il aurait déjà usé de sa baguette.

-Quoi? Encore?

-Tu me fatigue rentre chez toi!

L'autre serpentard eut un sourire narquois.

-Tu devrais dire, il m'a fatigué… J'vous ai dérangé? Ne me bouscule pas! Dray!

Ensuite il avait jeté son soit disant meilleur ami à la porte. La conférence de presse était d'un barbant monstre, il fallait admettre que le blond n'avait pas toute son attention... Il était un peu désorienté de ce qui c'était passé entre lui et le brun, songeant amèrement qu'Albus avait décidément pourri son existence jusqu'au bout...

Il profitait d'une courte pause pour remettre un ordre fictif à ses fiches, à la table ovale les différents journalistes retravaillaient leurs questions en espérant que l'auror accepterait de leurs répondre.

La porte claqua, l'attention général se tourna vers l'arrivant. Il y eut un silence de mort, Draco sauta quasiment sur ses jambes en le voyant, abasourdi c'était une arrivée théâtrale et sans doute calculée. Le maître des potions ouvrit les bras à son filleul.

-Merlin!

Les appareils photos crépitèrent, la sécurité alerté tardivement arriva. Le Prince n'en croyait pas ses yeux. Il dû le toucher pour s'en assurer, c'était Snape! Merlin tout puissant, Séverus Snape en chair et en os ! Il eut envie de le pincer pour s'en assurer.

-Cette pièce est interdite au public! Jura un agent qu'on avait visiblement embrouillé.

Draco n'avait pas l'habitude de telle démonstration, Snape l'enlaça. Bon sang, sa mâchoire se décrocha.

-J'ai transplané, j'ignorais que c'était interdit. Fit le maître des potions d'un ton faussement surprit.

Ben voyons! Il avait transplané! Lui? Seul un Auror avait la puissance requise pour.

-Comment va ton père? Et Narcissa? Question tout à fait normal d'un parrain.

Draco hésita stupidement, il n'avait pas rendu visite à ses parents depuis un moment... Depuis… Il grimaça au souvenir où il se voyait en train de promettre à sa mère lors d'un dîner avant son départ qu'il allait passer un week-end au manoir. Juste après s'être un peu brouillé avec son patriarche qui lui reprochait de laisser leur empire.

-Bien, j'espère... Lâcha-t-il. Mais toi? Qu'est ce que c'est que cette mise en scène? Bon sang! Sev! Tu est censé être mort! Jura en s'étranglant le blond platine.

-Ne m'en parle pas!

Il roula des yeux au ciel avec une mimique grotesque. Puis il éleva la voix.

-Je dois parler au ministre, j'ai des informations pour lui.

Snape savait pertinemment que chaque geste, chaque parole seraient exagérer dans les journaux, d'où le pourquoi de ce manège, cette déclaration faîtes devant les médias il pouvait réellement compter sur l'idée de rencontrer le ministre sans passer par ses sbires dans les prochaines heures. Et quel succès, on titrerait dès demain que:

« Le Revenant fait des déclarations importantes au ministre en personne! »

Trois quart d'heure plus tard, Séverus était reçu en urgence chez le dirigeant.

Harry était mort d'inquiétude, priant pour que Snape réussisse. Le survivant glissa sans sa poche ce qu'il était venu acheté, il lui sembla que la boîte pesait lourdement, il expira pour reprendre confiance en lui, tout se passerait bien légalement... Si l'autre voulait bien se plier à cette entreprise périlleuse. Le golden boy savait qu'il ne devait pas revoir le blond dans l'immédiat, à cause du remue ménage et qu'une fois ensemble, il lui resterait un court laps de temps pour réussir. Les nouvelle se succédèrent comme une traîner de poudre embrasé jusqu'au baril avant une explosion:

« Le retour de Séverus Snape! »

« Le Maître des Potions vivant! »

« L'espion de l'Ordre délivre sa dernière mission! »

« Déclaration d'un revenant! »

« Snape messager de l'enfer! »

« Snape sauve le survivant!

« Le survivant gracié! »

« L'innocence du sauveur de l'humanité! »

Autant de gros titre parût en huit jours, dénonçant l'ébullition qui frappait l'opinion public, déjà on parlait de décorer Harry avant la fin de cette nouvelle semaine, après que le ministre est officiellement innocenté le golden boy.

Ayant consulté un dossier monté, signé de la main d'Albus lui-même avant sa mort et confié au bon soin de Snape qui était censé avoir disparût. Complétant se dossier avec ses recherches, le maître des potions prouvait que le dernier horcruxe avait été anéanti en même temps que le mage noir par lui-même.

Une espèce d'happy-ending écœurant et absurde. Il n'y avait plus que ça, du Potter par ci, du Potter par là, on revenait à un phénomène de Potter-mania fulgurant!

Malefoy sentit la colère et l'agacement se mêler, c'était comme un rêve burlesque qui virait au cauchemar, une grande assemblée avait lieu pour la gloire de Monsieur-je-survis-parce-que-je-suis-plus-résistant-qu'une-blatte! Il c'était arraché les cheveux en apprenant que c'était Narcissa, sa mère qui organisait le tout, soutenu par son père! Encore une fourberie de Snape sans doute!

Lorsqu'il mettrait la main sur le Maître des potions ce dernier regretterait de ne pas être rester en « Russie Profonde » comme il disait dans ses déclarations. Le manoir Malefoy organisant son grand retour, le Prince c'était vu contraint d'assister à ce capharnaüm mièvre, saturé d'émotions, de bons sentiments, de repentir, de média et d'hypocrisie.

Il détestait voir Harry comme ça! Adulé, vénéré, déifié! Deux serdaigles avaient fait une syncopes parce qu'il leur avait dit bonjour de loin. Il connaissait Potter, et ce n'était pas lui, ce sourire, cette poignée de main, cette reconnaissance à la foule.

