Voilà une autre fanfiction sur le monde de Harry Potter! Je suis sur un autre site, HP Fanfiction, et j'ai relevé un défit.

Voila ce qui était le défit :«

La guerre a éclaté au sein de Poudlard. Hermione cours, elle est poursuivie par plusieurs mangemorts et elle sait que si elle s'arrête, elle ne courra plus jamais. Imaginez qu'elle trouve un endroit où ses ennemis ne pourront pas l'atteindre mais qu'un autre élève a eu la même idée qu'elle. Et cet élève n'est autre que Drago Malfoy.

Celui-ci doit être du côté du "bien" (mais je veux qu'il garde quand même ses préjugés, etc... juste qu'il ne soit pas avec Voldemort) et durant le temps où ils sont coincés ensemble, Hermione et Drago doivent se rapprocher (amour ou amitier)».

Donc voilà! J'espère que vous aller apprécié,

Bonne lecture!

Sasuyu

La salle sur demande et ses mystères...

«Cours Hermione!» se dit-elle tandis qu'elle essayait d'éviter les sorts que lui lançaient les mangemorts qui courait derrière elle. Elle sait que si elle s'arrête, s'en est fini d'elle…

La guerre était commencée. Le dernier affrontement avec Voldemort venait de commencer, à l'intérieur des murs même de l'école appeler Poudlard. Ou du moins ce qu'il en restait. La grande cours était remplie de gravas, des restants de l'école. Les mangemorts lançaient des sorts à tous vents. Certains frappaient des élèves… comme d'autres frappaient les murs de cette prestigieuse école, et tombaient en masse dans la cour de l'école. Tout le monde se battait pour sauver leurs vies. Plusieurs avaient d'ailleurs laissé la leur, malheureusement…

Ron lui se battaient contre plusieurs mangemorts, dos à dos avec Neville pour pouvoir parer toutes les attaques sur tous les côtés. Neville en plus d'avoir beaucoup changer, avait maintenant l'âme d'un vrai Gryfondor, et le courage dont il faisait preuve en se battant d'une main avec sa baguette et de l'autre avec l'épée de Godric Gryfondor, démontrait à quel point il avait changé. Malgré leurs vêtements plein de sang, chacun sauvaient la vie de l'autre de temps à autre en plus de sauver la leur.

Harry, quand à lui, se débattait comme un diable dans de l'eau bénite. Les sortilèges fusaient de partout, mais Harry les bloquait tous. Voldemort apparaîtrait dans un petit moment avant que la vraie bataille entre les deux ennemis jurés ne commence.

Hermione, elle, courrait. Cinq mangemorts voulaient sa peau. Ils courraient derrière elle et ils ne semblaient pas être prêts d'arrêter. La jeune femme elle commençait à être à cours d'option. Elle avait essayé de les faire basculer par-dessus les rambardes des escaliers mouvant, elle avait réussie à en faire tomber un, mais les autres n'avaient même pas bougé.

Hermione eu une idée. En courant, elle lança un sort derrière elle et de la fumé semblable à celle se dégageant des bombes lacrymogènes moldues sortirent de sa baguette, elle n'en aurait pas pour longtemps, mais assez pour se donner de la distance. Elle était au sixième étage. Et la lumière fut. Elle courut encore plus vite et elle se dirigea vers le 7e étage. Elle ne sentait plus ses jambes. La morsure du froid sur sa peau à vif et moite ne la faisait même plus trembler de froid. Elle arrivant devant le fameux mur du 7e étage. Elle pensa rapidement trois fois qu'elle voulait une pièce où elle pourrait être en sécurité, avec tous ce dont elle aurait besoin pour y vivre jusqu'à la fin de la guerre.

Une porte se forma et une fois qu'elle apparût complètement, elle entendit derrière elle :

_ Elle est là! Dépêchons-nous!

Hermione ne se posa pas plus de question et elle entra dans la salle le plus rapidement possible et ferma la porte derrière elle. Elle s'y appuya et se laissa glisser et elle s'assit sur le sol en soufflant comme un bœuf. Elle n'était pas du genre a se laisser abattre, en bon proverbe moldu, se faire manger la laine sur le dos, mais là elle n'en pouvait plus. Elle admettait son côté humain, elle n'était pas super woman. Elle n'en pouvait plus, il fallait qu'elle se reprenne et après qu'elle aille continuer de se battre auprès de ses amis.