Draco c'était installé loin, à une table où seul lui tenait compagnie les couverts et les verres, une auréole de journaliste et d'ami entourait le survivant.

Le blond n'était là que pour faire bonne figure, perdu dans ses pensées il songea que la presse demanderait bientôt la preuve en elle-même. Et alors; qu'allait répondre Snape?

Que Harry avait des gènes de bactéries datant du millénaire dernier? Ce qui expliquerait sa résistance hors normes! Mais en vérité ce qui l'énervait c'était de voir le brun prendre part à cette mascarade! Aucun d'eux n'avait eut foi en lui et aujourd'hui de lui taper dans le dos en lui servant du « mon-ami-de-toujours! » et du « je-n'ai-jamais-douté-de-vous! »

Seul l'Ordre avait tenu ferme au coté du brun! Et tout ceux là se tenait à l'écart comme lui. Il releva un sourcil désappointé lorsque quelqu'un se trouva face à lui, il n'avait pas besoin de lever les yeux pour savoir que c'était lui... Potter.

-Je peux m'asseoir?

Draco désigna poliment un siège qu'il prit, le gryffondor prit un verre en lui souriant alors que le blond ressentait l'envie quasi irrésistible de lui cassé les deux jambes.

Ils ne c'étaient pas revu depuis la dernière fois, aucun contact, et Harry était là, assit à moins d'un mètre de lui. Vêtu élégamment d'une robe noire.

-Pourrais-je savoir ce qui t'amènes, Potter?

La voix de Draco se voulait cordiale.

-J'ai vue tout le monde, il fallait bien que je te vois aussi.

-Oooooooooh. Comme c'est gentils de ta part! Tu n'aurais pas dû!

Le serpentard bu pour faire passer la pilule, il y eut un flash, le blond se raidit visiblement puis se tourna vers les journalistes.

-Je vous préviens, je refuse de voir ma photo dans aucun de vos torchon, même réduite à coté de celle des hiboux écrasé! Aucune de mes paroles rapporté, même en filigrane! Aucune mention faisant référence à une pseudo pensée que vous auriez tenté de traduire avec vos dons de déformateur d'information, ai-je été clair! Hors de mon périmètre!

Malefoy fils était connu pour donner des conférences de presse qu'il planifiait, il ne se laissait pas bercer par les paillettes et c'est en cela que lui et son père étaient brouillé. Draco avait laisser tomber ce masque du paraître, il c'était détourné du double tranchant des médias. Tous les journalistes savaient que le blond ne rigolait pas, il avait traîné d'autre en justice pour moins. Il n'avait pas élevé la voix mais ils désertèrent – au soulagement du brun. Sachant que c'était le quart d'heure pause puisqu'ils ne pouvaient rien tirer de leur conversation, Harry eut la surprise du siècle.

-Et bien! Belle maîtrise des médias!

Draco se redressa dans son siège, tentant de se contenir, ne faisant plus l'effort de sourire.

Ils ne c'étaient pas vue depuis un certain moment, il avait les nerfs à vifs.

-Que veux tu Potter?

-J'adore te voir te contenir, on dirait la même fouine boudeuse que tu étais à Poudlard.

Les mots avaient été jetés à l'abri d'un verre, le gryffondor semblait resplendir, Malefoy en avait assez vue et entendu.

-Retournes donc à ton monde de héros et oublie mon existence.

-Tu me demande donc d'oublier de respirer!

Le ton se voulait amuser, la cordialité du survivant l'énerva prodigieusement.

-Potter, tu m'écœures, va donc faire ton numéro à ta belette.

Le golden boy plongea son regard dans celui de son amant.

-Se pourrait-il que tu soit jaloux?

Draco éclata d'un rire sans joie, avant de porter le verre a ses lèvres.

-De ta célébrité? Je ne crois pas Potter.

Concentré à boire, Draco releva les yeux sur Harry lorsqu'il sentit le contact de leurs jambes,

celui-ci le regardait avec une facilité déconcertante.

-On aura jamais vue ça! Une fouine qui voudrait devenir belette.

Le serpentard se leva, les nerfs sur le point de craquer, il trouva la force de se canaliser.

-Tu sais ce qu'elle te dit la fouine?

Le geste était puérile, mais le soulagea, il versa avec mesure tout le contenu de son verre sur la tête du brun.

-T'es qu'un pauvre déchet et vraiment elle ne te mérite pas, personne ne devrait supporter une telle tare.

Les conversations c'étaient suicidées, tout le monde avait plus ou moins vue la scène, l'alcool ruissela dans les mèches, inonda son cou et trempa sa robe. Harry se leva, Malefoy lui porta un toast.

-A la tienne Potter!

Puis reposa le verre vide, de toute évidence ils allaient se battre, le golden boy l'attrapa par son col et le tira à lui, de quoi pouvoir lui parler à l'oreille.

-Tu crois que c'est facile pour moi? D'être dans la même pièce que toi et de devoir t'ignorer, ne même pas pouvoir te regarder, encore moins te frôler. Faire comme si tu n'existais pas, alors que chaque parcelle de ma raison vibre pour toi! Ma seule consolation c'est de te foutre en rogne et elle est bien piètre...

Leurs magies crépitèrent, il poursuivit en sifflant presque.

-Tu ne peux pas imaginer à quel point sa m'excite de te voir aussi imbuvable alors que tu crèves d'envie de me prendre.

Les couleurs eurent le bon goût de déserter son visage... Pour aller se gorger au sud de son corps, le blond le repoussa par réflexe, ils allaient se jeter à la gorge de l'autre si on ne les séparaient pas.

-Tu me prend pour quoi?

-Pour ce que tu es la fouine, ose me dire le contraire.

L'auror allait lui filer une raclée pour effacer ce sourire suffisant de sa face, lien ou pas. Il allait lui faire un coquart pour le simple plaisir de le faire. Snape restait dans le secteur, sachant que la réaction entre ces deux là serait obligatoirement violent, il intervint alors que Harry aller provoquer de nouveau le serpentard.

-Il suffit messieurs! Evitez de faire un tel étalage de démonstration pour vos retrouvailles.

La bulle de provocation éclata, ils revinrent à la réalité, à la surprise générale Harry quitta la pièce. C'était lui qui avait craqué le premier, il serra les dents en s'éloignant du blond. On songea qu'il était partit se changer mais il ne revint pas, Malefoy se laissa tomber de mauvaise grâce à sa place, le conflit entre eux était quasi légendaire, les mauvaises langues se mirent en action. L'engourdissement lui courut dans le bras gauche, il songea que son père allait lui passer un savon dans le meilleur des cas s'il ne le tuait pas avant. Il passait pour le rustre, sa réputation fut installée lorsqu'il fit exploser deux appareils photo qui avaient eut l'audace de le photographier et il fit vertement comprendre que les propriétaires devaient s'estimer heureux de ne pas avoir subit le même sort.

Tout ceux qui connaissaient Draco s'accordèrent à dire qu'il était d'une humeur massacrante. Ses parents avaient vraiment mit la demeure Malefoy à la disposition d'une telle abbération pareille.

Mais au bout de quelques minutes le blond cessa de réfléchir en sentant le magnétisme, celui qui les attirait à Poudlard, celui qui l'avait fait retrouver le brun dans les couloirs du ministère, il laissa son pas le mener... C'était comme avancer sans avoir où aller, sans y réfléchir car aussitôt on perdait l'élan qui nous poussait, de quoi vous rendre fou... Espéré qu'il est juste là, ce dire qu'il est à ce détour et perdre le fil parce qu'on a voulu guider son pas. Malefoy n'était pas aussi impulsif que le brun, il dû se perdre trois fois avant que exaspéré, il ne ferme les yeux et se laisse tirer par ses sens.

Oublier les couloirs, les murs, les pièces pour se laisser happer par l'appel de l'autre, c'était ténu, subtile, faible mais omniprésent, il suffisait de ne pas se débattre.

La blond le trouva, Harry était assit au sol dans un coin, se tenant la tête. Le golden boy fit un effort pour se lever, souriant piteusement.

-Ça va?

Le Prince vacilla, hésitant à se rapprocher... Puis fini par avancer.

Le brun était loin de la provocation et de son air suffisant, c'était juste Harry sans un masque composé.

-Et toi?

Comment ça pourrait aller? Ils ne c'étaient pas vue depuis à peu près un peu plus d'une semaine.

-Tu es vraiment stupide Potter.

-A la longue je me suis fait à cette idée... Doucement Draco!

Le blond n'avait pas tergiverser longtemps avant de l'enlacer, la tension mit un temps à retomber, puis ils soupirèrent alors que le brun posait la tête sur l'épaule du serpentard.

-Tu as le don de m'énerver naturellement, tu es le seul abruti capable de me jeter hors de mes gonds rien qu'en souriant.

-Merci pour ce compliment...

Front contre front, ils se laissaient aller dans ce léger conciliabule.

-Alors comme ça... On jalouse une belette?

Le sourire narquois étira les lèvres du survivant.

-Jaloux? Je ne crois pas... Je suis unique, non?

Le blond se penchait en souriant rêveusement, mêlant son souffle à l'autre en levant un sourcil.

-N'est ce pas... Harry?

-Tu es un monstre de sadisme.

Le Prince ne s'attendait pas à cette réponse; il fronça les deux sourcils, Harry s'impatienta.

-Tu parles trop, j'ai juste besoin de toi.

Le baiser fut source de grognement, le brun agrippait ses mèches platine en se collant à lui, maudissant le tissu.

-Voilà un baiser prometteur... Hum... Potter, laisse moi respirer...

Harry eut un rire étouffé en le tenant à la taille, frottant son corps tendu.

-Et dire que Blaise nous avait coupé la dernière fois... Tu as oublié ma promesse?

Le serpentard le dévisagea, l'intensité de son regard fit rougir Harry jusqu'à la racine de ses cheveux. Le blond n'accordait pas vraiment d'importance à céder la domination, c'était tout naturellement qu'il le laissait faire et jusqu'ici Harry l'avait toujours comblé, leurs instants étaient volés, ils ne discutaient pas vraiment pour savoir qui faisait quoi, laissant le plaisir les guider.

-Malefoy, arrête d'imaginer tu va saigner du nez.

Le blond ricana en lui mordillant la lèvre.

-Y'a une chambre, juste à coté.

Se fut le gryffondor qui ouvrit la porte, la pièce était accueillante, ça se voyait que c'était la demeure de Malefoy, la pièce était une sorte d'antichambre, une cheminée et un petit salon.

-Quelle porte?

-A droite.

-C'est pire qu'un hôtel!

Draco tapa derrière la tête du brun qui ricana.

-Que de violence pour une simple remarque!

-Tu parles trop Potter.

Le serpentard le bouscula sèchement, ce qui fit rire le brun.

-Impatient!

-Et c'est moi qui suis sadique.

Malefoy fit rouler ses yeux au ciel, l'atmosphère de la chambre était plus intime, chaleureuse.

-C'est pas un peu trop vif pour un repère de serpentard?

Il ne finit pas sa pensée, le Prince le plaquait fermement contre la porte.

-Malefoy, je vais avoir des bleus partout si tu me cognes comme ça, on va...

L'héritier blond était impatient et son baiser se fit exigeant alors que ses mains s'activaient à défaire les remparts des vêtements.

-Pitié! Potter...

-Ouïe! Doucement! Cette porte à une poignée Malefoy, mon dos peut te l'affirmer!