De l'autre côté de la porte, les mangemorts courait en voyant la porte devenir de plus en plus petite pour finalement ressembler a une porte de placard à balai. Ils l'ouvrirent et y entrèrent tous en chahutant et se retrouvèrent tous sur le sol les uns empilés sur les autres. Ils regardèrent un rat filé le long du mur. Elle leur avait échappé. Ils se relevèrent en jurant et ils partirent vers une autre proie…

Hermione, coupé du monde et n'entendant pas les jurons des mangemorts se mit à rire, tout le stress qu'elle avait ressentit jusque là était partit d'un seul coup. Elle se releva et elle se mit à regarder autour d'elle. La pièce était très jolie, dans des tons bleus très doux. Elle la trouva très grande par contre, mais elle ne s'en préoccupa pas plus que sa. Elle avait vu une très grande armoire qui devait sans doute contenir des vêtements. Elle vit aussi une salle de bain qui avait une baignoire un peu plus petite que celle des préfets en chefs, mais elle était en tout point exact. Avec tous les robinets et la grandeur de la baignoire, elle savait qu'il serait difficile de sortir de cette piscine. Il y avait aussi une immense bibliothèque, où elle pouvait lire les titres de loin, avec des livres qu'elle n'avait pas encore lu et qu'elle s'empresserait de les lire.

Elle entendit un toussotement dans son dos et elle fit volteface. Devant elle ce tenait un magnifique lit à baldaquin en bois sombre avec des draperies de soies d'un bleu très pâle ainsi qu'avec des oreillers doré en soie à leurs tour. Et étendu sur ce lit, torse nu et un livre à la main, vêtu d'un jean très moldu, se tenait Drago Malefoy avec un air des plus méprisables à son égard.

_ Qu'est-ce que tu fais là, espèce de misérable sale sang de bourbe? Demanda t-il avec sa voix la plus méprisante.

Hermione resta bouche bée. Que faisait-il là? Pourquoi la salle sur demande l'avait laissé entré, lui le sale fils de mangemort? Hermione était passé de l'état de surprise à celui de la colère en quelques dizaines de secondes. Drago la vit passer du blanc au rouge.

_ Je préfère encore aller me faire tuer de l'autre côté que de passer mon temps avec toi dans cette superbe pièce, espèce de sale fils de mangemort.

Hermione se retourna et elle alla vers la porte et essaya de l'ouvrir. Elle ne s'ouvrait pas. Elle essaya de toutes ses forces, cela ne marchait pas non plus. Elle reprit sa baguette qui était sur le sol et essaya tout les sorts qu'elle connaissait, mais rien ne marcha. La porte restait toujours fermée. Elle entendit le rire sarcastique de Malefoy retentir et elle fut folle de rage!

_ Espèce de porte! Tu va t'ouvrir oui! Il faut que j'aille aider mes amis!

_ Vous et votre supposer courage de Gryfondor! Toujours en train de chercher la gloire où vous pouvez la trouver! Réplica Drago méchamment.

Elle ne l'écouta pas et elle continua de s'évertuer à ouvrir cette porte. Elle essaya durant 15 minutes encre, et rien n'avait eu d'effet.

_ Je crois qu'on va être obligé de rester ensemble un bon moment…soupira Hermione.

Elle était terre à terre comme jeune femme et elle savait quand elle avait tout essayé qu'elle ne pouvait plus rien faire. Certainement qu'elle était en colère contre elle-même de ne pas pouvoir ouvrir une fichu porte! Mais elle savait reconnaître une cause qui était au dessus de ses moyens. Elle allait être prise avec cette fouine bondissante pendant un moment si la porte ne voulait pas s'ouvrir.

Malefoy se redressa et parla de sa voix la plus méchante :

_ Non, pour vrai? Tu crois que je ne l'avais pas remarqué pendant que toi, misérable sang de bourbe, t'évertuait à ouvrir cette porte? Que vous faite pitié vous les moldus…

Hermione soupira. Il n'avait pas changé depuis le début de cette guerre. Toujours arrêter sur ses idées que son père lui avait mises dans la tête.

_ Les moldus, sur certains côté, sont beaucoup plus avancer que les sorciers, soupira-t-elle.

_ Tant que je n'aurai pas de preuve concrète, je ne croirai pas un mot de ce que tu me dis sang de bourbe, déclara Drago.

Hermione soupira et sortit sa voix accusatrice.

_ Et toi, espèce de sale fouine, tu n'es pas avec ton cher père sur le champ de bataille joncher des corps des élèves de cette école, de nos amis?

Il se leva et cria de rage :

_ Je ne suis pas du côté de mon père! Je ne l'ai jamais été! Je suis du côté du bien!

Il reprit son souffle et la regarda méchamment.

_ Comme tous bon Serpentard, la couardise fait partit de leur quotidien, ironisa-t-il.

Hermione le regarda. Elle le vit retourner s'allonger sur le lit et retourner à lire son livre et tourner les pages en les déchirant presque, tellement il était en colère. Elle du l'admettre. Si elle n'était pas la jeune femme qu'elle était, avec toutes les épreuves qu'elle avait vécue en faisant partie du Trio d'Or, elle aurait surement réagit comme lui. Il avait plutôt réagit comme certaines personnes, en ayant peur, elles étaient parties se cacher. Elle avait vue plusieurs personne être assise avec des amis qui essayait de les convaincre d'aller se battre, mais ils étaient tétanisé par la peur…

_ Je ne trouve pas que cela est de la couardise, et ce n'est pas parce que tu es à Serpentard que tu a cette caractéristique. J'ai vu Blaise se retourner en face de Voldemort et venir de notre côté lui aussi. C'était extrêmement courageux de sa part, malgré que Voldemort l'est tué par la suite…j'ai énormément d'estime pour ce qu'il a essayé de faire. Un Serpentard avec le courage d'un Gryfondor.

Elle ne savait pas pourquoi elle avait essayé de le réconforter, mais elle savait que surement il en aurait de besoin, au vu de ce qu'il lui avait dit et de la douleur qu'elle avait vu dans ses yeux. Il avait eu la même idée qu'elle. Il avait essayé de trouver un endroit où ils ne pourraient pas lui faire de mal, ne pas le blesser, jusqu'à se que la guerre sois fini. Et puisque la salle sur demande est toujours équipée avec ce dont la personne a besoin, c'est la pièce idéale.

Drago la regarda, étonné en dedans de lui, et il ne répliqua rien de plus. Il était étonné qu'elle puisse lui dire quelque chose de gentil après tous ce qu'il venait de lui balancé à la figure comme insulte.

« Les Gryfondor…» se dit-il.

Hermione fini de regarder la chambre et elle décida d'aller à la salle de bain pour enlever tout le sang et les saletés qui maculaient sa peau. Elle l'en avertie, même si elle ne savait pas à quoi cela servirait. Il ne l'écoutait certainement pas vu qu'elle le vit ne pas avoir de réaction à part tourner une page de son livre. Elle soupira et se dirigea vers la salle de bain en barrant la porte par réflexe moldu. Avec un coup de baguette, elle fit allumer les robinets et elle mit du bain moussant, elle sentait qu'elle en aurait besoin pour se détendre et relaxer ses muscles.

Une odeur de fruits rouges s'éleva dans l'air, et Hermione sourit. C'était la même odeur que son bain moussant à elle.

«Cette salle est vraiment bien équipée…» se dit-elle.

Elle se déshabilla et elle remarqua qu'il y avait un miroir. Elle s'approcha de lui entièrement nue. Elle s'y regarda. Elle n'était pas de la beauté d'une vélane, mais elle se dit que si elle s'habillait avec des vêtements qui la mettaient en valeur, elle aurait surement plus de gars qui la regarderait. Elle soupira. Elle prit ses seins en coupe et elle se regarda dans le miroir. Elle les relâcha et soupira une autre fois. Elle n'avait pas la poitrine très généreuse, mais pour elle, elle était juste correcte. Elle n'eue pas plus de temps pour regarder son corps dans la psyché qu'une voix se fit retentir.

_ Vous êtes vraiment très jolie, mademoiselle.

Hermione essaya de se cachée comme elle le pouvait en criant de terreur.

Drago entendit la jeune femme crié et se leva. Il alla vers la porte et regarda à travers la serrure. Il ne voyait pas grand chose, évidemment. Il amena sa baguette et fit un sort qui agrandit la vision pour pouvoir voir se qui se passait, un peu comme une caméra avec un écran.

_ Ne vous inquiété pas, mademoiselle! Je suis ici, sur le dessus du miroir. Je m'appelle Henri. Je suis la pour vous aider à vous habiller, et a dire que vous êtes magnifiquement belle nue, et je le pense réellement! Dit l'espèce de sirène masculine sur le haut du miroir qui lui parlait.

_ Ah! Et bien, bonjour Henri, je m'appelle Hermione, dit Hermione en souriant.

Elle arrêta de se caché.

_ Bonjour Miss Hermione! Je suis ravi de faire votre connaissance, répondit Henri.

Drago faillit en tomber sur les fesses. «C'est qu'elle cache bien son jeu sous ses habits!» pensa-t-il.

Hermione se glissa dans l'eau et un soupir de bien être sortit de sa bouche. Sa lui faisait vraiment trop de bien. Elle continua de se laver consciencieusement. Le miroir étant proche de la baignoire, elle posa une question au miroir :

_ Henri? J'aurais besoin de ton avis.

_ Que puis-je pour vous belle Hermione?

La jeune femme se mit à rire, personne ne l'avait appelé comme sa depuis l'été qu'elle avait passé en Italie avec ses parents il y a quelques années de cela.

_ Je voudrais savoir se que tu me conseillerais comme shampoing? Il y en a tellement! Depuis des années que j'essaye de dompter ce que j'ai sur la tête, je ne sais plus quoi faire!

_ Hum… Prenez le 6e a votre droite, il devrait faire des miracles, après venez vous voir dans le miroir et je vais vous donner quelques sortilèges pour que vos cheveux est une allure aussi belle que celle des vélanes!