-Dis moi que tu n'as rien sous ta robe!

Le silence tomba charger de désir, le brun attira à lui son amant par son col.

-Tu veux que je te montre si j'ai quelque chose dessous?

Simple murmure, possessif, le survivant le plaqua en frottant outrageusement son bassin contre lui, le baiser-morsure se brisa.

-J'espère que cette réponse te suffit.

Le blond avait fermé les yeux, il inspira en les rouvrant de nouveau, passant rêveusement la langue sur sa lèvre. Hanche contre hanche, froissés, leurs regards se parlaient silencieusement, et pour la première fois le gryffondor se reporta à sa tenue, déboutonnant la robe sous les yeux du blond. Draco avait prit l'habitude de lui arracher ce qu'il portait, un poids pesa dans l'estomac de Malefoy qui s'appuya contre la porte.

-Arrête Harry...

Ce dernier releva la tête vers lui, la symbolique était trop oppressante.

-J'ai envie de toi, mais...

Harry posa les mains de part et d'autre du blond, s'appuyant sur ses paumes contre le bois;

-Je sais, Draco... J'ai vraiment envie de toi.

-Pas comme ça...

Potter se pencha sur lui en acquiesçant.

-C'est trop Harry...

Le murmure l'étrangla presque.

-Non, c'est juste ce qu'il faut... Toi... En moi...

Le gryffondor alla mordiller son oreille, Malefoy acquiesça en se collant contre lui, finissant de défaire le robe, le survivant gronda avec un souffle rauque au contact des paumes sur ses flancs, la main suave de Draco semblait mordre de son toucher toute son épiderme.

-Je ne veux pas te faire mal...

-J'ai envie de toi Malefoy, en quel langue dois je te le dire?

Ils butèrent contre un fauteuil, une place, le gryffondor s'acharna à déboutonner la robe de son amant, à sa grande surprise celui-ci l'attrapa par ses poignets alors qu'il allait finir.

-Tournes toi...

-Quoi?

-Fais le.

La voix de Draco était basse et rauque, perdu, Harry s'exécuta, ne comprenant pas le manège; Malefoy fit glisser doucement la robe des épaules du golden boy jusqu'à ce qu'elle chute au sol. Harry frissonna lorsque les mains insistante glissèrent sur ses omoplates, puis sur son dos pour s'arrêter à ses flancs. Le souffle du brun était erratique, il gémit sourdement lorsque le serpentard se cola à lui, ils grognèrent de plaisir, il s'appuya contre lui, la tête rejeté en arrière.

-Merlin, c'est bon...

-Tu n'a rien vue...

Draco laissa sa main frôler insidieusement les côtes de Potter avant de descendre enlacer fermement la hampe, le Prince abandonna l'idée du lit, préférant profiter du fauteuil dans lequel il poussa le gryffondor. Harry perdu ne comprit pas tout de suite où l'autre le menait en l'obligeant à s'agenouiller ainsi sur le siège. L'étau moite de la main de son amant se resserra délicieusement alors que le mouvement se faisait plus marquer, il se cambra de plaisir lorsque Draco lui mordit la nuque. Une complainte monta de la gorge du golden boy à la jouissance inattendu d'une première intrusion, le serpentard jouait tendrement avec l'anneau de chair, alors qu'il resserrait son emprise sur le membre érigé de son amant. La tension devint suffocante, le brun était tout proche de ne plus tenir lorsque le Prince s'arrêta! O.O

-Monstre... Sadique...

Harry était tremblant en articulant difficilement, son amant devint particulièrement attentionné, posant des baiser au creux de son cou comme pour le calmer.

Il y a des sensations qu'on ne peut imaginer, ni décrire une fois ressentit, mais on sait une fois éprouvé que c'est la seule chose qui nous mettra perpétuellement hors de nous, pour laquelle on se damnerait soi-même et l'univers autour. Harry sentit le frison courir le long de sa colonne vertébrale, monter dans sa nuque, faire trembler jusqu'à la moelle de ses os.

-OH! OH MERLIN! DRA... AH!

Le gryffondor agrippa le dos su siège, le corps tendu alors que le blond lui faisait grâce d'une gâterie interdite, la situation était intenable, Harry se retrouva à se mouvoir en spasmes alors que son érection douloureuse se frottait contre le cuir du siège. Draco le freina en posant les mains sur ses cuisses pour le maintenir en place. Sa langue imprégnant perfidement un désir brûlant dans les entrailles du brun qui ne pouvant plus se mouvoir pour trouver une délivrance, grognait contre le dossier, ses mains agrippant convulsivement le meuble. Il mordit le coussin et ses yeux roulèrent en arrière lorsque le Prince poussa par jeu la préparation le plus loin possible.

Le survivant ne devint bientôt qu'une boule de nerfs tremblante, râlant lourdement au point de ne pouvoir reprendre son souffle, il offrait sa croupe avec quelque chose de mutin, affalé en avant contre le dossier au bord de la syncope, il ne grogna pas lorsque Malefoy cessa, de toute évidence il était prêt à le recevoir. Le serpentard traça une ligne de feu avec sa langue en remontant le long de la colonne vertébrale de son amant, tout sourire, il lui posa un baiser dans le cou.

-Satisfait Potter?

Le golden boy c'était mordu la lèvre jusqu'au sang, se demandant comment ça pouvait être aussi bon sans jamais une seule fois être suffisant pour le faire jouir. Engourdi il se releva un peu, soutenu par son amant, ce n'est qu'après qu'il comprit que l'autre le surélevait, Draco se présenta enfin, inspirant pour se calmer, il se mordit la lèvre e s'enfonçant graduellement dans l'antre brûlant, c'était atroce. Harry était exigu et palpitant, c'était quasi jouissif, Malefoy attrapa ses hanches tirant à lui, tout en craignant de lui faire mal, insistant avec fermeté et douceur pour plonger entièrement dans son amant. Il s'arrêta en butant légèrement.