Hermione pouffa silencieusement et accepta. Elle se lava les cheveux consciencieusement.

«Quitte à être prise dans la salle sur demande, autant faire sa toilette comme il le faut!» se dit-elle.

Elle finit par se laver avec un savon en gel qui sentait tout aussi bon que le bain moussant. Elle finit par sortir, tandis que Drago regardait toujours sur son espèce d'écran pour la voir sortir de l'eau. Il ne l'avouerais jamais a qui que se soit, mais elle était vachement sexy pour une sang impure.

Elle se mit devant le miroir et elle suivit les différents trucs que lui donnait Henri, et…cela était tout un changement! Ses cheveux était devenus soyeux, ondulé à souhait, terriblement attirant d'y mettre le nez pour sentir leur odeur et d'y passer une main pour toucher leur douceur…

Drago n'en revenait tout simplement pas. Ce miroir avait su faire des merveilles avec cette crinière de lion toujours en bazar! Elle était vraiment à croquer comme cela, nue… Il secoua la tête et se repris. Il ne pouvait pas avoir envie d'autre chose que de vouloir son mal.

Hermione arriva pour faire un sortilège pour laver ses vêtements, mais elle ne les trouva pas. Elle regarda Henri.

_ Dis, tu ne saurais pas où se trouve mes vêtements?

_ Ah! Un elfe est venu les chercher tout a l'heure. Je n'ai pas eu le temps de lui dire de les laisser là, qu'il partait en marmonnant qu'il allait les brûler. Je suis vraiment désolé belle Hermione.

Elle soupira. C'est vrai que ses vêtements n'était bon qu'a être brûler, vu comment ils étaient… Elle décida d'appeler un des elfes avec qui elle s'entendait bien, pour qu'elle puisse aller chercher des vêtements dans l'armoire. Hermione détestait avoir à faire cela a un elfe…mais elle n'avait pas le choix, si elle laissait Malefoy choisir les vêtements…elle allait en voir de toutes les couleurs…

_ Morgane!

Une toute petite elfe de maison très semblable à Dobby se tenait devant elle.

_ Miss Hermione! Je suis vraiment contente de vous voir! Que puis-je faire pour vous?

_ Bonjour Morgane! J'aurais besoin de ton aide. Je suis désolée de te demander sa. Pourrais-tu aller dans la pièce d'à côté, et aller me chercher des vêtements? Un autre elfe a prit les miens et les a brûler…

_ Il n'y a pas de problème Miss Hermione, je vais aller en chercher tout de suite!

L'elfe fit ''pop'' un disparaissant et quelques secondes après, un autre ''pop'' se fit entendre et Morgane revint avec des tissus dans ses mains.

_ Merci beaucoup, Morgane.

_ Si vous avez besoin d'autre chose, n'hésiter pas à m'appeler!

Hermione sourit et l'elfe disparût, avec le ''pop'' distinctif du transplannage des elfes. Elle regarda les vêtements dans sa main et elle en fut outrée.

«Ne me dites pas qu'il n'y avait que sa dans cette fichu armoire!» se dit-elle.

Elle soupira en se tenant la tête dans ses mains. Elle ne pouvait pas sortir comme cela, non? Elle s'assit sur le bord du bain et Henri la regarda, elle qui était toute dépitée.

_ Que se passe-t-il belle Hermione?

Elle se leva et alla près du miroir et lui montra les vêtements que lui avait amené l'elfe. C'était une nuisette très courte de couleur rouge, en satin avec pour la poitrine un simple voilage de dentelle qui couvrait les seins, si on pouvait le dire comme ça. Le décolleter formé par la dentelle ne laissait pas vraiment de place à l'imagination. Morgane lui avait aussi amené une culotte, qui était en fait un string tout aussi rouge que la nuisette, avec le haut en dentelle. C'était un ensemble.

« Cela ne va pas être facile de dormir avec cela…»se dit Hermione

_ C'est un très bel ensemble belle Hermione. Il vous sierra à merveille, dit Henri.

_ Merci Henri. Mais je ne crois pas que cela est une bonne idée…

_ Pourquoi donc! Vous aller être époustouflante belle Hermione!

_ Je n'ai pas vraiment le choix…

Hermione mit l'ensemble et se regarda dans le miroir. Elle était vraiment séduisante dans cet ensemble, comme l'avait dit Henri. De l'autre côté de la porte, Drago regardait toujours sur son espèce d'écran magique la jeune femme s'habiller. Il pu voir son reflet dans le miroir et il ne pu empêcher sa mâchoire de se décrocher.

«C'est qu'elle est vraiment bandante la Granger!» pensa Drago.

Il était tellement concentrer sur le corps qu'il voyait, qu'il ne pensait même pas à son sang impur.