-Harry?

Entendre la voix cassé du blond fut un miracle, il était dans un autre univers, il bouillait depuis trop longtemps, se demandant quand il perdrait connaissance.

-Ça va?

Le brun n'avait plus la force de parler, il respirait profondément.

-Mmm... Mh...

-Quoi?

-Prend-moi...

Il songea que l'autre allait lui en vouloir de s'endormir, mais ce n'était pas sa faute si le blond l'avait excité au point de le saturé, il ferma les yeux malgré lui... Au bout de quelques minutes il retrouva lucidité et voix.

-OH MERLIN!

L'étau se resserra brutalement autour de lui, Draco qui avait fait un premier coup de hanche dû s'immobiliser de surprise.

-Harry ça va?

La jouissance l'avait prit en traître, il haletait pour reprendre son souffle, pivoine et honteux d'avoir rendu les armes dès le début, il cafouilla.

-Oui, oui.. Ça va...

-Si tu veux on arrête et...

-Non! Ça va!

Le serpentard se pencha vers lui inquiet.

-Si je te fais mal dis le moi.

Harry acquiesça avec la tête, d'un geste maladroit il agrippa les mèches blondes, obligeant Malefoy à rester coller contre lui, il respirait pour se calmer, impatient, il marmonna les dents serrer.

-Prends moi bordel!

Le blond glissa ses mains sur le ventre, l'enlaçant pour le tenir plus fermement, Harry griffa le fauteuil acquiesçant au mouvement du Prince dans ses entrailles. C'était mieux que de prendre, le brun avait beau serré la mâchoire pour ne pas hurler, il ne pouvait pas empêcher le plaisir de lui arracher des monosyllabes rauque. Le serpentard freinait encore un peu sa fougue préférant se laisser étourdir par la voix du brun, Harry accusait le léger mouvement avec avidité, il préféra attraper le dossier, s'inclinant plus, comme pour sentir l'autre plus profondément en lui.

-Continue... Plus fort...

Il ne fallut pas plus pour que le blond platine lâche le désir qu'il retenait, rendant plus ample le mouvement, ce mouvoir en lui était jouissif, Draco râlait de plaisir alors que le gryffondor égrenait un chapelet de mot incompréhensible. Ils s'encastraient avec contentement, Harry comprenait mieux les suppliques que le blond lui jetait lors de leurs ébats, le sentir en lui, aller et venir avec force, cette hampe qui à chacun de ses coups de butoir le soulevait, c'était divin. Il crû succomber lorsque la main du serpentard suffoqua son désir, il agrippa les accoudoirs encaissant le rude mouvement que le Prince donnait à leurs corps, attirant à lui l'étau dans lequel il pénétrait inlassablement.

-Cambre toi plus...

La tête lui tournait, il se laissa faire, creusant les reins alors que la main de son amant le torturait, puis se fut trop des deux coté... Poussé par la luxure le brun ballotait lourdement à l'encontre de Draco, ils n'étaient plus que grognement pur, râle rauque, geste sec et presque mécanique s'il n'était pas autant imprégné de sensualité. Harry s'arqua avec force, le corps crispé, il accusa trois autres coup de hanche du blond avant que la jouissance ne fasse rouler ses yeux dans leurs orbites et s'écrouler lourdement sur le siège. Malefoy le heurta une dernière fois avant d'agripper ses hanches dans l'orgasme et d'y laisser des sillons. Haletant, suffoquant, ils restèrent affalés là, se débattant contre la léthargie, Harry pu s'asseoir en grimaçant pour que son amant s'installe à son tour sur ses genoux. Il referma les pans de sa robe en déglutissant, la tête lourde, il la posa sur le torse du brun pour reprendre son souffle...

C'est à ce moment que Draco l'entendit persifler du fourchelang... Harry ne comprit pas tout de suite, le blond se redressa légèrement, plongeant le visage dans son cou, ce dernier attrapa la main du gryffondor pour la poser sur son ventre, tout en mordillant la carotide de son amant. Se remettant à peine d'une première jouissance, l'esprit dans la vague, il persifla d'agacement alors que le Prince se tendait littéralement contre sa paume! Harry ouvrit les yeux, ébahit lorsqu'il vit que Malefoy utilisait gracieusement sa main pour traiter la soumission d'un désir étrangement ravivé.

-Draco?

Ce dernier gronda à son oreille, se faisant suppliant.

-Fourchelang...

-Quoi?

-Parle serpent Potter, dis n'importe quoi!

Le gryffondor hésita avant de s'exécuter, aussitôt le blond agrippa son col d'une main en se cambrant, le corps roulant langoureusement sous le plaisir, cédant à la fantaisie de son amant Harry resserra sa prise. Malefoy s'arqua à l'encontre de sa paume. Le brun se mit en devoir de lui faire un suçon, susurrant pour exaspéré sa némésis.

-Serre... OUI!

Il augmenta la cadence, le serpentard se mordit la lèvre alors que le golden boy arpentait de son autre main le torse offert. Griffant tendrement la peau pâle, la jouissance ébranla Draco lorsque sa moitié lui mordit sa carotide... Encore essoufflé il approfondit un baiser avec Harry avant de se laisser tomber plus librement, savourant la langueur post-orgasmique. Potter le regarda, amusé, pensant que le serpentard ressemblait à un chat chat repu.

-Satisfait?

La voix d'Harry lui fit ouvrir un œil.

-Je devrais te retourner la question... Alors?

Le brun eut un sourire idiot, puis il se mit à jouer pensivement avec la main de Draco qui se laissa dorloter.

-Dis..

-Hum?

-Qu'est ce que tu as dis la première fois que tu as parlé fourchelang?

Harry songea qu'il avait indiqué les Bahamas à un python, il le fit savoir à Malefoy.

-Quel manque de tact Potter! Je voulais dire tout à l'heure.

La golden boy s'arrêta quelques secondes, puis avec une moue amusé répéta sa phrase. La chair de poule courut sur les bras du blond.

-Imbécile! Traduit.

-Pourquoi tu veux savoir?

Draco n'eut pas envie de mentir, il leva une épaule nonchalamment.

-Parce que tu l'as déjà dis une fois, dis Malefoy pour voir?

-Pourquoi?

-Vas-y!

L'agacement du Prince le fit céder, le sifflement résonna.

-Dis Draco.

Nouveau persifflage.

-Pourquoi tu veux que je dise ton nom et ton prénom?

Il aurait peut-être dû lui poser la question avant... Mais bon.

-Pour être sûr... Ce n'est pas ce que tu m'as dis la première fois, le sifflement était plus long et il y avait moins d'ondulation. Ça m'intrigue, qu'est ce que c'était?

Harry vit l'impasse, il avait parlé sous l'emprise du plaisir et de ses émotions, il pesa le pour et le contre, il allait lui dire.

-En fait, la première fois... Je t'ai dis...

POP! Ils sursautèrent, Malefoy se tourna vers Zinky, l'elfe qui avait porté le message à Harry, elle les regarda, les yeux ronds, Harry jurerait y avoir vus de l'avidité et du vice!

-Que veux tu?

-C'est Monsieur et Madame qui m'envoie.

Draco se redressa.

-Que veulent ils?

-Ils m'ont dit qu'ils souhaitaient s'entretenir avec vous, ils sont dans l'antichambre.. Je leurs dit d'entré?

Le serpentard bondit hors de son siège, dévoilant Harry nu, ce dernier n'eut aucun doute, l'elfe se rinçait l'œil, lui faisant un sourire édenté, il allait pour protester lorsque le serpentard lui balança sa robe dans la tête.

-Rhabilles toi! Vite!

Il ne se fit pas prier.

-Draco...

-On ne peut pas transplaner des chambres, on peut le faire de l'antichambre, tu sortiras dès que je les aurait fait sortir.

-Je dois te parler.

-Pas maintenant. Zinky! Va leurs donner à boire.

Elle parût déçu, elle fit un clin d'œil salace et disparût dans un POP sonore.

-Attends Draco!

-Ferme ta robe Potter!

Le blond se battait avec la sienne.

-Tu sais, la première fois en fourchelang...

-Pas maintenant! Potter! Mon père est capable de sentir l'aura d'une blatte à travers du béton armé! Il vient me passer un savon, il va faire une attaque s'il me trouve à poil avec le golden boy. Il ne sait même pas que je suis gay!

-Justement...

-Rhabille toi Merlin!

Draco s'attaqua à la robe du brun, tout en utilisant un informulé pour nettoyer le fauteuil.

-Draco, c'est important...

-Plus tard!

-Je t'aime!

-Hein?

Il sursauta.

-En fourchelang, je t'ai dis je t'aime.

-Merci mes aïeux. Mais pour l'amour de Merlin rhabilles toi correctement!

Malefoy se mit à tirer sur sa robe pour la défroisser, Harry devait lui parler avant qu'il ne sorte.

-Draco...

-Merlin! Ferma ta robe!

-Je le pensais vraiment...

-Moi aussi! Continue de le pensée en t'habillant!

Le blond pesta en se rendant compte, grâce au reflet du blason, que son amant lui avait fait un suçon.

-Ce n'est vraiment pas le moment pour une déclaration Potter.

-Écoute moi! Attends.

Harry referma le dernier bouton.

-Draco...

-Quoi encore bordel! Je t'aime, tu m'aimes, nous nous aimons, pas de problème, j'ai compris et on s'aimera encore la prochaine fois qu'on s'enverra en l'air!

Le golden boy l'obligea à lui faire face.

-Je tiens à toi, vraiment, je veux que tu saches que quoiqu'il arrive...

POP!

-Monsieur et Madame demande si Monsieur est indisposé?

-Non! J'arrive!

Draco se détourna de nouveau en renvoyant l'elfe.

-Draco tu ne me facilite pas la tâche!

-Alors tâche d'être à la hauteur et de disparaître, je n'ai vraiment pas envie que ma mère fasse une syncope!

Harry roula les yeux au ciel, il le retint par le poignet.

-Excellente idée!

-Quoi? O.O

-Caches toi!

-Hein?

-Sous le lit!

-Ça va pas la tête!

-L'armoire ne supportera pas ton poids.

Draco le poussa résolument vers le lit.

-Draco!

-Évites d'éternuer.

-Avant que tu ne les vois...

-Zut! Cette chambre est prise, il y a des malles sous le lit.

Le blond relâcha la couverture qu'il avait soulevé. Harry tentait de lui parler.

-Draco, d'abord je dois te demander si...

-Reste caché derrière la porte!

Le serpentard le poussa comme un meuble et ouvrit la porte. Lucius, Narcissa et Séverus lui firent face, mais Harry fit claquer la porte.

-T'es malade!

-Marre! On va le faire sans les formes puisque tu ne veux pas m'écouter!

-Hein?

Harry arracha la boîte de sa poche et prit la main droite de Malefoy pour l'y déposer.

-Voilà! Ça c'était ma demande en mariage!

Abasourdi, Draco regarda la boîte à bijou alors que Harry ouvrait la porte pour sortir, Lucius, Narcissa et Séverus firent de nouveau face.

-Potter! Je t'interdis de franchir cette porte sans m'avoir fais une demande digne de ce nom!

Draco le tira par le bras et fit claquer la porte, Harry lui fit face.

-On en serait pas là, si tu m'écoutais! (Harry)

Le blond lui rendit la boîte, le golden boy s'énerva.