_ Vous êtes vraiment à couper le souffle! Dit Henri.

Elle lui sourit.

_ Merci Henri. Bon, je vais y aller, lui aussi voudra certainement y aller.

_ Au plaisir de vous revoir, belle Hermione.

Elle lui sourit et elle décida d'ouvrir la porte et de sortir, tout en prenant une grande respiration. Elle allait surement avoir des remarques salaces de Malefoy…

Le dit Malefoy eu juste le temps d'annuler son sort et de regarder les livres dans la bibliothèque juste à côté de la porte que la jeune femme sortait de la salle de bain, la tête haute. Le jeune Malefoy n'en revenait pas. Elle était terriblement sexy dans cette nuisette…terriblement sexy…

La jeune femme s'approcha elle aussi de la bibliothèque et décida de prendre un livre sur les potions. En levant le bras pour attraper le dit livre, la nuisette remonta et dévoila une bonne partie des fesses rebondies de la jeune femme. Drago ne put s'empêcher de se pencher quelque peu vers l'arrière pour avoir une meilleure vue.

La jeune femme alla s'asseoir près de l'âtre qu'elle n'avait jamais remarqué au par avant. Il y avait un grand fauteuil qui aurait pu facilement accueillir deux personnes facilement. Il y en avait un autre aussi devant le foyer. Elle s'y installa et elle regarda Drago. Il avait la bouche ouverte, et elle pouvait voir un peu de bave couler le long de sa bouche… La jeune femme rit très doucement pour ne pas qu'il l'entende. Elle plaça le livre devant son visage pour qu'il ne puisse voir que ses yeux. Il ne fallait pas qu'il la voit rire…

_ Je crois que tu as un léger problème côté glande salivaire, surtout sur le coin de ta bouche…

Drago repris ses esprits et essuya le coin de sa bouche rageusement et alla s'allonger sur le lit tout aussi rageusement. «C'est une sang de bourbe merde!» pensa-t-il. Il essaya de reprendre ses esprits, mais il la voyait toujours du coin de l'œil, ce qui rendait sa tâche très difficile….

La jeune femme soupira. Quand elle lisait, elle avait besoin de calme surtout, mais la en entendant des pages tourné autre que les siennes, elle ne pouvait se concentré. Elle ferma son livre, excédé. Elle décida d'aller voir la fameuse armoire où Morgane avait été cherché les vêtements. Elle arriva près de l'armoire. Elle ouvrit l'armoire et elle fut tout de suite surprise. Toute l'armoire contenait des vêtements, bien évidement. Elle contenait des vêtements sexys, des costumes sexys. Elle avait beau fouiller, elle ne trouvait que des vêtements en satin, en dentelles ou autre trucs affriolant. Elle était dans un de ces pétrins…

Elle soupira de désarroi. Vraiment, elle devrait porter ses trucs si elle ne voulait pas se promener nue devant Malefoy? Malgré que ce qu'elle portait était presque cela, selon elle. Elle trouvait au moins cela drôle au vu que Malefoy la trouvait désirable. Elle soupira. Il n'y avait pas grand chose à faire, emprisonné ici…

Elle eu une idée. Elle allait métamorphoser un gros objet en télévision! Oui, comme sa, cela serait un peu moins ennuyant. Avec un lecteur DVD peut-être? Tout cela était très moldu évidemment. Malefoy avait bien dit qu'il voulait des preuves concrètes? Et bien il allait en avoir!

Elle regarda et ne trouva rien de gros qu'elle pouvait transformer. Cela la déçue un peu. Elle était à Gryfondor ou non? Elle décida de prendre un des fauteuils devant l'âtre et de le grossir. Elle ferma les yeux et pensa très fort qu'elle voulait qu'il se métamorphose en télévision avec un lecteur DVD. Elle ouvrit les yeux et rien ne fonctionna. Elle croisa les bras sous sa poitrine et fit la moue. Elle ne s'en rendait pas compte, mais Drago vit bien que dans cette position, elle avait la poitrine remonter et cela la rendait un peu plus en vue. Il la regardait faire et il ne comprenait pas ce qu'elle essayait de faire.

Elle soupira et réessaye une autre fois. Cela ne marcha pas plus. La colère commença à monter en elle. Elle essaya de garder sa colère sur un seuil acceptable et essaya de ce calmé. Elle réessaya plusieurs fois et finalement, elle réussit à avoir la télévision qu'elle voulait, avec le DVD. Elle poussa un petit cri de victoire et eu envie de faire une petite danse de la victoire. Mais elle laissa tomber. Pas devant Malefoy.