-Garde là, abruti! Elle est pour toi!

-Il en est hors de question! J'attends une demande correcte!

-T'es mal placé! Je te dis que je t'aime et toi tu es prêt à me fourrer sous le lit comme de la vermine!

Puis Harry remit la boîte dans sa poche.

-T'en vaut pas la peine, laisse tomber!

-QUOI?

Draco le retint par le bras, il se débattit puis s'écarta.

-Je rêve! Tu veux m'épouser, oui ou non? (Draco)

-C'est moi qui devrais te poser cette question Malefoy, mais c'est à croire que non.

-Qu'est ce que t'en sait! Tu ne m'as pas posé la question! Juste posé la bague entre les doigts!

-Tu me saoule!

Harry ouvrit la porte, elle claqua de nouveau, aucun d'eux n'avait levé la tête cette fois-ci, le blond le plaqua contre le mur.

-Je te laisserais pas partir comme ça!

-Mais tu vas me lâcher!

Le survivant le repoussa, énervé et blessé dans son orgueil.

-Et tu sais quoi Malefoy!

La situation dégénéra, le brun lui décocha une droite.

-T'es qu'un pauvre minable!

-Répète ça!

(L'auteur se relit et se rend compte que pour me demande en mariage, sa vire à la baston O.o) Séverus se tourna vers la porte en entendant un bruit de vase brisé, à l'intérieur l'arcade de Harry saignait alors que Malefoy, essuyait d'un revers sa lèvre fendu en lui tenant par le col.

-Bordel, je tiens à toi Malefoy, j'voulais juste savoir si tu accepterais de finir ta vie avec moi et j'me rend compte que c'est impossible, on...

-Oui!

-Quoi?

-J'veux t'épouser demeuré! Bien sûr que je veux finir ma vie avec toi, tu crois que je perdrais mon temps à te retenir pour rien! Si je tiens à ce que tu refasses cette fichu demande c'est parce que que je veux l'accepter!

Un frisson courut le long de l'échine du brun, alors que Malefoy poursuivait.

-Je ne peux pas te dire non, nous sommes liés, je ne peux que finir mon existence à tes cotés;

Le sang déserta le visage d'Harry, Malefoy avait dit oui.. Alors pourquoi ça lui faisait autant mal?

Le voyant calmé il relâcha sa prise, ce dernier recula.

-Non, Malefoy...

-Quoi?

-Pas pour ça...

-Qu'est ce que tu raconte?

Il ne comprenait plus rien

-Je ne veux pas que tu me dises oui pour ça; Je ne veux pas t'épouser à cause de ça.

-Que...

-Tu n'as rien compris...

Il aurait préféré que l'autre refuse, c'était vraiment douloureux, et avant qu'il n'y pense la gouttelette s'écrasa sur le parquet, Harry s'essuya la joue d'un revers et la planta sur place, la porte ouverte. Il était tétanisé, piégé par l'expression du brun. Son corps se tendit vers le gryffondor, qu'est ce qu'il ne comprenait pas? Qu'est ce qui lui échappait?

-HARRY! JE VEUX T'EPOUSER BORDEL!

Le golden boy passa l'antichambre.

-Attends! Explique moi! Dans quelle langue je dois te le dire!

Draco n'accorda aucun intérêt à ses parents, poursuivant sa sygisbée. La porte lui répondit, il l'ouvrit pour lui courir après, Harry était à quelque pas devant, descendant les escaliers pour faire face à tout un rassemblement de l'Ordre et de ses amis auquel il avait dit d'attendre. Le golden boy stoppa, Draco arriva à sa hauteur alors que le brun le fusillait.

-Arrête!

Il siffla de rage puis descendit, suivit de près par Malefoy.

-Harry!

Ce dernier le bouscula, le serpentard était perdu.

-J'ai dis oui! Dis moi... BORDEL!

Ils sursautèrent, Harry s'arrêta.

-Qu'est ce que je dois faire pour te retenir? Qu'est ce que je dois dire pour te convaincre? Harry!

-Si c'est juste le lien qui nous retiens, je ne veux pas, je...

-J'ai besoin de toi!

Draco l'attrapa par sa manche pour le forcer à lui faire face.

-C'est plus fort Harry. Tu crois que c'est juste une envie? Depuis tout ce temps j'aurais trouvé quelque chose d'autre, quelqu'un d'autre...Tu es le seul que je désir, il n'y a que toi! Ça fait trop longtemps que je ne fais plus de rune, et je maîtrise pas le fourchelang pour te dire je t'aime. J'admets j'ai mauvais caractère, ma tête enfle un peu aussi, mais je veux finir ma vie avec toi, Harry...

Le serpentard le regardait dans les yeux.

-J'apprendrais à coiffer ta tignasse, je porterais les couleurs de ta maison, j'irais au mariage de tous les Weasley, je porterais les enfants s'il le faut! J'me ferais tatouer « J'aime Harry Potter » où tu voudra, on ira s'enterrer dans une ville moldu, je changerais de nom!

Malefoy le tenait par le cou en reprenant son souffle.

-Dis moi ce que je dois faire pour que tu m'épouses.

Le serpentard l'attira à lui, par automatisme Harry lui glissa les mains sur les hanches. Il y avait juste eux dans ce monde.

-C'est une très belle déclaration.

Harry avait un sourire irrépressible.

-Tu restes?

Malefoy voulait l'entendre.

-Je suis sûr que la bague t-iras.

Le gryffondor franchit la distance et possessif entama un baiser langoureux, ils se séparèrent à peine.

-Juste comme ça... Pour les enfants.

-Oh! J'ai très bien retenu, tu les porteras...

Il siffla entre ses dents avec un sourire narquois.

-On peut encore discuter, tu porteras le premier, puis toi le deuxième et encore toi pour le troisième et...