Elle se dirigea ensuite vers la bibliothèque et essaya de trouver des DVD. Heureusement, il y en avait une panoplie qui n'attendait que de se faire écouter. Ah, cette salle sur demande…

Drago lui était sidéré. Tous les professeurs disaient que c'était la meilleure élève de tout Poudlard, mais il n'en croyait pas un mot. Il venait d'avoir sous les yeux un échantillon de ses capacités. Il regarda la télévision bizarrement. Quel était cet objet? Il n'en savait pas plus.

Hermione choisit un film dans la bibliothèque et revint vers la télévision. Elle mit le DVD en place et alluma la télévision et le lecteur pour regarder le film. Elle changea le fauteuil où elle était assise précédemment en grand sofa et le plaça pour qu'il soit correctement installer devant la télévision. Elle n'avait pas remarqué que Drago profitait de la vu de son décolleter et de ses fesses durant le temps qu'elle plaçait les objets. Elle finit par s'asseoir et se placer devant la télévision, manette en main. Elle vit le regard de Drago intriguer par l'objet devant elle.

_ C'est une télévision. C'est une boite qui transmet des images à distance par des ondes hertziennes. Les images apparaissent par un procédé de fabrication complexe qui forme un écran cathodique. En gros, c'est une des choses que les moldus aiment le plus. Elle permet de regarder des films et des émissions qui sont destiné à distraire l'auditoire.

Drago soupira aristocratiquement et retourna à son livre. Les moldus, ce qu'il pouvait les détester!

_ Tu veux venir écouter le film avec moi? Demanda Hermione tout bonnement.

Il lui fit un soupir suffisant et retourna à son livre. Hermione haussa les épaules et se plaça a son aise sur le sofa. Elle mit le film en marche et commença à l'écouter. Quand à Drago, il la regardait. Cette télé-machin-chouette projetait vraiment des images? Drago s'approcha de cette chose qui émettait de la lumière. Bien sur il était dégouter par cette chose moldue, mais sa curiosité était plus grande.

Il s'approcha du sofa et se mis à regarder cette boite. Il regarda Granger qui riait d'une blague que cette boite avait racontée. Il regarda les images défilées. Cette boite était vraiment étrange…

Hermione regardait le film quand elle fini par sentir la présence de Drago. Elle le regarda et lui sourit. S'il disait qu'il était du côté du bien, elle pourrait bien lui laisser une chance… et puis en étant prise avec lui dans cette salle, elle pouvait essayer d'être gentille avec lui…

_ Tu veux venir écouter? Je te laisse une place si tu veux.

Lui, s'asseoir à côté d'une sang impur? Même s'il la trouvait très excitante, elle était uns sang de bourbe… Mais en apprendre plus sur cette boite lui tentait vraiment beaucoup. Hermione se poussa et lui fit de la place. Elle essaya de mettre de l'ordre dans sa mini nuisette. Lui s'assit très loin d'elle. Il ne voulait pas la toucher en aucun cas. Hermione lui fit un petit sourire et recommença le film. Drago fini par se laser de regarder les images et il fini par les regarder et écouter ce que les personnes disait dans cette boite. Il se retint de rire quelques fois. Pas devant une sang de bourbe.

Le film se termina. La morale du film était que nous sommes maître de notre destin, qu'une manette ou autre ne changerait rien. Nous décidons, apprenons de nos erreurs, et vivons notre vie pleinement. Drago resta bien pensif à la suite du film. Franchement, cela le faisait beaucoup réfléchir comme film. Il sentit le sofa trembler. Cela le fit arquer un sourcil. Il tourna la tête vers la sang de bourbe et la vit trembler de froid. Elle n'était pas beaucoup vêtue et il ne put s'empêcher de profiter de la vue en passant ses yeux sur chaque parcelle de son corps visible.

Il soupira. Il s'avoua que lui aussi avait froid. Il soupira de découragement et se leva pour se diriger vers l'âtre. Il sortit sa baguette et prononça un sortilège pour que le feu s'élève dans l'âtre. Drago pris le temps de ce réchauffer les mains et se retourna vers Granger. La nuit devait être tombé, puisque la salle devenait sombre de plus en plus. Drago l'avait remarqué puis le temps qu'il était ici. Il la trouvait un peu pâle, mais peut-être étais-ce dû à la lumière du feu qui reflétait sur sa peau? Il n'aurait su le dire. Il ne savait même pas pourquoi il s'en faisait pour elle. Il attendit quelque instant et il se rendit compte que la température dans la pièce ne montait pas.

«Mais qu'est-ce qu'il se passe avec cette stupide pièce là?» se demanda-t-il, frustré.

Il regarda la jeune femme et il vit que ce n'était pas à cause du feu qu'elle avait le teint blanc. Elle avait vraiment le teint blanc. Il se mit à se dire des blasphèmes à lui-même. Elle n'allait pas flancher, si? Il l'entendit parler faiblement, sa tête tomba sur son épaule comme si elle était trop lourde pour la supporter. Ce qui ne l'étonna pas, rat de bibliothèque comme elle était.