BLAM! Ron qui avait tourné de l'œil s'effondra.

******************************** FLASH*********************************

-Il suffirait de falsifier un peu la réalité...

-Qu'est ce que vous entendez par là?

Snape se mit à épousseter sa robe.

-Vos deux flux étaient compatible, d'ailleurs c'est pour cette raison que vous vous êtes liés automatiquement à Malefoy, et lui à vous, n'importe quel analyse prouverait que vous vous faîtes écho.

-Comment ça?

-Vous êtes sygisbée Potter c'est l'ultime explication au fait que le magnétisme soit si puissant, la potion ne durent que deux semaines, sauf que la combinaison de vos magies avait une extrême homogénéité. Une fois lancé, ça ne pouvait que perdurer.

-Donc?

Il regarda perplexe son ex-professeur.

-La liaison était inévitable, deux sygisbée finissent toujours par s'assembler, c'est de l'ordre des polarité, c'est la seule exception à la loi. Nous dirons que votre lien c'est révéler en septième années, oublions la potion et que Dumbledore avec son héliomètre n'a fait que le raffermir. Albus n'avait vraiment pas envisager que vous puissiez être némésis...

-Pourquoi?

-Par ce qu'il n'y avait aucun signe, votre magnétisme aurait dû s'éveiller depuis votre première rencontre... Mais de toute évidence vous étiez assez entêter pour aller à l'encontre de votre propre nature.

Harry rougit en reculant, embarrassé sur le coup...

-Vous voulez dire... Que.. Depuis le début c'était entre nous... Même sans la potion nous aurions...

-Je veux dire que vous et Monsieur Malefoy faîtes une belle paire d'âne! La réaction à toujours eut lieu entre vous sauf que vous avez pousser votre lien à son opposé plutôt que d'admettre la vérité Potter, vous avez préférer l'extrême sentiment qu'est la haine! Tôt ou tard vous vous seriez retrouver.

Le silence tomba, Harry était en train de digérer la nouvelle.

-Il y a une dernière chose Potter.

-Hum?

-J'ignore si vous le savez, mais cette union aux yeux de la loi équivaux à un mariage pur et simple. Il faudra l'expliquer à Draco, il comprendra. J'ai la preuve formel de votre état de sygisbée, il ne manquera plus qu'à officialiser le tout.

Il mit un temps avant de suivre sa pensée.

-En gros... Je dois lui demander de m'épouser pour clore l'histoire.

-Vous avez tout comprit Potter.

*****************************FIN FLASH************************

Malefoy était affalé sur Harry somnolant, regardant la bague à son doigt.

-Juste comme ça... Harry, tu te souviens, j'avais parlé de me faire tatouer sur la peau

« j'aime Harry Potter »?

-Moui?

Harry ouvrit un œil.

-Tu savais que quarante conq pour cent des cancers de la peau sont dû à l'encre?

-Alors qu'est ce que tu proposes?

Malefoy se coula contre son oreille, chuchotant.

-Je te fais une gâterie et en échange c'est toi qui te fais tatouer.

-Piètre consolation, merci pour ma peau!

-Mais on sait tous que tu est plus résistant que la moyenne!

Se défendit le blond.

-Et qu'est ce que j'y gagne?

Draco traça des arabesques invisible du bout du doigt sur le torse de son amant.

-Tu sais... Le même petit jeu que celui qu'on a fait avant que tu ne me demande si gentiment en mariage.

Il parla très bas alors que les joues du brun s'embrasaient au souvenir, un frisson lui remonte dans le dos, Draco eut un large sourire en entendant battre le cœur du brun, Harry fit la moue.

-Ça dépend... Me faire tatouer quoi? Et où?

-Oh! Ma foi, très peu de chose! C'est très court!

-Parle, tu m'intéresses, où?

-Ce serait bien placer, juste en bas de ton dos, au niveau des reins...

-Histoire que tu puisse l'admirer, c'est ça?

Rigola le gryffondor.

-Et ce serait?

-Propriété de Draco Malefoy.

Le golden boy le surplomba en le faisant rouler.

-Il faudra plus d'une gâterie pour me faire adopter pareille idée!

Gronda t-il.

-J'y travaille, j'y travaille, sinon... Juste comme ça, le mariage de tous les Weasley...

-Pitié! Draco! Nous sommes en lune de miel! Tu reviendras sur tes promesses lorsqu'on se disputera pour savoir qui gardera le chien contre les enfants!Le blond éclata de rire en l'enlaçant.

**************************************************************************************************************************************************************** THE END!

Béli en pyjama rayé de bagnard tiens un oreiller, à son pied une chaîne rattaché à un boulet marqué « Histoire pour Lumi »:

Virer se projecteur de ma tronche! C'est vrai, j'pouvais pas faire autrement! L'histoire me poursuivait! Elle s'accrochait à moi toute la journée, elle me hantait la nuit, elle me tirait les orteils dès que je m'assoupissait/ Tu parles de ton ombre là/ Ah? Oups! … Aucun des lemons ne me plaît! Et je sais qu'en me relisant/ O.o/ Oui, je vais me relire/ O.O/ Il le faut bien/O.O/ Pour corriger les fautes/ é.è fais pas semblant! On sait tous que tu vas en laisser plein!/ Je sais mais il faut quand même qu'il soit lisible.../ Bon courage!/ Merci!

Le seul truc qui m'a éclater c'est la scène où Harry essaye de le demander en mariage alors qu'ils e rhabilles, et puis la fin qui ressemble à un épilogue...

Donc pour en revenir cette fic est dédier à ma moitié! Mon corps! Pour ne pas dire mon cadavre préféré! (Elle n'aime pas que je la traite de cadavre)

J'ai donc taper avec mes petits doigts, soit 21 pages écrite, l'un de mes plus court OS! Il fallait que je le publie!