_ J'ai si froid…

Elle devint molle comme une poupée de chiffon et se retrouva mollement avachi sur le sofa. Drago sortit un blasphème bien sentit. Elle venait de le lâcher. Il ne voulait surtout pas la toucher. Un Malefoy, sang pur, toucher une sang de bourbe, surtout la Granger? Non, non ,non.

Il n'avait pas vraiment le choix. Lui qui se disait du côté du bien, il n'allait pas la laisser mourir? L'idée lui passa par la tête. Non, il ne pouvait pas la laisser mourir, surtout d'hypothermie. Oui, il connaissait ce mal qui était causé par la chute de la température corporelle. Il connaissait aussi le moyen pour qu'elle ne meure pas. Les cours de survie qu'il avait appris par les soins de son père lors de ses ''traitements'' pour le rendre plus résistant. Il soupira de frustration. Il ne voulait pas la toucher.

Mais si la guerre finissait du côté du bien, que St-Potter gagnerait, il ne pouvait pas la laisser mourir si non il se le ferait remettre sur le nez tout le reste de sa vie. Il laissa échapper un sifflement de rage et se dirigea d'un pas colérique vers la jeune femme. Il la prit en marié dans ses bras et même s'il se doutait que le corps de la jeune femme allait être froid, cela lui fit un choc de sentir un corps aussi froid. Il la déposa sur le lit. Il ne fallait pas qu'il lui brise quelque chose en plus. Il la déshabilla assez rapidement. Il n'était pas le tombeur de ses dames pour un rien, alors il réussi à enlever la nuisette rapidement sans la brisée. Il lui laissa sa culotte assortie à sa nuisette et il enleva son jean et il glissa le corps inerte sous les draps et s'y glissa lui aussi. Il ne voulait vraiment pas être collé à elle… Il finit par passer ses bras autour d'elle avec une moue de dégout. Il fallait qu'elle se réchauffe si non elle allait finir par vraiment mourir d'hypothermie… «Cela ne devrait pas être long, je devrais la réchauffer.» se dit-il.

Il finit par sentir le lit chaud, du à la grande chaleur que son corps dégageait. Et oui, même s'il était un Serpentard et qu'il habitait dans les cachots, il avait le corps chaud et non froid comme l'animal qui représentait leur maison.

Il repensa à la jeune femme tandis qu'il essayait de la réchauffer. Certainement, c'était une très jolie jeune femme. Terriblement sexy. Avec une poitrine à faire damner un saint, d'après ce qu'il voyait et qu'il sentait contre lui. Elle était brillante, très même, même s'il ne se l'avouait pas. C'était bien une des seules à ne pas se pâmer devant lui, en plus d'avoir un très bon arsenal d'insultes et de répliques à lui lancés. Mais elle était une Gryfondor et une sang de bourbe de surcroit. Il devait se marié avec Pansy Parkinson, si son père vivait encore. Pour perdurer le sang pur disait-il. Mais ce bulldog, parce que oui elle avait une face de bulldog, n'avait pas plus de jugeote qu'un têtard. Ce n'était pas le genre de femme qu'il préférait. Il préférait une femme dans le genre de…Non, il ne pouvait pas se le permettre.

Il passa une partie de la nuit à se demander si oui ou non, il pouvait se permettre d'avoir une quelconque relation avec une sang impur. Amitié ou amour…il se posait la question. La jeune femme avait toutes les qualités d'une bonne amie, à n'en point douter, en la regardant faire avec ses amis. Elle pouvait tout aussi bien être parfaite pour lui, elle était tous ce qu'il voulait… Mais il ne pouvait s'empêcher que ces idées préconçues par son père ne refassent surface. Il finit par s'endormir tard dans la nuit, après avoir pensé toute la nuit à ses sentiments et à ses idées préconçues…

Au cours de la nuit, chacun dormit à point fermé. Hermione avait donné tellement d'énergie à essayer de se réchauffer par elle-même qu'elle méritait bien un peu de repos. Ils ne virent pas qu'au matin, la porte de la salle sur demande fit un tout petit cliquetis. Un cliquetis qui ressemblait a une porte que l'ont débarrait et qui s'entrouvrait quelque peu.

Les bruits de personnes agonisait se terminèrent sous peu. Les morts furent comptés. Beaucoup avaient perdus la vie. Chacun allaient avoir leurs noms marqué sur une pierre de marbre en mémoire pour eux. C'était fini. La guerre était terminée. Harry avait terrassé le Lord Voldemort, le Seigneur des Ténèbres, celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom….

Dans la salle sur demande, Hermione se réveilla doucement. Elle se sentait terriblement bien la où elle était. Au chaud, avec des bras qui l'entourait… Un instant! Des bras qui l'entourait? La jeune femme releva sa tête de l'oreiller et elle se trouva presque nez à nez avec son ennemi de toujours, Drago Malefoy. Elle reposa sa tête sur l'oreiller. Qu'Est-ce qui c'était passer la veille pour qu'elle se retrouve dans le même lit que lui, dans ses bras? Et soi dit en passant, nue? Elle venait de s'en rendre compte. Elle laissa échapper un hoquet de terreur, ce qui fini de réveiller le jeune homme près d'elle. Il se réveilla et s'étira, dégageant par cette action ses bras du corps chaud de la jeune femme. Il la regarda. Il ne savait toujours pas comment agir avec elle, mais au moins il essaya de paraître poli pour une fois,

_ Bonjour, dit-il.

_ Bonjour, se mit à bégailler Hermione.

Hermione essaya de se couvrir avec le drap. Elle essaya vainement de se souvenir de la veille, mais le stress et la situation dans laquelle elle était ne l'aidait pas. Drago, qui la voyait patauger dans ses pensés, soupira.

_ Hier, après les images qui passèrent dans la télé-machin-chouette, il faisait très froid, j'ai fait un feu, rien à faire. La température ne montait pas. Tu as fini par faire une hypothermie. Je t'ai déshabillé et mise sous les couvertures avec moi pour te réchauffer.

D'abord, il ne savait même pas pourquoi il avait parlé, ni pourquoi il avait essayé de la réconforter.

_D'accord, je vois. Et nous n'avons…

Elle se pointa et le pointa lui.

_ Non, il ne s'est rien passé de plus entre nous deux, répondit Drago en soupirant en posant ses bras croisés sous sa tête.

Hermione soupira, soulagée. Elle était encore pucelle, alors. Mais elle le regarda, suspicieuse. Est-ce que c'était la vérité, ou un mensonge? Drago la regarda et y vit dans ses yeux la question passer.

_ Est-ce que tu pense que je m'abaisserais à toucher une personne de sang impur?

Hermione sourit. C'était bien la le bon vieux Drago Malefoy. Cette première se retourna vers la porte. Est-ce qu'elle voyait bien? La porte… était entre-ouverte? Elle partit avec un des draps de satin et se précipita vers la porte, qu'elle ouvrit en grand. Toutes sortes de questions passèrent dans sa tête. Entre toutes ses questions, elle voulue aller rejoindre ses amis. Elle n'était pas présentable par contre. Elle se jeta sur l'armoire et curieusement, des vêtements décents s'y trouvaient. Elle se précipita dans la salle de bain et elle s'habilla en vitesse.

Durant se temps, Drago la regardait courir. Cela le faisait sourire. Il la regardait faire, sa tête appuyer sur sa main, toujours dans le lit. «C'est Gryfondors…» pensa-t-il. Hermione sortit de la salle de bain, après avoir dit un rapide au revoir à Henri. Elle s'approcha du lit et elle regarda le blond sur le lit. Elle devait le faire, même si cela lui coûterais sa langue…

_ Je voulais te dire Malefoy…Merci de m'avoir très certainement sauvé la vie. Je t'en dois une.

Elle lui fit un petit sourire et après avoir pris sa baguette, elle lui fit un rapide signe de la main en guise d'au revoir. Il se mit à sourire encore plus. « C'est Gryfondor, toujours aussi enflammé.» pensa-t-il. La salle sur demande, depuis qu'elle était entrée, avait quelque chose de bizarre. La température qui ne veux pas monter et surtout, la porte qui voulait décidément rester fermée. Il trouva cela curieux, d'ailleurs… Il retourna son attention vers la lionne et la regarda passer la porte et il sentit son cœur lui faire mal. Il posa sa main sur son cœur, où du moins à l'endroit où la pompe qui faisait circuler son sang était. Qu'est-ce que c'était encore que cela? Il ne le savait guère. C'était la première fois que son cœur agissait de cette façon, sauf…pour sa mère. Ce pourrait-il que…? «Non, cela ne peut pas être vrai» se dit-il.

Il regarda la porte et son cœur eu encore un pincement. Se pourrait-il vraiment que…? Il ne poussa pas sa penser plus loin et alla lui aussi vers la commode et enfila des vêtements propres. Il marcha vers la porte et avant de la traverser, pris une grande inspiration.

La guerre était terminée. Son père était surement mort. La société allait changer. Le monde allait changer. Serait-il temps que la vision des sangs purs envers les sangs impurs change? Il ne le savait pas. Par contre, ce qu'il savait, c'était qu'il voulait apprendre à connaitre la Granger. Ce qu'il savait, c'était que malgré son sang impur, elle était la femme qu'il lui fallait.

«Vais-je réussir à passer outre cela?» se demanda-t-il.

C'est sur cette question qu'il passa le pas de la porte et s'engouffra dans le corridor empli de lumière. Une nouvelle vie s'annonçait.

Fin